C’est la première fois que ça lui arrive et pour moi aussi ça a été une première. Hier soir, mon mari s’est trompé de trou et je l’ai laissé faire.
Nous étions au lit depuis quelques minutes. Mon mari, Thibaut, est venu se serrer contre moi comme il le fait presque chaque soir. Je dors sur le côté, tournée vers l’extérieur du lit. Thibaut s’est collé contre mon dos et m’a prise dans ses bras. J’aime sentir son large torse derrière moi et ses bras qui me protègent. Nous nous endormons souvent dans cette position. Ce soir là les choses se sont passées un peu différemment.
Thibaut ne tenait pas en place. Ses mains posées sur ma poitrine jouaient négligemment avec mes seins mais ça suffisait à me faire de l’effet. Peu à peu, j’ai commencé à sentir des frissons courir sous ma peau. J’ai posé ma main sur sa cuisse et je me suis mise à la caresser, d’abord sur le dessus, puis à l’intérieur. Imperceptiblement, il a écarté ses jambes. En même temps, je sentais sa queue qui durcissait contre mes fesses.
Il jouait maintenant ostensiblement avec mes nichons. Je n’ai pas de très gros seins mais de belles pointes qui raidissent bien quand on les tripote. Thibaut passait aussi ses doigts sur mon ventre et descendait de plus en plus bas vers ma fourche. De mon côté, je lui caressais les couilles. Je sais qu’il adore ça.
Nous commencions à haleter tous les deux. La bite de mon mari s’était logée entre mes fesses. Je passai alors la main entre mes cuisses pour la guider vers mon entrejambe. C’est là que tout a basculé. Notre position ne devait pas être idéale pour une baise classique et Thibaut se trompa de trou.
Au début, je fus surprise de sentir son gland appuyer sur mon petit anus. S’il nous arrivait à tous les deux de pratiquer des caresses anales sur le trou du cul de l’autre, jamais nous n’avions abordé la question de la sodomie et il ne me semblait pas que mon mari était tenté par cette pratique.
Pourtant, il fallait que je me rende à l’évidence, Thibaut était en train d’entrer dans mes fesses. Il poussait, poussait et peu à peu son gland perforait ma rondelle. J’étais trop excitée pour le détromper et, d’ailleurs, je ne trouvais pas ça désagréable. Le pauvre devait penser que ma position, couchée contre lui, rendait ma petite chatte plus serrée que jamais.
Il me prit comme un fou et je crois qu’il ne réalisa être dans mon cul que lorsque je me redressai et me mit à quatre pattes sur le lit. En fait, je ne suis même pas sûre qu’il s’en est rendu compte car il n’en parla pas, ni pendant ni après notre cavalcade. Pour ma part, je connus l’un des orgasmes les plus violents de ma vie sexuelle. Je fus même traversée d’une seconde série de spasmes lorsque Thibaut décula lentement.
Aujourd’hui je ne sais que penser. Dois-je aborder le sujet avec mon mari ou, au contraire, me taire à tout jamais ? J’avoue avoir pris beaucoup de plaisir à cette expérience et j’aimerais la renouveler, mais je n’ose le lui dire ouvertement. Dans notre couple, il est des discussions encore largement taboues.