Trio en club échangiste – 1ère partie

Je suis allé pour la première fois dans un club échangiste quelques jours après l’anniversaire de mes vingt ans. Ce soit-là, c’était soirée « pluralité » comme ils disent et les hommes seuls y étaient acceptés. Bien sûr, le tarif de 90 euros aurait eu habituellement de quoi m’étrangler, mais les chèques que ma famille m’avait faits pour ce grand passage à l’âge adulte me permettait de m’offrir ce petit extra.

Il faut dire qu’à l’époque, bien que plutôt mignon, je n’avais connu qu’une fille, la nana avec qui j’étais sorti depuis le lycée, et qui m’avait plaqué six mois auparavant. Très timide, je n’osais pas abordé mes camarades de classe féminines et, sans être puceau, je me sentais très en retard quant à ma sexualité.

L’idée d’aller dans un lieu où tout le monde était libéré par rapport au sexe m’excitait terriblement. Après avoir franchi, angoissé, le pas de la porte et le vestiaire du club, je me suis assis dans un coin, observant ce qui allait se passer.

Une multitude de couples fit son entrée ce soir là, de tous les âges, de toutes les conditions. Certains cherchaient d’autres couples, d’autres partaient à l’étage suivis d’une ribambelle de mecs seuls, d’autres encore semblaient indécis.

Ce sont eux qui m’ont abordé. Heureusement, car jamais je n’aurais eu le courage d’en faire autant. Elle, Olivia, devait avoir 35 ans, c’était une jolie brune aux yeux noirs, très gracieuse, fine, malgré de jolies formes rondes. Lui, Alain, semblait avoir atteint la quarantaine. Tempes grisonnantes, port de tête altier, physique de déménageur qui aurait fait de longues études.

C’est elle qui m’a adressé la parole :
– tu as l’air tout timide, c’est la première fois que tu viens ici ?
– oui, c’est la première fois
– que dirais-tu qu’on s’isole un peu tous les trois pour discuter un peu plus ?

Evidemment, j’ai suivi le couple à l’étage. Là, ça partouzait sévère. Une vieille libertine se faisait culbuter par un trentenaire tout en suçant la bite raide de son mari. Mais le couple m’a emmené plus loin, jusqu’à une alcôve minuscule, où trônait une espèce de petit lit. Nous nous sommes assis, Olivia placée entre nous deux.

Expérience trioliste en club échangiste…

Pour la première fois, Alain a pris la parole :
– ce que nous recherchons, c’est un mec doux pour nous amuser, ensemble, à trois. Tu vois ce que je veux dire ?
En fait, je ne voyais pas bien mais je hochais la tête. Alain caressait les cuisses nues de sa femme tout en me parlant. J’étais comme invité à faire de même, alors j’ai posé ma main sur la peau douce de la jeune femme.

Là, tout s’est précipité. Le couple a échangé un long baiser, puis Olivia a tourné la tête vers moi et m’a roulé une pelle sensuelle et excitante. Ma main est remontée de sa cuisse à sa poitrine et le pan de tissu qui cachait jusqu’alors ses seins est tombé, me dévoilant une jolie paire de pigeons blancs, très fermes et très doux.

Très vite, j’ai senti une main se poser au niveau de mon sexe. Quand j’ai baissé la tête pour voir, je me suis aperçu que c’était la main d’Alain.

La stagiaire, ma femme et moi, 2ème partie

Je ne vous explique pas à quel point ce fut chaud, dans le tout petit appartement de la stagiaire. Ou plutôt si, bien sûr, je vais vous l’expliquer : Lydie m’a donc roulé une pelle langoureuse sur son palier, puis m’a attiré chez elle et a refermé violemment la porte derrière nous.

En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dire – et pour moi de me rendre compte de ce qui m’arrivait – elle s’est retrouvée les seins nus, collés à mon torse, nos bouches encore lovées l’une contre l’autre. Puis, la bimbo s’est reculée et j’ai pu admirer sa formidable poitrine, ferme, gigantesque, avec de très gros bouts roses et fermes, qui pointaient comme des menaces sur mon mariage, vers moi.

Après une courte hésitation, je me suis précipité vers la jeune femme et, comme un adolescent en rut, je me suis mis à téter et à suçoter les mamelons de la stagiaire, qui couinait de plaisir sous mes coups de langue.

Nous avions beau être dans son entrée, son lit était à deux pas et, après en avoir retiré quelques peluches qui trainaient là, Lydie m’y fit basculer et, les seins luisants de ma salive, elle entreprit de me déshabiller.

Sucé par la stagiaire !

Moi-même, je ne me souvenais pas d’être capable de bander aussi dur. Alors, imaginez un peu, quand ma bite toute entière disparut entre les lèvres gourmandes de Lydie ! J’ai cru que je n’allais pas pouvoir me retenir, et que j’allais inonder séance tenante la gorge de la blondinette.

J’ai finalement réussi à me calmer et, tandis qu’elle me pompait avec une science qui n’était pas de son âge, je me suis mis à peloter ses gros seins, puis son gros cul, qu’elle avait libéré prestement de sa petite jupe et de son mini-string. Je regardais autour de moi, tout en appréciant la turlutte magique que me prodiguait le stagiaire.

C’était là une chambre de post-ado : des posters sur tous les murs, des peluches sur tous les meubles et des CDs qui trainaient un peu partout sur le sol. J’eus un mouvement de recul. Intriguée, Lydie lâcha un instant ma bite enflée et comprit ce qui se jouait dans ma tête de quadragénaire coupable. Elle vint étaler tout son corps sur le mien, et se fit plus douce, plus tendre et moins salope.

Après tout, c’est elle qui m’avait sauté dessus, et si je lui faisais du bien, je n’avais pas à me poser de questions vis-à-vis d’elle. Nous avons recommencé à nous embrasser comme deux lycéens, pendant qu’elle frottait sur mon érection sa vulve épilée intégralement.

Nous avons fait l’amour comme ça pendant près d’une heure, sans pénétration, jusqu’à ce qu’elle ait raison de moi grâce à une cravate de notaire aussi savante que sa pipe. Mon gland coulissait entre ses deux formidables globes, et se trouvait titillé à chaque passage par le bout de sa langue.

J’ai joui à grands jets sur le visage de Lydie, qui ne chercha même pas à éviter mes éjaculations sur elle. Il fallait que je rentre, vite, ma femme m’attendait à la maison.

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Expérience lesbienne à la salle de sport

En un éclair, c’est comme si toute ma vie basculait et que je vive ma première expérience lesbienne. Miranda tend sa main humide vers ma joue, et en balaie une mèche de cheveux qui s’y était collée. Et moi, je reste là, tremblante, l’eau qui continue de ruisseler sur ma peau, comme paralysée.

Elle a bien sûr senti mon trouble, alors elle en profite la garce. Ses doigts descendent de ma joue à mon épaule, frôlent mon sein. Elle sourit encore. Elle a un air doux que je ne lui imaginais pas.

Miranda laisse couler une flaque de gel douche sur sa main et me l’applique sur les épaules. La voilà qui se met à me masser et moi, je reste là, comme la dernière des gourdasses, ne sachant ni que dire, ni que faire, novice en matière de relation lesbienne…

De toute façon, il est trop tard pour reculer, car la belle athlète me savonne maintenant la poitrine. Je vois ses yeux s’embuer. Elle est belle, finalement. Je la scrute longuement, tandis qu’elle fait d’amples mouvements circulaires sur mes seins : au niveau de son mont de Vénus, j’aperçois un joli ticket de métro brun, et je me dis que, à bien y penser, Miranda est toute aussi féminine que moi.

Volupté de l’expérience lesbienne…

Toute à mes pensées, je la laisse se plaquer contre moi. Elle savonne maintenant mes fesses, et nos deux poitrines sont collées l’une contre l’autre. Elle a la peau douce. Et les lèvres aussi. Oui, Miranda m’embrasse. Mon premier baiser lesbien.

Elle continue à me malaxer les fesses. Je décide de faire de même. Son cul est ferme, presque dur, mais sa peau n’est pas du tout rêche, comme je l’aurais penser. Au contraire, elle est veloutée et soyeuse.

Miranda m’embrasse bientôt dans le cou. Je frémis. Je ne m’étais même pas aperçue que les douches s’étaient arrêtées. « Tu as envie ? » me demande-t-elle. Tout à coup, ce n’est plus la femme forte et puissante que j’ai devant moi, mais un corps tremblant de désir, dans l’expectative de ma réponse.

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Oui, j’ai envie. Je veux aller plus loin. Mais pas ici. Je la prends par la main et nous nous dirigeons ensemble vers les vestiaires. Je me rhabille. Elle aussi. Et nous partons chez moi. Là, un tourbillon nous prend. A peine franchie la porte d’entrée que nous nous retrouvons l’une contre l’autre. Nos vêtements volent en tout sens.

Miranda n’a pas ce côté autoritaire que je lui soupçonnais. Tout au contraire : elle est tendre là où je suis lubrique, attentive là où je suis perverse. Mon premier cunnilingus. Je veux dire : le premier que je donne à une autre femme, mon premier de cette expérience lesbienne… Je dévore le bel abricot de ma brunette, tandis qu’elle caresse doucement mes cheveux blonds.

Je ne vais pas vous raconter cette longue nuit d’amour lesbienne dans les détails. Trop de choses nouvelles, trop de sensations inimaginables avant. Ce que je peux dire, c’est que c’est grâce à Miranda que je me suis découverte bisexuelle.

Et même si je n’ai jamais couché de nouveau avec la magnifique culturiste, je lui dois d’avoir éveiller mes sens aux belles femmes androgynes.

Une gouine à la salle de sport

Il y a celles qui font un petit tour de tapis roulant, et qui s’effondrent de fatigue comme si elles avaient fait le marathon. Il y a celles qui sont là pour se montrer, dernière tenue de sport à la mode, maquillage et tout le toutim. Il y a aussi celles qui ne sont là que pour draguer le prof de sport (une « gouine »), qui, il faut bien le dire, est à croquer.

Et puis, il y a celles, comme moi, qui sont vraiment là pour faire du sport. Premières arrivées, dernières parties, nous sommes là pour nous dépenser, et pour progresser. Parmi ces dernières, il y a aussi Miranda, que les langues de vipères des vestiaires appellent tout simplement « la gouine ».

Il faut la voir, Miranda. Une musculature d’athlète, des biceps saillants et puissants, des cuisses fortes mais épilées de près. La grande brune en remontre à tout le monde, y compris au prof. A tel point que c’est parfois lui qui lui demande des conseils.

Moi, je rêve depuis longtemps de boucler un triathlon, un vrai. Je veux être une « Iron Woman », comme on dit. Alors, pas le temps de mégoter ou de laisser trainer mon regard sur les autres ou mes oreilles sur le dernier cancan de la salle de gym.

Expérience lesbienne

J’arrive après le boulot, vers 18 heures, je repars à 21 heures, à la fermeture. A cette heure là, les pétasses sont parties depuis belle lurette, les fainéantes aussi. Du coup, je me retrouve souvent seule dans le vestiaire avec Miranda.

La « gouine » sous la douche

Pas le genre pudique, la Miranda ! Elle se dessape l’air de rien, et file sous la douche sans se soucier de passer nue devant moi. A l’ordinaire, je prends ma douche tranquillement chez moi, car je ne suis qu’à cinq minutes à pied.

Mais ce soir, je sais que mon chauffe-eau est en rade. Alors je me déshabille aussi, car il n’y a plus que Miranda, qui, manifestement en a vu d’autres. Elle est déjà sous l’eau, à se frictionner les muscles.

J’arrive au niveau des douches – collectives – et je reste interdite. La vache ! Je n’avais jamais remarqué que « la gouine » était aussi bien foutue. Elle a beau avoir des bras comme mes cuisses et des pectoraux à faire pâlir un athlète mâle confirmé, elle a tout de même une sacrée paire de lolos.

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Quand elle m’aperçoit, là, langue pendante à l’entrée des douches, la grande brune m’adresse un large sourire : viens, entre, t’inquiètes, je ne vais pas te manger ».

Je file sous une pomme située juste à côté de Miranda, la « gouine » comme on l’appelle… Je ne veux pas qu’elle me prenne pour une homophobe. Elle me tend son gel douche, je luis fais signe que j’ai le mien. Elle se retourne, je matte ses fesses. Elles sont belles, sculpturales, sans le moindre pète de graisse.

Je me surprends à me dire que j’aimerais être gaulée comme Miranda. Oups ! Elle s’est retournée, et je n’ai même pas fait attention, trop occupée à la reluquer. Cette fois, c’est sûr, elle s’est aperçue de quelque chose.  D’ailleurs, elle, la « gouine » me sourit…

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Mon meilleur ami est bi !

La nouvelle nous a fait l’effet d’une bombe. A Sandra comme à moi. Félix, mon meilleur ami, le pote viril et même un peu macho, fan de rugby et de jolies meufs, était bisexuel. Il était assis là, devant moi, devant Sandra, et il nous racontait comment il avait découvert les plaisirs entre mecs.

Je jetais un regard à ma chérie, qui restait stupéfaite. Elle qui ne m’avait jamais caché son attirance pour Félix, son corps d’athlète de haut niveau, ses beaux yeux noirs et profonds, son sourire de séducteur, elle devait avoir autant de mal que moi à l’imaginer en train de pomper la bite d’un autre homme.

Puis, elle se reprit. D’un ton enjoué, elle lui demanda des détails croustillants sur cette première aventure bisexuelle. Tout cela semblait l’exciter. Et puis, elle lâcha : « oh, tu sais, Pierre aussi va de temps en temps sur des sites homos ». Je piquais un fard.

Félix prit la balle au bond. Je le reconnaissais bien là : peur de rien, toujours l’esprit provocateur au coin du sourire. Il nous raconta comment il avait aimé les caresses entre hommes, comment il avait apprécié de sentir une bite dure et raide dans sa bouche.

Sandra ne cachait rien de son excitation. Elle m’avait toujours dit qu’elle voulait vivre un trio entre nous et un mec, et me voir sucer une bite à mon tour. Choisir une nana plutôt libertine a ses avantages, et aussi ses inconvénients.

Et Félix avait bien noté l’excitation de ma petite amie. Ils avaient toujours été complices ces deux là, surtout pour me faire tourner en bourrique. Sandra s’est penchée vers moi : « moi, ça me fait mouiller ces histoires de pipes entre mecs, pas toi, mon chéri ? ».

Je bredouillais, guettant l’air amusé de Félix, qui était au spectacle. Sandra posa sa main sur ma braguette : « mais oui, ça te fait bander, mon cochon ! ». Et c’était vrai : l’attitude de Sandra, comme le récit de Félix, m’avait excité, et je bandais. Mais ma petite amie ne comptait pas en rester là. Tout en descendant mon zip, elle demanda à Félix : « toi qui aime les belles bites, tu as déjà vu celle de Pierre ? Elle est magnifique ».

J’étais comme paralysé. Sandra profita de mon absence passagère pour extraire ma queue de son antre, et commença à me branler, là, devant Félix, qui n’en perdait pas une miette. Elle me prit même en bouche, faisant glisser ma bite entre ses lèvres, exactement comme j’aimais. Puis elle se redressa et retira son haut, dévoilant ses seins nus : « mais tu aimes encore les filles, Félix, rassure-moi ? ».

Mon meilleur ami se leva et fit mine de s’approcher de nous. Un court instant, il chercha dans mon regard une marque de désapprobation. Un signe, un mot de moi, et tout se serait arrêté net. Mais j’en étais incapable. La queue entre les doigts fins et habiles de Sandra, j’allais me laisser faire.

Félix se trouva à notre hauteur et sortit à son tour sa bite, que Sandra prit entre ses lèvres, avant de me la tendre : « viens Pierre, viens goûter la bite de Félix, elle est très bonne ».

Mon mari me demande de l’enculer

La vie sexuelle de notre couple ronronnait doucement. Cela fait 15 ans que nous sommes mariés, Yves et moi. Nous étions encore tout jeunes quand nous nous sommes unis, jeunes et plein de fougue. Avec les années, la fougue s’est transformée en habitude et la passion qui rendait nos nuits chaudes et intenses a peu à peu laissé place à des étreintes répétitives et de moins en moins troublantes. Il m’arrivait fréquemment de m’ennuyer en faisant l’amour et, même si nous n’en parlions jamais ouvertement, je sentais bien que c’était la même chose pour mon époux. Un jour, j’ai pris mon courage à deux mains et nous avons abordé le sujet de nos fantasmes respectifs puis pris la décision de nous montrer enfin plus inventifs en amour. A ce moment là, je ne pensais pas me retrouver si vite en train d’enculer mon mari.

Nous avons fait chacun de notre côté des emplettes dans le catalogue d’un sex-shop en ligne. Je suis restée très raisonnable, achetant principalement de la lingerie (pour exciter mon homme) et un ou deux sex-toys bien innocents (plutôt pour moi, je l’avoue). Nous avons expérimenté assez rapidement les quelques fantaisies nouvelles offertes par mes achats, puis ce fut au tour d’Yves de révéler sa surprise. Celle-ci était de taille. Je ne compris pas tout de suite où mon mari voulait en venir quand il sorti de sous le lit un gode-ceinture de belle facture. Je m’attendais presque à voir entrer dans notre chambre une autre femme et je trouvais que c’était pousser le bouchon un peu loin que de vouloir m’imposer une relation bisexuelle trioliste.

Mais ce n’était pas ce qu’attendait mon mari, il m’expliqua que d’avoir parlé ensemble de nos difficultés lui avait permis de franchir enfin les limites qui l’empêchaient de me demander ce qu’il attendait de moi depuis des années. Pour finir, il me dit simplement  « Chérie, je voudrais que tu me prennes comme si j’étais ta petite femme. Encule-moi s’il te plaît ! ».

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A cet instant, tout aurait pu arriver. L’espace d’une seconde, j’ai hésité, j’étais sur le point de tout foutre en l’air et de me fâcher pour de bon. Mais devant le regard implorant qu’il me lançait, je compris qu’il avait eu bien du mal à exprimer ses pulsions les plus intimes. Je le trouvais aussi un peu pitoyable et c’est ce qui me décida à m’emparer de l’engin pour me harnacher. De me voir dans le miroir du placard qui faisait face à notre lit, montée comme un homme, mon mari attendant en haletant que je le fourre, à quatre pattes sur le pieu, me donna l’élan nécessaire.

Quelques instants plus tard, je me retrouvai en train de limer les fesses de mon époux. Celui-ci haletait et gémissait effectivement comme une petite pute. Je me sentais forte, dominatrice et perverse. Yves avait pensé à moi et il avait choisi un modèle muni d’une double bite. L’une était fichée dans son cul et le ramonait allègrement, l’autre remplissait ma chatte et me donnait beaucoup de plaisir à chaque fois que mon ventre venait buter contre le cul de mon mari.

Nous avons joui ensemble comme des fous. Je bénis encore aujourd’hui le jour où nous avons décidé de prendre en main le destin sexuel de notre couple. Cela nous a complètement libérés et  nous sommes aujourd’hui redevenus les jeunes amants  insouciants que nous étions à nos débuts.

Travesti par ma femme

J’aime ma femme et je ne lui refuse rien. Quand ce jour là elle m’a demandé si j’étais près à tout pour lui offrir une belle journée, j’ai dit oui, comme d’habitude. Je n’ai pas eu à le regretter, même si, par biens des aspects, la journée a été parfois éprouvante.

Marianne m’a transformé en travesti. Elle avait tout prévu, une tenue excitante et un programme bien défini. D’abord elle m’a habillé et maquillé, dans notre chambre. Pour mieux m’humilier, elle l’a fait devant le miroir du grand placard qui meuble la pièce. Elle m’a enfilé des habits de cochonne ; comme si ça ne lui suffisait pas de me voir en femme, elle a tout fait pour que je ressemble à une traînée, presque à une pute.

En sortant de la maison, je marchais tant bien que mal sur les talons déjà hauts qu’elle avait choisis pour moi. Je portais une robe assez courte qui laissait voir mes jambes bien au-dessus des genoux. La robe était fendue sur le côté si bien que, lorsque je m’asseyais, le haut de mes cuisses apparaissait et les curieux pouvaient voir le début de mon slip de femme. En haut, un décolleté plongeant du plus bel effet complétait le tableau. Un chemisier cachait mes bras mais son col était suffisamment ouvert pour que l’on puisse voir la naissance de mes seins, des postiches  fixés sur un soutien-gorge dont on pouvait deviner le liseré de dentelle.

Nous sommes allés faire des courses ensemble dans un supermarché d’un quartier populaire. J’avais honte de me sentir observé à chaque instant, dévisagé, scruté de la tête aux pieds. Dans la lumière crue des néons, nul ne pouvait ignorer ma condition de travesti. J’ai trouvé ce moment de la journée tellement humiliant.

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A midi nous avons mangé au restaurant, sur une terrasse. C’est là que des hommes mataient mes cuisses. Je tirais de temps à autre sur ma robe pour cacher ce qui pouvait l’être, mais aussitôt que je lâchais le tissu, mes cuisses réapparaissaient. Je crois que j’ai troublé plus d’un voyeur au cours du repas et que certains ont dû passer une bonne soirée avec leur femme.

L’après-midi nous avons fait du shopping. Le pire moment pour moi a été celui où ma femme m’a entraîné dans une boutique pour y acheter de la lingerie. La vendeuse n’a rien osé dire et nous a laissé nous amuser dans la cabine d’essayage. J’ai essayé des sous-vêtements terriblement sexy et ça m’a excité énormément. A un moment Marianne a appelé la jeune femme pour qu’elle nous conseille. A sa demande la fille s’est hasardée à passer ses doigts le long de la culotte de dentelle que je portais. Ce n’est pas allé plus loin mais j’ai trouvé ça si troublant que je bandais comme un cerf dans le petit slip.

En début de soirée, nous nous sommes arrêtés dans un bar à cocktails. Là, dans la pénombre, je me suis fait draguer par deux jeunes hommes qui pensaient sincèrement avoir à faire à deux cochonnes en manque de sexe. Marianne a finalement mis fin à ce jeu qui devenait risqué en leur dévoilant la supercherie. Ils se sont enfuis presque en courant.

En sortant du bar, ma femme avait encore une idée derrière la tête. Pour ma part, je n’avais qu’une seule envie : rentrer chez nous et la baiser comme jamais. Ca ne s’est pas passé comme ça. Je vous raconterai ma nuit de travesti avec Marianne prochainement.

Enculé par ma maîtresse

Ça fait longtemps que je trompe ma femme avec des maîtresses de passage. Je n’ai jamais voulu me lier véritablement avec l’une d’entre elles, préférant expérimenter avec chacune des sensations nouvelles. J’en change à peu près tous les 6 mois, quand j’ai fait le tour de leurs possibilités. Ça fait partie du « contrat » dès le départ. Je ne cherche pas le grand amour, que je connais déjà  avec mon épouse, juste des moments d’une rare intensité sexuelle, ceux qu’elle ne peut pas me donner, la faute sans doute à son éducation. Les femmes que je déniche par petites annonces ou sur des sites de rencontre le savent et, croyez-moi, ça me permet de vivre des expériences inoubliables.

Sandrine a 42 ans, dix ans de plus que mes 32 ans. J’aime les femmes plus âgées que moi car elles sont sexuellement épanouies, surtout celles que je vise. Avec Sandrine j’ai été gâté. L’autre jour, grâce à elle, j’ai pu découvrir combien j’aimais jouir par le cul, bien rempli par le gode fixé à ses hanches.

Je savais déjà que j’étais sensible de l’anus car j’adore quand une femme y fait passer le bout de ses doigts, voire y entre une ou deux phalanges. J’aime aussi quand les plus perverses me lèchent le trou avec leur langue douce et vicieuse. Mais avec Sandrine j’ai franchi un nouveau palier.

Elle m’a fait jouir comme jamais en me prenant par derrière. Non contente de me pistonner à grands coups de gode-ceinture, elle m’insultait, me traitant d’enculé et de petite pute. Je ne sais pas des mouvements coulissants du manche de plastique dans mon rectum ou des mots orduriers qu’elle prononçait ce qui m’a le plus fait jouir.

Déjà en la voyant se préparer, ferme et déterminée, je bandais comme un âne. Elle m’avait prévenu que j’aurais droit à un traitement de faveur ce jour là. J’ignorais de quoi elle voulait parler jusqu’au moment où elle a sorti la bite artificielle du petit sac de cuir où elle se trouvait. Ma queue s’est redressée en un éclair. Il faut dire qu’elle m’avait longuement préparé le cul avant ça et que je n’avais pas complètement débandé en attendant qu’elle recommence à s’occuper de moi.

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D’un geste autoritaire elle m’a fait comprendre que je devais m’agenouiller devant le lit de la petite chambre d’hôtel que nous occupions. Elle a glissé un coussin sous mes genoux, s’est mise devant moi pour me faire sucer la queue qui allait me prendre.  Revenue derrière moi, elle a vérifié avec ses doigts si mon petit trou était encore assez humide des caresses buccales qu’elle lui avait prodiguées juste avant.  Puis elle a posé le gland factice sur mon œillet et s’est mise à pousser lentement mais fermement pour m’ouvrir.

L’introduction du gode a pris quelques instants. Ça n’a pas été aussi douloureux que je le craignais. Pour me détendre, Sandrine flattait ma queue qui était toujours plus raide sous mon ventre. J’avais l’impression d’être une chienne prise par son mâle.  Ce sentiment troublant devint encore plus fort quand le membre de plastique fut tout entier logé en moi et que ma maîtresses entama le long mouvement de va-et-vient qui me fit tant jouir.

Je suis maintenant devenu un adepte convaincu de la sodomie passive. A tel point que je suis prêt à satisfaire tous les caprices de mon amante. Demain, je dois être offert à son mari et, pour ma plus grande honte, je bande rien que d’y penser.

Ivre, nue et partouzée

Je savais que ne devais pas boire autant, ça finit toujours par me jouer des tours. Mais c’est plus fort que moi, je me laisse aller et je dois ensuite en supporter les conséquences. Allez savoir, au fond, c’est peut-être que je les apprécie ?
Par exemple, là, je suis en train de baiser avec tout un groupe de personnes. La soirée était sympa jusque là, et plutôt clean. Je crois que ça va rester sympa mais bien moins clean. En fait j’en suis sûre, malgré les vapeurs d’alcool qui embrument un peu mon cerveau et qui ne m’empêchent pas de prendre du plaisir, au contraire.

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Une femme est sous moi et me mange la chatte en me caressant le cul. Sa langue est douce et ses lèvres avides de mon sexe. Elle boit ma mouille qui s’écoule lentement dans sa bouche. C’est une petite blonde un peu boulotte d’environ 45 ans. Ca doit lui paraître bizarre et excitant de faire un cuni à une jeune étudiante comme moi.
Devant moi, deux queues se présentent. Deux belles queues vraiment surdimensionnées, bien noueuses et le gland tendu à l’extrême. Je les lèche comme des boules de glace, c’est un peu amusant et l’alcool me fait rire à cette idée. Je reprends mes esprits quand les deux beaux nœuds forcent le passage de mes lèvres en même temps. Je dois ouvrir la bouche en grand mais j’arrive finalement à prendre les deux engins ensemble. Leurs propriétaires respectifs se mettent à me limer. Ils doivent être un peu bisexuels car ils semblent apprécier de frotter ainsi leurs membres l’un contre l’autre. Moi, je me contente de servir de réceptacle à leurs envies et de passer la langue sur leurs bouts.
Un autre homme s’est placé sous moi et me suce les seins comme un enfant tèterait les nichons de sa mère. On m’a rarement fait ça aussi bien. Il tire avec ses lèvres sur mes belles tétines brunes et longues qui pendent un peu dans cette position. Sa langue agace mes pointes. En tournant la tête, je peux voir une grosse femme aux fesses mafflues qui monte et descend sur sa bite, prise par le cul, tout en suçant la queue d’un gars bien plus jeune qu’elle, lui-même sodomisé par un vieux type. Je crois me souvenir qu’il s’agit du mari de la grosse femme.

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Subitement, je sens qu’on essaye de s’introduire dans mon cul. Ce n’est ni la langue ni la main de ma suceuse de chatte. Je lâche un moment les deux queues que je pompais pour jeter un œil en arrière. Un black viril avec un énorme membre s’apprête à m’enculer. Excitée comme une puce, je lui tends mon cul, je lui offre ma raie et il s’enfonce en moi comme dans une motte de beurre. Il faut dire que j’ai été bien préparée par les caresses de la gouine qui s’est occupée de moi.
Râles et gémissements remplissent la grande pièce qui respire le sexe et la baise. Je suis bien, ivre, complètement nue et partouzée comme une chienne. J’adore !

Mon premier plan bisexuel

Je vais vous raconter une expérience qui pour moi a constitué un tournant de ma vie : mon premier plan bisexuel, ma première pipe de bi, la révélation de ma bisexualité sans doute latente. Je suis un homme marié de 42 ans et j’aime ma femme comme au premier jour. Nous avions jusque là une vie sexuelle épanouie mais uniquement centrée sur notre couple. J’ai toujours été fidèle à mon épouse, Sylvie et je croyais jusqu’à aujourd’hui qu’il en était de même pour elle. Visiblement je me suis trompé et j’ai été trompé.

Quand je suis rentré du travail l’autre soir, un peu plus tôt que d’habitude et un bouquet de fleurs à la main, j’ai eu la désagréable surprise de trouver Sylvie dans notre chambre, avec un gars de son âge, la trentaine. Si j’avais entendu leurs gémissements un peu plus tôt qu’après avoir la porte de la chambre, j’aurais sans doute rebroussé chemin mais il était trop tard. Aujourd’hui je ne le regrette pas.

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Sylvie n’a pas eu l’air gêné de me voir sur le pas de la porte, mon bouquet ridicule tombé au sol.  Au contraire, elle s’est approchée de moi et m’a poussé vers le lit. Entre nous, c’est toujours elle qui a été la plus entreprenante, la plus directive. Je ne sais pas pourquoi, je me suis laissé faire.

Ma femme a passé sa main entre mes jambes et s’est mise à me caresser la queue à travers mon pantalon, avant de l’en extraire. Je bandais malgré l’incongruité de la situation, allongé juste à côté de l’amant de Sylvie. J’étais terriblement excité, presque entièrement soumis par les caresses de ma femme qui annihilaient toute volonté de révolte en moi.

Je n’ai même pas réagi quand d’autres mains que celles de Sylvie sont venues déboutonner ma chemise et caresser mon torse. Pas non plus lorsqu’elles se sont aventurées plus bas pour tripoter mon sexe. Ca ne pouvait être que celles de l’homme qui partageait notre couche.

De fil en aiguille, je me suis retrouvé tout près de celui-ci, entièrement nu. A un moment, J’ai senti la main de Sylvie qui appuyait sur ma tête. Elle me guidait vers le membre raide de l’homme. C’est la seule fois où j’ai manifesté une légère réticence. Mais quand Sylvie a menacé d’arrêter de me branler si je ne me montrais pas coopératif, la mince digue qui m’empêchait encore de passer à l’acte à lâché.

J’ai  entrouvert les lèvres et j’ai pris dans ma bouche le gros gland mouillé du gars. J’ai trouvé ça plutôt agréable. La troublante sensation de me sentir soumis et la chaleur du membre au fond de ma bouche se mélangeaient pour augmenter encore mon excitation. J’ai pompé ainsi le chibre du mieux que je pouvais  pendant plusieurs minutes, essayant de reproduire avec application les caresses si douces que ma femme s’était mise à prodiguer à ma propre queue.

>>Plan cul entre bisexuels <<

Nous nous sommes sucés mutuellement pendant un long moment. Je crois bien que la bouche du type était collée au sexe de ma femme. Je suis le premier à avoir joui mais l’amant de Sylvie n’a pas tardé à me suivre, puis ce fut à son tour d’avoir un orgasme comme je ne lui en avais jamais connu jusque là. Je n’ai pas pu garder le foutre chaud qui est monté très vite des couilles de l’homme pour ce premier plan bisexuel. Le premier d’une longue série ? Sans aucun doute…