Prise au gode-ceinture en public

Ma maîtresse a enfilé son engin. Elle s’est mise devant moi pour bien me montrer ce qui m’attendait. Il faut dire que c’est une première pour moi. Jamais encore je n’ai été prise au gode-ceinture et encore moins en public. Il y a 6 femmes en chaleur autour de nous, toutes lesbiennes comme moi et ma maîtresse Jasmine. J’ai confiance en cette dernière et je sais que j’ai tout à gagner à me montrer coopérative.

Je suis à quatre pattes comme elle me l’a ordonné. Devant moi, elle se harnache avec le sexe factice; celui-ci est fixé sur une culotte en latex. Jasmine m’a montré l’intérieur, il y a aussi une petite bite qu’elle s’enfilera dans la chatte. Ainsi elle pourra jouir en me fourrant. Je suis contente pour elle.

Une fois équipée, ma maîtresse vient se placer derrière moi. Avant, elle a demandé à l’une des femmes du public de venir me caresser un peu l’entrecuisse jusqu’à la chatte. Je suis déjà mouillée. La femme, une petite rousse gironde, est une vicieuse car elle a profité de la situation pour me tripoter aussi le trou du cul.

Jasmine est en place. Elle vérifie que je suis bien lubrifiée. Satisfaite par la quantité de jus qui s’écoule de mon sexe,  elle passe le bout du gland de plastique entre mes cuisses et vient le frotter contre ma vulve. Les mouvements involontaires de mon bassin trahissent mon désir. Je me mets en position d’être fourrée. Mes lèvres vaginales s’entrouvrent et laissent passer le gros membre qui met quelques secondes à entrer totalement en moi. Ma maîtresse fait durer le plaisir de l’intromission, comme pour mieux solliciter mes sens.

Je finis par m’enfiler moi-même sur le pal qui vient buter au fond de ma caverne d’amour. Puis j’entame un va-et-vient lent mais déterminé, aidé par Jasmine qui me tient les hanches.

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Les femmes se sont levées puis se sont approchées de nous. Je peux presque sentir leur souffle sur ma peau. Leurs mains se posent sur mon corps, partout. Elles caressent mon dos et mon ventre, mes cuisses. Les plus vicieuses s’aventurent sur mes seins, tirent sur mes tétons, laissent filer leurs doigts sur mon cul, jusque dans la raie de mes fesses.

L’une d’elles, la plus déterminée ou la plus excitée, se poste devant mon visage et m’offre sa fente à laper. J’y mets la langue avec délectation car je suis une grande amatrice de mouille féminine. Et puis je mordille ses grandes lèvres, écarte les petites pour dénicher son clito. Je suis surprise par sa taille et l’enfourne entre mes lèvres pour mieux le sucer.

Maîtresse Jasmine me claque le cul et me dit des insanités en me baisant. A sa voix, j’entends qu’elle prend elle aussi beaucoup de plaisir en me pinant. La petite queue qui lui remplit le vagin doit faire son redoutable effet. Je gigote de plus en plus sur le gode qui me comble de bonheur et quand une des lesbiennes se colle sous moi pour me sucer le bourgeon à son tour, j’explose en vol. Pourtant, je ne suis pas au bout de mes peines, au début de la soirée, ma maîtresse m’a dit qu’elle se réjouissait de prendre aussi mon cul avec son jouet.

Exhibée à la webcam par mon mari

Je suis prête à tout pour garder l’amour de mon mari. Richard est beaucoup plus âgé que moi et il me comble à tous les niveaux, matériellement, intellectuellement, sexuellement. J’ai 24 ans, c’est vrai que je pourrais être sa fille. Blonde, les cheveux mi-longs, je prends soin de mon corps pour pouvoir le satisfaire encore longtemps. Mais surtout, quand il est question de sexe je cède à tous ses caprices de mâle pervers.

C’est pour ça que je suis devant cette webcam ce soir. C’est plus qu’une webcam d’ailleurs. Richard a un ordinateur dernier cri équipé du meilleur matériel. La qualité obtenue est bluffante. Ce doit être un vrai régal pour les voyeurs qui m’observent depuis leur salon, la bite à la main.

Sur les conseils de Richard, sur son ordre devrais-je dire, j’ai quitté mes vêtements. Je porte une simple combinaison de nylon trouée aux fesses et  à la chatte. Deux autres petits orifices laissent passer les tétines de mes seins, percées chacune d’un anneau, une autre concession aux exigences de mon homme.

 Ca fait déjà une demi-heure que je suis devant la caméra à me tripoter pour des gens que je ne vois pas. Richard me l’a interdit. Il dit que comme ça c’est plus excitant. J’ai juste le droit d’entendre les remarques des hommes, mais aussi des femmes qui me matent.

« Vas-y suce le bout de tes seins, tire dessus avec tes lèvres, mords-les un peu ! » me lance une voix plus toute jeune.

Je m’exécute alors qu’une autre m’ordonne de me caresser la chatte. Je dois me lever, mettre un pied sur la table où est posé l’ordinateur et écarter mes lèvres vulvaires  pour que le gars puisse « voir à l’intérieur ». Puis je dois y mettre un doigt, deux, trois, presque la main entière.

Une femme me demande de me tourner, de faire voir au public « mon gros popotin ». C’est vrai que mes fesses sont amples et que ma taille fine les fait bien ressortir. Je me tourne, exhibe mon cul.

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« Maintenant, mets-un doigt dedans ! » me lance la même voix féminine. J’entends des hommes qui ricanent. « Oui, oui, doigte-toi le cul ! »

C’est facile, ma main vient juste de sortir de ma chatte, elle est toute trempée et, pour être honnête, mon cul a l’habitude de ce genre de visite, et même de bien d’autres calibres. Pour faire plaisir à mes voyeurs et voyeuses, je tire sur une de mes fesses avec ma main restée libre, je m’ouvre du mieux que je peux pour qu’ils puissent voir mon trou. Mon doigt tourne d’abord autour de ma rondelle, je reprends du jus à la source de ma chatte, m’en oint l’anus. Mon doigt entre, je fais du zèle, j’en mets deux ; ils entrent, ils sortent, ils entrent, ils sortent… Ca me fait jouir, c’est la première fois de la soirée mais sans doute pas la dernière. Richard me l’a dit, ce soir il a donné rendez-vous à tout son carnet d’adresse pour voir « Sa petite salope qui se touche gratuitement sur le web. »

L’exhibition indécente de ma tante

Cette année, nous avons passé les vacances d’été en famille, mes parents, mes frangins, mon oncle, ma tante, mes cousins et moi. J’ai 18 ans et avant les congés je pensais que ce serait la dernière fois que je partirai avec eux tous mais maintenant que nous sommes rentrés je n’en suis plus très sûr. C’est la faute de ma tante, une sacrée vicieuse.

C’est la seconde femme de mon oncle, le frère de mon père. Ils sont ensemble depuis un an environ. Elle doit avoir 40 ou 45 ans mais elle est encore très  bien conservée pour son âge. Personne ne peut l’ignorer dans la famille car dès le premier jour de nos vacances elle est sortie se mettre au bord de la piscine dans une tenue qui ne cachait pas grand-chose. J’ai trouvé ça très indécent, mais aussi vraiment excitant.

J’étais sur un transat, occupé à lire un bouquin de SF quand elle est arrivée, dans son bikini de salope. On ne peut pas dire autrement tellement il était petit. La culotte n’était pas un string mais c’était presque pire car quand ma tante marchait le slip bâillait à l’entrejambe. Le pire, c’est quand elle s’est allongée dans le transat qui me faisait face. Je pouvais voir les lèvres de son sexe qui apparaissaient sur les bords. J’ai tout de suite mis une serviette sur mes jambes pour que personne ne voie que je bandais dans mon maillot. J’aurais eu trop honte que ça se remarque.

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J’étais embêté parce que j’étais presque sûr que ma tante avait vu mon regard se poser sur son entrecuisse. Elle avait pris de la crème solaire et s’en mettait partout sur le torse. Sa main rentrait dans les deux petits triangles qui avaient bien du mal à cacher les deux gros nibards qu’elle avait. En fait, je crois qu’ils ne servaient qu’à abriter ses tétons mais guère plus. Et puis, ce n’était une protection que contre le soleil, parce que pour ce qui était du regard, on ne pouvait pas les louper, ses belles tétines qui distendaient les bonnets du maillot. On aurait dit qu’elle bandait des seins tellement elles étaient grosses. Je crois que ça l’excitait de se masser avec la crème juste sous mes yeux.

Le plus terrible, c’est quand ses mains enduites de lotion solaire sont descendues sur son ventre puis sur ses cuisses dont elle s’est mit à tartiner l’intérieur. Elle a vraiment fait durer l’application plus que de raison. De temps en temps je voyais ses mains qui frottaient  les babines de son sexe qui dépassaient du maillot. J’étais sûr qu’elle le faisait exprès. Je bandais toujours plus fort et à un moment donné c’est venu tout seul, j’ai juté dans mon maillot. J’ai eu bien du mal à rester assez calme pour que personne ne se rende compte de ça. Enfin, quand je dis personne, il me semble que ma tante ne fait pas partie du lot. J’espère me tromper car sans cela se serait vraiment trop la honte pour moi.

Exhib dans les bois

Vous allez dire que je suis une garce et vous aurez bien raison. J’adore le sexe sous toutes ses formes et je ne me prive d’aucun des plaisirs qu’il peut m’apporter. J’aime jouir et faire jouir les hommes, parfois les femmes qui partagent ma couche ou des endroits plus insolites. J’ai de la chance car mon homme accepte toutes mes perversions, mieux, il les encourage. Il faut dire qu’il en profite aussi largement. Il n’est pas exclusif et aime me partager  à l’occasion. Je crois qu’au fond il aime bien me voir heureuse, en train de faire l’amour avec mes partenaires. C’est son petit plaisir à lui.

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Nous avons une passion commune pour l’exhibitionnisme depuis le début de notre relation. Sans me vanter, je suis assez mignonne et les regards masculins se portent trop souvent sur moi pour que ce soit un hasard. J’ai des formes rebondies mais je ne suis pas grosse, j’ai juste le cul un peu rond et surtout de bons gros nichons qui plaisent aux hommes autant qu’aux femmes.

Hier soir nous sommes allés dans un petit bois que nous savons fréquenté par des voyeurs et des voyeuses. J’ai mis ma tenue la plus provocante. Je me faisais un peu l’effet d’une pute en me regardant dans le miroir, avec ce petit top très échancré, la mini-jupe assortie et les bas résilles qui habillaient mes jambes, terminées par deux bottines en cuir. Ça m’a presque donné envie de me caresser. J’étais déjà très chaude.

Arrivées en bordure du petit bois, nous sommes restés dans la voiture. Il y  avait déjà du monde et je craignais de déclencher une émeute en sortant dans mon accoutrement. Nous avons avancé le véhicule jusqu’à une petite clairière en empruntant un chemin boueux. Puis mon mari a coupé le moteur.

J’ai abaissé le dossier de mon siège et je me suis mise à me caresser, les pieds posés sur le tableau de bord, cuisses largement ouvertes. Puis j’ai commencé à me masturber doucement en poussant de petits gémissements sonores.  Mon homme était sorti du véhicule après avoir légèrement abaissé les deux fenêtres de sorte qu’on pouvait m’entendre à quelques mètres. Il s’est approché de deux ou trois gars et je le voyais à travers le pare-brise qui leur parlait en désignant notre voiture.

Très vite, trois hommes se sont approchés. L’un d’eux tenait une femme presque aussi provocante que moi par la main. Quand ils ont été assez près pour bien me voir, j’ai sorti un nichon par le col de mon haut et j’ai pris le téton dans ma bouche. J’ai sucé ma tétine vicieusement en relevant ma jupe pour bien leur montrer comme je me branlais.

Le petit groupe était tout près de la voiture et ne pouvait rien ignorer des attouchements que je me prodiguais. Les gars ont sorti leurs queues et ont commencé à se caresser. Celui qui était avec la fille l’a poussée sur le capot assez brutalement. Son visage était à quelques centimètres du mien. Elle a posé sa bouche sur la vitre en sortant la langue, comme pour m’exciter encore plus. L’homme s’était mis à la pistonner en levrette.

Mon mari a dû comprendre  que je n’aurai pas mon compte avec cette petite exhib rapide. Il s’est approché du véhicule, a ouvert toutes les portes et a lancé aux voyeurs :

« Allez-y, elle est à vous ! Cette grosse salope a besoin de se faire baiser. Elle est là pour vous faire jouir, profitez bien de son gros cul et de ses nichons ! »

Mon amant m’expose devant des pervers

Je suis nue, entièrement nue et perchée sur les escarpins que Jean-Louis m’a demandé d’enfiler en début de soirée. Il a bien précisé que je ne devais rien porter d’autres, à l’exception cependant de mes bijoux, une chaînette à la cheville droite et deux gros anneaux passés à travers les pointes de mes gros seins un peu pendants.

J’ai  48 ans et mon corps, même s’il n’est plus de prime jeunesse, reste désirable. Tout au plus le poids des ans a-t-il un peu forci ma silhouette mais je conserve une taille assez marquée qui fait bien ressortir mes hanches, mon cul et ma poitrine. En passant devant le miroir de ma chambre dans la tenue, si j’ose dire, que Jean-Louis me force à adopter, je me suis trouvée tout à fait acceptable.

A la recherche d’une femme mûre offerte ?

Maintenant, je suis debout dans le salon. Jean-Louis est là, assis dans le canapé, accompagné de deux autres hommes que je ne connais pas, un verre de whisky à la main. J’ai un peu honte de me trouver là, exhibée en tenue d’Eve devant les trois copains mais je sais que si je résiste, la colère de Jean-Louis sera terrible. Il faut dire aussi que je me sens un peu excitée. Et mon excitation augmente encore lorsque mon homme prend la parole d’un ton qui n’admet aucune réplique :

« Tourne-toi pour montrer tes fesses à nos amis, qu’ils voient ton gros cul ! »

J’obtempère aussitôt et pivote sur mes hauts talons. J’imagine le spectacle que j’offre aux trois hommes et ça me trouble. C’est pire encore quand je les entends réagir :

« T’as raison Jeannot, elle a un bon gros cul juste obscène ce qu’il faut. Ca me fait bander tiens ! »

Et sur ces bonnes paroles, le voilà qui sort sa queue de son pantalon, imité par son camarade. Par-dessus mon épaule, je peux les voir commencer à s’astiquer le manche en me reluquant.

Jean-Louis se lève et vient vers moi, il me fait tourner une nouvelle fois, m’attrape par l’un des anneaux qui ornent ma poitrine et tire un peu dessus pour faire bouger mon sein.

« Et ça, vous le voyez, ce gros nichon à la peau laiteuse ? Moi, ce qui m’excite, c’est la taille de ses tétines, elles sont si longues. Je suis sûr que cette garce se les suce souvent pour qu’elles soient si grosses. Montre-nous comme tu fais ! »

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J’obéis encore, je prends mon sein droit et le fourre dans ma bouche, suce longtemps le tétin pour le faire bien durcir. Quand j’arrête, il pointe outrageusement vers le duo de branleurs et je sens un peu de mouille qui s’échappe de ma chatte gonflée.

« Hé, regarde Jean-Louis, elle mouille ! Ça coule sur ses cuisses. »

Mon homme passe sa main entre mes jambes et les remonte vers sa bouche. Il suce ses doigts.

« C’est vrai, cette traînée est excitée. Ses lèvres sont carrément gonflées. Approchez les gars, je crois qu’il va être temps de s’en occuper maintenant qu’elle est bien chaude. Vu comme vous êtes raides, elle devrait prendre son pied comme jamais. »

Branlée en public

Hier après-midi, j’étais de sortie avec mon mari. Ça nous arrive de temps en temps, pendant que les enfants sont à l’école. Nous aimons bien nous promener tous les deux, comme aux premiers temps de notre amour. Le printemps vient de commencer et je me sens d’humeur bucolique mais aussi très câline. C’est sans doute pour cela que les choses ont rapidement tourné au sexe avec mon époux.

Toi aussi tu veux voir des nanas se branler pour toi ?

Il y a dans notre petite ville un jardin public particulièrement fréquenté par les gardiennes de jeunes enfants dès que les premiers beaux jours sont de retour. Après avoir pris un verre sur une terrasse, nous nous y sommes rendus avec Paul, mon mari. C’est à chaque fois une sorte de pèlerinage pour nous car nous avons beaucoup fréquenté ce parc avant de nous marier et de fonder une famille.

Nous nous sommes assis sur un banc. Paul s’est tout de suite montré très tendre avec moi. Je crois que lui aussi ressentait les premiers effets du printemps. Il me tenait par l’épaule d’une main, l’autre étant posée sur ma cuisse. J’ai tourné la tête vers lui et nous nous sommes embrassés fougueusement. Autour de nous, des femmes plus ou moins jeunes papotaient en jetant de temps à autre un œil sur les enfants dont elles avaient la garde.

Notre baiser a duré longtemps. J’étais un peu gênée de faire ça devant les gens qui se trouvaient là mais en même temps j’avais terriblement besoin de l’affection de mon époux. Nos langues s’emmêlaient comme si elles avaient été trop longtemps séparées l’une de l’autre. Ça commençait à me faire de l’effet entre les cuisses, d’autant plus que les doigts de Paul couraient le long de mes jambes, s’aventurant de plus en plus haut vers mon ventre.

Branlée dans le jardin public

A un moment, mon mari se saisit de la veste qu’il avait posée à côté de lui et la jeta discrètement sur mes genoux. Il remit presque aussitôt sa main en place et recommença à jouer sur ma peau. Je portais une jupe assez courte qu’il avait maintenant presque remontée entièrement sur mon ventre. Je faillis laisser échapper un petit cri quand il posa ses doigts sur mon slip. J’avais aussi un peu honte car j’étais certaine qu’il sentait l’auréole de mouille qui avait commencé de se former sur ma culotte.

La pression de ses doigts se fit plus intense sur ma chatte. Il se mit à les faire tourner puis passa carrément ses phalanges sous l’élastique de mon slip. Nous ne nous embrassions plus et j’avais du mal à retenir les gémissements qui ne demandaient qu’à sortir de ma bouche, fort humide elle aussi. Pour ne pas prendre de risque, je collai à nouveau mes lèvres contre les siennes.

En 5mn, rentre en contact avec des salopes bien trempées…

Paul me fouillait maintenant la fente. Ses doigts devaient être trempés. Il en avait introduit trois dans mon trou et me pistonnait le plus discrètement possible. Malgré cela, sa veste avait tendance à bouger sur mes cuisses. J’étais très excitée à l’idée qu’une des gardiennes ou des jeunes mamans présentes sur les bancs d’à côté pourraient soupçonner ce qui était en train de se passer en moi.

La main de mon mari me fouilla ainsi pendant quelques minutes. J’étais habituée à ce genre de caresses, mais pas dans ces conditions là. Quand le pouce de Paul se mit à glisser sur mon clitoris, il ne me fallut pas plus de quelques secondes avant qu’un orgasme ravageur me submerge. Mon cri de plaisir s’étouffa heureusement dans la bouche de mon branleur.

Quand nous quittâmes le jardin public, il me sembla que tous les regards étaient braqués sur nous. C’était sans doute une fausse impression due à la culpabilité que j’éprouvais alors. Mais le clin d’œil d’un jeune rousse assise juste en face de notre banc, lui, était bien réel. En rentrant  à la maison nous avons fait l’amour comme des fous.