Le gode-ceinture de ma femme…

J’ai une femme plus jeune que moi. Elle vient à peine de fêter ses 40 ans, et elle en paraît 10 de moins. Autant vous dire que je fais des jaloux au boulot, à mon club de foot et parmi mes amis. S’ils savaient, tous, ce qu’elle me fait endurer. Oh, je ne suis pas cocu, non. Enfin, je ne crois pas. Pas vraiment. En fait, ma femme a une maîtresse, depuis quelques temps. Et cette maîtresse s’appelle Christine, c’est le petit surnom qu’elle m’a donné.

Depuis le temps que je la tannais pour qu’elle accepte la sodomie, ça devait bien arriver. Ma femme n’est pas le genre qui se laisse faire, et encore moins à se laisser imposer quoi que ce soit. Un soir que nous faisions l’amour, j’ai de nouveau insister pour qu’elle me laisse essayer de l’enculer. Elle s’est levée droite comme un I et a quitté le lit conjugal.

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J’ai eu peur qu’elle veuille me quitter. Mais je l’ai retrouvée en face de l’ordinateur, ma carte bancaire à la main. Elle était sur un site de ventes d’articles coquins, style sexshop. En train de commander du lubrifiant. Quand j’ai vu ça, ma gaule est remontée. Puis elle a ajouté au panier une poire à lavements. C’était parfait. C’est quand elle s’est décidé pour un gode-ceinture de taille moyenne que j’ai commencé à m’inquiéter.

Moins de trois jours plus tard, sa commande est arrivée. Elle m’a tendu la poire et m’a envoyé me laver dans la salle de bains. C’est tout juste si je savais comment m’en servir. Je me suis retrouvé dans la baignoire, le tube dans le cul, à faire de mon mieux pour enlever ce qu’il y avait à enlever. Tout un poème, je préfère ne pas vous raconter les détails.

Quand je suis revenu, tout nu et tout propre, dans notre chambre, ma femme m’attendait en petite tenue sur le lit. Elle était hyper sexy. Sauf sur un point : elle s’était harnachée du gode-ceinture, ce qui lui donnait un air terrible à mes yeux. « Alors, comme ça, tu veux essayer la sodomie ? OK, pas de problème, on va essayer la sodomie ! ». Le gode devait avoir sensiblement les mêmes mensurations que ma bite. Pas énorme, donc, mais inquiétant tout de même.

J’ai souri. Mais je savais bien qu’elle ne plaisantait pas. Pas le genre à claquer du blé pour une simple blague. Elle m’a fait signe de sucer son gode-ceinture. Je me suis exécuté. J’ai trouvé ça terriblement humiliant. Mais je bandais quand même. Ensuite, manifestement très excitée, elle m’a fait me mettre à quatre pattes. Elle a mis du lubrifiant sur mon trou du cul et a posé l’engin entre mes fesses.

« Respire un grand coup, chérie ! » m’a t-elle lancé, l’air de rien. Et elle m’a défoncé. J’ai hurlé de douleur. D’une traite, le gode était entré entièrement en moi. J’avais tellement mal que je n’arrivais plus à contrôler mes forces. Elle m’a saisi par la taille et a commencé à me limer doucement avec son gode-ceinture. Dans cette position, elle était plus forte que moi, car mes forces m’avaient littéralement abandonné.

Quand j’ai finalement repris le dessus, j’avais l’anus en feu. J’ai réussi à m’extraire de son étreinte. Elle rigolait : « alors, cochonne, on a eu mal à son petit cul ? ». J’ai passé un doigt entre mes fesses. Elle m’avait effectivement déchiré. Je saignais même un peu. « Allez, mets-toi sur le dos, on y retourne ! ». Elle croyait vraiment que j’allais me laisser faire encore une fois ?

Défoncé par le gode-ceinture

Elle avait raison. Mu par une force que je ne maîtrisais pas, j’ai pris la position. Elle est venue sur moi, je sentais ses seins sur ma poitrine. Elle a dirigé le sextoy entre mes fesses et a poussé une nouvelle fois. Tout le gode s’est enfoncé en moi, je n’arrivais plus à respirer.

Et elle m’a enculé, de plus en plus vite, de plus en plus fort, et de plus en plus profondément. J’ai failli tomber dans les pommes. A un mouvement, les secousses étaient si fortes et ma bite tellement tendue, que j’ai éjaculé. Et à ce moment là que ma femme a joui, presque comme l’aurait fait un homme, en grognant de contentement.

Et s’est dégagée et est retombée sur le dos, l’air satisfait. Mon cul me brûlait horriblement. Mais ça m’avait plu, je devais bien l’avouer. Elle m’avait baisé, et avait pris son pied à me sauter. On en discuté seulement le lendemain. Nous étions tous les deux satisfaits de l’expérience et nous avons recommencé, là, dans le salon.

Depuis cette première fois, ma femme a commandé d’autres godes-ceintures, tous plus gros les uns que les autres. Parfois je l’encule. Mais le plus souvent, c’est elle qui s’amuse à, comme elle dit, « me péter la rondelle ». J’ai gagné sur les deux tableaux.

Une étudiante africaine très sensuelle…

Ca fait tout juste trois mois que Sonia Dembélé, une étudiante africaine, est venue en France pour des raisons d’études. C’est une ivoirienne de 25 ans, elle a tout ce qu’il faut à la place qu’il faut. Des gros seins et un postérieur à l’africaine. En plus, sa peau complètement noire dégage quelque chose de sensuel qui tape dans l’oeil. À son passage dans la rue, 90% des mecs se retournent pour la mater, c’est une bombe et elle le sait.

À l’université où elle s’est inscrite, elle suit les courts du soir. Son intelligence et son assiduté ne sont pas passés inaperçus aux yeux de certains profs qui, en plus d’admirer son physique, respectent ses aptitudes intellectuelles. Elle a vite fait l’unanimité aussi bien au sein du corps professoral que chez ses condisciplines. Après les cours, elle est toujours la dernière à partir.

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Le troisième mois annonce un nouveau module avec un nouveau prof.
Nous sommes le premier du jour et les étudiants l’attendent avec impatience. Ce prof de comptabilité analytique ne les fait pas languir, il accuse juste un retard de cinq minutes. A son entrée, toutes les étudiantes ont craqué. Les unes le trouvent sexy, d’autres le trouvent charmant et bien sûr, Sonia D n’est pas en reste.
Le premier cours commence et, le silence se fait. En prélude, il se présente,  » Joel « , il est âgé de 32 ans, homme marié et deux fois père, il a pas mal voyagé.
Ceci dit, il se met tout de suite au boulot, déclinant le programme qui les attend durant les prochains mois.

L’étudiante africain veut se taper le prof ?

Devenu moins intéressant à cause de sa situation matrimoniale, toutes les filles ont décidé d’oublier toutes les idées folles et coquines, tous les projets vis à vis de ce prof marié.
Sonia elle, ressentait déjà une attirance qui ne pouvait pas passer sans qu’elle n’ait eu au moins un flirt avec Joel.
À la fin du cours, notre étudiante africaine décide de passer à l’attaque, d’autant plus qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis son arrivée dans l’hexagone.
Alors que le prof classait ses affaires, Sonia s’avançait à pas de caméléon. Puis, se tenant debout, devant la table, elle dit au prof tout son intéret pour la comptabilité analytique avant de lui avouer qu’elle était assez faible dans cette matière, mais souhaitait s’améliorer.  » Et si je faisais des cours particuliers ? « , lui suggera-t-elle ? « Pas de souci », rétorqua le prof, « dès que vous vous êtes prête, appelez-moi, voici ma carte « .
Cette carte allait lui permettait d’aller plus vite en besogne et, dès le même soir, elle appela Joel.

Sonia D : Allô, c’est Joel ? Sonia, votre étudiante à l’appareil.

Malheureusement, la coquine ivoirienne est tombée sur la femme du prof qui avait l’air plutôt sympa. Sans se gêner, Sonia s’est mise à discuter avec elle, en parlant de ses origines, d’où elle vient et comment elle a été accuillie en France.

La dame l’a trouvé tellement sympa qu’elle n’a pas hésité à l’inviter dans son appartement, sans même consulter son époux.
Les plans de Sonia D était peut être à l’eau car, ce n’est pas trop son genre de coucher avec un homme quand elle a sympatisé avec l’épouse de ce dernier.
À chaque sortie des cours, elle récevait désormais un coup de fil de Lilianne, la femme de son prof de compta.
Le weekend qui a suivi, Lilianne a préparé un petit dîner et a invité Sonia.
Toujours aussi sexy, elle a porté une robe moulante sous sa doudoune.
Nous sommes à Lyon, au Sud, dans un super appartement confortable et bien décoré. Sonia entre, trouve l’épouse et son prof qui lui ont préparé un petit apéro alcoolisé d’entrée de jeu.
La dame, trentenaire et super jolie, portait une nuisette tandis que son époux montrait ses muscles saillants dans une tenue tout aussi légère. Le chauffage était à bloc et, ils ont proposé à l’invitée de retirer son manteau. Les yeux de Lilianne scintillaient et ne quittaient pas la poitrine de Sonia.
Laissant les dames causer entre elles, Joel fit un tour à la cuisine avant de revenir quelques minutes plus tard avec des petits fours en main.
Joel : Tu vois Lilianne ? Je t’avais dit que c’était une bombe et tu allais l’adorer !
Lilianne : C’est la meilleure !

Sur le coup, Sonia D ne comprennait absolument pas ce qu’il se passait.
Dans une ambiance assez chaude où les tabous étaient tombés, Lilianne lui souffla à l’oreille qu’elle a envie de la voir coucher avec son mari.
Tout devint clair dans la tête de la petite afro, qui n’avait jamais vécue pareille situation.
Hésitante, elle sera motivée par les caresses vicieuses de Lilianne qui avait des mains si baladeuses qu’elles ont fini sous la robe de Sonia.
Joel vint ensuite les rejoindre et, prise dans son propre piège, Sonia se laissa baiser par le couple.

Décoratrice d’intérieur défoncée par un client peu loquace

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Décoratrice d’intérieur défoncée farouchement par un client peu loquace
L’envie d’être autonome financièrement et professionnellement m’emmena à démissionner de mon emploi, généreusement payée, pour me lancer à mon propre compte dans un domaine qui me passionne, la décoration d’intérieur. Hélas, quelques sept mois après avoir créée mon entreprise, j’allais vite faire face aux réalités de entrepreneuriat. En effet, les prévisions escomptées n’étaient pas au rendez vous, il me fallait absolument conquérir une plus large clientèle pour maximiser mon profit, et solder les fournisseurs qui s’impatientaient. Un matin je reçus un coup de fil un monsieur qui avait consulté une de mes annonces et souhaitait en conséquence louer les services d’un décorateur pour l’embellir. Nous prîmes rendez-vous le même jour au alentour de 16 H à son domicile. Cette offre ne pouvait pas mieux tomber, mais bon je ne m’emballais pas tout de même car rien n’était encore conclu.

J’arrive chez lui, je sonne, une domestique vient m’ouvrir et m’installe dans un salon en m’indiquant que son patron prend une douche. Quelques minutes plus tard, le monsieur, d’une cinquantaine d’années se présente en peignoir. Il me propose une tasse de thé et nous rentrons dans le vif du sujet. Je l’écoute religieusement exprimer ces attentes, puis je lui suggère des propositions, croquis à l’appui, et une liste de shopping, bien sûr tout cela après avoir procédé à la visite intégrale de la maison. Mais avant de conclure le contrat il souhaite, dit-il, me poser quelques questions.
– Dites moi, vos affaires marches bien ?
– Honnêtement pas vraiment, je suis dans une phase critique qu’il me faut absolument surmonter en redressant mon chiffre d’affaires sinon, je serai bien contrainte dans cinq mois tout au plus de déposer le bilan.
– Ne vous décourager pas, l’échec et la difficulté sont des passages obligés en matière entrepreneuriat. Moi-même j’ai connu de tels moments dans mes débuts d’entrepreneurs. Aujourd’hui, mes activités génèrent un CA de 15 millions d’euros par an. A ce propos, j’ai acheté un hôtel particulier qui mériterait bien un coup de neuf en terme de déco. Cela vous intéresse ?
– Oh bien sur !!
– En plus de l’hôtel, j’ai d’autres bien immobiliers, que je vous pourriez aussi gérer… mais qu’avez-vous à m’offrir en retour ?
– Mon expertise et un rendu suffisamment qualitatif pour contenter vos exigences…
– C’est tout ?!
– Je ne vous suis pas…
– Dans la vie pour réussir, il faut savoir faire des sacrifices.

Le deal du client vicieux

Avant même que je ne lui demande ce qu’il veut concrètement en retour, il sort son pénis du peignoir. A ce moment, tout est clair dans ma tête, c’était trop beau, trop parfait ! Je panique, sur le fait, j’ai envie de lui mettre un poing dans la figure et dégager en vitesse. Mais, il était ma voie de sortie. J’ai alors laissé l’intérêt l’emporter sur la raison.
– Maintenant que tout est clair, déshabille toi et suce moi la queue.
– Nous n’allons pas en chambre ?
– Non, ici au salon c’est parfait mais…
– Cesse de poser des questions et fais ce que je te dis !

Baise en trio dans l’hotel particulier

C’est ainsi que timidement, je me mettais à poil, m’agenouillais devant le siège sur lequel il était assis pour ensuite lui tailler une turlutte. Pendant que je m’attelais à lui pomper le manche, il fit appel à la domestique, une jeune africaine, sensiblement du même âge que moi, 25 ans, pour se joindre à nous. Elle et moi, étions alors entrain de sucer la queue et les couilles du type en tandem jusqu’à ce qu’il jouisse sur nos visages. Pensant que c’était terminé, je l’entendis dire :  » roulez vous une belle pelle « . Comme des esclaves nous nous exécutâmes. Au bout d’un moment, tout le dégoût qui m’animait au début avait fait place à l’excitation. J’étais excitée par Aline, elle embrassait comme une déesse et ses caresses étaient divines. Sa langue parcourait chaque centimètre de ma peau avant de croiser le chemin de mon clitoris. Elle me fit jouir comme jamais auparavant. C’était bon, c’était fort !
Le type ayant retrouvée son érection après l’éjaculation, vint me défoncer la chatte en levrette pendant que je léchouillais le minou d’Aline. Ces coups de bites étaient puissants et douloureux. Après m’avoir dévissée farouchement la moule, il prit Aline le trou du cul d’Aline en chaud, qu’il défonçait avec la même énergie que ma chatte. Pendant ce temps, je servais à nouveau ma chatte à Aline…
Cette expérience fut la plus improbable de ma vie, en plus à partir de là, je suis devenue bisexuelle et aujourd’hui encore je sors avec Aline ! Et grâce à ce monsieur, ma société est prospère !

Libertins et bisexuels

Mon mari et moi sommes libertins. Et ça dure depuis plus de dix ans. En fait, nous avons commencé autour de nos vingt-cinq ans, dans l’espoir d’un plan à trois avec une nana, car je suis un peu bisexuelle. Et nous y avons pris goût.

Je sais bien que ça ne parle pas aux personnes fidèles en couple, mais nous sommes plutôt de la catégorie des libertins softs. Nous faisons des plans à trois et à quatre, c’est vrai, mais nous n’allons pas plus loin  : pas d’orgies incroyables, pas de trucs complètement délirants.

Un jour, un couple d’amis – ils le sont devenus par la suite, en fait, c’était notre premier rencart – nous a donné rendez-vous dans un coin à voyeurs de la région. Sur place, nous avons coquiné dans leur grande voiture alors que, derrière la vitre, se bousculaient les paysans (libertins ?) du coin qui voulaient être aux premières loges pour assister à notre partouze.


J’ai adoré  ! Le fait de me sentir observée pendant que le mec d’une autre me suçait les seins, pendant que je partouzais joyeusement avec mon mari et un autre couple, ça m’a littéralement transportée. Malgré l’inconfort du sexe à quatre dans une voiture, je mouillais comme une petite folle  !

Alors, naturellement, j’ai voulu réessayé. Mon mari, lui aussi, était partant  ! Malheureusement, ce vendredi après-midi là, l’autre couple n’était pas disponible, et nos autres connaissances libertines ne voulaient pas essayer le trip exhibitionniste.

N’écoutant que notre courage – ou plutôt notre libido – nous sommes donc partis tous les deux dans le coin à voyeurs. Une fois sur place, Alexandre a coupé le moteur. Il y avait là quatre ou cinq autres véhicules. Très vite, je me suis retrouvée seins nus, avec la bouche de mon mari qui me faisait pointer les tétons. L’atmosphère était à la limite du glauque, mais j’étais très excitée.

Les voyeurs ont commencé à se mettre en place. Hélas, notre voiture n’était pas aussi spacieuse que celle de nos amis de sexe et nous ne pouvions pas nous ébattre comme nous l’aurions voulu. Mon mari a sorti sa pine, et je l’ai sucé, là, devant tous ces mecs inconnus. L’un d’eux a tapé à la vitre. Il semblait vouloir nous dire quelque chose.

Libertins en goguette

Nous nous sommes lancés et avons décidé d’ouvrir les portières, trop heureux d’avoir un peu plus d’espace. J’ai continué à pomper mon homme, tandis que des mains, de l’autre côté, se baladaient sur mes fesses. Le type qui avait frappé à la vitre me pelotait les seins. Tout ce beau monde se branlait sans pudeur devant nous. Toutes ces bites m’excitaient.

Puis, la main du voyeur est descendue de ma poitrine aux couilles de mon mari. Ce dernier a eu un mouvement de recul. Il n’est pas homophobe, non, mais cela l’a surpris. Le voyeur m’a complimenté sur mes seins, et a fait de même sur la bite de mon chéri.

Il est allé jusqu’à demander  : «  je peux le goûter  ? ». Je n’en croyais pas mes oreilles. D’autant moins qu’il a joint le geste à la parole, et m’a remplacé sur la queue raide de mon homme. Lui ne disait rien, il se laissait faire. J’ai regardé le sexe de cet homme inconnu. Il était plus petit que celui de mon chéri, mais très large, très raide. J’ai tendu la main, et je l’ai branlé pendant qu’il suçait Alexandre.

Mon mari suce un mec en extérieur

Puis je me suis penchée vers l’oreille de ma moitié et lui ai demandé  : «  ça te plairait de le sucer  ? J’adorerais te voir faire une pipe à un homme…  ». Alexandre est toujours partant quand il s’agit de me faire plaisir, sexuellement parlant. Mais là, il a eu plus qu’une hésitation. Et puis il a regardé le vit de l’inconnu, qui coulissait entre mes doigts. Elle était belle, sa pine, bien plus que son propriétaire.

Dans un lent mouvement, Alexandre s’est tendu vers l’engin et, après un temps de suspens, l’a finalement pris en bouche. Le gars, trop heureux d’être ainsi turluté, est reparti vers mes seins et je suis parvenue à force de contorsions à reprendre le sexe de mon mari en bouche.

Le tableau que nous formions devait être assez incroyable  ! Moi, j’étais dans un état d’excitation ultime. Le mec qui s’ingéniait à me caresser le clitoris, par derrière, a du s’en rendre compte très vite. J’avais toujours rêvé de voir deux hommes se sucer l’un l’autre et là, c’était mon mari qui creusait les joues sur une bite.

Et oui, messieurs, vous qui vous précipitez sur les films de lesbiennes, sachez que certaines femmes, elles aussi, aiment voir deux hommes se faire quelques mamours libertins  !

Ma femme aime que je sois bisexuel

«  Et si on se faisait un petit plan à trois pour commencer  ?  ». Je n’arrivais pas à croire que ma femme venait de dire ça. Un plan bisex ? Cela faisait déjà quelques mois qu’elle me bassinait avec ses blagues sur l’échangisme, mais là, soit elle était sérieuse, soit elle allait trop loin. Nous étions au beau milieu de la brasserie, j’avais l’impression que tout le monde l’avait entendue.

Ma fourchette est restée suspendue au moins une minute entre mon assiette et ma bouche, mon regard a fait le tour de la salle de restaurant pour vérifier la réaction des autres clients. Rien, heureusement. J’ai ensuite regardé Annie. Elle était sérieuse. J’ai décidé de la prendre aux mots  : «  avec un homme ou une femme, ton plan cul à trois  ?  ». Elle ne s’est pas dégonflée, bien au contraire  : «  écouté, chéri, je sais quel genre de sites tu regardes sur le net, je crois qu’avec un homme bisexuel, ce serait le mieux. Oui un plan bisex avec un homme. ».


Cette fois, j’avais failli m’étouffer avec la bouchée de haricots verts que j’avais dans la bouche. En même temps, je n’avais jamais caché à ma chérie une certaine curiosité pour le sexe entre hommes. Pas de quoi s’alarmer. «  Et tu envisages ça comment, on peut savoir?  ». Elle me regarda dans le blanc des yeux  : «  on va sur un site, on trouve le mec, on l’invite chez nous et voilà  !  » me répondit-elle avec le plus grand calme, en croquant dans son sandwich.

Quand ma femme décide de quelque chose, il ne lui faut jamais longtemps pour mettre ses projets à exécution. Non seulement elle a trouvé un beau mec susceptible de nous plaire à tous les deux, non seulement elle l’a invité un vendredi soir à la maison, mais elle m’a aussi dégoté une tenue spéciale pour notre soirée trioliste  : un petit short ultra-moulant et un haut en résille noir.

Le soir dit, j’ai mis ma tenue provoc, et ma femme des vêtements qu ressemblaient plutôt, à mon humble avis, à des sous-vêtements. Le type est arrivé, c’est ma femme qui est venue lui ouvrir. Il était en tenue de bureau, genre complet, et, homophobie mise à part, j’avais franchement l’air d’un PD du Marais à côté de lui.

Le gars avait l’air très à l’aise, moi pas du tout. Il s’est assis entre nous sur le sofa, nous avons bu un verre. Personnellement, j’avais envie de boire un truc assez fort. Les choses n’allèrent pas plus loin pendant près d’une heure. C’est ma femme qui lança les hostilités  : «  si tout le monde se plaît, on peut peut-être passer dans la chambre  ?  ». A croire qu’elle avait fait ça toute sa vie.

Nous sommes donc allés dans la chambre conjugale et nous nous sommes déshabillés, un peu chacun de notre côté. L’atmosphère était tendue. Le gars était beau, bien gaulé. Il a commencé à s’approcher de ma femme. Je les ai regardés se peloter, se toucher, s’embrasser même. Elle a pris sa queue raide en main. J’avais la trique. Elle m’a fait signe de venir les rejoindre. Pour mon premier trip bisexuel ?!?

Je me suis retrouvé à genoux devant le zob du type, que ma femme a planté dans ma bouche sans autre forme de procès. Ma première pipe. J’ai fait de mon mieux, en faisant coulisser la hampe entre mes lèvres, en jouant de la langue sur son frein. Bref, j’ai fait tout ce que moi, j’aime qu’on me fasse quand on me fait une turlutte. Jusqu’à me surprendre à creuser les joues.

Révélation : j’aime être bisex(uel) !

A vrai dire, j’aimais le sucer, d’autant plus que ma femme me suçait à mon tour. J’adore quand elle me pompe, c’est une reine de la fellation. Nous avons échangé les rôles. Il m’a sucé, pendant que je léchais le con de ma chérie. Incroyable le nombre de possibilités qui existent, rien qu’en sexe oral, quand on est trois  !

Après plus d’une heure de ces jeux de langue, j’ai eu envie de prendre ma femme, de la baiser, comme pour montrer à l’autre qu’elle était à moi. Elle a grimpé sur mon érection, dos à moi et, tout en me chevauchant, elle s’est occupée de la bite de notre troisième larron. Au bout d’un moment, il est venu lui agacer le clito avec sa bouche. Il descendait jusqu’à mes couilles, qu’il suçait divinement bien.

Puis, ce fut à son tour de la niquer, en levrette, et la bite encapotée. Je me suis placé face à la bouche de mon épouse qui, tout en se faisant limer, m’a fait jouir au fond de sa gorge. Lui aussi a joui fortement, puis nous nous sommes occupés tous les deux d’elle, jusqu’à son orgasme.

Pour cette première fois bisexuelle, je ne suis pas allé très loin. Mais ma femme m’a promis d’autres rendez-vous de ce genre avec des inconnus.

Coup de foudre pendant une partouze

Par Axel, 25 ans – Peut-on tomber amoureux pendant une partouze ? A priori, non, c’est même très fortement déconseillé. C’est pourtant bien ce qui m’est arrivé, l’été dernier, au Cap d’Agde, dans le quartier naturiste de tous les vices.

J’étais en goguette dans la capitale de l’échangisme avec  » ma pote de partouzes  » – nous aimons nous appeler ainsi – la jolie Salima, une copine de fac avec qui je traîne les clubs échangistes. Rien de sérieux entre nous : elle n’aime pas aller en club libertin seule, je préfère y aller accompagné d’une demoiselle. A vrai dire, c’est elle qui freine des quatre fers pour que notre relation ne prenne pas un tour trop sérieux.

Donc, disais-je, au Cap d’Agde, le club le plus célèbre organise tout l’été des après-midis  » mousse « . Imaginez un peu : des couples entièrement nus, tous libertins, se trémoussent au son de la techno dans de la mousse. Vous voyez un peu l’ambiance que ça peut donner ?

Nous étions donc là, Salima et moi, à fricoter avec tout ceux et toutes celles qui voulaient s’échanger quelques caresses, quelques baisers et un peu de volupté. Debout, sous le cagnard, le corps plein de mousse, j’ai caressé des seins, des fesses, des minous, on m’a branlé la bite de toutes les façons imaginables. Quand Salima et moi allons à cette fête, nous ne  » trions  » pas. Les jeunes, les vieux, les moches et les beaux couples, peu importe, du moment qu’on s’amuse et qu’on se fait du bien.

Sauf que, au bout d’une heure de ce traitement, je suis épuisé. Contrairement à d’autres mecs, je peux bander longtemps, mais une fois que j’ai joui, c’est fini pour moi pour quelques heures. On alterne donc entre le bain de mousse et de sexe et le repos au bar du club.

C’est là que l’événement s’est produit. Je venais de me faire sucer en gorge profonde par une belle plante suédoise ou danoise – je ne sais pas – et j’ai proposé à Salima de faire une pause. Nous étions donc en train de quitter la piste de danse pleine de mousse quand, tout à coup, une main s’est agrippée à la mienne. Je me suis retourné, sûr et certain de reconnaître une ancienne camarade de jeux érotiques.

Elle se tenait là, nue comme un ver, belle comme le jour, plus jeune que moi sans doute, avec un serre-tête en forme de lapin playboy dans les cheveux. Elle m’a roulé une pelle langoureuse. Je l’ai regardé dans les yeux. Elle avait un air heureux sur le visage, un bonheur mêlé de timidité. Elle m’a embrassé à nouveau, m’a caressé le dos et le torse, d’une manière plus tendre que sexuelle.

Je me suis collé à elle, à sa jolie poitrine plutôt menue. Elle m’a parlé à l’oreille, en français, mais avec un fort accent. Elle m’a dit qu’elle s’appelait Kristina, qu’elle était venue seule et qu’elle m’avait repéré depuis longtemps dans la mousse. Salima nous a rejoint, a commencé à caresser les seins de la donzelle, qui lui a rendu sa caresse.

Tous les trois, nous nous sommes longuement embrassés dans la mousse. Nous sommes pelotés, masturbés réciproquement, avec une fougue qui contrastait avec la lascivité ambiante. Puis nous sommes sortis de la mousse pour nous rendre sur un des lits où partouzait une bonne demi-douzaine de couples.

L’amour dans la partouze !

Malgré la promiscuité de la partouze, nous étions comme dans une sorte de bulle, isolés tous les trois du reste du monde. A trois, on le sait, les possibilités sont multiples, mais je crois bien que nous les avons toutes épuisées – ou presque – cet après-midi là. Salima a tout de même profité d’un moment de répit pour me demander si je connaissais déjà Kristina avant. Je lui ai dit ce qu’il en était, elle n’a pas eu l’air de mon croire.

Car ma complicité érotique avec la jolie libertine était évidente, comme naturelle. Je savais quand elle avait envie que je la prenne, quand elle voulait plutôt des caresses joueurs ou tendres. De toute façon, j’avais envie des mêmes choses qu’elle au même moment. Tant et si bien que Salima a fini par se sentir de trop et est partie coquiner avec un autre couple, non loin de là.

Lors d’un orgasme, Kristina a lâché un « je t’aime », dans un français approximatif. Mais j’avais bien compris, et j’étais d’accord. Toute la semaine suivante, nous sommes restés tous les trois, Salima qui s’amusait de notre idylle et en profitait pour partouzer avec des hommes seuls et d’autres couples.

Me voilà maintenant comme un ado attardé qui attend l’été suivant dans l’impatience de revoir son amour de vacances. Elle reviendra en août. Et partouze ou pas, j’y serai !

L’ex de mon mec

Avez-vous déjà léché un cul ? Je veux dire lécher vraiment un cul, un anus, pas seulement embrasser vaguement une paire de fesses ? Ça vous dégoûte ? Moi aussi, ça me faisait cet effet là, jusqu’à ce que je rencontre Sophie, l’ex de mon mec, une nana vraiment pas les comme les autres.

Je vis depuis deux ans avec Evan, avec qui je m’entends super bien, sur tous les plans, y compris sexuels. Nous sommes très complices, nous parlons de tout, nous ne sommes jaloux, ni l’un ni l’autre. Enfin moi, si, un peu : de Sophie, son ancienne petite copine qui, apparemment, était encore plus dévergondée que moi. Elle avait surtout un avantage que bien des gars enviaient à Evan : Sophie était bisexuelle, et partageuse !

Combien de fois Evan m’a t-il raconté comment cette vicieuse ramenait ses conquêtes féminines à la maison ? Parfois, il devait rester voyeur. Il m’a souvent parlé d’un double-dong qu’elle utilisait avec ces nanas. D’autres fois, il avait le droit de participer, si l’autre fille était bisexuelle elle aussi. Je veux bien comprendre que ça laisse des souvenirs impérissables chez un gars.


Toujours est-il qu’un soir, alors que je rentrais du taf, voilà qu’Evan m’annonce, tout sourire, que Sophie va nous rendre visite, le lendemain. Il l’a invitée à dîner. Je suis contente, mais aussi un peu méfiante. Comment réagir, cette nana m’impressionne quand même un peu. Je sais, je vais prendre les devants. Evan rêve d’un plan à trois, je vais lui donner ce qu’il veut.

Et voilà comment je me suis retrouvée à quatre pattes sur le lit, la bite de mon mec au fond de la gorge, et la langue de Sophie qui fouille mon anus. Evan est aux anges, Sophie un peu surprise que j’ai été à l’initiative de ce plan cul. N’empêche que sa bouche sur mon cul, ça me procure des sensations assez inespérées.

Evan n’en perd pas une miette. Sa meuf et son ex sont en train de se gouiner pendant que lui se fait pomper la teub. Vous parlez d’un panard ! Mais voici que Sophie entreprend de reprendre les choses en main. Elle me fait m’allonger sur le dos et… mais qu’est-ce qu’elle fout ? Elle vient carrément s’asseoir sur mon visage !

Et moi gentiment, je tire la langue et je lui lèche l’anus à mon tour. Sauf que cette salope tortille du cul comme une dingue, elle m’étouffe à moitié. Et surtout, je ne vois pas ce qu’elle fait avec mon mec ! J’ai l’impression que ces deux-là se roulent des pelles pendant que je suis à l’ouvrage, en train d’offrir une feuille de rose à l’ex de mon mec.

N’empêche que j’aime ça. Je croyais que ça allait être dégueu, mais pas du tout. Son petit trou palpitant est un vrai régal. Ça m’excite même carrément de bouffer le cul d’une fille. Mais qu’est-ce qui se passe ? La voici qui m’écarte les cuisses. Elle se baisse et plonge la tête jusqu’à ma chatte.

Je jouis, le nez dans le cul de l’ex de mon mec !

Waouh ! Mais elle lèche trop bien, cette petite cochonne, elle va me faire grimper aux rideaux en moins de temps qu’il ne faut pour le dire ! C’est incroyable ! Je vais jouir avec son cul au niveau de mon nez ! Oh, putain, l’orgasme part, je ne me contrôle plus, je jouis comme une dingue !

Quand je reprends mes esprits, Sophie s’est à nouveau assise sur ma bouche et moi, je tourne ma langue dans tous les sens pour lui rendre la pareille. Les deux, au dessus de moi, rigolent de la puissance de ma jouissance.

On m’ouvre à nouveau les cuisses. C’est Evan qui se fait sa place. Il me pénètre brutalement, sa longue tige se carre au fond de moi et commence à me limer. Et moi, je continue à bouffer le cul de Sophie, qui, en bougeant un peu, parvient à me donner aussi sa fente à lécher. Et Evan qui lime, qui lime et qui lime encore !

Je devine qu’il lui bouffe les seins tout en me niquant. Rien que l’image que je me fais dans la tête me la fait perdre, la tête. Je jouis encore, puis c’est autour de Sophie qui, prise de spasmes, manque de me péter le nez ! Pour une première fois bisexuelle, je déguste, dans tous les sens du terme.

Je sens Evan prêt à gicler à son tour, je le connais bien ce petit salaud. Il me baise de plus en plus fort, de plus en plus loin, et de plus en plus vite. Un véritable athlète olympique ! Ça y est, cette fois, il jouit. Mais il sort de ma chatte et balance tout son jus sur mon ventre, et sur les nibards de Sophie.

Cette dernière me libère. Elle a du sperme partout sur la poitrine. Ah la salope ! Cette éjaculation était pour moi, je n’ai jamais dit que j’étais prête à la partager avec elle !

Je n’ai pas osé lui sucer la bite de ce bisexuel

Patrice, 41 ans.

Ma femme et moi formons un couple heureux, libre et libertin. D’aussi loin que je me souvienne, nous avons toujours pratiqué ensemble l’échangisme, le mélangisme, la partouze et la partie-carrée.Vous me direz, avec une vie sexuelle aussi bien remplie, ce gars-là va avoir des tas de choses à nous raconter.

Pourtant, c’est juste un épisode de notre vie échangiste que je vais vous raconter. Nous sommes dans une région où il existe tout un tas de clubs libertins, de saunas mixtes et autres établissements échangistes. A tel point que, en douze ans de pratiques libertines, nous n’avons même pas eu le temps de les visiter tous.

Il faut dire que nous avons nos chouchous, ces clubs où on sait que l’ambiance est chaude. Néanmoins, quand un couple d’amis échangistes nous a conseillé un sauna libertin situé à seulement 40 km de chez nous, ça nous a fait envie. Nous sommes donc allés sur le site de l’établissement en question pour savoir à quelle sauce nous allions être mangés !


Hélas ! L’agenda du sauna indiquait, pour le samedi soir suivant : soirée bisexualité. Pour ma femme, pas de souci : c’est sa bisexualité qui l’a conduite à devenir libertine. Mais moi, franchement, je n’ai pas plus envie que ça de rouler des pelles à des garçons. Je n’ai jamais rien eu contre les gays, mais pas au point de le devenir moi-même.

J’étais déjà sur le point de fermer le site, d’avoir voir le programme des autres clubs de la région, quand ma femme s’est mise à essayer de me persuader. Il faut vous dire qu’elle a toujours fantasmé sur moi suçant la bite d’un autre homme. « Après tout, tu ne seras obligé de rien… Allez, on essaie, on verra bien ! ».

Le samedi soir, nous arrivons sur place. Le sauna est naturiste. On y trouve que des couples. On va dans le jacuzzi. Là, deux couples se font des mamours. Les hommes et les femmes, les femmes entre elles, rien que de très classique… mais aussi les hommes entre eux. Rien de hard, mais tout de même ! Je suis un peu choqué, surtout que ni ces dames, ni a fortiori ces messieurs, ne me tentent.

Plus tard dans la soirée, nous sommes abordés par un jeune couple, de 25 ou peut-être 30 ans. Elle est extrêmement jolie, lui un peu moins. Je me demande comment il a fait pour dégoter une telle bombe. Je baisse les yeux jusqu’à sa bite et je comprends. Le jeune homme est monté comme un mulet ! Sa queue est impressionnante, d’autant qu’elle est retenue par un cockring rouge fluo du meilleur effet.

Bref, après quelques papouilles dans le hammam, nous décidons de les suivre dans un des nombreux coins-câlins de l’établissement qui, effectivement est très sympathique. Là s’ensuivent les premiers préliminaires. Je lèche la demoiselle, monsieur fait de même avec la chatte de ma femme, puis ce sont des fellations, des 69… Jusqu’à ce que ces dames coquinent un peu ensemble.

Chouette, Maryline (c’est le prénom de la demoiselle) est une bi « active », comme on dit dans le milieu libertin : une nana qui aime vraiment le sexe entre femmes, pas juste pour faire plaisir à son mari. Ma femme doit être contente… Mais qu’est-ce qui se passent ? Alors que je regardais les deux gouines s’amuser ensemble, Alex (c’est son prénom à lui) a pris ma bite en main, et le voici qui me suce !

Je ne peux pas dire, je bande comme un âne. Mais il aurait quand même pu me demander mon avis. Du coin de l’œil, sortant un peu sa tête des cuisses de Maryline, ma femme admire le spectacle. C’est que, en plus, il suce bien ce petit cochon. Et il se branle tout en me taillant une pipe en gorge profonde. Moi, j’essaie de me concentrer sur le spectacle saphique mais rien à faire : mes yeux filent vers l’énorme bite d’Alex, qui se paluche sans complexe en creusant les joues sur mon sexe.

Les femmes se rapprochent. Une partouze à quatre comme je les aime : Alex baise ma femme, Maryline vient s’empaler sur ma bite, après y avoir placé une capote, on s’embrasse, on se lèche, on se suce. La queue d’Alex est vraiment très impressionnante : pas seulement grosse et longue, mais belle, j’ose le mot !

Bisexuel : il suce ma bite et la chatte de ma femme !

Et il n’a aucun problème avec la bisexualité. Il passe des seins de sa meuf au con de ma femme, puis à mon gland comme si de rien n’était. Et moi, je suis là, un peu con. Alors que tout le monde a déjà joui, plusieurs fois pour ma femme, je me retrouve avec mon sexe planté dans la bouche d’Alex, tandis que les deux femmes se roulent des pelles sur mes couilles !

Ça y est : je gicle au fond de la gorge du jeune libertin. Et dire que moi, de mon côté, je n’ai même pas osé le sucer, alors que j’en avais envie. La prochaine, c’est certain, je ne ferai pas ma chochotte !

La femme de mon collègue

Jacques, mon collègue de bureau, ne pouvait pas ignorer que je bandais pour Sonia, sa femme, une superbe brune à la peau mate et pour ses incroyables nibards, qu’elle exhibait toujours fièrement grâce à des pulls moulants ou de plongeants décolletés. De dix ans mon aîné, il m’avait pris sous son aile à mon entrée dans la boîte, à a fin de mes études et, depuis, nous étions devenus très amis.

Une passion pour la jeunesse, chez lui, sans doute, car Sonia, quant à elle, n’avait pas trente ans quand cette aventure m’est arrivée. J’étais invité à dîner chez eux. Célibataire depuis un an, je partageais avec Jacques mes aventures d’un soir, et lui se régalait de mes exploits horizontaux. Il faut dire qu’il avait l’air d’être un chaud lapin, même s’il ne m’avait jamais avoué quelque infidélité que ce soit vis-à-vis de sa jeune épouse.

Quelle ne fut pas ma surprise quand je me suis aperçu que nos conversations paillardes étaient arrivés aux oreilles de Sonia, qui en a rigolé avec nous durant tout le repas. Elle était splendide, le sourire aux lèvres, les dents blanches, la bouche pulpeuse, les seins comprimés et saillants dans un petit haut dont je ne saurais dire la matière.

Une fois au dessert, un peu gêné de voir étaler ma vie privée devant la jeune femme, j’ai essayé de renverser un peu la situation, en leur demandant à leur tour, de me raconter les détails de leur vie érotique. « Oh, non, on ne peut pas, tu serais choqué ! » me répondit de but en blanc Sonia, avec un air vicieux dans le regard. Jacques eut l’air un peu gêné, et il parvint à reprendre le contrôle de la conversation.

J’étais tout de même un peu troublé par l’assertion de la belle brune. Jacques m’aurait-il caché des choses ? Je les imaginais déjà baisant dans les bois, dans des toilettes d’un restaurant ou où sais-je encore ? Avec ces idées me vinrent quelques images fantasmées de la poitrine de Sonia, nue dans une cabine d’essayage, en train de pomper la bite de son homme.

Je suis donc revenu à la charge. Et, très vite, le vin aidant, les langues se sont déliées. J’ai été estomaqué d’apprendre que Sonia et Jacques fréquentaient le milieu échangiste de la région. Ils connaissaient tous les clubs, et pouvaient dire quelle vendeuse, quelle boulangère et même quelle fliquette « en était ».

Jacques ne m’avait pas raconté tout ça . Mon esprit s’est mis à vagabonder, je me voyais en train de prendre sauvagement le beau cul de Sonia sur la piste de danse. Les yeux troublés par l’alcool, Jacques semblait lui aussi à ses rêveries. D’un ton provocateur, il me lança : « et encore, collègue, tu ne sais pas tout ! ».

Il avait su retenir mon attention. De quoi parlait-il ? Je devais en apprendre d’avantage. « Je suis bi, et il n’y a pas que Sonia qui suce des bites ! ». Ça y était, j’avais compris, ils me faisaient tous les deux une blague, depuis le début ! Je suis alors parti dans un éclat de rire.

Un peu vexé, Jacques insista, mais je ne voulais pas le croire. Il s’est alors levé, s’est approché de moi, m’a caressé la joue, puis l’épaule, puis le torse… Oh ! Où est-ce qu’il croit aller comme ça ? Je ne savais pas comment me comporter, surtout que Sonia se levait à son tour. Et alors que la main de Jacques approchait dangereusement mes parties intimes, je me suis retrouvé avec la poitrine de sa femme juste à hauteur de mon nez.

Elle a retiré son haut, dévoilant ses seins nus. Elle me les a carrément collés dans la bouche. Plus bas, Jacques s’évertuait à sortir ma bite de ma braguette, mais je bandais déjà tellement dur qu’il eut tout le mal du monde à extraire l’objet de sa convoitise de sa cachette. Une minute passa et je me suis retrouvé la tête entre les gros seins ronds de Sonia et la bite dans la bouche de Jacques !

Baise avec mon collègue et sa femme !

Le pire, c’est qu’il suçait vachement bien ! A croire que ce n’était pas la première queue qu’il fourrait dans sa bouche ! Ils ne m’avaient donc pas menti, ces deux cochons là ! En deux temps, trois mouvements, nous nous sommes retrouvés tous les trois au lit, en train de nous lécher et de nous sucer les uns les autres. J’ai même pris le membre de Jacques -mon collègue !- en bouche !

Ils m’ont expliqué qu’ils ne pratiquaient pas la pénétration, anale ou vaginale, pendant leurs jeux libertins. Ils gardaient ça pour leurs jeux amoureux plus classiques. Mais ils m’ont proposé de sortir un de ces soirs, tous les trois ensemble, en club échangiste. Depuis, nous y allons souvent, en trio.

Trio sexe en club – 2ème partie

Le temps était comme suspendu à notre trio de sexe… Comme si Alain attendait un geste de ma part. Allais-je refuser ses caresses ou les lui rendre ? J’ai choisi finalement la solution intermédiaire, en me précipitant sur les seins de sa femme, que j’ai embrassés longuement. Très vite, la libertine s’est retrouvée torse nue, avec son mec qui s’occupait de son sein gauche et moi de son sein droit.

Alain s’est alors déshabillé entièrement. Il était très beau, très sculptural et je ne pus m’empêcher de remarquer la longueur de sa tige bandée. Je l’imitais, tout comme Olivia d’ailleurs, et nous nous sommes très vite retrouvés tous les trois totalement nus, allongés les uns contre les autres sur le petit lit de l’alcôve, qu’Alain avait fermée à clé.

Je me mis alors mis en tête de lécher la jolie chatte épilée de près de la brunette, alors qu’elle-même léchait et suçait le vit de son homme. Rapidement, elle fut prise de mouvements incontrôlés du bassin, preuve que je ne m’y prenais pas si mal, pour un quasi-puceau.

Mais alors qu’elle était sur le point de jouir, Alain repartit à l’assaut. Je sentis ses lèvres se poser sur ma bite dure comme de la pierre. Je ne me sentais pas bisexuel mais à qui voulais-je mentir ? J’avais envie d’Alain autant que d’Olivia et, après tout, personne n’en saurait jamais rien, à part nous trois.

Sexe trio

Olivia eu un premier orgasme sous l’effet de ma langue sur son clitoris. L’occasion pour tous les trois de reprendre un court instant nos esprits. Puis, je fus celui qui reprit l’initiative. J’ai pris la longue verge d’Alain entre mes doigts et me suis mis à le caresser lentement. Il était tout sourire et se pencha vers moi pour m’embrasser à mon tour.

Je n’eus ni la force, ni l’envie de refuser ce premier baiser entre hommes, d’autant moins qu’Olivia en profitait pour me prendre en bouche. Ce fut alors un festival de sexe oral : moi qui léchait Olivia, la brunette qui suçait son mari, Alain qui me suçait et, pour finir ce cercle infernal, moi qui suçais le libertin.

Oui, j’ai pris la bite de ce mec dans ma bouche. Pas juste pour lui rendre la pareille mais parce que j’en avais envie, là, sur l’instant et je ne regrette absolument pas de l’avoir fait. Pendant de longues heures, nous nous sommes caressés dans cette alcôve de club libertin, tous les trois et nous nous sommes donnés du plaisir. Pendant de longues heures, j’ai été au bord de la jouissance.

Cette expérience bisexuelle a été non seulement l’une des plus érotiques de toute ma vie, mais elle a aussi changé mon rapport au sexe. Aujourd’hui, je me définis toujours comme hétéro, mais je ne me refuse rien. Si jamais un mec venait à me plaire comme Alain ce soir-là, je ne vois aucune raison de m’interdire de prendre du plaisir avec lui.

Et je me souviens toujours avec émotion de ce moment où, branlé par Alain et sucé par Olivia, j’ai joui à en perdre connaissance, sous les caresses de ce couple trioliste qui m’avait découvrir tant de belles choses lors de ce trio sexe…