La stagiaire, ma femme et moi, 3ème partie

Le lendemain matin – on était un samedi – je me suis senti morveux. Bien entendu, ma femme a gobé sans mot dire mon histoire de travail de dernière minute, pour expliquer mon arrivée tardive, la veille. Pas une seconde elle n’aurait pu s’imaginer que j’avais couché avec la jeune stagiaire gironde de 20 ans et demi qui hantait mon lieu de travail.

Ce samedi là, j’ai trouvé mon épouse encore plus belle qu’avant. La grande brune, fine, mature, contrastait tant avec la volupté de Lydie. Elle était élégance là où la bimbo respirait le vice.

Pour la soirée, Patricia m’avait promis un dîner en amoureux, qu’elle allait confectionner elle-même. J’étais ravi. Elle avait même ajouté, en me demandant d’aller acheter un magnum de champagne, qu’elle me réservait une surprise, ce soir même. Ma curiosité était piquée au vif.


Le soir venu, donc, elle me demanda de nous servir une coupe à chacun, quand la sonnette de l’entrée retentit. Mince, un gêneur, ce n’était pas le moment de venir nous importuner. Patricia avait revêtu sa longue robe noire, fendue jusqu’en haut de la cuisse et je m’étais déjà promis un dessert coquin à la hauteur de la beauté de mon épouse.

Quand elle fit rentrer notre visiteuse impromptue, je crus que mon cœur allait me lâcher. C’était Lydie, en tenue élégante et sexy, un large sourire aux lèvres. « Je crois que vous vous connaissez » me lança ma femme dans un petit rire. J’étais éberlué, interdit. « Voilà la surprise, mon chéri ».

Les souvenirs me sont revenus, en flash. Le pot de départ d’un collègue, la longue conversation entre ma femme et la stagiaire, qui semblaient s’être entendues comme larronne en foire, ce jour-là. J’ignorais tout du piège dans lequel j’étais tombé, manifestement, à pieds joints.

Patricia sortit du vaisselier une troisième coupe, la remplit de champagne et la tendit à la jeune stagiaire. Elle me donna la mienne et leva la dernière au ciel en criant : « à l’amour ! ». Je n’avais pas prononcé un mot depuis l’arrivée de Lydie dans notre maison, alors, Patricia m’expliqua de quoi il retournait.

Mon épouse s’était inquiétée de me voir aussi fidèle, même en pensées et avait mijoté ce scénario pervers avec la bimbo blonde. Elle était heureuse de savoir que j’avais cédé à ses avances, elle trouvait qu’une nouvelle page de notre histoire d’amour venait de s’ouvrir.

Joignant le geste à la parole, Patricia s’approcha de Lydie et déposa un baiser doux sur ses lèvres. Les deux femmes s’enlacèrent, et mon épouse tendit la main vers moi, me faisant signe de les rejoindre. Après de longues caresses à trois, elle posa une règle : la pénétration lui était réservée.

Quand j’en aurai le temps, je vous raconterai peut-être cette première nuit de sexe à trois, entre un couple de quadragénaires amoureux et une jeune bimbo de vingt ans, douée pour l’amour comme d’autres sont douées pour les mathématiques ou la littérature.

Je vous raconterai cette nuit là, et peut-être même aussi les nombreuses nuits qui ont suivi, avec Lydie, bien sûr, mais aussi avec des tas de jeunes femmes de moins de trente ans que ma chérie prend tant de plaisir à débaucher avec moi.

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