Je suis obsédée par les vieux

Je fantasme sur les vieux. Je suis même obsédée par les vieux. Les mecs de 60 ans, parfois plus, me font mouiller ma culotte. Je suis pourtant mariée, et fidèle depuis plus de dix ans. Mais, depuis quelques temps, je joue à un jeu que je trouve très érotique, et dont mon mari ignore bien entendu tout.

La journée, quand il est au travail (je suis salariée à mi-temps), je drague sur internet des messieurs de plus de 60 ans, et je les invite à me rejoindre chez moi. Mais attention, ils n’ont pas le droit de me prendre. Ce que j’aime, c’est les recevoir, nue, chez moi, et ils me surprennent en pleine masturbation avec un gros gode que je me suis acheté en cachette de mon homme.

Je suis nue sur le canapé, offerte, mon sextoy planté entre mes cuisses quand ils entrent chez moi. Je tripote mes gros seins, et j’aime quand ils se débraguettent et qu’ils se branlent à leur tout devant moi. Ils me regardent, je les regarde.

Parfois, quand l’un d’entre eux m’excite plus que les autres – je les aime poilus, un peu bedonnants, avec un regard vicieux, voire malsain – je le branle moi-même. Il m’est même arrivé d’en sucer un ou deux.

Je me fais jouir comme ça, les yeux rivés sur leur sexe, le plus souvent petit, et un peu mou. Eux ne me lâchent pas du regard, et quand ils sont sur le point d’éjaculer, je leur fais comprendre que j’aimerais recevoir leur sperme sur mes gros seins.

La sensation du sperme chaud de ces vieux salauds sur ma peau me procure une joie, un sentiment de plénitude que je n’avais jamais connu avant, même quand je fais l’amour avec mon mari qui, je dois le dire, un très bon coup au lit, comme on dit.

Une fois, j’ai reçu un monsieur qui devait avoir au moins 70 ans. Il avait un sexe énorme, très raide, très dur ! La vue de cet énorme membre m’a donné des envies encore plus perverses que d’habitude. Je me suis face à lui, et je l’ai branlé entre mes seins.

Ça a duré comme ça un long moment, moi plantée sur mon gode, lui se faisant plaisir en coulissant sa verge entre mes deux mamelles. Il grognait, me traitait de tous les noms, et ça m’a fait jouir. Puis il s’est répandu sur ma poitrine, et la giclée de son sperme a atteint mon menton.

J’ai récolté sa semence avec le bout de on doigt, et je l’ai portée à ma bouche. J’avais l’impression d’être une pute et ça m’excitait terriblement. Et voilà que, il y a une semaine, j’ai de nouveau croisé sa route dans la rue. Je l’ai reconnu, je suis certaine que lui aussi. J’ai cru jouir rien que de l’apercevoir, surtout que j’étais accompagnée de mon mari.

Bien sûr, j’ai eu peur qu’il ne vienne me parler de notre aventure, là, devant mon homme, mais cette peur a été plus excitante qu’autre chose. Bien entendu, il a passé son chemin, sans mot dire. De toute façon, je sais quel site il fréquente, je sais comment le retrouver.

Je crois que, très bientôt, je vais l’inviter à nouveau chez moi. Mais cette fois, il aura le droit de faire tout ce qu’il voudra de moi et de mon corps. Je rêve de sa longue bite presque toutes les nuits, je n’y tiens plus !

Comme d’habitude, je l’accueillerai chez moi, je serai totalement à poil. Mais, cette fois, je voudrais qu’il me baise, qu’il me fasse sentir sa longue verge au fond de mon vagin, au fond de ma gorge et – pourquoi pas ? – au fond de mon anus. Ce monsieur m’obsède, je veux être à lui, je veux qu’il me traite comme une salope en chaleur.

Mais, j’y pense, à me comporter ainsi, à m’exhiber devant tous ses vieux cochons, ne serais-je pas déjà devenue une salope en chaleur ? Oui, c’est vrai, j’ai honte de mon comportement. Mais dès que des envies salaces envahissent mon ventre, picotent mon entrejambe, remontent le long de mes cuisses, je ne suis plus tout à fait la même, je ne me contrôle plus.

Je ne sais pas si je dois voir un psy. Ou simplement tenter d’arrêter tout ça par mes propres moyens. Parfois, je me dis que, tout simplement, c’est ma nature de faire des choses semblables, et que je ne peux pas lutter contre mes instincts les plus bas.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Par Andréa, 39 ans

Je fantasme sur mon demi-frère

Vincent est, pour ainsi dire, mon demi-frère. Nous avons grandi ensemble. Il avait 11 ans, moi 10 ans, quand nos parents, veufs tous les deux, ont commencé à se fréquenter, puis ont aménagé ensemble. Si bien que je le considérais, il y a encore peu de temps, comme mon véritable frère, son père comme le mien, ma mère comme la sienne.

Mais la vie réserve parfois quelques surprises. Chez moi, tout s’est déclenché quand Vincent a commencé à sortir de façon régulière – et, dirais-je, sérieuse – avec une fille qui me ressemblait trait pour trait. Tout le monde, dans l’entourage de mon demi-frère remarquait cette ressemblance entre sa copine et moi. Certains me disaient que j’étais juste un peu plus jolie ce que – en toute humilité – je pensais au fond de moi.

Ainsi, Vincent s’était-il peut-être forgé un idéal féminin à partir de moi, comme modèle ? C’est là que j’ai commencé à fantasmer. De manière plus érotique que sentimentale, je dois bien l’avouer, et peut-être même de façon plus pornographique qu’érotique.

Mon demi-frère n’est pourtant pas très beau. Je veux dire que ce n’est pas un canon, même s’il a un certain charme et un assez joli palmarès en tant que séducteur. Et puis j’ai commencé à être jalouse de sa nouvelle copine qui, décidément, ne m’arrivait pas à la cheville, aux dires de beaucoup de nos amis.

Je les ai imaginé en train de faire l’amour dans tous les coins où je passais : dans le métro, dans une cabine d’essayage au grand magasin, au bureau, dans des toilettes publiques, au cinéma, bref, absolument partout. Où que j’aille, je les imaginais baisant comme des lapins.

Et puis, l’image de mes fantasmes est devenue plus floue, puis plus précise, au contraire : ce n’était plus elle, sa copine, qui le suçait sous la douche, c’était moi. Ce n’était plus elle qu’il tringlait en levrette dans les vestiaires sordides et puants de son club de foot, mais moi. Ce n’était plus elle qui le branlait lors d’un voyage en train, mais ma main qui finissait couverte du foutre chaud de Vincent.

Je me suis alors souvenue de nos jeux d’enfants, du docteur, de « action et vérité » et mes délires obsessionnels sont allés de plus en plus loin. Je n’arrivais plus à m’ôter de la tête l’image de sa grosse bite (je l’ai vu plusieurs fois tout nu, quand nous étions plus jeunes), l’envie de la lui sucer, de la prendre en moi. J’étais morte de honte à cause de ces fantasmes, mais je n’arrivais plus à lutter.

Alors, un jour où nous nous étions réservés une soirée rien que pour nous deux, alors que nous étions avachis sur le lit de sa chambre d’étudiant, je lui ai tout raconté. Je lui ai raconté comment il me faisait fantasmer, comment la vue de la bosse au niveau de sa braguette me faisait mouiller ma petite culotte.

Mais il n’a pas compris. Il a cru que je lui parlais du passé. Et s’est mis à son tour à se confier à moi. Il m’a avoué que, plus jeune, il avait percé un trou entre sa chambre et notre salle de bains pour pouvoir me voir, il m’a dit comment il se branlait régulièrement en pensant à mon corps. Oui, mais avant, quand nous étions jeunes et stupides.

A cette évocation, mes yeux se retrouvèrent embués de tristesse. Ma petite culotte aussi, pour d’autres raisons. Nous étions adultes, plus question de jouer au docteur ensemble. Quand je suis rentrée chez moi, ce soir-là, je me suis masturbée presque toute la nuit en m’imaginant dans ses bras.

Il fallait que je réagisse. Que je me sorte ces fantasmes honteux de la tête ou que je passe à l’acte ! Mais comment ? Il ne comprenait pas que c’était là, maintenant, que j’avais envie qu’il me baise, qu’il m’encule, qu’il me fasse tout ce qui lui passait par la tête !

Un plan machiavélique m’est venu. J’ai dérobé le portable de sa copine. J’ai appelé Vincent en me faisant passer pour elle. Je lui ai dit que j’avais une surprise coquine pour lui, ce soir. Qu’il devait m’attendre dans l’obscurité, que j’arriverais à 22h. Il a tout gobé. Je tenais ma revanche sur la vie. Jamais il ne se rendrait compte que c’était moi, et pas elle, dans la chambre ! Enfin, j’allais pouvoir sucer Vincent, le prendre en moi et le faire jouir !

Le rendez-vous est fixé à 22h. A l’heure où j’écris ces lignes, il est 21h, et je ne sais pas encore bien que faire, je ne sais pas si je vais rejoindre mon demi-frère et mettre mon plan à exécution.

Le vieux cochon du métro

Je ne sais pas ce qui m’a pris, ni pourquoi j’ai eu envie d’aller au bout du jeu, ce jour-là avec ce vieux cochon dans le métro… Je vous explique : je m’appelle Nathalie, j’ai 21 ans et je suis étudiante à Paris, même si je suis originaire d’une petite ville de province que je ne citerai pas. Comme toutes les filles, il m’arrive de me faire bousculer dans le métro, aux heures de pointes.

Quand je dis  » bousculer « , c’est pour ne pas dire plus. En fait, de nombreux mecs profitent de la situation, des corps serrés dans la rame, pour vous peloter un peu, ou pire ! Il faut dire que j’ai une poitrine assez énorme, qui me complexe beaucoup, mais qui a plutôt tendance à attirer les pervers. Comme ce monsieur noir, d’une soixantaine d’années, qui, un matin, s’est retrouvé collé à moi sur la ligne 7.

Au début, j’ai cru que ça n’était pas volontaire. Mais, très vite, je me suis fait une raison : il plaquait sa poitrine contre la mienne à la moindre occasion et louchait sur mes seins, alors que, pourtant, je n’étais vraiment pas en décolleté. J’ai fait comme à mon habitude : je l’ai fixé dans les yeux. En général, ça suffit. Le pervers baisse les yeux et se met à regarder ses chaussettes, tout en s’éloignant de moi.

Mais là, pas du tout ! Le vieux black a même du prendre ça pour une invitation, puisqu’il s’est mis à soutenir mon regard avec un large sourire aux lèvres. Le comble, c’est qu’il y a eu un mouvement de foule juste à ce moment, qui m’a amenée à me coller encore plus à lui. Il n’en fallait pas plus pour l’encourager à me mettre la main au cul.

Contrairement à d’autres vicieux du métro, il ne me pelotait pas vraiment, il me caressait plutôt les fesses, avec une certaine douceur. Pas la main au panier brutale et vulgaire, non, une espèce de caresse tendre et respectueuse, si je puis dire. J’ai de nouveau regardé mon agresseur : il m’avait l’air sympathique, tout à coup.

Nouveau mouvement de foule. Il relève sa main. Cette fois, il me touche clairement les seins. Et moi, je ne sais pourquoi, je me laisse faire. En d’autres circonstances, il se serait pris une paire de gifles et on n’en parlait plus ! Mais il avait une façon de faire ça, presque innocente. Messieurs, je vous prie de croire que je ne vous raconte pas cette histoire pour vous encourager à agir de la sorte : les peloteurs du métro devraient être envoyés quelques jours en taule, ce serait mérité !

Pour dire que je ne savais pas ce qui m’arrivait. J’avais envie de le laisser en profiter. Et même, je commençais à mouiller. De toute façon, j’approchais de la station de ma fac, j’allais bientôt descendre alors pourquoi ne pas le laisser se faire ce petit plaisir ?

Sauf qu’à la station Censier-Daubenton, il est descendu également. Et m’a suivi dans l’escalator. J’ai allongé le pas pour me réfugier dans l’université, mais je sentais qu’il était toujours là, derrière moi, à distance. Je suis entrée dans la fac par l’escalier de la bibliothèque universitaire et je suis partie directement pour les toilettes des filles.

Là, je me suis enfermée dans une cabine et j’ai attendu. Il me fallait reprendre mes esprits et mon souffle. Quand on a frappé à la porte, j’ai ouvert sans réfléchir. C’était lui. Il souriait à belles dents. Je l’ai dévisagé, j’aurais presque eu le temps de compter les rides sur son visage. Il a porté sa main à son entrejambe et m’a demandé, avec un fort accent africain :  » bonjour mademoiselle, tu as envie ? « .

Et oui, j’avais envie. Je me suis écartée pour le laisser entrer dans la cabine. Je me suis baissée et j’ai ouvert la braguette du vieux cochon. J’ai eu du mal à en sortir l’engin qui y dormait. Il était énorme. Une gigantesque bite noire, très longue, très épaisse, tendue comme un arc.

Il a caressé mes seins sous le t-shirt, et je l’ai branlé. Ça a duré comme ça de longues minutes, jusqu’à ce qu’il se débarrasse de mon haut et de mon soutif pour téter mes mamelons à pleine bouche. Je branlais son énorme queue et je me masturbais en même temps. Je voyais ses rides, son cou de vieux et ça m’excitait. J’ai eu du mal à contenir un cri lorsque l’orgasme est arrivé. Lui, il a joui de longs jets de foutre blanc qui se sont répandus sur mon jean. Il m’a déposé un baiser sur les lèvres, s’est réajusté et est parti.

Une étudiante perverse dans les toilettes d’un train

Moi qui suis un homme marié – et habituellement fidèle – j’ai très envie de coucher sur le papier cette aventure qui m’est arrivée avec une étudiante perverse dans les toilettes du train, un jour où je me rendais à Paris pour mon travail.

Nous étions lundi matin. Un lundi comme les autres et rien ne me préparait à vivre une telle aventure érotique. Il faut vous dire que j’ai passé depuis un moment le cap de la quarantaine, et que ma vie sexuelle me va très bien comme elle est.

Elle n’avait pas vingt ans. Elle devait être étudiante, sans doute en classe prépa, à voir l’application qu’elle mettait à prendre des notes quant à l’épais bouquin qu’elle compulsait studieusement. Sa tenue n’avait rien de particulier, en ce début d’automne, mais je l’ai remarquée tout de suite, à ses gros nichons que moulait parfaitement un petit pull trop serré pour sa formidable poitrine. On a beau être fidèle, on a tout le même le droit de voir les belles choses de la vie, non ?

Quoi qu’il en fut, je suis retourné à mon ordinateur portable, et à la préparation de ma réunion de l’après-midi, sans faire plus attention que ça à la jeune femme. Au bout d’un moment, j’ai laissé mon travail, pour m’assoupir un instant.

Quand je me suis réveillé, l’étudiante avait toujours le nez plongé dans un bouquin, mais d’un tout autre genre celui là. Elle lisait du Sade. « Certainement pour la fac », pensais-je alors. Mais à voir la précipitation avec laquelle elle a dissimulé l’ouvrage pour reprendre son vieux manuel d’économie, je me suis dit que j’avais à faire à une étudiante perverse, une vraie coquine, comme on l’est d’ailleurs souvent à cet âge là.

L’étudiante studieuse devient perverse…

La demoiselle piquait un fard. Elle était rouge pivoine, gênée d’avoir été ainsi surprise dans ses lectures lubriques. Je l’ai regardée longuement, m’amusant de sa gêne, faisant mine d’être choqué, quoiqu’un peu bienveillant, de ses lectures perverses.

Après une minute d’hésitations, la jeunette décida de rentrer dans mon jeu, et planta son regard noir au fond de mes yeux. Elle me défiait littéralement, et je n’eus pas la force de soutenir son regard. Je fus vite debout, en partance pour les toilettes du train.

Quand je fus arrivé au bout du couloir, je m’aperçus que mon étudiante perverse m’avait emboîté le pas. Elle voulait sans doute pousser le jeu jusqu’au bout. Alors, plutôt que de refermer la porte immédiatement, je l’ai laissée entrebâillée quelques secondes, laissant à l’étudiante perverse l’occasion de me rejoindre dans cet espace clos.

Elle n’hésita pas une seconde et pénétra dans les toilettes du train, claquant la porte derrière elle. J’étais vaincu, elle triomphait. Mais elle ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin. Elle se colla à moi, appuyant sa lourde poitrine contre mon torse, et me vola un baiser langoureux. Sans avoir eu le temps de réaliser ce qui m’arrivait, j’eus la bite sortie de sa cachette.

Mon étudiante perverse s’était mise à genoux, me pompant comme une affamée. Je pouvais glisser une main sous son pull, tandis qu’elle me turlutait, saisissant l’un de ses gros nibards et la pelotant, porté par l’excitation du moment. Elle faisait de petits bruits de déglutition tout en creusant les joues, mêlés de quelques soupirs de plaisir qui m’excitaient encore davantage.

Je ne fus pas long à jouir à grands traits au fond de la gorge de mon étudiante perverse. La gourgandine se releva alors, recracha mon sperme dans la cuvette des toilettes du train. Le reste du voyage se passa tranquillement, l’étudiante perverse s’appliquant à finir consciencieusement ses devoirs, comme si de rien n’était.







Baise particulière un soir de féria…

C’était un peu comme dans la chanson. Il était mince, il était beau… Encore aujourd’hui, dix ans après, le souvenir de notre étreinte, de cette baise particulière me réveille parfois la nuit. C’était en plein été, à Béziers, la feria battait son plein. J’étais en instance de divorce et ma meilleure amie m’avait proposé de descendre dans le sud pour me changer les idées.

Sangria après sangria, bodega après bodega, nous déambulions toutes les deux dans les rues biterroises, draguées ici ou là par des hommes de nos âges, la quarantaine, ou même la cinquantaine.

Et puis, je l’ai remarqué : très grand, très fin, de longs cheveux bruns, partout où nous allions, il n’était pas bien loin. Je n’ai jamais eu l’âme d’une couguar, mais là, c’était moi, la proie. Ou peut-être mon amie.

Car, pas de doute, le jeune homme nous suivait. A y regarder de plus près, c’était même sans doute moi, sa cible. Il me dévorait littéralement des yeux. Peu habituée à ce genre de comportements de la part d’un si jeune homme – il devait avoir 20 ans – je finissais même par être gênée par son attitude, et je cachais mon décolleté.

Séduite et… branlée ! C’est de la baise ?

Vers 3 heures du matin, il m’a abordée. Sans me demander mon avis, il s’est mis à danser avec moi, m’entraînant sur la piste de la bodega comme si nous nous connaissions depuis toujours. Quand il a pris ma main, j’ai remarqué immédiatement la douceur de sa peau.

Nous avons dansé tant et si bien que j’ai fini par perdre mon amie de vue. Le jeune homme m’a entraînée dans une ruelle, sous un porche. Là, il m’a embrassée fougueusement. En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dire, je me suis retrouvée avec un sein dehors. Ou plus exactement, dans sa bouche.

Il a glissé sa main sous ma jupe. Il a du sentir la moiteur de mes cuisses, faite de transpiration et d’excitation. Contournant le tissu de ma culotte, il s’est littéralement emparé de mon clitoris et s’est mis à le branler.

Je n’avais rien demandé, rien sollicité. Je me laissais tout simplement faire, une baise manuelle terriblement excitante, et j’aimais ça. Quand l’orgasme s’est emparé de mon bassin, il a de nouveau posé ses lèvres sur les miennes. J’ai joui en mêlant ma langue à la sienne et seul notre baiser m’a empêché d’ameuter la foule qui dansait et chantait à seulement quelques mètres de nous.

Puis, j’ai repris mes esprits. Enfin, pas vraiment. Sans y réfléchir, je me suis baissée. J’ai ouvert le zip du jeune homme, pour en faire jaillir un membre fin et long, très doux, que j’ai pris en bouche.

Je l’ai sucé, passant ma langue sur son frein, sur sa hampe, jusqu’à ce qu’il se répande au fond de ma gorge. Ses jambes flageolaient, j’ai du le retenir pour qu’il ne tombe pas. Nous avons échangé un dernier baiser et je me suis enfuie dans les rues de Béziers à la recherche de mon amie.

C’est la première fois que je raconte cette aventure et, rien qu’à y repenser, je sens un fourmillement entre mes cuisses. La baise à Béziers, un soir de féria, on dirait une blague…






Sodomisée pour la première fois

Hier soir, j’ai vécu un grand moment dans ma vie sexuelle pourtant déjà longue. J’ai été sodomisée pour la première fois, prise, par le cul, enculée si vous préférez. Et je peux dire que j’ai adoré ça, me sentir remplie par un gros chibre bien gorgé de foutre, les fesses ouvertes par ce mandrin, le ventre plein du gros gland qui me pistonnait.
C’est Aldo, un collège de boulot qui m’a fait ce cadeau. Ça faisait un moment que je le voyais lorgner sur mon cul quand je passais devant lui. Je suis secrétaire dans le grand garage où nous travaillons tous les deux, comme une quinzaine de collègues. J’ai 23 ans et je ne suis plus pucelle depuis longtemps. J’aime le sexe et de voir les yeux du mécano se poser si souvent sur mes fesses me faisait toujours beaucoup d’effet.
C’est moi qui ai fait comprendre à Aldo que je voulais être prise. Il m’a suivie dans les toilettes juste après la pause de midi. J’ai fermé derrière nous pour que nous ne soyons pas dérangés. De toute manière, les autres étaient déjà repartis au travail. Nous n’avions pas beaucoup de temps devant nous mais ça suffisait pour assouvir le besoin qui me tenaillait le bas du ventre. J’avais dans l’idée de me faire baiser tout à fait classiquement, vite fait, bien fait, mais les évènements se sont déroulés d’une façon imprévue.
Dès que nous nous sommes retrouvés dans les toilettes, je me suis jetée sur le sexe d’Aldo. J’ai ouvert sa braguette et descendu son pantalon puis son caleçon. Son engin est apparu devant moi, déjà suffisamment gros pour me pénétrer, sans que je l’aide à forcir avec ma bouche ou mes doigts. De mon côté, je mouillais déjà comme une vraie chienne en chaleur. J’ai rarement été aussi excitée. J’avais envie d’être prise par derrière et je me suis donc retournée contre le mur de faïence sur lequel j’ai plaqué mes mains.
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Très vite, j’ai senti le gland du sexe d’Aldo qui est venu se frotter entre mes cuisses et taper contre ma chatte. Mais ce salaud là n’est pas entré en moi. Il s’est contenté de tremper son nœud juste à l’orée de ma foune. J’ai compris ensuite que c’était pour bien l’humidifier. Puis il est venu tartiner mon œillet avec le bout de sa bite. Il a aussi pris un peu de mouille avec ses doigts, par devant, puis les a fait glisser entre les globes de mon cul, jusqu’à mon petit trou. Quand je compris où il voulait en venir, c’était presque déjà fait.
Je ne ressentis aucune douleur particulière lorsque le champignon rose se fraya un passage dans mon orifice anal. J’avais déjà lu tant d’histoires de sodomies et vu tant de films avec des rapports anaux que je savais comment réagir. Je poussai sur mon sphincter comme pour chier et cela facilita grandement l’intromission du membre noueux jusqu’au fond de mon ventre.
Aldo se mit rapidement à faire des allers et retours dans mon rectum. En même temps, il me malaxait la chatte d’une main. Moi, vicieuse jusqu’au bout, je lui ai tâté les bourses pendant tout le temps que dura ce coït anal mémorable et jusqu’à ce que ses couilles se libèrent en moi.
L’expérience fut un peu courte car Aldo jouit brutalement dans mon cul, mais cette première sodomie laissera néanmoins un souvenir impérissable dans ma mémoire. J’ai hâte de recommencer.