J’aime le sperme et le bukkake

J’ai longtemps hésité avant de raconter ce qu’est ma vie sexuelle. Je sais que beaucoup ne me comprendront pas, mais je suis comme ça, et je jouis je pense bien plus que la moyenne des femmes, y compris des libertines, qui, parfois, sont bien plus coincées qu’on ne l’imagine.

Moi, mon truc, c’est le bukkake. Vous ne savez pas ce que c’est ? Je vous explique. Dans les temps anciens, au Japon, quand une femme était convaincue d’adultère, on la mettait nue sur la place du village, et les hommes venaient se branler sur elle et giclaient leur sperme sur elle. L’humiliation intégrale.

Maintenant, le bukkake, la douche de sperme si vous préférez, est devenue une pratique érotique, porno, si vous préférez. Et bien moi, ça me fait fantasmer. Rien que de vous écrire ces lignes, j’ai la chatte toute trempée.

Déjà, j’adore être le centre des attentions : avoir 10, 20 ou 50 hommes rien que pour moi, ça m’excite terriblement. Ensuite, j’adore sucer des bites. C’est pour moi plus jouissif que de me faire limer le sexe ou l’anus. Enfin, et c’est là la clé, j’aime être humiliée, traitée comme une pute, et servir de vide-couilles à tous les hommes.

Et quand je dis « tous les hommes », ça n’est pas qu’une façon de parler. Je ne fais aucune sélection : les beaux, les jeunes, les noirs, les blancs, les gros et les moches, tous ont droit de se faire sucer, de me peloter, de m’insulter et de gicler sur moi. C’est même ça qui est excitant.

J’aime sucer des bites

Quant aux bites, c’est pareil. J’aime les grosses raides, bien sûr, mais je ne refuse pas non plus de pomper une petite molle, du moment qu’elle est propre. Et que les hygiénistes se rassurent, je n’ai jamais eu le moindre pépin de santé, à part une aphte, un jour.

Je fais ça dans les clubs échangistes, lors des soirées gangbang, dans un cinéma porno vers chez moi ou dans des parkings, des parcs, la nuit. Je m’habille sexy, dans une robe achetée dans un sexshop, avec un large décolleté qui met bien valeur mes gros nibards et je commence à allumer tout le monde.

En général un gars commence à me peloter. Je me mets à genoux, je sors sa bite et je le suce. Très vite, il y a un attroupement. Quand il y a assez de bites autour de moi, je dis : « traitez-moi comme une salope ». Ces quelques mots suffisent à déclencher l’hystérie de ces messieurs. Ils se mettent à me baiser la gorge, à me peloter de façon rude, à m’insulter…

C’est à ce moment là que je commence à me masturber. Et je jouis plusieurs fois pendant une séance. En général, quand un homme plus généreux que les autres en foutre m’arrose les nichons ou le visage. Je ne me fais pas baiser, mais je les branle, je les lèche, je les sucer et je les astique entre mes seins.

Et, parfois, je vais beaucoup plus loin. L’excitation et les orgasmes successifs aidant, je perds totalement le contrôle de moi-même. La dernière fois que je suis allée sur un parking, vers 1 heure du matin, j’ai croisé la route de quelques-uns de mes habitués.

Après le bukkake, ils me pissent dessus !

J’ai pompé des bites pendant des heures. Il en venait de tous les côtés. Certains appelaient des potes depuis leurs portables, d’autres faisaient passer le mot, sur les réseaux sociaux, pour dire qu’une grosse salope suçait gratis sur l’aire d’autoroute.

Je ne sais pas combien j’ai reçu d’éjaculations ce soir-là. Peut-être 50. ce que je sais, c’est que j’ai eu quatre orgasmes. Et, au bout du troisième, j’avais perdu toute retenue. Si bien que je les ai regardés, tous ces mecs autour de moi et je leur ai demandé : « pissez-moi dessus, s’il vous plait ».

Ils n’ont pas hésité longtemps. Et toute cette pisse chaude qui est tombée sur moi m’a lavée du sperme qui commençait à s’agglutiner sur ma peau. Et ces salauds en profitaient, en me traitant de tous les mots. « Salope, vide-couilles, éponge à foutre, chienne ! », j’ai eu droit à tout.

Sauf qu’à la fin, je devais sentir fort le sperme et l’urine, si bien que plus personne ne voulait jouer avec moi. Alors, je me suis masturbée, là, nue, à genoux sur le bitume. C’est là que le quatrième orgasme est venu, violent. J’ai cru que j’allais m’évanouir tellement c’était bon !

Vous pensez que je suis une folle, une tarée incapable de jouir normalement ? Alors demandez-vous si votre femme a autant d’orgasmes qu’elle le prétend. Si c’est aussi bon que ça, le sexe à la papa. Et demandez-vous surtout si mes fantasmes sont si éloignés des siens, quand, dans sa petite tête de femme rangée, elle se rêve entourée d’une forêt de bites à son entière disposition.

Je dresse les femmes infidèles

Les sites de rencontres de sexe, c’est tout un poème. Trop d’hommes, pas assez de femmes infidèles, pas évident de s’y faire une place au soleil quand on est comme moi, ni beau, ni moche. Mais j’ai développé une technique de drague qui correspond assez à ma personnalité et à mes fantasmes et qui, je dois dire, a plutôt porté ses fruits jusqu’à présent. Bien sûr, je me prends quelques râteaux, plus souvent qu’à mon tour, à vrai dire, mais j’ai un certain succès, surtout auprès des femmes mariées infidèles (sans doute le résultat d’un sentiment de culpabilité).

Je vous donne mon truc  ? Allez, c’est parti, mais je vous préviens, il faut quand même oser. Alors que, comme tout le monde, à mes débuts sur ce genre de sites, je me la jouais homme respectueux des envies de ces dames, à l’écoute de leurs désirs, en tout bien tout honneur et tout le tralala, j’ai décidé d’adopter une attitude beaucoup plus direct. Je leur dis  : «  je cherche une femme à transformer en salope, qui soit prête à devenir ma chienne, pour un plan cul ou pour une relation suivie  ».

Et évidemment, plus d’une m’envoie bouler, me blackliste, me traite de tous les noms… Ce sont les risques. Certaines même préviennent leurs copines que je suis infréquentable. Ce qu’elles ne savent pas, c’est que, ce faisant, elles jouent plutôt les rabatteuses pour moi. Ça n’arrivait jamais avant, mais j’ai maintenant des demandes spontanées de tchat.

Pendant le dialogue, je dis à la femme, ou à la fille (j’en ai rencontré de moins de 25 ans, majeures, je précise!) ce que j’attends d’elle. Une parfaite docilité. S’il y a des choses qu’elle refuse (sodomie, douleurs,…), elle doit me le préciser d’emblée car, ensuite, si nous nous rencontrons, elle devient ma chose. Croyez-le ou non, mais ça marche  !

Je me suis acheté une panoplie de parfait dominateur  : menottes, cravache, gag-ball… Et je reçois ces dames – ou je vais chez elle – en tenue de maître BDSM. Récemment, je suis allé chez une jeune femme mariée de 29 ans, une superbe rousse, gaulée comme un top-model, qui s’apprêtait à tromper son cher et tendre pour la première fois. J’ai exigé qu’elle m’attende entièrement nue, à quatre pattes, le cul tourné vers la porte d’entrée.

J’ai sonné à l’interphone, elle m’a ouvert. J’ai pris l’ascenseur, et, une fois sur le palier, j’ai poussé la porte de son appartement. Elle était effectivement en position de levrette, les fesses tendues vers moi. J’ai exigé  : «  écarte plus les cuisses, je ne vois pas assez ton cul  ». Elle a obtempéré. Je l’ai félicitée en lui collant une bonne claque sur la fesse gauche. Elle m’a dit merci. J’ai claqué la fesse droite.

J’ai joué ensuite avec son boule, sa chatte et même ses seins. Elle râlait de honte et de plaisir mêlés. J’avais une de ces triques. Du coup, j’ai sorti ma bite de la braguette, et je lui ai enfoncé au fond de la gorge. Elle a sucé, péniblement certes, mais docilement.

«  C’est la première fois que tu fais ça, salope  ?  ». Elle a fait oui de la tête. «  Ton mari ne risque pas de rentrer  ?  ». Non. Je l’ai fait e relever, tout en lui indiquant de poser ses mains sur sa tête. Ses yeux étaient embués de larmes, dues à la succion en fond de gorge. J’avais ses jolis petits nibards à ma disposition. Je les ai tirés, pincés, claqués et elle me laissait faire.

J’ai passé mes doigts entre ses lèvres du bas. Elle était trempée. Il était temps pour moi de prendre ce qui m’appartenait  : sa chatte  ! Je l’ai faite se retourner et je l’ai baisée ainsi, debout, elle appuyée contre le mur. Quand l’envie m’en a pris, j’ai changé d’orifice et j’ai tenté de lui prendre l’anus. Mais elle a eu trop mal, elle m’a supplié d’arrêter.

Dresseur de salopes infidèles

Je ne suis pas un vrai sadique, et encore moins un violeur. Je suis retourné dans sa chatte, mais je l’ai sautée encore plus sauvagement qu’auparavant. Elle gueulait comme une chienne, sans se soucier du bruit pour les voisins. Tout en la ramonant, j’ai attrapé son entrecuisse pour jouer avec le clitoris. A un moment, n’y tenant plus, ses jambes se sont dérobées et elle est tombée au sol. J’en ai profité pour lui offrir une petite douche de sperme à ma façon.

Celle-ci me recontacte régulièrement pour que je vienne la démonter. D’autres se contentent d’une fois. D’autres encore voudraient être mes salopes infidèles régulières. Voilà donc comment un mec moyen s’est constitué un petit harem de chiennes en chaleur. Je ne vous dis pas de reproduire cette méthode, à chacun son trip. Mais sachez-le, messieurs, les fantasmes féminins sont souvent plus enfouis que les nôtres.

Baisée par un étalon noir ttbm

Je devais organiser, comme c’est le cas tous les deux mois, un casting pour recruter des mannequins amateurs pour le compte de mes clients évoluant dans le milieu de la mode.
Le casting du jour portait sur des hommes. Nous recherchions précisément des hommes ayant un physique hors du commun ; particulièrement des gars musclés faisant en moyenne 1m80 et âgés de moins de 28 ans. Pour ce faire, nous soumettions les candidats à un petit défilé disséqué en trois passages : un en tenue d’hiver, un autre en tenue d’été et un dernier en sous-vêtements. C’est ce dernier passage que je préférais, principalement parce qu’il nous permettait d’apprécier en toute objectivité le critère de sélection le plus important, le physique !
Le profil des candidats était moyennement intéressant, mais aucun de ceux qui étaient déjà passés n’avait suscité le déclic en moi. Près de deux heures s’étaient écoulées au moment du passage du 17ème candidat. C’était un jeune homme âgé de 23 ans, d’origine africaine, faisant 1m87 ; il affichait une telle force et dégageait un charisme qui ne me laissait pas indifférente. Il portait un tee-shirt body qui serrait tellement ses bras musclés qu’on eu l’impression qu’il allait se déchirer. Il me fit intuitivement bonne impression, je n’attendais plus que le dernier passage, celui en sous-vêtements, pour définitivement être conquise.

Je n’allais pas être déçue de voir le corps athlétique de ce mâle dominant. Il avait des pectoraux parfaits, une tablette de huit carrés de chocolats, qui me faisait fondre d’envie. Ses cuisses musclées soutenaient un gros pénis, il n’était évidemment pas à poil, mais on pouvait clairement distinguer la forme de son engin à travers le dessous qu’il portait à l’occasion. Moi, j’aime les gros pénis, quand j’en vois un je perds mes moyens et ma chatte ne tardait pas à me le faire savoir. Je sentais bien que je mouillais, j’étais excitée et, au plus profond de moi, j’avais envie que cet étalon me prenne pour sa jument. Mais il fallait malheureusement que je me contienne pour demeurer professionnelle.
J’attendis patiemment la fin du casting pour le rencontrer et lui annoncer personnellement qu’il était retenu. Je vis son visage s’illuminer par un joli sourire. Profitant de cet instant de joie, je l’invitais à dîner le soir même, histoire d’en savoir un peu plus sur lui et lui expliquer deux ou trois choses importantes qu’il devrait savoir de notre boite. Il l’accepta. Je lui remettais alors ma carte de visite avant de m’en aller en lui indiquant le lieu du restaurant.

JH noir rien que pour moi…

Le soir venu, le jeune homme noir se présentait au lieu de notre rencontre, vêtu d’une tenue très élégante. Durant notre conversation, une question indiscrète me taraudait l’esprit, et je n’allais pas me gêner de la lui poser.
–  » Durant le casting tout à l’heure je n’ai pas pu m’empêcher de constater que tu en as dans le caleçon. Alors dit moi combien mesure ta bite ?  »
– Il me répond fièrement :  » Elle mesure 29 cm sur 7. Tu la veux n’est ce pas ?  »
Bien sûr que je la veux ! Nous partîmes dans un hôtel qui était situé à deux pas du restaurant pour terminer la soirée en beauté. D’entrée de jeu, le gaillard dirigea sa langue vers mon fruit défendu pour m’offrir un cunnilingus. Quand il eut fini de me mettre bien, il me brandissait son énorme phallus noir pour que je le polisse.
Il enfonça sa queue au fond de ma gorge, elle était si grosse que je failli m’étouffer. Lorsqu’il l’a retira je repris mon souffle à plein poumon, qu’aussitôt il recommença la manœuvre. Il alla jusqu’à me la foutre si profondément dans le gosier que je gerbais tout ce que j’avais mangé plutôt. Pareille chose ne m’était jamais arrivée. J’avais honte de moi et croyais que mon étalon serait déçu. Quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’il était le moins du monde dégoûté par la situation. Il me prit violemment par les cheveux, me mit à genoux face à la merde que je venais de gerber, le temps que je réalise ce qu’il voulait faire, ma figure baignait déjà dans mon vomi. Il posa ensuite son pied gauche sur la base de ma nuque et me plaqua brusquement la tête dans cette vomissure, de sorte que je ne puisse pas me dégager, puis, il me pénétra de toute la longueur de sa queue.
Il me baisait si fort que je me confondais en douleur et en plaisir. Ce gaillard noir était infatigable, il enchaînait les positions toutes les deux minutes. L’une d’elle me fit particulièrement de l’effet. Il me souleva avec ces gros bras et se mit à me culbuter, frénétiquement, debout. C’était tellement vigoureux que je criais à gorge déployée.
A la fin de notre ébat, j’avais le sentiment que ce lascar m’avait baisé comme une chienne, je me sentais humiliée mais ce plan baise laissa en moi un souvenir intarissable qui me fait encore beaucoup de bien aujourd’hui.

Soirée BDSM en club libertin

Par Katia, 29 ans.

Nous avions été engagés par un site de rencontres échangistes pour réaliser des reportages incognitos dans des clubs libertins à travers la France. Nous devions repéré des soirées hors-du-commun et les raconter à nos lecteurs. Seulement, le récit de cette soirée spécifique a été censuré par la direction du site, parce que trop hard : une soirée BDSM en club libertin…

La scène se passe dans un club-sauna du département du Jura, dans une petite ville de Franche-Comté. Là, se tient une fois par mois une soirée à thème BDSM. L’un comme l’autre, nous avions déjà assisté à ce genre de soirées : pas de quoi fouetter un chat, sans mauvais jeux de mots.

Nous sommes venus en respectant le dress-code : tenue vinyle provocante pour moi, vêtements noirs pour lui. Nous avons l’habitude, pour ce genre de missions, d’arriver très tôt, histoire de voir les convives s’installer les uns après les autres. Nous papotons un instant avec la barmaid, une belle plante brune aux formes généreuses, aussi joviale que sexy.

Et le défilé a commencé : là, un homme vêtu d’un superbe T-shirt au milieu duquel étaient floquées les initiales SM, là, une femme qui tenait son mari en laisse, quelques hommes seuls, puis à nouveau des couples, comme on en voit dans tous les clubs échangistes.

Il a fallu attendre un moment avant que les « hostilités » ne démarrent vraiment. Mais quel choc ça a été ! Avant même que nous ayons eu le temps de réaliser, la jolie barmaid avait été remplacée à son poste et était en train de torturer un homme attaché à la croix de Saint-André, tandis qu’un autre des célibataires, entièrement nu, lui servait, selon ses humeurs, de tabouret ou carrément de marche-pied (attention aux talons aiguilles!).

Au bar, justement, un homme avait mis sa compagne cul nu. Il lui avait retiré le rosebud qu’elle portait, planté dans son anus, et il offrait sa soumise à tout ceux qui voulaient la sodomiser. Dans une petite pièce isolée, une maîtresse domina, avait fait s’allonger une femme sur le dos, et deux hommes sur le ventre, sur un lit habituellement utilisé par les couples échangistes pour partouzer.

La dame, une maîtresse-femme de la cinquantaine, jouait comme une diablesse de la cravache sur le dos et les fesses des messieurs ainsi que sur les seins de la soumise, le tout sous le regard incrédule des curieux dont nous faisions parti.

C’est alors qu’un couple nous a approchés. Une belle petite meuf, 1m60 maximum, blonde comme les blés, nous offrait les services « linguistiques » de son soumis. Autrement dit, elle me proposait de me mettre à l’aise pour qu’il me lèche à volonté. Amusée, j’ai accepté. Et l’esclave sexuel savait y faire, je vous prie de me croire. Il m’a fait jouir très vite, sous les insultes et les menaces de sa dominatrice. Puis il est allé s’occuper d’une autre libertine.

J’étais chaude, mon chéri aussi. Quand nous avons remarqué un couple que nous avons déjà croisé dans un autre club coquin, lors d’une soirée plus traditionnelle. Ce soir là, elle était sa chose. Il nous l’a offerte.

Il l’a d’abord attachée à une autre croix de St-André, nue, offerte. Nous avons joué longuement avec ses gros seins. Mon mec était plus timide que moi, puisque je me suis surprise à pincer fortement ses tétons, scrutant son regard pour y déceler les traces de sa douleur. Je n’étais plus moi-même.

Envoutée par le démon du BDSM

La barmaid, voyant la scène, m’a proposé un gode-ceinture, dont elle a ensuite harnaché ma taille nue. Elle y a placé un préservatif et on a fait se mettre à quatre pattes la soumise. C’était la première fois que je baisais une autre femme. Je l’ai tringlée en levrette, tandis que mon homme lui plantait sa tige en fond de gorge.

Prise de je ne sais quelle pulsion sadique, je me suis mise, tout en la baisant, à lui envoyer une volée de claques sur les fesses. Elle hurlait, je ne sais si c’était de douleur, de honte, ou de plaisir tout simplement. Des dizaines de voyeurs, hommes et femmes, regardaient sa déchéance, alors que son homme lui cinglait le dos de coups de martinet aussi précis que cruels.

Rarement, dans ma vie de libertine, je n’ai autant pris mon pied que ce soir-là. Un drôle de sentiment, une étrange sensation. C’était comme si quelque chose remontait en moi, quelque chose d’assez malsain, mais de terriblement jouissif. Je possédais cette femme et je la faisais jouir de ma cruauté. Un démon BDSM s’était emparé de moi.

Ma voisine laide et soumise

Ma voisine est laide. Je suis désolé pour elle de dire ça comme ça, mais elle le sait, elle est vraiment moche. Laide, c’est vrai, mais assez bien gaulée, malgré ses 40 ans passés. Mais sa principale qualité, c’est d’être une vraie nympho, prête à tout pour un coup de bite.

Tout a commencé un soir où je regardais un film de boules sur internet. J’ai su plus tard que j’avais mis le son trop fort, et qu’elle entendait tout. A l’heure où l’héroïne se fait péter le cul par un hardeur, on a sonné à la porte. C’était elle, ma voisine. Elle était fringuée de façon très provocante, le genre de tenues libertines qu’on trouve dans les sexshops.

Elle me dit : « excusez-moi, mais on entend tout de chez moi ». Je pique un fard, je me noie en excuses, ce genre de truc ne m’était jamais arrivé.  » Non, mais, c’est pas grave  » dit-elle,  » si vous voulez, je vous aide un peu, je n’arrive pas à dormir de toute façon « .

Laide mais avec de gros lolos !

Je la regarde de la tête aux pieds. Elle est vraiment vilaine de visage, mais elle a une sacrée paire de lolos et moi, je bande encore d’avoir été interrompu comme ça en pleine branlette. Je m’entends répondre :  » ok, alors tu me pompes, tu me fais gicler dans ta bouche et tu te casses, ça te va ? « . Je ne me reconnais pas, ce n’est pas mon genre de parler aux femmes sur ce ton.

Elle ne prend même pas la peine de répondre. Elle entre dans mon appartement, va vers l’ordinateur et se fout à poil. La vache, cette chienne est vraiment gaulée ! Elle est presque bandante ! Je me remets à l’ordi et relance le film. Une bimbo se fait enculer par un gros zob. La voisine, elle, se plante devant moi et me suce.

Je lui baise littéralement la bouche. Elle, elle fait de son mieux pour encaisser les coups que donne mon gland à sa gorge, elle continue même à pomper et à jouer de la langue. Au bout de cinq minutes, peut-être même moins, je me vide les couilles dans sa glotte.

Putain, je me sens mal d’avoir abusé de cette nympho laide. Je m’apprête à m’excuser, mais elle ramasse déjà ses frusques et prend la direction de la porte. Elle sort et traverse à poil le palier. Moi, je ne me sens pas très bien, mais, au moins, j’ai bien giclé.

Depuis, à chaque fois que j’ai envie d’une bonne baise facile, je sonne chez la voisine moche. C’est pas compliqué, elle fait absolument tout ce que je veux. Elle me pompe, je la saute, je l’encule même parfois. J’ai fait des photos d’elle en train de me sucer, juste pour l’humilier. Et elle adore ça.

Une fois, un pote de passage en a aussi profité. On l’a niquée tous les deux et elle s’est laissée faire avec, manifestement, beaucoup de plaisir. Elle a souvent des penchants et des envies SM. Elle aime que je lui fasse honte, parfois, elle demande que je lui crache au visage pendant qu’on baise.

Le pire, c’est que je commence à la trouver vraiment excitante. Elle a une drôle de tête, honnêtement, elle est laide, mais vu comme elle est foutue, elle doit faire bander pas mal de mecs. En tout cas, mon pote ne s’est pas fait prier pour lui casser l’anus ! Il m’est alors venu une idée : lui organiser un gangbang. En plus, j’ai des photos d’elle pour aguicher les volontaires. Je suis sûr qu’elle accueillera tous les gars que je lui présenterai.

La dernière fois, j’ai sonné sa porte, je lui ai demandé de mettre la tenue coquine qu’elle avait quand elle m’a proposé la première pipe. Là, je lui ai ordonné de me suivre. Direction, le sexshop du coin. Je vous dis pas l’effet sur les clients de la boutique, un vieux machin mal entretenu et surtout très mal famé. Je lui ai payé une tenue de catin et je l’ai entraînée dans une cabine pour la sauter.

On a laissé le rideau ouvert et tous les vicelards du quartier sont venus la voir se faire dérouiller la chatte et le cul. Je crois qu’elle a encore plus morflé que d’habitude, mais elle a surtout encore plus joui.

Du coup, je pense qu’elle sera partante pour mon idée de gangbang. Je vais lui demander quand même, au cas où. Ça se fait, non ?




 

Candaulisme hardcore avec ma femme

Ça faisait un moment que je tannais ma femme pour essayer avec elle le candaulisme. Elle a beau être plutôt coquine, elle ne se voyait pas baiser avec un mec devant moi. Des années que nous regardons des films pornographiques ensemble, que nous reluquons les mecs et les filles dans la rue en partageant nos impressions, que nous cherchons des endroits originaux pour faire l’amour (forêt, stade de foot et même une fois dans un sexshop), bref, que nous partageons vraiment nos délires érotiques. Mais elle ne voulait pas franchir le pas du libertinage.


Moi, mon trip, c’était surtout de jouer les cocus, de la regarder baiser avec un autre gars. Mais elle ne voulait pas en entendre parler. Jusqu’à ce jour. C’était mon anniversaire. Un colis était arrivé quelques jours plus tôt par voie postale, j’avais interdiction de l’ouvrir. Je savais bien que c’était mon cadeau.

Petit dîner aux chandelles, elle a revêtu une tenue sexy en diable, je sens que ça va être la fête ce soir. Arrive le dessert, un truc à base de gingembre qui promet vraiment. Estelle me tend mon cadeau. Vu tout le mystère qui a entouré l’arrivée du colis, c’est fiévreusement que j’ouvre mon paquet. Là, je tombe sur une boîte et je ne comprends pas bien.

Il est écrit dessus :  » Male Chastity Device « . Je regarde ma femme, elle me sourit, avec un air interrogateur dans les yeux :  » Maintenant, déshabille-toi entièrement « . J’aurais préféré plus de préliminaires, mais son air décidé m’excite. Je bande déjà. Je me retrouve donc nu comme un ver, la gaule tendue vers Estelle.

Elle ouvre la boite, et en sort un objet étrange, transparent. Je viens de comprendre. C’est une cage de chasteté. Elle l’ajuste tant bien que mal sur ma pine raide. Elle me fait me mettre à genoux devant elle. Elle remonte sa jupe et je m’aperçois qu’elle n’a pas de culotte :  » lèche-moi, maintenant ! « .

Très bien, elle veut jouer à la dominatrice, ça me plaît bien. Je passe ma langue entre ses lèvres du bas, je joue avec son clitoris qui est déjà tout gonflé. Elle me tient la tête pour presque m’étouffer entre ses cuisses. Là, les choses deviennent plus étranges.

Elle prend son portable, cherche dans son répertoire et appelle quelqu’un. Elle dit à son interlocuteur :  » tu peux venir maintenant « . Je cherche à comprendre, à lui poser une question, mais elle pousse mon visage contre son sexe dégoulinant de mouille. Alors je lèche. Puis j’entends la porte de la maison s’ouvrir et se refermer.

Candaulisme complice…

Estelle relâche son étreinte. Pour que je puisse voir qui arrive dans notre salon. Je ne connais pas cet homme. C’est un grand noir, plutôt baraqué, sans doute d’origine antillaise.  » Je te présente Sammy, mon prof de gym. Voilà des mois qu’il me drague, alors, si tu es toujours d’accord pour le candaulisme, Sammy va pouvoir jouer avec moi, là, ce soir. « .

Je fais oui de la tête. Le gaillard, un peu intimidé, se déshabille à son tour. Il dévoile un torse puissant, des tablettes de chocolat d’un noir ébène et une bite, je ne vous dis pas ! Un énorme mandrin déjà gonflé, qui doit faire le double de la taille du mien. Je ne suis pourtant pas si mal monté ! Ma femme aussi a l’air d’être surprise par le gabarit exceptionnel de la bite de son prof de gym.

Il s’approche d’elle. Il a presque sa pine a hauteur de mes yeux. Il la fout à poil devant moi. Elle est superbe, ses tétons tendus vers la poitrine musculeuse du gars. Ils se roulent des pelles, puis elle se met à genoux pour le pomper. Elle m’attire vers elle, pour que je vois bien comme elle le suce.

Je bande toujours, je caresse son dos. Elle repousse ma main. Elle me fait m’allonger sur le sol, toujours contraint par la cage de chasteté, puis elle s’assied mon visage ? Je lèche tant et plus, mais je peux toujours voir au dessus de moi, le visage de ma femme, qui reprend en bouche l’énorme sexe noir qui lui est tendu. Ma langue tourne autour de son clito, s’insinue dans son sexe et je vois ses joues se creuser sur la hampe de l’Antillais.

Il grogne de plaisir. Il va jouir. Ma femme recrache la bite et la branle de la main. Pour peu, l’éjaculation du black a failli me couler sur le visage. Mais c’est au tour de ma femme de jouir. Elle tortille du cul comme une dingue. Son orgasme est violent. Le type se rhabille et part. Ma femme se redresse, me fait me relever :  » bon anniversaire, mon chéri ! « .




 

Exploité sexuellement par ma femme

Il faut que je vous raconte une histoire qui m’est arrivée avec ma femme il y a quelques temps de cela. Que j’explique (et que je m’explique à moi-même) comment nous en sommes arrivés là. Jacqueline et moi sommes mariés depuis près de vingt-cinq ans, nous avons eu trois enfants mais, depuis quelques années, notre vie sexuelle n’est plus ce qu’elle était.

Enfin, depuis ce fameux soir de décembre où tout a changé entre nous. Toujours aussi amoureux d’elle, et toujours autant en demande sur le plan sexuel, je passais mon temps à essayer de la convaincre de faire quelques câlins crapuleux avec moi. Mais je sentais bien que ça ne la branchait plus du tout.

Un soir de décembre, donc, où je tentais à nouveau ma chance, elle finit par me répondre : « j’en ai marre du sexe avec toi ! tu ne t’occupes que de ton plaisir ! il faut que je te suce, que j’écarte les cuisses et toi, tu fais quoi pour moi ? ». Je restais con, ne sachant absolument pas quoi lui répondre.

Elle devait avoir raison, j’étais devenu égoïste au lit. « Demande-moi ce que tu veux, je ferai ce que tu veux, je t’aime ». Je n’avais trouvé que cette réponse, qui valait ce qu’elle valait. Les yeux de Jacqueline s’illuminèrent : elle avait décidé de me prendre au mot. Elle lança, sur un ton sévère que je ne lui connaissais pas : « tout ce que je veux, hein ? tu es prêt à devenir mon objet sexuel ? ».

Bien sûr que j’étais prêt, je ne demandais même que ça. Ma femme me fit me mettre nu devant elle. Elle inspecta mon corps, mes poignées d’amour, mon petit bide, ma bite pas aussi raide qu’elle l’aurait été vingt ans plus tôt dans une telle situation : « bien, esclave, voyons si on peut faire tout de même quelque chose de toi ».

Jacqueline retira sa culotte, sous sa jupe et s’assit sur le canapé, en face de la télé, qu’elle alluma. Elle mit une série américaine quelconque et ordonna : « à genoux, esclave, tu vas me lécher pendant que je regarde la télé ». Mon couple, ma vie sexuelle étaient en jeu. Je m’exécutais.

Nu, exploité, à la merci de ma femme…

Nu comme un ver, soumis, je me mis à genoux en face d’elle, n’ayant plus qu’à plonger jusqu’à son entrecuisse. Sa chatte était déjà humide. Je me mis à la laper avec toute l’application d’un esclave. Et pendant que je suçais son clitoris gonflé, Jacqueline changeait de chaînes, avec la télécommande, comme si de rien n’était.

Elle finit par tomber sur un film, avec je-ne-sais quelle vedette masculine du grand écran : « ah, ce petit jeune, il m’excite carrément » soupira-t-elle en plaquant un peu plus mon visage entre ses cuisses.

Au bout d’une bonne heure de cunnilingus appuyé et appliqué, elle finit par jouir, tenant ma tête contre son con trempé de mouille. Quand son orgasme fut terminé, elle me fit me lever, inspecta mon érection, qui n’était pas redescendue durant toute la séance : « bien, désormais tu es mon esclave, tu me lécheras et tu me baiseras quand je t’en donnerai l’ordre, tu es à ma disposition n’importe quand et n’importe où ».

Depuis ce soir là, notre vie sexuelle est repartie comme aux plus beaux jours. Et je reste l’objet sexuel de ma femme, exploité par ma femme…






Exhibée comme une pute

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J’étais au cœur des fantasmes de mon homme, comme si j’avais pénétré sa tête, j’avais accès à ses rêves cochons les plus enfouis. Il m’imaginait en femme soumise, exhibée comme une pute, offerte qu’un homme offre à qui la veut.

Après un déjeuner rapide dans une brasserie où tous les poivrots me reluquaient, c’est dans un sex-shop qu’Anthony m’a amenée, toujours docile, toujours habillée comme une véritable putain. Devant les jaquettes de films X, il m’a faite me pencher pour que les hommes derrière moi puissent contempler à loisir mes fesses moulées impudiquement dans le textile, et que ceux devant moi puissent voir ma poitrine débordant du petit haut indécent.

Sentant venir le bon coup, les clients du sex-shop se sont approchés, et leurs mains se sont vite mises à courir sur mon corps tout entier. A un moment, l’un d’eux a même sorti son sexe pour se masturber tout en caressant mes seins et en pinçant légèrement mes tétons durcis d’excitation.

Mon homme m’a alors pris la main et l’a posée sur la demi-molle du pervers, que j’ai caressé jusqu’à le faire jouir entre me doigts. Excités comme des dingues, les hommes se sont faits de plus en plus pressants, et de plus en plus grossiers. Anthony a donc choisi de m’exfiltrer de la boutique, et m’a emmenée avec lui jusqu’à la bouche de métro la plus proche.

Là, le petit manège a recommencé : les passagers mâles ont tout de suite remarqué la façon dont j’étais habillée et se sont collés à moi. J’avais toujours l’interdiction de les repousser. Puis, nous sommes arrivés à une station que je connaissais pas ou peu.

Nous sommes sortis du métro. Il y avait là une foule bigarrée et cosmopolite d’africains, d’antillais, d’indiens et d’arabes. Anthony semblait savoir exactement où il me conduisait. Nous sommes entrés dans une petite épicerie, tenue par un vieux monsieur algérien très sympathique et très souriant. L’homme nous a invités à le suivre dans l’arrière-boutique.

Là, mon homme m’a ordonné de me déshabiller entièrement. Le regard jovial du commerçant arabe s’est fait plus lubrique. Je me suis vite retrouvée entièrement nue devant lui et mon homme, exhibée comme un objet. Le vieux a pris un appareil photo qui restait dans un tiroir. Il m’a mitraillée, me demandant toute sorte de poses toutes plus salaces les unes que les autres.

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Puis je me suis rhabillée et nous sommes finalement rentrés chez nous. J’étais en feu. Mon mari m’avait exhibée, traitée comme une salope soumise durant toute la journée et je n’avais plus qu’une idée en tête : je voulais qu’il me baise ou même qu’il m’offre à un type pour le remplacer, je n’en avais que faire. Je voulais du sexe.

Mais il n’avait rien prévu d’autre que de me faire l’amour, dans notre nid douillet, profitant de mon intense état d’excitation. Il a pu me demander absolument toutes les positions, toutes les pratiques que d’ordinaire je lui refusais. J’avais envie d’aller très loin.

Une semaine plus tard, ça a été son tour de se soumettre à mes fantasmes. Et je vous prie de croire qu’il n’a pas été déçu. Moi aussi je sais être perverse quand l’envie me prend.

Nos jeux érotiques, domination ludique…

C’est un jeu que nous avons entre nous, une domination ludique mise en place dans notre couple. Un petit jeu sexuel, qui n’a l’air de rien, mais qui peut parfois nous mener très loin dans nos propres fantasmes, mon mari et moi. Le principe en est simple : un jour, c’est lui qui fait de moi son esclave, l’autre jour, c’est moi qui le domine.

Il y a un mois, j’ai donc été sa chose sexuelle pendant une journée entière, du matin au coucher, ou plus exactement depuis le matin jusqu’à ce que nous nous endormions. Car, après nos aventures coquines, il a mis un point d’honneur à me faire l’amour jusqu’à l’aube.

Tout a commencé très tôt donc, vers 6 heures du matin. Quand je suis sortie de la douche, il m’avait préparé une tenue très provocante, que je devais mettre pour lui : jupe en faux-cuir rose très courte, haut à l’avenant, avec décolleté plongeant, le genre de tenue qui vous fait passer au mieux pour une libertine, au pire pour une pute.

Direction le métro, ainsi accoutrée. Les ordres d’Anthony étaient clairs. Me laisser faire si un mec me collait d’un peu trop près. Et à l’heure de pointe, vêtue (façon de parler !) comme je l’étais, il n’a pas fallu trois stations pour qu’un vieux cochon me mette la main aux fesses. Sauf que, cette fois, je devais le laisser me peloter, voire même l’encourager.

Mon mari à portée de main, j’étais en sécurité. Alors quand un autre type est venu se coller contre ma poitrine largement dénudée, qu’il a posé ses doigts sur le top en faux-cuir, puis carrément dessous, je n’ai rien fait pour tenter de me dégager. De son côté, le vieux avait collé sa braguette contre mes fesses, et utilisait les soubresauts de la rame de métro pour frotter sa verge, que je sentais contre moi, sur mon postérieur.

Je ne sais combien de mecs ont tenté ainsi de profiter de moi et de mon allure de salope de bas-étage jusqu’à ce qu’on arrive à destination. Station Châtelet, puis une petite marche dans les rues, sous les regards crus des passants. J’avais un peu honte, mais j’étais toute émoustillée de cette situation scabreuse.

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Puis mon mari s’est arrêté, rue Saint-Denis, devant un cinéma porno. Il m’a prise par la main, et m’a tirée avec lui dans la boutique. Il a payé nos entrées, puis nous sommes descendus dans l’antre glauque. A cette heure matinale, il y avait déjà quatre ou cinq mecs qui se masturbaient, plus ou moins ostensiblement, devant un film pornographique sans grand intérêt.

Anthony s’est assis au premier rang, m’a invitée à m’asseoir à côté de lui, et a sorti son membre. Il m’a fait signe de le sucer pendant qu’il regardait le film, et j’ai obtempéré. Pendant que je lui offrais cette fellation, j’ai senti que les hommes approchaient. Mon mari a fait jaillir mes seins de mon top en faux-cuir et les a laissé me regarder le sucer, en repoussant tant bien que mal leurs mains baladeuses.

Il n’était pas encore midi, ma journée de soumission ludique commençait fort…

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Comment je me suis soumise…

Je n’ai pas voulu cela. A vrai dire, je ne sais pas du tout comment je me suis retrouvée là, soumise, en compagnie de cet inconnu, qui m’a fait mettre à quatre pattes, entièrement nue, le cul tendu vers lui, qui s’est assis sur son lit. J’ai rencontré cet homme dans une boîte, il est venu me draguer, je me suis laissée faire. Et voilà.

Voilà comment je suis maintenant offerte à la perversité de ce salaud. Voilà comment maintenant j’y prends du plaisir. Voilà comment il se croit autorisé à me traiter de salope et de chienne. Et il a raison, car je ne suis plus guère que ça, à ce moment précis où je me tourne vers lui pour lui offrir ma bouche.

Il a sorti son membre de sa braguette et reste là, assis sur son lit. Il ordonne. « Viens lécher petite pute ». Il ordonne et moi, j’obéis. Je tends ma langue vers son gland, je m’applique à la passer tout le long de sa verge longue et fine, je titille généreusement le frein.


J’y mets tout mon cœur et tout mon dévouement. Et ça ne suffit pas. Clac ! Un premier coup sur mes fesses vient de m’arracher un gémissement. Je dois prendre gare à ne pas blesser sa queue. Il guide son membre dans ma bouche. Clac ! C’est l’autre fesse qui prend, maintenant.

Ce type est un pervers, comment ais-je pu me laisser entraîner dans cette aventure ? Pour l’instant, je le suce, je fais de mon mieux, mais ce n’est pas assez. A mesure que je lui pompe la bite, il fait rougir mes fesses d’une fessée à la fois rude et délicate. Il alterne savamment entre coups portés et caresses maîtrisées.

A aucun moment ne m’est venue l’idée de refuser ses jeux sadiques. Juste au début, quand il est venu me draguer. Je l’ai pris pour un petit macho, qui roulait des mécaniques. Je me suis dit : « mon coco, tu vas bientôt savoir qui décide ».

Me voilà bien. C’est lui qui décide, sans l’ombre d’un doute. Il a fiché sa longue tige veinée et raide au fond de ma gorge et, du bout du doigt, joue avec mon anus qui s’ouvre involontairement du fait de ma position : à quatre pattes.

Qu’est-ce que vous croyez ? Bien sûr que je ne vais pas lui dire que je n’accepte habituellement pas ce genre de caresses, que je n’aime pas la sodomie, que je ne la pratique jamais et que mon cul, c’est chasse-gardée ! Non. Je creuse les joues pour lui donner un maximum de plaisir, tandis que son majeur s’insinue dans mon petit trou.

Ce que je préfère, ce sont les mots crus qu’il me sert comme d’autres disent des mots d’amour : « putain, chienne, cochonne, vide-couilles ». Et moi je pompe, tandis qu’un deuxième doigt s’enfonce dans mon intimité. Il sait y faire ce salaud. Il est venu patiemment, pas à pas, à cette situation.

Il a commencé par présenter ça comme un jeu. Puis les ordres se sont faits plus précis. Il a maintenant à sa disposition un objet sexuel totalement consacré à son plaisir et à la réalisation de ses fantasmes les plus incongrus. Cet objet, c’est moi.

Il faut bien dire qu’il sait parfaitement ce qu’il fait. A mesure qu’il prend possession de mon cul, son torse bascule vers moi et sa queue, du même coup, s’enfonce davantage dans ma gorge. Il a désormais trois doigts dans mon anus et deux dans mon sexe.

C’est comme cela qu’il me tient. Comme s’il avait trouvé deux poignées pour manipuler un jouet. Et il me travaille les deux orifices, toujours en m’insultant copieusement, agissant sur mon corps pour imprimer à ma fellation le rythme qui lui conviendra.