Infidèle, je le suis devenue…

Il s’en est fallu de peu. A quelques minutes près, mon mari débarquait dans la chambre et me retrouvait en train de me faire tringler en levrette par Henri. Infidèle… Si on m’avait dit ça… Si on m’avait dit que j’allais vivre ce genre d’aventures, genre théâtre de boulevard avec amant dans le placard et tout le toutim…

Pourtant, j’ai craqué. Et même pas pour un beau mec. Car Henri est tout sauf un Apollon. Moi, la fidèle, la prude, j’ai été touchée par ses compliments récurrents, toujours bien sentis, toujours fins. Henri est un collègue de bureau. Il doit avoir quinze ans de plus que moi.

Il faut que je vous explique. Depuis quelques temps, mon homme me délaissait sur le plan sexuel. Oh, je sais, ça n’est pas une excuse, mais quand, de l’autre côté, un autre vous couvre de petites attentions et de remarques toutes plus gentilles les unes que les autres, une femme a vite fait de perdre pied.

Alors, je l’ai invité, après le boulot, à prendre un verre à la maison. Je savais bien ce qui allait se passer, et lui aussi. Je lui ai proposé le fauteuil, en face de moi, mais il a choisi de s’asseoir à mes côtés sur le canapé. Il ne lui a pas fallu cinq minutes pour poser une main sur ma cuisse laissée nue par une jupe à peine courte.

Dingue, l’effet qu’il me fait. Peut-être ce mélange de délicatesse et d’assurance, cette assurance qui a fait remonter sa main sous ma jupe, à l’orée de mon intimité. Mon mari était retenu au bureau pour toute la soirée, je ne voyais – à ce moment précis – aucune raison valable de ne pas céder aux avances de mon collègue.

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Il s’est penché vers moi, m’a volé un baiser et a collé une main contre ma poitrine palpitante. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous sommes retrouvés tous les deux sur le lit conjugal, la langue d’Henri sur mon petit bouton, le sexe d’Henri entre mes lèvres brûlantes.

Je l’ai laissé faire, tout simplement. Je l’ai laissé m’installer à quatre pattes sur le couvre-lit, je l’ai laissé prendre un préservatif dans sa poche, je l’ai laissé me prendre. Me défoncer en fait. Car Henri avait été gâté par la nature. Une énorme bite que son physique de comptable chauve et un peu bedonnant n’aurait jamais laissé soupçonner.

Sa queue tapait au fond de moi, dure, épaisse et longue, et je trouvais refuge en plantant mon visage dans les draps, comme si ça n’avait pas été vraiment moi. Pas vraiment moi qui me faisait bourrer comme une femme infidèle, pas vraiment moi qui couchait avec ce monstre de sexe qui allait bientôt me faire jouir de ses coups de queue toujours plus virils et décidés.

Puis, j’ai entendu une voiture dans l’allée. Je savais bien que c’était lui, mon mari, qui rentrait plus tôt que prévu. Mais le plaisir que me procurait la bite d’Henri au fond de moi m’empêchait – physiquement ! – de lui demander d’arrêter. Infidèle encore…

Henri a joui – et moi aussi – quand la porte de l’entrée s’est ouverte. Nous nous sommes rhabillés en quelques secondes et il a pris la fuite par la fenêtre. Il devait être habitué à ce genre de situations. Pas moi. Quand je descendis pour rejoindre ma moitié, j’avais l’impression que tout en moi trahissait mon infidélité.

Première expérience lesbienne à 50 ans

Je suis une mère de famille épanouie de 50 ans, 1 mètre 75, encore bien conservée pour mon âge. Avec le temps mes seins ont pris un peu de volume et ils sont maintenant bien plus beaux et gros que dans ma jeunesse. J’ai le cul encore ferme et de longues jambes fuselées que m’envient beaucoup de femmes plus jeunes que moi.

 J’ai eu quatre enfants qui sont grands maintenant. Seul le petit dernier, Benjamin, est encore à la maison. Les autres sont loin, partis pour le travail ou les études. A 19 ans, Benjamin est étudiant en première année de fac de droit. Il a une copine depuis peu, Mylène, qui a le même âge que lui. C’est une petite brune BCBG issue d’une bonne famille de la ville.

Mylène est venue chez nous et c’est là que ma vie a basculé. Je lui ai dit que mon fils n’était pas là mais elle m’a avoué que c’est moi qu’elle voulait voir. Je n’ai pas compris tout de suite ce qu’elle voulait mais lorsqu’elle s’est approchée suffisamment près pour poser ses lèvres sur ma bouche, il n’y avait plus d’équivoque possible. La petite vicieuse me désirait et elle était bien décidée à me séduire.

Le ciel m’est témoin que j’ai essayé de résister. Mais sa langue était si douce et son baiser si insistant que j’ai fini par craquer. La barrière de mes lèvres s’est entrouverte et elle est entrée en moi, se collant par la même occasion à mes gros nichons. Je sentais contre ma poitrine ses tétons déjà durs. J’étais plus troublée que je n’aurais dû.

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Nous étions debout.  Mylène m’avait poussée contre le plan de travail de la cuisine où nous nous trouvions. Son genou est naturellement venu se coincer entre les miens et je me surpris à frotter ma chatte contre sa cuisse. Elle faisait de même de son côté, ma jupe était largement remontée sur mes jambes.

Nous nous embrassions maintenant comme des dingues. Je ne savais plus très bien ce que je faisais, même si un sentiment de culpabilité hantait encore mon esprit. Il fut vite oublié lorsque Mylène commença à masser ma poitrine durcie par le plaisir. Mes sens s’affolaient. J’étais en train de me faire gouiner pour la toute première fois par une jeunette qui aurait pu être ma fille.

C’est moi qui ai entraîné Mylène jusqu’au salon. Là, elle ma repoussée dans un fauteuil et s’est déshabillée complètement sous mes yeux.  Puis elle s’est agenouillée devant moi et, d’un geste autoritaire, a écarté mes cuisses avant de venir enfouir son visage entre mes jambes .Sa langue s’est posée sur mon con brûlant et elle m’a léchée comme jamais encore on ne me l’avait fait. Moi qui suis toujours un peu gênée quand mon mari veut me caresser de la sorte, j’ai accepté sans honte de donner mon calice à la bouche juvénile de l’étudiante.

Plus tard, je lui ai rendu sa caresse. Tête-bêche nous avons joui l’une de l’autre en même temps, alors que nos doigts remplissaient nos chattes détrempées.  C’est ainsi que je suis devenue gouine à 50 ans.

Ma belle-mère me tripote la bite

Ma belle-mère est une vieille cochonne. Je m’en doutais depuis longtemps mais j’en ai maintenant acquis la certitude.  Déjà quand elle avait un petit coup dans le nez et qu’elle se laissait aller en paroles je soupçonnais ses penchants pour le sexe, mais aujourd’hui, après le comportement qu’elle a eu envers moi, le doute n’est plus permis, c’est une bonne salope.

C’était il y a une semaine environ. La famille était réunie pour la communion de ma nièce, la filleule de ma femme. Nous étions à table et le repas était déjà bien avancé. Nous nous apprêtions à prendre le fromage. J’étais assis à côté de ma belle-mère, face à ma femme.

Avant de continuer, un petit mot tout de même pour vous présenter Laurette, la fameuse belle-mère en question. C’est une femme de 55 ans (j’en ai 42), encore très bien conservée. Ce qui frappe tout de suite chez elle, c’est sa poitrine opulente et son joli cul perché sur de longues jambes bien dessinées. C’est une femme élégante, une petite bourgeoise mais qui s’entretient.

Une fois le fromage servi, j’ai senti une main se poser sur ma cuisse droite. De la façon dont ça se passait, ce ne pouvait qu’être celle de Laurette. Je n’y ai pas porté particulièrement attention sur le moment, mettant ce geste sur le compte d’une marque d’affection, alors qu’elle continuait à parler avec mon beau-frère, comme si de rien n’était.

Pourtant, au fil des minutes, la main de ma belle-mère se faisait de plus en plus insistante. Et puis, elle frottait aussi son pied contre le bas de ma jambe. Ca commençait à faire beaucoup. J’étais un peu gêné mais je me voyais mal lui faire une remarque devant tout le monde. Alors j’ai pris son poignet et j’ai posé sa main vers sa propre cuisse. Quelques instants plus tard, elle était de retour.

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Cette fois-ci Laurette ne se contenta pas de simplement laisser reposer ses doigts sur ma cuisse, ces derniers frottaient ma peau à travers le pantalon et se rapprochaient dangereusement de la bosse qui, dans mon slip, s’était peu à peu formée malgré moi. Je fus stupéfait lorsque la main de Laurette se fit enveloppante autour de mon membre et me le serra délicatement mais tout de même avec une certaine fermeté. Inutile de préciser que pendant ce temps, son pied continuait son manège sous la table.

Je bandais maintenant sans retenue. C’était impossible de me retenir d’ailleurs. Ma belle-mère avait ouvert la braguette de mon pantalon de costume et flattait ma queue à travers le tissu de mon slip. Elle me branlait littéralement, faisant glisser ses doigts le long de la hampe puis revenant jouer avec son puce sur mon gland. J’avais mouillé l’étoffe de mon slip à ce niveau et c’était délicieux de sentir le gras du doigt qui me massait le bout.

Vous comprendrez que, dans ces conditions, j’ai fini par éjaculer sous la table du repas familial. A aucun moment mes yeux n’ont croisé le regard de Laurette. Au moment de se dire au revoir, en fin de journée, celle-ci à cependant insisté plus que de coutume en me disant « A bientôt ! ».