Quiconque n’a jamais mis les pieds au Cap d’Agde, dans le quartier naturiste fermé où se tiennent la plupart des clubs échangistes et de la vie libertine, n’a pas idée du festival de débauche sexuelle qui l’attend là-bas. C’est bien simple, il suffit de prendre mon cas. J’ai 53 ans, je suis petit, gros, bedonnant et chauve. Autant vous dire que, toute l’année, je galère pour me trouver des plans cul.
C’est la raison première pour laquelle je passe une bonne partie de mes journées de vacances sur la plage naturiste du Cap, côté Marseillan, où se retrouvent les couples libertins et exhibitionnistes. Là, même si je ne peux pas baiser, je trouve toujours de quoi jouer les voyeurs, comme d’ailleurs des tas d’autres mecs qui se branlent en regardant les couples amateurs qui font leur show.
Il y a de tout à reluquer sur cette partie de la plage. Des couples, plutôt sage, qui baisent à deux, des super nanas, jeunes et belles, qui vont se masturber devant vous et, bien entendu, les partouzes et gangbangs qui ont fait la réputation du lieu.
Habituellement, je pars assez tôt de la plage, pour rejoindre ma chère moitié, qui n’a plus d’envies sexuelles depuis un bail, et qui ne comprendrait pas que je squatte un tel lieu de débauche pendant mes journées de congés. Il faut vous dire que je n’habite qu’à quelques kilomètres, mais, franchement, ça vaut le coup de faire des bornes pour assister à ce spectacle.
Donc, ce jour-là, je savais que mon épouse ne rentrerait pas à la maison avant une heure tardive. J’avais donc tout mon temps pour profiter. C’est là que je me suis aperçu que quand le poste de secours fermait, les choses devenaient encore plus chaudes et plus libertines, si c’était possible.
J’ai vu une grosse allemande libertine se faire tringler à la chaîne par un beau black, un jeune minet et un homme d’âge mûr, tout en suçant son mari. J’ai vu trois couples, de 25 à 50 ans, partouzer ensemble dans l’eau, puis sur le sable, devant un attroupement gigantesque de voyeurs. J’ai vu aussi une femme de la quarantaine sucer toutes les bites qui se présentaient à elle, y compris la mienne.
Puis la plage s’est dépeuplée. Les libertins partaient se préparer pour leur soirée en club. Je me suis dirigé vers les dunes, qui étaient presque désertes à cette heure de la journée. Derrière un arbuste, j’ai entendu des cris. C’était un couple, italien ou espagnol, je n’ai jamais su, qui s’envoyait en l’air. Ils étaient jeunes et beaux, et avaient l’air ravis de me voir.
Je les ai regardés en train de baiser en levrette pendant quelques minutes, tout en me paluchant, quand monsieur m’a fait signe de m’approcher. Ni une ni deux, la demoiselle a pris ma bite en bouche et m’a sucé pendant qu’elle se faisait tirer par son petit ami. Ça a duré un certain temps, pendant lequel d’autres voyeurs se sont approchés. Mais la place était prise, et c’est moi qui y était !
Dans le cul de cette libertine !
Le couple s’est interrompu. Le jeune libertin m’a filé une capote, que j’ai ajustée tant bien que mal, malgré le sable et la moiteur ambiante, et la jeune libertine a repris sa position, à quatre pattes, à même le sol. C’est lui qui a écarté ses petites fesses rondes, en m’indiquant du doigt son œillet. Il voulait que j’encule sa femme devant lui ! Il a même craché dans sa raie pour lubrifier le passage !
Vous pensez bien que je ne me suis pas fait prier longtemps ! J’ai appuyé mon gland contre l’anus de la demoiselle libertine, avec quand même la peur de lui faire mal, vu son jeune âge. Mais c’est rentré tout seul. Son cul était à la fois étroit et souple, serré et disponible. Il ne me restait plus qu’à me laisser aller au plaisir.
Devant les autres voyeurs, jaloux comme des poux de la chance que j’avais (pour une fois!), j’ai saisi la petite nana par les épaules, puis par les seins, et j’ai commencé à besogner son cul. Son mec a pris ma place dans sa bouche et m’a encouragé à la piner. Je ne comprenais pas un mot de ce qu’il disait, dans un anglais tout « méditerranéen », mais je saisissais ce qu’il voulait. Et il voulait que je défonce le cul de sa copine !
Je ne connaissais ni son prénom, ni sa nationalité, j’avais à peine vu son visage et j’étais en train d’enculer une fille de la moitié de mon âge, devant plusieurs voyeurs, dont des femmes, qui nous ont applaudis quand nous avons joui tous les trois !