D’aussi loin que je me souvienne, mon père a toujours été un homme à femmes. Depuis sa séparation d’avec ma mère, quand j’étais petit, il a enchaîné les maîtresses et les compagnes, les quittant compulsivement, comme si elles avaient atteint une sorte de date de péremption, pour s’en trouver une nouvelle, plus jeune. Malgré cet exemple pas vraiment respectueux des femmes, j’ai été fidèle, toute mon adolescence, à la même petite amie, évitant cette litanie d’ex-compagne.
Mais, à 18 ans, le bac en poche, j’ai du partir pour Bordeaux pour y suivre mes études. Là-bas, j’avais bien l’intention de retrouver celle qui avait été ma préférée parmi mes multiples et successives « belles-mères » : Anna, avec qui mon père avait tout de même passé trois ans, un record pour lui !
Quand j’étais enfant, j’étais un peu amoureux d’elle, et de ses longs cheveux blonds bouclés, ses yeux bleus, son teint diaphane et son sourire enjôleur. Elle s’était toujours montrée, contrairement à d’autres, très gentille avec moi. Aujourd’hui, elle devait avoir pas loin de 45 ans, un âge canonique aux yeux de mon père.
Une fois à Bordeaux, la rentrée universitaire passée, je me suis mis en quête de l’adresse d’Anna, sans intentions précises, juste une envie un peu floue de reprendre le contact. Je l’ai trouvée assez facilement. Elle vivait dans une petite rue, pas très loin de l’université.
J’y suis allé un matin, avant de prendre les cours. J’ai sonné. Elle a mis un certain temps à ouvrir. Elle était en nuisette, radieuse comme dans mes souvenirs. Elle resta un instant immobile devant moi, le temps que je puisse la contempler de la tête aux pieds. Elle avait un peu forci, mais ça lui allait plutôt bien. Son visage s’était arrondi, et sa nuisette ne dissimulait rien des formes généreuses qui étaient désormais les siennes. Mon père, qui n’aimait que les tailles mannequins, ne se serait sans doute même pas retourné sur elle.
« Pardon, jeune homme, vous désirez ? ». Elle ne m’avait pas reconnu. Pas tout de suite en tout cas. Puis, tout à coup, son visage s’illumina : « Jean-Baptiste, c’est toi ? ». Avant d’avoir obtenu une réponse, elle me sauta au cou, plaquant son corps presque nu contre le mien. Elle était ravie des retrouvailles.
Les cours m’attendaient, le travail d’Anna aussi. On reprit rendez-vous pour le soir même, chez elle. Après une longue journée de TD et de cours magistraux, je suis donc arrivé chez elle, tout impatient de savoir où elle en était de sa vie.
Elle ouvrit, vêtue d’une tenue plutôt sexy « d’executive woman », me fit m’installer sur son canapé et m’offrit quelque chose à boire. Après avoir trinqué, elle s’en retournait à ses fourneaux, pour me préparer un bon repas, « comme quand j’étais petit ». J’ai décidé de la suivre, pour discuter avec elle pendant qu’elle cuisinait.
Elle s’affairait sur son plan de travail, et je reluquais ses hanches larges, serrées dans un pantalon trop moulant. Je la trouvais belle. Plusieurs fois, elle dut s’apercevoir de mon émoi, en se retournant. Moi qui étais plutôt timide avec les filles, j’ai décidé, mu par je ne sais quelle étrange force, de m’approcher d’elle, par derrière.
Je l’ai saisie par la taille, pour un câlin qui n’avait plus rien à voir avec des rapports belle-mère, beau-fils, ex-compagne ou quoique ce soit… Elle s’est laissée faire. J’ai commencé à l’embrasser dans le cou, puis a passé mes mains sur sa poitrine, devenue lourde et ronde. Elle ronronnait littéralement de volupté.
Je craque pour la croupe de l’ex-compagne de mon père…
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous sommes retrouvés tous les deux nus au milieu de la cuisine d’Anna. J’essayais de ralentir le mouvement, pour pouvoir mieux contempler son superbe corps de femme, le second seulement que je voyais de ma vie. Ses seins tombaient à peine, un tout petit ventre de femme s’était formé, ses hanches étaient belles et pleines.
Sans que je sache vraiment comment, elle s’est retrouvée les mains sur son plan de travail, le postérieur tendu vers moi. Je me suis accroupi pour goûter à sa chatte ainsi offerte. Ses ronronnements de désir s’étaient transformés en râles de plaisir. Elle a joui.
Elle s’est alors retournée vers moi et m’a susurré à l’oreille : « prends-moi ! ». Je l’ai fait basculer sur la table de la cuisine, et je l’ai baisée. Pendant que je la limais comme un forcené, Anna me criait des mots d’amour. Je tringlais ma belle mère et ex-compagne du paternel. Je bandais comme jamais je n’avais bandé avec ma petite amie.