Une gouine à la salle de sport

Il y a celles qui font un petit tour de tapis roulant, et qui s’effondrent de fatigue comme si elles avaient fait le marathon. Il y a celles qui sont là pour se montrer, dernière tenue de sport à la mode, maquillage et tout le toutim. Il y a aussi celles qui ne sont là que pour draguer le prof de sport (une « gouine »), qui, il faut bien le dire, est à croquer.

Et puis, il y a celles, comme moi, qui sont vraiment là pour faire du sport. Premières arrivées, dernières parties, nous sommes là pour nous dépenser, et pour progresser. Parmi ces dernières, il y a aussi Miranda, que les langues de vipères des vestiaires appellent tout simplement « la gouine ».

Il faut la voir, Miranda. Une musculature d’athlète, des biceps saillants et puissants, des cuisses fortes mais épilées de près. La grande brune en remontre à tout le monde, y compris au prof. A tel point que c’est parfois lui qui lui demande des conseils.

Moi, je rêve depuis longtemps de boucler un triathlon, un vrai. Je veux être une « Iron Woman », comme on dit. Alors, pas le temps de mégoter ou de laisser trainer mon regard sur les autres ou mes oreilles sur le dernier cancan de la salle de gym.

Expérience lesbienne

J’arrive après le boulot, vers 18 heures, je repars à 21 heures, à la fermeture. A cette heure là, les pétasses sont parties depuis belle lurette, les fainéantes aussi. Du coup, je me retrouve souvent seule dans le vestiaire avec Miranda.

La « gouine » sous la douche

Pas le genre pudique, la Miranda ! Elle se dessape l’air de rien, et file sous la douche sans se soucier de passer nue devant moi. A l’ordinaire, je prends ma douche tranquillement chez moi, car je ne suis qu’à cinq minutes à pied.

Mais ce soir, je sais que mon chauffe-eau est en rade. Alors je me déshabille aussi, car il n’y a plus que Miranda, qui, manifestement en a vu d’autres. Elle est déjà sous l’eau, à se frictionner les muscles.

J’arrive au niveau des douches – collectives – et je reste interdite. La vache ! Je n’avais jamais remarqué que « la gouine » était aussi bien foutue. Elle a beau avoir des bras comme mes cuisses et des pectoraux à faire pâlir un athlète mâle confirmé, elle a tout de même une sacrée paire de lolos.

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Quand elle m’aperçoit, là, langue pendante à l’entrée des douches, la grande brune m’adresse un large sourire : viens, entre, t’inquiètes, je ne vais pas te manger ».

Je file sous une pomme située juste à côté de Miranda, la « gouine » comme on l’appelle… Je ne veux pas qu’elle me prenne pour une homophobe. Elle me tend son gel douche, je luis fais signe que j’ai le mien. Elle se retourne, je matte ses fesses. Elles sont belles, sculpturales, sans le moindre pète de graisse.

Je me surprends à me dire que j’aimerais être gaulée comme Miranda. Oups ! Elle s’est retournée, et je n’ai même pas fait attention, trop occupée à la reluquer. Cette fois, c’est sûr, elle s’est aperçue de quelque chose.  D’ailleurs, elle, la « gouine » me sourit…

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Je me gouine avec ma meilleure amie

Jamais je n’aurais pu imaginer que c’était aussi doux, une chatte. Louison est avachie sur moi, ses deux cuisses collées à mes oreilles, offrant son minou velouté à mes caresses inexpérimentées. Pendant ce temps, elle a plongé le visage entre les miennes, de cuisses, et goûte mon clito avec une gourmandise que je ne lui soupçonnais pas. Je me gouine avec ma meilleure amie, et j’adore ça.

Il faut dire que depuis que Franck m’a quittée, il y a six mois, je n’ai eu strictement aucune relation sexuelle. Je cherche le mec parfait, le mec fidèle, le gars stable avec qui faire des enfants. J’ai bientôt trente-cinq ans, il faut que je m’y mette, c’est comme ça.

Mais pour l’heure, je ne pense pas du tout à ça. Je pense au plaisir qui m’envahit, à la chaleur sourde qui grandit dans mon bas-ventre sous les coups de langue de Louison. Je sens contre ma peau tout son corps de femme collé contre moi, et je trouve cette sensation douce, aussi douce qu’il est possible.

Je ne suis pas gouine, non, et pourtant je baise avec ma meilleure amie, comme ça, sur son lit, après une longue discussion où elle a tenté de me consoler de mon chagrin d’amour. Elle a, à un moment donné, porté sa main sur mon épaule et, dans un geste qui m’a paru durer une éternité, a approché ses lèvres des miennes. Je n’ai pas refusé son baiser, tendre, déposé timidement dans un sourire.

Elle s’est ensuite redressée, m’a dit à quel point elle me trouvait belle et j’ai adoré entendre ses mots. C’est à mon tour que je l’ai embrassée, bien plus fougueusement, caressant sa langue de la mienne, respirant son parfum de femme. Et, je ne sais comment, nous nous retrouvées toutes deux entièrement nues sur ce lit.

Très tôt, sa main a filé vers ma chatte, qu’elle a caressé avec vigueur, me démontrant, s’il en était besoin, que ce n’était sans doute pas une première pour elle. Puis elle m’a léché le con, me faisant jouir une première fois. C’est moi qui ai pris l’initiative de ce 69 entre femmes, elle dessus, moi dessous, désirant plus que tout au monde lui rendre la pareille.

Maintenant, j’ai son joli cul potelé au dessus de mes yeux, tandis que ma langue s’enfonce de plus en plus profondément dans sa chatte, trempée de ma salive et de sa mouille. J’admire ce cul, tellement plus beau, tellement plus sensuel qu’aucun cul masculin et je prends tout mon plaisir à le voir s’agiter de spasmes de plaisir, ce plaisir que je lui procure en lui dévorant le minou.

Je me gouine avec ma meilleure amie, oui, mais je n’en conçois aucune honte. J’ai plutôt honte de celle que j’ai été, autrefois : il y a quelque minutes, après tout. Celle qui ne voulait rien essayer de nouveau, qui se contentait de l’amour à la papa, des galipettes hétérosexuelles bien classiques. Comment ais-je pu rater ça ?

La caresse buccale de Louison s’interrompt un moment. Elle se redresse et je sens tout son poids venir m’étouffer. J’aime ça. Elle me dit, dans un soupir fébrile : « viens, je t’en prie, ma chérie, je vais jouir ». Ses mots sont tellement tendres, tellement agréables, sa faiblesse passagère tellement excitante que je redouble d’effort à fouiller chaque recoin de son vagin du bout de ma langue. Je la fais pointer vers le haut, vers les petits picots qui ornent son point G et je tourne, de plus en plus vite. J’attrape les deux globes de son cul à pleine main et les malaxe.

Elle gueule : « wow, je pars, oui ». Elle hurle :  » oui, c’est bon, je t’aime ». Elle jouit et des jets de cyprine entrent dans ma bouche. Je les avale comme, avant, j’avalais le foutre de mon compagnon.

Trois lesbiennes en chaleur

« Oh, viens là, approche de ma chatte, je veux sentir ta langue dessus, dedans, partout ! »

J’obéis, je m’avance vers Mathilde, ma gouine préférée, sous le regard excité de notre amie Laurine qui serre sa main entre ses cuisses, debout dans le séjour. Cet après-midi, nous baisons entre filles.

« Mets ta langue ici, là où je coule, lape ma mouille. Je suis trempée pour toi, profites-en ! »

Je ne me fais pas prier. J’aime la mouille de Mathilde, elle a bon goût, légèrement forte mais un peu sucrée. Mon visage s’insère entre ses cuisses musclées et la pointe de ma langue se pose sur sa fente huileuse.

« Pas comme ça, embrasse ma moule, baise-la avec tes lèvres et ta langue, comme si tu m’embrassais la bouche. »

Elle m’excite avec ses mots crus. Je coule aussi, j’appelle Laurine.

« Laurine, ne me laisse pas comme ça, viens sous moi et bouffe-moi la chatte. »

La petite gouine se glisse entre mes cuisses et la ventouse de sa bouche se colle à mon abricot complètement imberbe. C’est une bonne bouffeuse de con, elle sait faire jouir une femme comme personne. Je me régale d’avance de ses caresses.

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Mathilde ouvre très largement ses cuisses puis se ravise. Elle se lève du canapé où elle était allongée sur le dos, se retourne et me présente sa croupe. Elle pose sa tête sur un coussin, cambre ses reins et m’implore de lui manger le cul.

« Prends toute ma fente, lape bien d’un bout à l’autre, je veux sentir ta langue sur ma rondelle, tes lèvres sur mon clito ! Ne néglige aucune partie de ma raie. Oui, là, c’est bon, tu es une bonne gouine !»

J’ai le nez dans son trou, la bouche sur son calice. Ma salive se mêle à sa mouille et ma langue entre dans ses trous comme un rien. Je fouille ses chairs intimes au plus profond, écarte les babines de son sexe. J’aimerais entrer toute entière à l’intérieur.

Laurine me fait de l’effet. Elle a compris ce que j’attends d’elle et me prodigue avec ferveur les mêmes caresses que Mathilde a déjà exigées de moi. La pointe de son muscle lingual me rentre dans les entrailles, elle masse l’intérieur de ma chatte et le pourtour de ma rosette. C’est délicieusement bon. De temps en temps, elle entre un doigt dans ma vulve ou le passe sur les bourrelets de mon anus. Je l’encourage dans un gémissement :

« Ah, oui, oui, continue comme ça, encule-moi avec ta langue et tes doigts, c’est trop bon. Tu vas me faire jouir ma petite gouine. »

Plus haut, sous l’action de ma bouche, Mathilde est en train d’exploser, elle lâche un flot de cyprine sur mon visage. Pourtant, d’habitude, de nous trois c’est elle qui tient le plus longtemps. Je bois toute sa jute de femme avec délectation et cette dernière perversion m’entraîne à mon tour sur les cimes du plaisir, suivie bientôt par Laurine qui se tripotait la foune en me mangeant le cul.

Première expérience lesbienne à 50 ans

Je suis une mère de famille épanouie de 50 ans, 1 mètre 75, encore bien conservée pour mon âge. Avec le temps mes seins ont pris un peu de volume et ils sont maintenant bien plus beaux et gros que dans ma jeunesse. J’ai le cul encore ferme et de longues jambes fuselées que m’envient beaucoup de femmes plus jeunes que moi.

 J’ai eu quatre enfants qui sont grands maintenant. Seul le petit dernier, Benjamin, est encore à la maison. Les autres sont loin, partis pour le travail ou les études. A 19 ans, Benjamin est étudiant en première année de fac de droit. Il a une copine depuis peu, Mylène, qui a le même âge que lui. C’est une petite brune BCBG issue d’une bonne famille de la ville.

Mylène est venue chez nous et c’est là que ma vie a basculé. Je lui ai dit que mon fils n’était pas là mais elle m’a avoué que c’est moi qu’elle voulait voir. Je n’ai pas compris tout de suite ce qu’elle voulait mais lorsqu’elle s’est approchée suffisamment près pour poser ses lèvres sur ma bouche, il n’y avait plus d’équivoque possible. La petite vicieuse me désirait et elle était bien décidée à me séduire.

Le ciel m’est témoin que j’ai essayé de résister. Mais sa langue était si douce et son baiser si insistant que j’ai fini par craquer. La barrière de mes lèvres s’est entrouverte et elle est entrée en moi, se collant par la même occasion à mes gros nichons. Je sentais contre ma poitrine ses tétons déjà durs. J’étais plus troublée que je n’aurais dû.

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Nous étions debout.  Mylène m’avait poussée contre le plan de travail de la cuisine où nous nous trouvions. Son genou est naturellement venu se coincer entre les miens et je me surpris à frotter ma chatte contre sa cuisse. Elle faisait de même de son côté, ma jupe était largement remontée sur mes jambes.

Nous nous embrassions maintenant comme des dingues. Je ne savais plus très bien ce que je faisais, même si un sentiment de culpabilité hantait encore mon esprit. Il fut vite oublié lorsque Mylène commença à masser ma poitrine durcie par le plaisir. Mes sens s’affolaient. J’étais en train de me faire gouiner pour la toute première fois par une jeunette qui aurait pu être ma fille.

C’est moi qui ai entraîné Mylène jusqu’au salon. Là, elle ma repoussée dans un fauteuil et s’est déshabillée complètement sous mes yeux.  Puis elle s’est agenouillée devant moi et, d’un geste autoritaire, a écarté mes cuisses avant de venir enfouir son visage entre mes jambes .Sa langue s’est posée sur mon con brûlant et elle m’a léchée comme jamais encore on ne me l’avait fait. Moi qui suis toujours un peu gênée quand mon mari veut me caresser de la sorte, j’ai accepté sans honte de donner mon calice à la bouche juvénile de l’étudiante.

Plus tard, je lui ai rendu sa caresse. Tête-bêche nous avons joui l’une de l’autre en même temps, alors que nos doigts remplissaient nos chattes détrempées.  C’est ainsi que je suis devenue gouine à 50 ans.

Prise au gode-ceinture en public

Ma maîtresse a enfilé son engin. Elle s’est mise devant moi pour bien me montrer ce qui m’attendait. Il faut dire que c’est une première pour moi. Jamais encore je n’ai été prise au gode-ceinture et encore moins en public. Il y a 6 femmes en chaleur autour de nous, toutes lesbiennes comme moi et ma maîtresse Jasmine. J’ai confiance en cette dernière et je sais que j’ai tout à gagner à me montrer coopérative.

Je suis à quatre pattes comme elle me l’a ordonné. Devant moi, elle se harnache avec le sexe factice; celui-ci est fixé sur une culotte en latex. Jasmine m’a montré l’intérieur, il y a aussi une petite bite qu’elle s’enfilera dans la chatte. Ainsi elle pourra jouir en me fourrant. Je suis contente pour elle.

Une fois équipée, ma maîtresse vient se placer derrière moi. Avant, elle a demandé à l’une des femmes du public de venir me caresser un peu l’entrecuisse jusqu’à la chatte. Je suis déjà mouillée. La femme, une petite rousse gironde, est une vicieuse car elle a profité de la situation pour me tripoter aussi le trou du cul.

Jasmine est en place. Elle vérifie que je suis bien lubrifiée. Satisfaite par la quantité de jus qui s’écoule de mon sexe,  elle passe le bout du gland de plastique entre mes cuisses et vient le frotter contre ma vulve. Les mouvements involontaires de mon bassin trahissent mon désir. Je me mets en position d’être fourrée. Mes lèvres vaginales s’entrouvrent et laissent passer le gros membre qui met quelques secondes à entrer totalement en moi. Ma maîtresse fait durer le plaisir de l’intromission, comme pour mieux solliciter mes sens.

Je finis par m’enfiler moi-même sur le pal qui vient buter au fond de ma caverne d’amour. Puis j’entame un va-et-vient lent mais déterminé, aidé par Jasmine qui me tient les hanches.

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Les femmes se sont levées puis se sont approchées de nous. Je peux presque sentir leur souffle sur ma peau. Leurs mains se posent sur mon corps, partout. Elles caressent mon dos et mon ventre, mes cuisses. Les plus vicieuses s’aventurent sur mes seins, tirent sur mes tétons, laissent filer leurs doigts sur mon cul, jusque dans la raie de mes fesses.

L’une d’elles, la plus déterminée ou la plus excitée, se poste devant mon visage et m’offre sa fente à laper. J’y mets la langue avec délectation car je suis une grande amatrice de mouille féminine. Et puis je mordille ses grandes lèvres, écarte les petites pour dénicher son clito. Je suis surprise par sa taille et l’enfourne entre mes lèvres pour mieux le sucer.

Maîtresse Jasmine me claque le cul et me dit des insanités en me baisant. A sa voix, j’entends qu’elle prend elle aussi beaucoup de plaisir en me pinant. La petite queue qui lui remplit le vagin doit faire son redoutable effet. Je gigote de plus en plus sur le gode qui me comble de bonheur et quand une des lesbiennes se colle sous moi pour me sucer le bourgeon à son tour, j’explose en vol. Pourtant, je ne suis pas au bout de mes peines, au début de la soirée, ma maîtresse m’a dit qu’elle se réjouissait de prendre aussi mon cul avec son jouet.

Gouine et soumise

« Avance, rampe à nos pieds ! Oui, comme ça, c’est bien. Si tu te voyais ma pauvre, comme tu fais chienne soumise, une bonne gouine soumise. »

Ma maîtresse me parlait toujours comme ça devant ses amies. Elles étaient trois avec elle aujourd’hui. Trois de ses camarades de jeu, une rouquine aux formes rebondies, une blonde élancée et une brune pulpeuse avec de très gros nichons. Ma maîtresse est brune aussi mais son point fort c’est son cul, un cul à damner un saint, ou une sainte en l’occurrence.

« Elle est à vous, prenez-la comme elle le mérite ! »

Les trois femmes se sont approchées de moi. Ma maîtresse était assise dans un fauteuil large et confortable, complètement nue, les jambes posées sur les accoudoirs, une main plongée dans sa chatte, l’autre jouant avec ses seins.

J’étais à quatre pattes, à même le sol, sur un épais tapis persan. La blonde a tendu sa main vers mon derrière pour me flatter l’entre fesses, glissant ses doigts dans mon sillon, jusqu’à ma chatte. La brune gironde s’est couchée devant moi, prenant appui sur ses avant-bras. Je savais ce qu’elle attendait de moi et j’ai devancé son appel en allant coller mes lèvres à la fente juteuse de son sexe. La rousse à la peau laiteuse s’est glissée sous moi et a commencé à me sucer les seins alternativement. Je crois que la blonde, de sa main demeurée libre, lui fouillait la vulve car j’entendais des clapotis obscènes dans mon dos.

« C’est bien, qu’elle vous fasse jouir, c’est pour ça que je l’entretiens. Et faites-moi jouir aussi avec votre spectacle excitant de gouines en chaleur. Ca me fait couler entre les cuisses. »

Ma maîtresse aimait bien dire des saletés en se branlant. J’en rajoutai un peu de mon côté, contente de lui faire plaisir avec mes mots crus :

« Ah maîtresse, merci de me donner ainsi à vos amies. J’aime qu’elles se servent de mon gros cul de gouine, qu’elles touchent ma chatte et mes seins. Mais ce que j’aime le plus, c’est goûter ce bon jus chaud qui me coule dans la gueule. »

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Je ne mentais pas, j’adorais sentir sous ma langue et sur mes lèvres la mouille de la brune. Celle-ci avait pris ma tête entre ses mains et tirait dessus comme si elle avait voulu se l’entrer toute entière dans le vagin.

Tout à coup, j’ai senti quelque chose d’humide se poser entre mes fesses. C’était la langue de la blonde qui me lapait tout le long de la fente. De mon clito jusqu’à mon petit anneau. Un peu plus tard, elle s’est concentrée sur mon cul en me fourrant un godemichet dans la chatte puis, peu après, elle a fait l’inverse. Ça me rendait folle.

Pendant qu’elle me taraudait la vulve, la rousse y a mis sa bouche. Le gode me pistonnait, m’écartait les lèvres et les lèvres de la rouquine me tétaient le bouton. C’était divin.

Quand ma maîtresse a joui la première fois, ça a été le signal de l’orgasme pour tout le monde. Le salon était empli de gémissements et de petits cris plaintifs mais ce n’était qu’un début, une sorte de mise en condition. Ma maîtresse reprit rapidement ses esprits et la maîtrise de la situation :

« Bon, maintenant qu’elle a joui une première fois, cette gouinasse va pouvoir s’occuper de nous correctement. Il faut quand même qu’elle sache qui est le chef ici. Attachez-la aux barreaux du lit par les quatre membres, elle n’en a pas fini avec nous… »

Excitée par l’amie de ma mère

Ma mère est lesbienne et vit depuis peu en couple avec Maryse, son amie depuis 15 ans. J’ai 18 ans et je n’ai pas connu mon père. Je crois que maman a toujours été gouine mais qu’elle a viré définitivement sa cuti peu après ma naissance. Aujourd‘hui elle a 40 ans, deux ans de moins que Maryse. Je connais cette dernière depuis longtemps mais assez peu finalement puisqu’avec maman elles menaient jusque là des vies séparées, se retrouvant quand elles le souhaitaient, loin de moi, peut-être pour me préserver.

Ça a changé depuis que je suis majeure. Maryse est venue vivre à la maison, ça fait deux mois. Pour ma part je ne suis pas lesbienne, j’ai même un petit copain depuis plus d’un an. Mais depuis hier, je me pose des questions.

J’étais à la maison, avec ma mère et son amie. Maman prenait sa douche. Elle passe toujours un temps fou dans la salle de bain. Pendant ce temps, je préparais des carottes pour le repas du soir. Maryse s’est approchée de moi et elle a commencé à jouer avec un des légumes. Je trouvais qu’elle exagérait et je me demandais même ce qu’une lesbienne pouvait trouver de si amusant à tripoter une carotte comme une femme normale l’aurait fait d’une bite.

Le pire, c’est quand Maryse est venue se coller dans mon dos après avoir posé la carotte au bas de son ventre. C’était tellement fou que je me suis demandé si elle n’avait pas un peu bu avec maman avant que je n’arrive. Elle a fait remonter le bout du légume entre mes jambes, je le sentais qui frôlait mes cuisses en soulevant ma jupe. Je commençais à me sentir excitée malgré moi. Je n’avais pas fait l’amour avec Julien, mon copain, depuis deux longues semaines.

Maryse a dû sentir que j’étais troublée,  elle a passé une main devant moi et l’a posée sur ma poitrine. Je sentais ses doigts qui, comme par hasard, se trouvaient sur l’un de mes tétons. J’avais honte car elle ne pouvait pas ignorer que celui-ci était tout dur. Et j’étais encore plus honteuse de sentir peu à peu couler le jus de ma chatte au fond de mon slip.

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La carotte s’était mise à glisser lentement entre mes cuisses. Je me surpris à écarter légèrement les genoux pour lui permettre de remonter toujours plus haut vers mon sexe. Maryse en profita immédiatement pour porter le simulacre de sexe contre ma petite fente. Ses doigts s’étaient mis à jouer ouvertement avec mon téton et d’ailleurs elle avait glissé sa main dans l’échancrure de mon chemisier.

C’est à ce moment que nous entendîmes la porte de la salle de bain s’ouvrir et les pas de maman résonner dans le couloir qui séparait la pièce d’eau de la cuisine où nous nous trouvions.  Nous eûmes juste le temps de nous rajuster et de reprendre comme si de rien n’était nos occupations, Maryse et moi.

Aujourd’hui je ne sais plus que penser. Je me suis masturbée dans mon lit en repensant à cet épisode mais je ne veux pas faire de mal à ma mère en la trahissant avec sa maîtresse.

Gouinée dans le lit de ma meilleure copine

Ça fait bien longtemps que je connais Emma, c’était déjà ma copine en classe de maternelle. Depuis nous ne nous sommes jamais quittées, sauf cette année, avec notre entrée dans des facs différentes. Heureusement, nous nous retrouvons tous les week-ends, pour sortir en boîte et aller draguer les garçons.

Mais ce soir-là, Emma ne se sentait pas très bien. Je voyais que quelque chose n’allait pas chez elle et nous avons décidé ensemble de rester dans sa chambre. Nous avons beaucoup discuté et il était un peu tard pour que reprenne la voiture en fin de soirée afin de rentrer chez moi. Emma m’a donc proposé de rester dormir chez elle et de partager le grand lit que ses parents avaient accepté d’installer dans sa chambre. Je n’avais aucune raison de me méfier de mon amie d’enfance, dont je connaissais le penchant avéré pour les mecs.

Si tu aimes les femmes qui aiment les femmes…

Pourtant, alors que j’avais un peu de mal à m’endormir, je fus étonné de sentir la main de ma copine se poser sur mes cuisses et commencer à me les caresser. Je mis ça sur le compte de l’affection qu’elle me portait me je dois bien avouer que je me sentis troublée plus que de raison. Pourtant, ce n’était rien à côté de la violente émotion que je ressentis lorsqu’Emma se mit à jouer avec l’élastique de mon slip.

J’essayai bien d’arrêter ses doigts avec ma main mais ceux-ci revenaient sans cesse et s’approchaient de ma motte. J’étais effarée car je sentais aussi que ma vulve s’humidifiait peu à peu. J’étais tétanisée mais je ne pouvais rien dire à ma meilleure amie. Sans que je m’en rende compte, je lâchai un soupir qui ressemblait à un gémissement et qui trahissait mes émotions. Imperceptiblement, j’ouvrais également les cuisses.

Évidemment, Emma prit cela pour une autorisation, peut-être même un appel à aller plus loin. Aussitôt, ces doigts s’aventurèrent dans ma culotte et se mirent à jouer avec les boucles déjà humides de ma toison. Je n’osais pas la regarder, de peur de croiser son regard dans la pénombre. C’est elle qui posa sa main libre sur ma joue et poussa pour tourner ma tête vers la sienne. Son visage était à quelques centimètres seulement du mien et je pouvais sentir son souffle court. Elle était au moins aussi excitée que moi et, dans ces conditions, le baiser qu’elle posa sur mes lèvres se transforma bien vite en un véritable baisage de ma bouche.

>> Un plan cul rapide avec une bonne salope ? <<

Emma avait enfilé ses doigts entre les lèvres de ma vulve et me fouillait maintenant sans vergogne. Son index et son majeur me remplissaient, son pouce courait sur mon bourgeon, le faisant rouler délicieusement d’un côté à l’autre de mes petites lèvres gorgées de désir. De son autre main, elle massait les tétons raides de ma jeune poitrine.

De mon côté, j’étais incapable du moindre geste, comme paralysée par un mélange de honte et de plaisir, d’anxiété et de bonheur. C‘était un sentiment étrange mais tellement fort qu’il me procura un orgasme inoubliable. Bizarrement, Emma jouit avec moi, sans même avoir été touchée, sans la moindre caresse, ni de ma part, ni de la sienne.