L’ex-compagne de mon père

D’aussi loin que je me souvienne, mon père a toujours été un homme à femmes. Depuis sa séparation d’avec ma mère, quand j’étais petit, il a enchaîné les maîtresses et les compagnes, les quittant compulsivement, comme si elles avaient atteint une sorte de date de péremption, pour s’en trouver une nouvelle, plus jeune. Malgré cet exemple pas vraiment respectueux des femmes, j’ai été fidèle, toute mon adolescence, à la même petite amie, évitant cette litanie d’ex-compagne.

Mais, à 18 ans, le bac en poche, j’ai du partir pour Bordeaux pour y suivre mes études. Là-bas, j’avais bien l’intention de retrouver celle qui avait été ma préférée parmi mes multiples et successives «  belles-mères  »  : Anna, avec qui mon père avait tout de même passé trois ans, un record pour lui  !

Quand j’étais enfant, j’étais un peu amoureux d’elle, et de ses longs cheveux blonds bouclés, ses yeux bleus, son teint diaphane et son sourire enjôleur. Elle s’était toujours montrée, contrairement à d’autres, très gentille avec moi. Aujourd’hui, elle devait avoir pas loin de 45 ans, un âge canonique aux yeux de mon père.

Une fois à Bordeaux, la rentrée universitaire passée, je me suis mis en quête de l’adresse d’Anna, sans intentions précises, juste une envie un peu floue de reprendre le contact. Je l’ai trouvée assez facilement. Elle vivait dans une petite rue, pas très loin de l’université.

J’y suis allé un matin, avant de prendre les cours. J’ai sonné. Elle a mis un certain temps à ouvrir. Elle était en nuisette, radieuse comme dans mes souvenirs. Elle resta un instant immobile devant moi, le temps que je puisse la contempler de la tête aux pieds. Elle avait un peu forci, mais ça lui allait plutôt bien. Son visage s’était arrondi, et sa nuisette ne dissimulait rien des formes généreuses qui étaient désormais les siennes. Mon père, qui n’aimait que les tailles mannequins, ne se serait sans doute même pas retourné sur elle.

«  Pardon, jeune homme, vous désirez  ?  ». Elle ne m’avait pas reconnu. Pas tout de suite en tout cas. Puis, tout à coup, son visage s’illumina  : «  Jean-Baptiste, c’est toi  ?  ». Avant d’avoir obtenu une réponse, elle me sauta au cou, plaquant son corps presque nu contre le mien. Elle était ravie des retrouvailles.

Les cours m’attendaient, le travail d’Anna aussi. On reprit rendez-vous pour le soir même, chez elle. Après une longue journée de TD et de cours magistraux, je suis donc arrivé chez elle, tout impatient de savoir où elle en était de sa vie.

Elle ouvrit, vêtue d’une tenue plutôt sexy «  d’executive woman  », me fit m’installer sur son canapé et m’offrit quelque chose à boire. Après avoir trinqué, elle s’en retournait à ses fourneaux, pour me préparer un bon repas, «  comme quand j’étais petit  ». J’ai décidé de la suivre, pour discuter avec elle pendant qu’elle cuisinait.

Elle s’affairait sur son plan de travail, et je reluquais ses hanches larges, serrées dans un pantalon trop moulant. Je la trouvais belle. Plusieurs fois, elle dut s’apercevoir de mon émoi, en se retournant. Moi qui étais plutôt timide avec les filles, j’ai décidé, mu par je ne sais quelle étrange force, de m’approcher d’elle, par derrière.

Je l’ai saisie par la taille, pour un câlin qui n’avait plus rien à voir avec des rapports belle-mère, beau-fils, ex-compagne ou quoique ce soit… Elle s’est laissée faire. J’ai commencé à l’embrasser dans le cou, puis a passé mes mains sur sa poitrine, devenue lourde et ronde. Elle ronronnait littéralement de volupté.

Je craque pour la croupe de l’ex-compagne de mon père…

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous sommes retrouvés tous les deux nus au milieu de la cuisine d’Anna. J’essayais de ralentir le mouvement, pour pouvoir mieux contempler son superbe corps de femme, le second seulement que je voyais de ma vie. Ses seins tombaient à peine, un tout petit ventre de femme s’était formé, ses hanches étaient belles et pleines.

Sans que je sache vraiment comment, elle s’est retrouvée les mains sur son plan de travail, le postérieur tendu vers moi. Je me suis accroupi pour goûter à sa chatte ainsi offerte. Ses ronronnements de désir s’étaient transformés en râles de plaisir. Elle a joui.

Elle s’est alors retournée vers moi et m’a susurré à l’oreille  : «  prends-moi  !  ». Je l’ai fait basculer sur la table de la cuisine, et je l’ai baisée. Pendant que je la limais comme un forcené, Anna me criait des mots d’amour. Je tringlais ma belle mère et ex-compagne du paternel. Je bandais comme jamais je n’avais bandé avec ma petite amie.

La prof est une cochonne

Par Christophe, 23 ans – Il n’y a pas que des inconvénients à être le seul mec de sa promo. Moi qui suis étudiant infirmier, je peux en témoigner. Je l’avoue, je suis plutôt beau gosse, mais quand même ! Si je n’étais pas le seul mec de la classe de TP, je ne serais pas aussi courtisé par ces demoiselles. Maintenant, le problème, c’est que même les profs s’y mettent !

Je voulais vous raconter une aventure qui m’est arrivé il y a quelques jours, et dont je ne sais pas quoi penser. C’était en TP d’anatomie. Le prof est une vieille infirmière reconvertie dans l’enseignement. Elle doit bien avoir 50 ou 55 ans. Une grande blonde très « charpentée » avec des hanches larges et des seins… je ne vous dis pas. Deux énormes obus soutenus par un soutif qui doit sortir des ateliers d’ingénieurs de la NASA !

Quoi qu’il en soit, c’était cours d’anatomie sexuelle, ce qui nous fait toujours marrer. Nous avons tous plus de vingt ans, on sait comment ça marche, merci ! La prof a voulu nous montrer les principaux signes de différenciation sexuelle. Elle a pris Nadia, comme exemple féminin, et moi, évidemment, seul spécimen masculin. Il faut dire que Nadia est un parfait cas d’école avec son corps très, mais alors très féminin.

Bref, la prof commence à nous peloter dans tous les sens pour décrire ce qui distingue un homme d’une femme, devant une classe pliée en deux de la gêne qui nous gagne l’un et l’autre. Elle termine sa démonstration ainsi : « bien évidemment, nous prônons ici le respect de l’intimité du patient, au maximum de ce qui est possible. Je vous déconseille donc de faire comme je viens de faire avec ces deux-là ». La salle se bidonne, nous beaucoup moins.

La leçon se poursuit. Puis se termine. Aïe ! La prof me demande de rester pour mettre certaines choses au point. Les filles sortent de la salle et je me retrouve en tête à tête avec la vieille blonde. Elle s’inquiète de me voir harcelé par ces demoiselles, surtout que je suis un jeune homme attirant et blablabla, ça risque de nuire à mes études, blablabla… Je rêve ou la prof me drague ?

Surtout que, dit-elle, à mon âge, on a certains besoins, ce qui est compréhensible et que, ajoute-t-elle encore, elle a bien senti mon érection pendant son cours. Quoi ? Mais elle rêve la vieille ! Je n’ai pas bandé, ou alors éventuellement pour le corps de rêve de Nadia, qu’est-ce qu’elle croit ? Et la voici qui se porte volontaire pour me soulager de mes pulsions ? Joignant le geste à la parole, elle me met la main au paquet, encore !

Je ne sais ni quoi dire ni quoi faire. Surtout que, maintenant, elle ouvre ma braguette et en sort ma queue. Mais c’est vrai que j’ai la trique ! La voilà maintenant qui me branle, là, derrière la paillasse, en ne quittant pas ma bite du regard. Maintenant, elle se fout à genoux et me prend en bouche. La vieille prof creuse des joues sur ma tige et moi, je suis là, à la regarder faire.

Elle jette un coup d’œil vers la porte d’entrée. Les couloirs sont vides. Elle retire son haut et son soutien-gorge à armatures. Ses seins sont incroyablement lourds. Elle prend ma bite trempée de sa salive et se la colle entre les mamelles. Elle commence à me faire une branlette espagnole. Moi, je n’ai plus du tout envie qu’elle s’arrête. C’est trop bon !

Et vas-y que je te branle entre mes loches, et vas-y que je donne un coup de langue à ton gland dès qu’il ressort des deux obus ! La prof d’anatomie est en transe. Un voile pervers a embué son regard. Dingue ! Voilà qu’elle se masturbe tout en reprenant ma teub en bouche. Il faut dire qu’elle sait sucer une bite ! Je suis au fond de sa gorge. Je vais gicler c’est sûr.

J’essaie de la prévenir que la sauce va bientôt monter mais elle s’en fout carrément. Elle se masturbe de plus belle et pompe comme une tarée ma bite raide. Putain, cette fois, je gicle. Trois grosses éjaculations directement dans sa glotte.

Elle se redresse et tout en se rhabillant, elle me dit, un air maternel dans le regard : « alors ? Ça va mieux maintenant ? Tu vas pouvoir te concentrer de nouveau sur les cours, désormais ? ». Je n’en crois ni mes yeux ni mes oreilles. Elle a tout avalé, la perverse !

Je me rhabille à mon tour et, sans piper mot, je prends congé de la prof d’anatomie. C’est que je vais être en retard au prochain cours avec ces conneries !

La prof est une cochonne

Par Christophe, 23 ans – Il n’y a pas que des inconvénients à être le seul mec de sa promo. Moi qui suis étudiant infirmier, je peux en témoigner. Je l’avoue, je suis plutôt beau gosse, mais quand même ! Si je n’étais pas le seul mec de la classe de TP, je ne serais pas aussi courtisé par ces demoiselles. Maintenant, le problème, c’est que même les profs s’y mettent !

Je voulais vous raconter une aventure qui m’est arrivé il y a quelques jours, et dont je ne sais pas quoi penser. C’était en TP d’anatomie. Le prof est une vieille infirmière reconvertie dans l’enseignement. Elle doit bien avoir 50 ou 55 ans. Une grande blonde très « charpentée » avec des hanches larges et des seins… je ne vous dis pas. Deux énormes obus soutenus par un soutif qui doit sortir des ateliers d’ingénieurs de la NASA !

Quoi qu’il en soit, c’était cours d’anatomie sexuelle, ce qui nous fait toujours marrer. Nous avons tous plus de vingt ans, on sait comment ça marche, merci ! La prof a voulu nous montrer les principaux signes de différenciation sexuelle. Elle a pris Nadia, comme exemple féminin, et moi, évidemment, seul spécimen masculin. Il faut dire que Nadia est un parfait cas d’école avec son corps très, mais alors très féminin.

Bref, la prof commence à nous peloter dans tous les sens pour décrire ce qui distingue un homme d’une femme, devant une classe pliée en deux de la gêne qui nous gagne l’un et l’autre. Elle termine sa démonstration ainsi : « bien évidemment, nous prônons ici le respect de l’intimité du patient, au maximum de ce qui est possible. Je vous déconseille donc de faire comme je viens de faire avec ces deux-là ». La salle se bidonne, nous beaucoup moins.

La leçon se poursuit. Puis se termine. Aïe ! La prof me demande de rester pour mettre certaines choses au point. Les filles sortent de la salle et je me retrouve en tête à tête avec la vieille blonde. Elle s’inquiète de me voir harcelé par ces demoiselles, surtout que je suis un jeune homme attirant et blablabla, ça risque de nuire à mes études, blablabla… Je rêve ou la prof me drague ?

Surtout que, dit-elle, à mon âge, on a certains besoins, ce qui est compréhensible et que, ajoute-t-elle encore, elle a bien senti mon érection pendant son cours. Quoi ? Mais elle rêve la vieille ! Je n’ai pas bandé, ou alors éventuellement pour le corps de rêve de Nadia, qu’est-ce qu’elle croit ? Et la voici qui se porte volontaire pour me soulager de mes pulsions ? Joignant le geste à la parole, elle me met la main au paquet, encore !

Je ne sais ni quoi dire ni quoi faire. Surtout que, maintenant, elle ouvre ma braguette et en sort ma queue. Mais c’est vrai que j’ai la trique ! La voilà maintenant qui me branle, là, derrière la paillasse, en ne quittant pas ma bite du regard. Maintenant, elle se fout à genoux et me prend en bouche. La vieille prof creuse des joues sur ma tige et moi, je suis là, à la regarder faire.

Pompé par la prof !

Elle jette un coup d’œil vers la porte d’entrée. Les couloirs sont vides. Elle retire son haut et son soutien-gorge à armatures. Ses seins sont incroyablement lourds. Elle prend ma bite trempée de sa salive et se la colle entre les mamelles. Elle commence à me faire une branlette espagnole. Moi, je n’ai plus du tout envie qu’elle s’arrête. C’est trop bon !

Et vas-y que je te branle entre mes loches, et vas-y que je donne un coup de langue à ton gland dès qu’il ressort des deux obus ! La prof d’anatomie est en transe. Un voile pervers a embué son regard. Dingue ! Voilà qu’elle se masturbe tout en reprenant ma teub en bouche. Il faut dire qu’elle sait sucer une bite ! Je suis au fond de sa gorge. Je vais gicler c’est sûr.

J’essaie de la prévenir que la sauce va bientôt monter mais elle s’en fout carrément. Elle se masturbe de plus belle et pompe comme une tarée ma bite raide. Putain, cette fois, je gicle. Trois grosses éjaculations directement dans sa glotte.

Elle se redresse et tout en se rhabillant, elle me dit, un air maternel dans le regard : « alors ? Ça va mieux maintenant ? Tu vas pouvoir te concentrer de nouveau sur les cours, désormais ? ». Je n’en crois ni mes yeux ni mes oreilles. Elle a tout avalé, la perverse !

Je me rhabille à mon tour et, sans piper mot, je prends congé de la prof d’anatomie. C’est que je vais être en retard au prochain cours avec ces conneries !

La prof est une cochonne

Par Christophe, 23 ans – Il n’y a pas que des inconvénients à être le seul mec de sa promo. Moi qui suis étudiant infirmier, je peux en témoigner. Je l’avoue, je suis plutôt beau gosse, mais quand même ! Si je n’étais pas le seul mec de la classe de TP, je ne serais pas aussi courtisé par ces demoiselles. Maintenant, le problème, c’est quand même une prof s’y met !

Je voulais vous raconter une aventure qui m’est arrivé il y a quelques jours, et dont je ne sais pas quoi penser. C’était en TP d’anatomie. Le prof est une vieille infirmière reconvertie dans l’enseignement. Elle doit bien avoir 50 ou 55 ans. Une grande blonde très « charpentée » avec des hanches larges et des seins… je ne vous dis pas. Deux énormes obus soutenus par un soutif qui doit sortir des ateliers d’ingénieurs de la NASA !

Quoi qu’il en soit, c’était cours d’anatomie sexuelle, ce qui nous fait toujours marrer. Nous avons tous plus de vingt ans, on sait comment ça marche, merci ! La prof a voulu nous montrer les principaux signes de différenciation sexuelle. Elle a pris Nadia, comme exemple féminin, et moi, évidemment, seul spécimen masculin. Il faut dire que Nadia est un parfait cas d’école avec son corps très, mais alors très féminin.

Bref, la prof commence à nous peloter dans tous les sens pour décrire ce qui distingue un homme d’une femme, devant une classe pliée en deux de la gêne qui nous gagne l’un et l’autre. Elle termine sa démonstration ainsi : « bien évidemment, nous prônons ici le respect de l’intimité du patient, au maximum de ce qui est possible. Je vous déconseille donc de faire comme je viens de faire avec ces deux-là ». La salle se bidonne, nous beaucoup moins.

La leçon se poursuit. Puis se termine. Aïe ! La prof me demande de rester pour mettre certaines choses au point. Les filles sortent de la salle et je me retrouve en tête à tête avec la vieille blonde. Elle s’inquiète de me voir harcelé par ces demoiselles, surtout que je suis un jeune homme attirant et blablabla, ça risque de nuire à mes études, blablabla… Je rêve ou la prof me drague ?

Surtout que, dit-elle, à mon âge, on a certains besoins, ce qui est compréhensible et que, ajoute-t-elle encore, elle a bien senti mon érection pendant son cours. Quoi ? Mais elle rêve la vieille ! Je n’ai pas bandé, ou alors éventuellement pour le corps de rêve de Nadia, qu’est-ce qu’elle croit ? Et la voici qui se porte volontaire pour me soulager de mes pulsions ? Joignant le geste à la parole, elle me met la main au paquet, encore !

Je ne sais ni quoi dire ni quoi faire. Surtout que, maintenant, elle ouvre ma braguette et en sort ma queue. Mais c’est vrai que j’ai la trique ! La voilà maintenant qui me branle, là, derrière la paillasse, en ne quittant pas ma bite du regard. Maintenant, elle se fout à genoux et me prend en bouche. La vieille prof creuse des joues sur ma tige et moi, je suis là, à la regarder faire.

Elle jette un coup d’œil vers la porte d’entrée. Les couloirs sont vides. Elle retire son haut et son soutien-gorge à armatures. Ses seins sont incroyablement lourds. Elle prend ma bite trempée de sa salive et se la colle entre les mamelles. Elle commence à me faire une branlette espagnole. Moi, je n’ai plus du tout envie qu’elle s’arrête. C’est trop bon !

Et vas-y que je te branle entre mes loches, et vas-y que je donne un coup de langue à ton gland dès qu’il ressort des deux obus ! La prof d’anatomie est en transe. Un voile pervers a embué son regard. Dingue ! Voilà qu’elle se masturbe tout en reprenant ma teub en bouche. Il faut dire qu’elle sait sucer une bite ! Je suis au fond de sa gorge. Je vais gicler c’est sûr.

J’essaie de la prévenir que la sauce va bientôt monter mais elle s’en fout carrément. Elle se masturbe de plus belle et pompe comme une tarée ma bite raide. Putain, cette fois, je gicle. Trois grosses éjaculations directement dans sa glotte.

Elle se redresse et tout en se rhabillant, elle me dit, un air maternel dans le regard : « alors ? Ça va mieux maintenant ? Tu vas pouvoir te concentrer de nouveau sur les cours, désormais ? ». Je n’en crois ni mes yeux ni mes oreilles. Elle a tout avalé, la perverse !

Je me rhabille à mon tour et, sans piper mot, je prends congé de la prof d’anatomie. C’est que je vais être en retard au prochain cours avec ces conneries !

Le meilleur ami de mon fils

Par Yvette, 54 ans.

Je sens sa bite vigoureuse taper au fond de moi. Jamais je n’aurais du attendre aussi longtemps, jamais je n’aurai du laisser passer ma vie sexuelle. C’est trop bon. La peau douce de Benoît glisse contre la mienne. Il est en sueur, moi aussi. Je sens sa poitrine contre mes deux gros seins lourds, mais je sens surtout son membre viril au plus profond de mon vagin.

Je m’appelle Yvette, j’ai 54 ans, et j’ai passé toute ma vie à m’occuper de mes enfants, dont mon fils, André, et de mon mari Claude. Il y a peu de temps, je me suis aperçue que Claude avait des aventures assez régulièrement. Oh, rien de sérieux, rien de bien grave, m’a t-il affirmé, mais tout de même, j’ai eu bien du mal à m’en remettre.

Et puis, mon fils a invité un de ses amis à venir passer le week-end dans notre maison de compagne. C’est là que j’ai surpris Benoît, le copain en question, fouillant dans la table de nuit de mon mari où celui-ci conservait d’anciennes photos de moi dans le plus simple appareil. Vous savez, ces vieilles photos instantanées que faisaient les couples désireux de s’encanailler, avant l’arrivée massive du numérique.

Quand il s’est retourné et qu’il m’a vue, toute habillée et avec 20 ans de plus, le jeune homme s’est mis à rougir. Je n’ai pas voulu en faire un drame et j’ai préféré plaisanter sur le temps qui passe, et qui rend les femmes moins désirables. Il m’a dit que, au contraire, il me trouvait plus belle que jamais. Un tourbillon s’est emparé de nous, il s’est jeté sur moi, me couvrant de baiser.

En quelques minutes, nous nous sommes retrouvés tous les deux nus sur le lit et c’est là qu’il a commencé à me prendre. J’étais folle de désir pour ce jeune corps, pour cette jolie bite, pas très grosse, mais indécemment tendue et raide, celle du meilleur ami de mon fils… Il me l’a enfoncée entre les cuisses, et j’ai manqué de peu un premier orgasme. La maison était déserte, mais pour peu de temps.

Mes enfants et mon mari allaient rentrer dans les minutes à venir. Il fallait faire vite. Benoît m’a baisée en missionnaire, jusqu’à ce que je jouisse une première fois. Il m’a ensuite demandé de me mettre en position de levrette et, malgré ma gêne de lui exposer ainsi mes grosses fesses de quinquagénaire vieillissante, j’ai accepté.

Maintenant, il me baise comme une chienne et, malgré son petit sexe, il arrive à vraiment me défoncer le vagin. Je jouis encore. Mais j’ai peur. Peur d’être surprise par mon mari ou pire, par l’un d mes enfants. Imaginez André me surprenant en si fâcheuse posture en compagnie de son meilleur ami !

La queue du meilleur ami de mon fils

Je me dégage de l’emprise de Benoît. Mais je ne veux pas le laisser comme ça. Je lui fais ce qu’adore mon mari : je prends son vit entre mes deux seins et je le branle vigoureusement. A chaque fois que son gland ressort de mes deux obus, je lui passe un coup de langue sur le frein.

Il va jouir à son tour. J’avais oublié comment les hommes giclaient, à vingt ans ! Il m’en met partout ! Sur les seins, bien sûr, mais jusqu’à mon visage, et même une goutte atteint mes cheveux. Je suis tremblante, souillée de sperme, le corps couvert de sa transpiration et de la mienne.

Il file dans la chambre des garçons, pour prendre une douche. Moi, je ne sais plus par quoi commencer. Oui, la salle de bains. Je m’y précipite, après avoir ramassé mes vêtements, jetés négligemment au sol, sur la moquette de la chambre.

Je ferme la salle de bains à clé. Je me regarde dans le miroir : j’ai le visage plein de sperme. Une douche, vite ! Avant que tout le monde ne rentre ! L’eau coule sur mon corps, et me lave, dans tous les sens du terme. Mais les images de notre étreinte me reviennent une à une en mémoire.

Là, sous le jet puissant de la douche, je me masturbe, jusqu’à atteindre mon troisième orgasme de la journée. Quand je reprends mes esprits, j’entends que ma famille est rentrée. Je me sèche, me rhabille prestement et je sors de la chambre.

Je retrouve mon mari et mes enfants qui rangent les courses, tandis que Benoît, le meilleur ami de mon fils les y aide. Il est beau comme un cœur. J’ai encore envie de lui. Je ne me souvenais plus de la fougue et de la douceur de la peau des garçons de son âge.

Après tout, si mon mari couche avec des petites jeunes, j’ai bien le droit, moi aussi ! Il faudra que je recommence… avec Benoît, s’il en a toujours envie. Ou avec d’autres : mon fils a beaucoup d’amis !

Les petits nichons de la jeunette

Par Vincent, 37 ans

Ma compagne et moi, nous avons débuté dans le libertinage très tôt, à l’âge de 25 ans, à une époque – il y a de ça une douzaine d’années – où les jeunes couples, dans les clubs échangistes, n’étaient vraiment pas nombreux. A cette période, un couple de 40 ou même 45 ans passait facilement pour débutant.

Nous avons donc très souvent partouzé avec des gens plus âgés, n’ayant aucun tabou à ce niveau là. Peu importait l’âge de nos partenaires d’un soir, pour peu qu’ils nous plaisaient… Mais les années ont passé, et nous avons vieilli. D’autant plus que, dans le même temps, des couples de plus en plus jeunes ont fait leur apparition dans les clubs libertins et les saunas mixtes.

Laissez-moi vous présenter ma compagne, Anne, une superbe femme aux formes généreuses et au sourire coquin. Elle et moi étions en train de chatter sur un site échangiste quand un couple nous y a abordé. Il s’agissait d’Eva et Mickaël, qui affichaient sur leur profil les âges canoniques de, respectivement, 19 et 21 ans. Je ne vous explique pas le coup de vieux.

Nous leur avons répondu cordialement, mais nous n’avions pas vraiment l’intention de passer à l’acte avec eux : ils étaient définitivement trop jeunes pour nous. De fil en aiguille, la conversation s’emballant et devenant de plus en plus intéressante, ils nous ont proposé de se retrouver, le samedi soir suivant, dans un sauna échangiste que nous fréquentions tous les quatre (mais où nous ne nous étions jamais croisés).

Nous avons tout de même accepté. Après tout, nous ne forcions personne, c’était même eux, les jeunes, qui nous avaient abordés, puis invités. Anne et moi nous sommes retrouvés donc entièrement nus dans le jacuzzi de l’établissement libertin, attendant l’arrivée d’Eva et de Mickaël. Ces deux-là se sont fait attendre une bonne demi-heure, par rapport à l’horaire prévu.

Quand ils ont finalement débarqué, ils nous ont repéré tout de suite. Et ont enlevé leurs serviettes avant de nos rejoindre dans l’eau. Là, j’ai littéralement halluciné. Eva était très mignonne, certes, mais toute petite, toute menue, avec un tout petit cul et deux gougouttes à la place des seins.

Petits nichons pour une vraie chaudasse

Des allures de fillette, certes, mais, pardon, niveau tempérament, c’était autre chose. Après m’avoir laissé serrer la main à son homme, la coquine m’a salué d’un baiser sur la bouche, et s’est assise sur mes genoux, là, dans l’eau du jacuzzi. Le contact de sa peau, de ses petits nichons tout durs, j’ai eu immédiatement la gaule. Et elle l’a senti. Elle a posé sa main sur mon membre raide et a commencé une chaude caresse, dont la sensualité était relevée par le contact des bulles.

J’ai posé une main sur sa poitrine toute menue, une autre entre ses cuisses, qu’elle avait grandes ouvertes. De leur côté, Anne et Mickaël se roulaient déjà des pelles libidineuses. J’étais chaud comme la braise, mais pas autant que ma libertine de 19 ans : elle a eu un premier orgasme sous mes caresses, là, dans le jacuzzi !

« Toute relation sexuelle est interdite dans les bassins » nous rappelait un écriteau. Nous sommes donc sorti de l’eau, qui pourtant me permettait de dissimuler une érection déjà très prononcée. Nous avons filé tous les quatre dans le hammam. Là, de nombreux couples s’observaient tant bien que mal dans la demi-pénombre, n’osant rien faire.

C’est Eva qui nous a fait une petite place pour tous les quatre sur un des bancs. Tous les trois devrais-je dire, car elle s’est agenouillée devant moi et a commencé à me sucer. A ma droite, ma chérie et son chéri se chauffaient allègrement. A ma gauche, une dame de la quarantaine, assez ronde, avec d’énormes seins, attendait avec son mari.

D’un coup, Eva a abandonné ma bite pour aller se réfugier entre les épaisses cuisses de la libertine plus mûre et, sans demander son avis, lui a léché la chatte. La dame, qui s’est laissée faire avec délice, a pris le relais sur ma bite, pendant que je pelotais ses énormes nibards.

Eva avait lancé les choses. De proche en proche, l’atmosphère de partouze s’était répandue dans tout le hammam. Elle était ravie. Elle est revenue vers moi, m’a déroulé une capote sur la hampe puis s’est mise par terre, me tendant son petit cul prodigieux. Dans une chaleur écrasante, je l’ai baisée en levrette pendant de longues minutes.

Après cette première baise, nous avons rejoint les coins-câlins où, fidèle à ses habitudes, Eva est parvenue à entraîner de nombreux autres dans une orgie sexuelle insensée. Mais je devais lui plaire, car c’est moi qui ai pu, le plus, joué avec ses tétons aussi petits que sensibles.

Nous les avons revus plusieurs fois. A chaque fois, je culpabilise un peu sur son âge, d’autant qu’elle fait plus jeune que ses 19 ans. Mais, à chaque fois, je succombe aux charmes de cette gamine libérée et libertine à souhait et… à ses petits nichons bien fermes !!

Une maman très protectrice

Par Ahmed, 30 ans

A l’époque de l’histoire que je vais vous raconter ici, j’avais tout juste 19 ans. Ma petite copine du moment en avait 18, et elle était vierge. Il faut dire qu’elle était issue d’une famille assez catholique, mais qui ne voyait pas d’un trop mauvais œil que la petite dernière de la famille sorte avec un rebeu. Ses parents avaient respectivement 49 ans, pour monsieur, et 42 ans, pour madame.

Vous savez comment sont les jeunes 18-20 ans ?On ne pense qu’à ça. Et moi, j’avais envie d’un peu plus que des roulages de pelles, des pelotages en tout genre et des séances de frotti-frotta. Normal. Mais cette situation ne lassait pas d’inquiéter la maman, Irène, de ma petite copine, France.

Il faut bien avouer que je me montrais assez insistant envers France, que je sentais toute proche de céder à mes avances, autant à cause de son désir de sexe que de celui de faire plaisir à son petit copain. En plus, France, tout comme sa mère d’ailleurs, avait une poitrine qui faisait se retourner tous les hommes sur son passage. Deux magnifiques obus dont l’indécence tranchait avec l’ambiance très puritaine de cette famille.

Tout a commencé un après-midi, alors que je devais rendre visite à ma chérie, comme nous y autorisait ses parents, dans sa chambre, porte grande ouverte. Dans ses conditions, peu de chances pour moi d’arriver à mes fins.

C’est Irène qui ouvre, elle est en peignoir de bain. Femme au foyer, elle ne sort de chez elle que pour prendre le thé avec ses amies, des dames du même cercle social qu’elle. « Tiens, Ahmed ! France n’est pas là, elle ne t’a pas prévenu qu’elle restait à la bibliothèque toute la journée ? ». Non, elle ne m’avait pas prévenu. Je tourne les talons, mais la maman me retient par la manche.

« Viens, j’ai quelques mots à te dire… ». Aïe ! Voilà qui n’annonce rien de bon pour moi. Irène me parle de mes envies, de sa volonté de voir sa fille rester vierge jusqu’au mariage, puis elle conclut : « Mais je comprends bien qu’un jeune de ton âge éprouve de légitimes envies ». Sur ce, elle se lève. Sa robe de chambre est entrouverte. Je peux apercevoir ses deux grosses mamelles ballotter un peu.

Je vois aussi sa toison. Un beau pubis très noir et très fourni. Elle s’approche de moi, ainsi dévêtue. Elle pose sa main sur ma braguette et me sourit. Puis elle s’accroupit, là, juste face à moi. Sa robe de chambre est presque totalement ouverte. Elle sort ma bite de sa cachette et commence à me branler.

Branlé par cette maman aux gros nibards

Ma queue est raide. Et la maman vicieuse la frotte contre sa belle paire de nibards. Je n’ose rien dire, ni rien faire. Elle me branle de plus en plus vite, et me caresse les couilles avec l’autre main. Je suis en rut. Je reluque ses deux gros seins et sa branlette experte.

Ça y est, je décharge sur la grosse poitrine d’Irène qui, une fois passé mon orgasme, se relève. Elle me dit : « si ça devient trop pressant, si tu as envie de te vider les couilles, viens me voir, je préfère… ».

Je suis estomaqué d’entendre de tels mots dans la bouche d’Irène, mais comme elle est pleine de mon sperme, ça ne tranche pas vraiment avec l’ambiance générale. Je me rhabille et prend congé de la mère de ma petite amie.

Mais mon histoire ne s’arrête pas là. Car, en plus d’être bigote, Irène avait un seul autre défaut : elle était très bavarde. Et malgré sa bigoterie, elle avait tout raconter à ses fameuses copines cathos, qui, je l’apprendrai plus tard, n’étaient pas si catholiques qu’elles le prétendaient.

C’est donc, un après-midi où France avait du s’absenter suite à l’appel d’une copine que je suis tombée sur une réunion de ces dames, qui regardaient mon entrejambe plus que mes yeux. Elles m’ont posé tout un tas de questions sur moi, m’ont invité à partager une tasse de thé avec elles, puis m’ont proposé de me soulager de mes « tensions ».

Très vite, je me suis retrouvé entièrement nu, avec une demi-douzaine de femmes quadragénaires, parfois même quinquagénaires, toutes dévouées à préserver la virginité de France. Certaines d’entre elles, se sont même amusées avec des godes-ceintures, en attendant leur tour sur ma bite. J’ai joui tant et tant durant ces après-midis « thé » que je n’ai plus jamais insisté pour prendre le pucelage de ma petite amie de l’époque.

Un jour, France m’a quitté, apparemment triste du peu d’ardeur que je mettais à la convaincre de sauter le pas. Moi, je garde le souvenir de ces partouzes masturbatoires avec mes vieilles bigotes, vicieuses, en manque et bisexuelles, bref, pas si coincées que cela.

Trio en club échangiste – 1ère partie

Je suis allé pour la première fois dans un club échangiste quelques jours après l’anniversaire de mes vingt ans. Ce soit-là, c’était soirée « pluralité » comme ils disent et les hommes seuls y étaient acceptés. Bien sûr, le tarif de 90 euros aurait eu habituellement de quoi m’étrangler, mais les chèques que ma famille m’avait faits pour ce grand passage à l’âge adulte me permettait de m’offrir ce petit extra.

Il faut dire qu’à l’époque, bien que plutôt mignon, je n’avais connu qu’une fille, la nana avec qui j’étais sorti depuis le lycée, et qui m’avait plaqué six mois auparavant. Très timide, je n’osais pas abordé mes camarades de classe féminines et, sans être puceau, je me sentais très en retard quant à ma sexualité.

L’idée d’aller dans un lieu où tout le monde était libéré par rapport au sexe m’excitait terriblement. Après avoir franchi, angoissé, le pas de la porte et le vestiaire du club, je me suis assis dans un coin, observant ce qui allait se passer.

Une multitude de couples fit son entrée ce soir là, de tous les âges, de toutes les conditions. Certains cherchaient d’autres couples, d’autres partaient à l’étage suivis d’une ribambelle de mecs seuls, d’autres encore semblaient indécis.

Ce sont eux qui m’ont abordé. Heureusement, car jamais je n’aurais eu le courage d’en faire autant. Elle, Olivia, devait avoir 35 ans, c’était une jolie brune aux yeux noirs, très gracieuse, fine, malgré de jolies formes rondes. Lui, Alain, semblait avoir atteint la quarantaine. Tempes grisonnantes, port de tête altier, physique de déménageur qui aurait fait de longues études.

C’est elle qui m’a adressé la parole :
– tu as l’air tout timide, c’est la première fois que tu viens ici ?
– oui, c’est la première fois
– que dirais-tu qu’on s’isole un peu tous les trois pour discuter un peu plus ?

Evidemment, j’ai suivi le couple à l’étage. Là, ça partouzait sévère. Une vieille libertine se faisait culbuter par un trentenaire tout en suçant la bite raide de son mari. Mais le couple m’a emmené plus loin, jusqu’à une alcôve minuscule, où trônait une espèce de petit lit. Nous nous sommes assis, Olivia placée entre nous deux.

Expérience trioliste en club échangiste…

Pour la première fois, Alain a pris la parole :
– ce que nous recherchons, c’est un mec doux pour nous amuser, ensemble, à trois. Tu vois ce que je veux dire ?
En fait, je ne voyais pas bien mais je hochais la tête. Alain caressait les cuisses nues de sa femme tout en me parlant. J’étais comme invité à faire de même, alors j’ai posé ma main sur la peau douce de la jeune femme.

Là, tout s’est précipité. Le couple a échangé un long baiser, puis Olivia a tourné la tête vers moi et m’a roulé une pelle sensuelle et excitante. Ma main est remontée de sa cuisse à sa poitrine et le pan de tissu qui cachait jusqu’alors ses seins est tombé, me dévoilant une jolie paire de pigeons blancs, très fermes et très doux.

Très vite, j’ai senti une main se poser au niveau de mon sexe. Quand j’ai baissé la tête pour voir, je me suis aperçu que c’était la main d’Alain.

Une couguar très chaude me suce en boite

Je bascule la tête en arrière et ferme les yeux pour mieux ressentir les mouvements de langue de ma pompeuse sur ma verge raide. Sucé par une couguar : la situation pourrait me faire rire intérieurement si je n’étais pas aussi chaleureusement et bien tété. Je suis dans les chiottes du club, et je suis aux anges. Je ne pense même plus à mes potes qui se sont foutus de ma gueule quand elle a commencé à me draguer.

Elle : une mère de famille a priori respectable venue s’encanailler le temps d’une soirée avec quelques copines de son âge. Elle doit avoir quarante-cinq ans, soit vingt de plus que moi. Je pourrais presque être son fils ! Un cul bien rond, à peine flasque, des grosses mamelles légèrement tombantes, un sourire qui dit braguette.

Moi, c’est bien simple, elle m’a fait bander immédiatement. Je ne cours pas spécialement après les vieilles cochonnes, mais celle-ci a du talent pour la pipe, c’est le moins qu’on puisse dire. Et peu importe si ça fait marrer la bande, moi, au moins, je vais prendre mon pied ce soir. Pas comme certains.

Pendant que la couguar me suce, je fléchis un peu les genoux pour avoir les mains à portée de ses grosses doudounes. Sa peau est élastique et plutôt douce. J’introduit mes doigts dans son chemisier. Ses seins pointent dangereusement. Elle en veut la coquine, et elle fait un bruit d’enfer en se gavant de ma bite.

Etre sucé par une couguar présente un autre avantage : les années aidant, elle sait y faire, et elle se montre très gourmande de mon vit vigoureux. Et que je salive sur ton gland, et que je te prends en fond de gorge, et que je te titille les couilles avec la main. Je peux vous dire que c’est autre chose que les pompiers par les greluches étudiantes dont j’ai l’habitude.

A tel point que, si elle continue, je ne vais pas tarder à décharger dans sa bouche sans autre forme de procès. Mais la belle couguar mature a de l’expérience. Elle a senti que j’allais rendre les armes. La voici qui recrache ma bite et lève des yeux suppliants vers moi. Elle a tiré un étui de capote de son sac à main. Je lui souris, en essayant de paraître aussi gentil qu’il est possible quand on a la bite à l’air, trempée de salive.

C’est parti, la mère au foyer infidèle déroule le préservatif sur mon membre. Elle semble ravie. Je n’ai plus qu’à m’asseoir sur la lunette des chiottes rabaissée, et à attendre que ma chaude couguar ne vienne s’empaler sur mon chibre. Et elle a tôt fait de se jeter sur mon pieu. Sa chatte est dégoulinante de cyprine, l’introduction se déroule sans problème. Me voilà maintenant avec ses énormes loches à hauteur de visage.

Autant en profiter. Et, tandis qu’elle s’agite comme une nonne qui aurait découvert la bite sur ma queue bandée au maximum, je gode ses deux gros mamelons à tour de rôle, les aspirant bien au fond de ma bouche, tout en glissant ma main jusqu’à sa fente, pour en caresser vigoureusement le petit bouton.

Elle est épilée de près : la couguar est sortie pour tromper son mari, elle s’est préparée comme il se devait. Elle braille à en ameuter toute la discothèque et réclame que je lui suce encore les seins. Je ne me prive pas, jusqu’à ce que les mouvements du bassin de ma couguar ne s’accélère, m’arrachant un orgasme dévastateur.

Elle jouit, en même temps que moi, et me hurle des mots d’amour tout en plaquant sa poitrine contre mon visage. Je suis tremblant de plaisir, et la couguar aussi.