« Oh les gars, ce que vous me faites jouir ! Allez-y, prenez-moi, tous les trois, maintenant ! »
Je ne sais plus ce que je dis, je ne me retiens plus, je n’ai plus aucune pudeur. Depuis que j’ai rencontré ces trois salopards dans cette soirée, je ne suis plus moi-même. Ou plutôt, je suis celle que j’ai toujours rêvé d’être, une bonne cochonne qui se donne sans limite et sans tabou.
Peut-être bien que j’ai pris un ou deux verres de trop mais je ne suis pas saoule, juste complètement désinhibée. Les trois mecs s’en rendent compte. Mes mains touchent leurs bites, soupèsent leurs couilles, caressent leurs culs. Ils m’excitent grave. Ils sont jeunes, plus jeunes que moi et qu’est-ce qu’ils sont bien montés. Ma main a du mal à faire le tour de la queue que je branle. Ma bouche est complètement distendue par celle que je suce et je n’ose imaginer comment mon cul va bientôt être rempli.
Je suis à quatre pattes maintenant. Je pompe toujours le dard qui me fouille la gueule. Je m’arrête seulement pour laper les couilles bien rondes du gars qui me fait face. Il en profite pour me matraquer le visage avec son gourdin. Les deux autres types ont répondu à mon appel.
L’un des deux est passé sous moi. J’ai écarté les genoux pour le laisser s’installer. Il m’a saisie par les hanches et m’a fait descendre sur sa verge où ma petite chatte est venue s’empaler vicieusement. J’ai tout de suite commencé à onduler dans tous les sens pour bien le sentir.
L’autre mec, un solide gaillard d’une vingtaine d’années s’est glissé derrière moi. Derrière mon cul plus précisément. Je le sens qui écarte mes fesses. Il crache sur mon trou puis le prépare avec ses doigts sans délicatesse excessive ni brutalité exagérée. Il a déjà de l’expérience, tant mieux. Quand il pose son gland sur mon œillet brun, c’est moi qui pousse mes fesses en arrière pour le prendre. Sa bite est longue et forte, elle met un peu de temps à passer entièrement. Je ne m’étais pas trompée en m’imaginant être enculée peu auparavant.
Nous bougeons en cadence, nous ne faisons plus qu’un tous les quatre. Je suis la chose des trois queutards et ça me plaît, leur objet sexuel, leur petite pute docile et perverse. Ils me laminent, me bourrent bien à fond, me tringlent la vulve, me ramonent le cul. C’est bon, terriblement bon.
Quand le premier sort de ma bouche pour me juter sur la figure, c’en est trop pour moi. Je jouis en gueulant comme une traînée. Je n’ai pas besoin de simuler, tant mon orgasme est intense. Mes genoux se dérobent sous mon corps mais heureusement les deux obsédés qui me remplissent sont là pour me retenir, je ne touche plus le sol, au propre comme au figuré. Lorsque je pense avoir fini de jouir, une deuxième salve se déclenche car les grosses bites qui me prennent se contractent pour lâcher deux flots de sperme dans mes entrailles de femelle en chaleur.