Le mec de ma copine…

Je n’avais pas autre choix que de le faire… Je vous explique : Thomas. 26 ans, beau gosse est le mec de ma meilleure copine. J’en avais un peu marre qu’elle me parle toujours des exploits sexuels de son mec, limite je n’y croyais pas, le style : étalon, bien monté, endurant, imaginatif, tactile etc. Il fallait tenter le coup, pour vivre cela. Un soir sachant qu’il est concierge pour un ensemble d’immeuble près de Bagnolet, il travaillait de nuit ce jour-là. Je rentrais dans l’immeuble et je tombais pile sur lui. Le bol.

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– Bonsoir Thomas dis-je, je passais dans le coin et j’ai voulu te faire un coucou.

– Bonsoir Anna, quelle surprise agréable ! Je ne pensais pas te voir seule ce soir.
Il me parlait avec une décontraction un peu déconcertante, l’immeuble était calme et nous étions aux alentours de 23 h.
– Tout le monde est rentré. Veux-tu une bière pour te désaltérer ?
– Oui dis-je !
Causant au tour d’un pot, c’était le début de l’hiver et je suis assez frileuse, il me fallait une seconde chaleur en dehors du chauffage qui alimentait l’immeuble. La discussion prit une autre tournure, car nous étions seuls et tout le monde était déjà rentré. Thomas a un point faible c’est le sexe, je lui dis assez directement ce que je pensais au fond de moi.


– Thomas, je me sentais seule et je ne savais pas où aller, alors pour ce soir c’est toi mon plan sexe, s’il te plait ne me dis pas non.
– Je m’y attendais dit-il, bienvenue dans mon royaume je vais te servir.

Baisée par le mec de ma copine !

Il me prit brusquement, m’entraina sur les marches de l’escalier et m’intima l’ordre en me disant : assoies toi là. J’exécutais, il me déshabilla vite fait comme s’il voulait gagner le temps.
Et fit de même, nous étions là nu sans caresse, ni préliminaires, il écarta mes jambes en cherchant un passage forcé dans ma chatte, il l’introduisit, en fauchant la barrière de sa résistance. J’avais de la peine à contenir sa bite qui rabotait mes entrailles avec une force exquise pour m’entraîner dans le plaisir que voulait m’offrir ce macho de Thomas. Peu à Peu, le plaisir s’installait, une pression cérébrale tourbillonnait en moi des questions sans réponses.
Nus dans escalier ! Et s’il y avait quelqu’un qui descendait ? Puis l’idée devient plus claire. Un filet de cyprine féroce sortait de ma chatte qui devenait tellement trempée. Il le remarqua.
– Hein salope t’es toute mouillée là, maintenant tu vas voir ce que suis capable de faire aux petites allumeuses de ton genre. Retourne-toi, je vais t’enculer sale chienne.

Il passe au petit trou…

Du maitre à l’esclave son ordre me soumit à sa volonté, je me retournais, là il ouvrit mes fesses en tapotant d’abord les deux côtés, soudain je sentis sa langue explorer tous les contours de mon anus, ses doigts dans ma chatte, ce mec savait ce qu’il faisait. Je miaulais de plaisir, j’étais aux anges sur ces marches, d’un coup un peu habile, il me pénétra par mon petit trou, qu’il mit à feu avec ses va et vient torrides, je n’en pouvais plus, je devenais sa chienne, j’avais le plaisir nécessaire entre vanille et hardcore, j’étais sa chose à cet instant-là. Un second orgasme amplifia mon plaisir, et nous jouîmes au même moment. Il retira sa quéquette de mon anus en tapotant encore plus fort sur mes fesses.
– Salope, ma petite salope Anna j’aimerai qu’on le refasse d’une façon mieux arrangée, mais t’a mérité ce que tu voulais petite perverse.
Je souris, et me rhabillais avec joie comme si je venais de gagner un trophée. C’était sensationnel.

Ma voisine est une femme fontaine

Le soleil cognait fort en ce début d’après-midi, et j’ai décidé d’aller faire bronzette sur mon balcon avant de retourner au bureau. Je vis dans une maison assez reculée, mais j’ai des voisins juste à côté. Nous n’avons pas encore construit de séparation entre les deux propriétés, mais la nôtre surplombe légèrement le quartier, et je peux voir le jardin des voisins sans être forcément vu moi-même.

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J’ai donc jeté un petit coup d’oeil en bas car j’entendais quelqu’un parler au téléphone. En effet, c’était ma voisine, une belle quadragénaire aux cheveux courts, dans le même style que Christina Cordulla sur m6. Le plus hallucinant, c’est qu’elle était toute nue et se baladait totalement à poil dans son jardin. Je pouvais voir ses formes exquises. Je ne l’aurais jamais cru, mais sa moule était toute velue. Ses nichons tenaient bien en place, ils étaient petits et sans aucun ride. Tout ça a suffi pour me filer une trique monumentale. J’étais seul chez-moi, et j’ai donc décidé de jouer les voyeurs et de me masturber la chique. Elle continuait de circuler sur son terrain, le fessier et les miches à l’air. Elle était sublime, la peau légèrement teintée et sans imperfection, une voix douce, des tétons fermement dressés vers l’avant.


Et que dire de son troufion, une raie parfaite, je n’avais qu’une envie, y mettre ma tête et lui dévorer le cul. Je me suis encore un peu approché, et j’ai trouvé une bonne planque derrière un buisson, à une dizaine de mètres de la belle voisine nudiste. Je la voyais bien de cet endroit et je me branlais lourdement le noeud en la matant. Je pouvais presque sentir son odeur ce qui me faisait triquer encore plus violemment. Un moment, je l’ai vu se mettre à quatre pattes. Je pouvais bien distinguer son cul, je voyais même son petit trou et sa moule un peu gonflée. Ça me rendait complètement dingue d’avoir un fion si exquis tout proche de moi et ne pouvoir rien faire d’autre que de me branler.
Mais c’était déjà pas mal et j’en profitais bien en me tirant de plus en plus fort sur la nouille. Elle parlait toujours au téléphone, mais elle est allé se poser sur une chaise longue face à moi. Elle me fixa alors des yeux tout en passant une main sur sa touffe.

Ma voisine ? Une femme fontaine !!

Que faisait-elle? ELLE M’AVAIT VU! C’est MOI qu’elle regardait. Putain de merde, j’étais grillé. Mais ça n’avait pas l’air de la déranger, bien au contraire, elle commençait même à se caresser la chatte. Je pensais bander juste avant, mais en fait non, car ma pine a triplé de volume en l’espace de deux minutes. Trop excité par cette situation. La brune quadra se mettait maintenant des doigts dans l’oignon… J’avais tellement envie de venir la baiser avec ma langue, de lui cracher ma salive dans le trou de balle avant de venir la sodomiser. Mais nous étions mariés tous les deux, et je ne pouvais pas faire ça à Magalie. En tout cas, la voisine savait très bien que j’étais derrière le buisson, et ça ne l’empêchait pas de s’enfoncer toute la main dans la chagoune. Elle se fistait comme une folle et moi j’hallucinais de voir ça. Elle avait tout le poing dans le trou, putain qu’elle salope! Elle s’est ensuite acharnée sur son clito que j’avais du mal à voir dans cette toison fournie, puis elle s’est mise à gicler de grands jets de mouille par le vagin. En plus d’adorer le fist et d’être une pute classieuse, c’était une femme fontaine. Il n’en fallait pas plus pour sentir la jouissance monter dans mon tronc. Ma sève sorti par grandes lampées et se répandit sur le gazon fraîchement tondu. Superbe après-midi, j’ai hâte de recommencer!

Campeuse démontée par un pote

Sarah est allé camper avec un couple de potes au fin fond de la forêt. Elle-même est pour l’instant célibataire, mais pas question de rester à la maison pour le weekend, et autant profiter du soleil et du camping. Ses amis Léo et Sandra aiment sortir dans la nature boire des bières et manger des saucisses au coin du feu, et lorsqu’ils proposent à Sarah de les accompagner, elle accepte tout de suite. Ils arrivent sur un coin bien tranquille, à l’écart de la route et à l’abri des regards indiscrets. Il fait bientôt nuit et ils montent les tentes. C’est alors que Sandra s’aperçoit avoir oublié les bières.

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Elle laisse donc son mec et sa meilleure amie seuls pendant qu’elle retourne en ville pour chercher de quoi picoler un peu. Sarah se change dans la tente et Léo en profite pour jeter un coup d’oeil à travers la fermeture éclair. Il découvre le cul de sa pote en string et il ne peut pas s’empêcher de sortir discrètement sa verge et de se masturber. Sarah se sent observée et se retourne d’un coup, surprenant ainsi le mec de sa copine en train de se branler le poireau sur elle. La jeune campeuse est un peu gênée vis-à-vis de son amie, il s’agit tout de même de son mec.

Mais l’envie de sucer une queue est trop forte, et Sarah indique au voyeur opportuniste de venir la rejoindre dans la tente.
Elle passe sa langue sur ses lèvres en guise de lubrifiant puis enfourne la grosse tige veineuse de Léo jusqu’au fond de la gorge. Léo lui prend les cheveux et lui baise littéralement la tête comme un forcené. Sarah devient rouge comme une tomate et ses yeux se remplissent de larmes. Les veines de son cou ressortent sur le côté et on voit bien qu’elle est au bord de l’asphyxie, pourtant le connard continue de lui bourrer le fond de la bouche. Il met des grands coups de reins dans sa gorge et lui fait un vrai curage des amygdales. Sarah commence à regretter d’avoir invité le mec de sa copine dans sa tente pour jouer au docteur.

démontage en règle pour la campeuse !

Mais c’est trop tard, Léo est en pleine érection, et il n’est pas question pour lui de s’arrêter à cette simple pipe, aussi violente soit-elle. La salope tend donc sa croupe bien en l’air pour faire un bon doggystyle. Léo s’embroche comme un repris de justice dans cette moule si tendre et juteuse. Sur chaque coup de burin, les grosses burnes du mec viennent percuter le clito de la belle Sarah qui commence enfin à prendre son pied. Il ne faut pas traîner, car Sandra ne va pas tarder à revenir avec les bières. Le type s’empresse d’enculer Sarah un petit peu puis il finit de se vider les couilles dans la bouche de la belle. Elle avale tout jusqu’à la dernière goutte. Il faut maintenant aérer la tente, car ça sent drôlement le cul là-dedans!

Ma première baise dans un club libertin

Mon mari me chauffe depuis des semaines avec son idée de faire de l’échangisme. Je ne suis pas trop pour ce genre de plan, mais à force de me répéter la même chose tous jours, il a réussi à exciter ma curiosité. Ce soir, c’est le grand soir. Il a réservé une table dans un club et me promet une soirée d’enfer. Je sors ma lingerie fine, mes porte-jarretelles, ma robe de soirée et mes talons hauts. Il me complimente sur ma tenue et nous montons en voiture. Sur le chemin, nous faisons une petite pause coquine. J’ai soudainement envie de pomper mon homme pour me déstresser un peu. Il sort son sexe et je me charge rapidement de le purger. J’avale tout et je me remets du rouge à lèvres puis nous reprenons la route.

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Nous sommes enfin au club et je repère tout de suite un grand black. Mon mari me fait signe que c’est ok pour lui. Je n’ose pas faire le premier pas, mais le black voit bien que je le reluque et il débarque à la table. Mon mari quitte la scène et monte à l’étage. Je suis seul avec ce bel étalon, mais je perds un peu mes moyens. Le vicelard a déjà une main sous ma jupe et il passe son gros doigt le long de ma fente. Si ses doigts sont si imposants, son noeud doit être bien pire. Je pose ma main sur son paquet pour en avoir le coeur net, et la bosse est juste impressionnante. Mon mari est un enfant à côté de ce truc. Je passe sous la table et je tente de le sucer, mais j’ai du mal. Je dois presque me déboîter les mâchoires pour avaler l’engin. Je me contente de lui piper le gland, c’est déjà pas mal. Des voyeurs sont déjà autour de la table avec d’autres couples, et tout le monde se masturbe. Je suis l’attraction de la soirée, la petite nouvelle qui va en prendre plein les trous.

Empalé comme une salope…

Je me sens souillée et salope. Le black me dit que mon mari est en train de baiser une jeunette à l’étage. Je lui grimpe alors dessus j’écarte mon string et je m’assois sur sa perche. Il y a au moins dix personnes qui se branlent autour de nous. J’adore ça, je découvre de nouvelles sensations et je mouille grave. Je m’étonne d’arriver à rentrer complètement sa verge dans ma chatte, mais ça glisse bien et je coulisse dessus comme une chienne en chaleur. Je me pose parfois sur ses grosses couilles pour récupérer un peu tout en lui roulant des pelles, puis je le rebaise à nouveau. Je sens des mains d’inconnus se poser sur mon cul, et même des doigts me rentrer dans l’anus. Je suis livrée à tous ses pervers et j’aime être l’objet sexuel d’une foule en manque.

Baise déchainée dans le club libertin

Plusieurs mecs se branlent bien et me gicle sur les fesses. C’est à cet instant que je jouis pour la première fois. On change ensuite de position. Je me mets en levrette contre la table et je suce des mecs dans la pénombre pendant que le black se cale dans ma raie. Il m’encule fort et j’ai un peu mal, mais je m’accroche à la moindre queue qui passe devant ma bouche pour détourner mon attention du lampadaire planté dans mon derrière. La soirée se finit en douche de sperme et je peux mettre ma belle robe à la poubelle! C’est dommage mais ça valait vraiment le coup de vivre cette expérience.

Le gode-ceinture de ma femme…

J’ai une femme plus jeune que moi. Elle vient à peine de fêter ses 40 ans, et elle en paraît 10 de moins. Autant vous dire que je fais des jaloux au boulot, à mon club de foot et parmi mes amis. S’ils savaient, tous, ce qu’elle me fait endurer. Oh, je ne suis pas cocu, non. Enfin, je ne crois pas. Pas vraiment. En fait, ma femme a une maîtresse, depuis quelques temps. Et cette maîtresse s’appelle Christine, c’est le petit surnom qu’elle m’a donné.

Depuis le temps que je la tannais pour qu’elle accepte la sodomie, ça devait bien arriver. Ma femme n’est pas le genre qui se laisse faire, et encore moins à se laisser imposer quoi que ce soit. Un soir que nous faisions l’amour, j’ai de nouveau insister pour qu’elle me laisse essayer de l’enculer. Elle s’est levée droite comme un I et a quitté le lit conjugal.

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J’ai eu peur qu’elle veuille me quitter. Mais je l’ai retrouvée en face de l’ordinateur, ma carte bancaire à la main. Elle était sur un site de ventes d’articles coquins, style sexshop. En train de commander du lubrifiant. Quand j’ai vu ça, ma gaule est remontée. Puis elle a ajouté au panier une poire à lavements. C’était parfait. C’est quand elle s’est décidé pour un gode-ceinture de taille moyenne que j’ai commencé à m’inquiéter.

Moins de trois jours plus tard, sa commande est arrivée. Elle m’a tendu la poire et m’a envoyé me laver dans la salle de bains. C’est tout juste si je savais comment m’en servir. Je me suis retrouvé dans la baignoire, le tube dans le cul, à faire de mon mieux pour enlever ce qu’il y avait à enlever. Tout un poème, je préfère ne pas vous raconter les détails.

Quand je suis revenu, tout nu et tout propre, dans notre chambre, ma femme m’attendait en petite tenue sur le lit. Elle était hyper sexy. Sauf sur un point : elle s’était harnachée du gode-ceinture, ce qui lui donnait un air terrible à mes yeux. « Alors, comme ça, tu veux essayer la sodomie ? OK, pas de problème, on va essayer la sodomie ! ». Le gode devait avoir sensiblement les mêmes mensurations que ma bite. Pas énorme, donc, mais inquiétant tout de même.

J’ai souri. Mais je savais bien qu’elle ne plaisantait pas. Pas le genre à claquer du blé pour une simple blague. Elle m’a fait signe de sucer son gode-ceinture. Je me suis exécuté. J’ai trouvé ça terriblement humiliant. Mais je bandais quand même. Ensuite, manifestement très excitée, elle m’a fait me mettre à quatre pattes. Elle a mis du lubrifiant sur mon trou du cul et a posé l’engin entre mes fesses.

« Respire un grand coup, chérie ! » m’a t-elle lancé, l’air de rien. Et elle m’a défoncé. J’ai hurlé de douleur. D’une traite, le gode était entré entièrement en moi. J’avais tellement mal que je n’arrivais plus à contrôler mes forces. Elle m’a saisi par la taille et a commencé à me limer doucement avec son gode-ceinture. Dans cette position, elle était plus forte que moi, car mes forces m’avaient littéralement abandonné.

Quand j’ai finalement repris le dessus, j’avais l’anus en feu. J’ai réussi à m’extraire de son étreinte. Elle rigolait : « alors, cochonne, on a eu mal à son petit cul ? ». J’ai passé un doigt entre mes fesses. Elle m’avait effectivement déchiré. Je saignais même un peu. « Allez, mets-toi sur le dos, on y retourne ! ». Elle croyait vraiment que j’allais me laisser faire encore une fois ?

Défoncé par le gode-ceinture

Elle avait raison. Mu par une force que je ne maîtrisais pas, j’ai pris la position. Elle est venue sur moi, je sentais ses seins sur ma poitrine. Elle a dirigé le sextoy entre mes fesses et a poussé une nouvelle fois. Tout le gode s’est enfoncé en moi, je n’arrivais plus à respirer.

Et elle m’a enculé, de plus en plus vite, de plus en plus fort, et de plus en plus profondément. J’ai failli tomber dans les pommes. A un mouvement, les secousses étaient si fortes et ma bite tellement tendue, que j’ai éjaculé. Et à ce moment là que ma femme a joui, presque comme l’aurait fait un homme, en grognant de contentement.

Et s’est dégagée et est retombée sur le dos, l’air satisfait. Mon cul me brûlait horriblement. Mais ça m’avait plu, je devais bien l’avouer. Elle m’avait baisé, et avait pris son pied à me sauter. On en discuté seulement le lendemain. Nous étions tous les deux satisfaits de l’expérience et nous avons recommencé, là, dans le salon.

Depuis cette première fois, ma femme a commandé d’autres godes-ceintures, tous plus gros les uns que les autres. Parfois je l’encule. Mais le plus souvent, c’est elle qui s’amuse à, comme elle dit, « me péter la rondelle ». J’ai gagné sur les deux tableaux.

Chatte serrée pour une asiatique bourrée

Salut, je suis Tom, marié, deux enfants et a priori heureux en couple. Mais bon, il y a des fantasmes qu’il faut parfois se résoudre à concrétiser pour être en paix avec soi-même. Le mien, c’est celui de me faire une petite asiatique. Chinoise, Thaï, Coréenne, Japonaise, je m’en fiche, du moment que ça a les yeux bridés et une petite chatte serrée. Ma femme est assez cool et il m’arrive de partir seul en virée avec mes potes.

Ce soir-là, on se retrouve dans un petit bar sympathique du centre-ville. C’est le milieu de l’été, il fait chaud et lourd. Je porte un marcel et un jeans, histoire de flamber un peu. Les filles aussi sont en chaleur, et il n’y en a pas une qui ne porte pas une petite jupe moulante. Je sirote tranquillement mon verre en parlant de cul avec mes collègues lorsque mon regard croise celui de mon fantasme, une vraie petite asiatique bien bandante. Elle devait mesurer 1m50 à tout casser. Je m’imaginais déjà l’étroitesse de sa mini chatte et mon engin se mit à gonfler malgré moi. J’ai pris mon courage à deux mains et je suis allé la voir pour tenter d’obtenir un truc. Ni une ni deux, je l’ai emmené sur le parking pour lui faire visiter mon 4×4. Pas cinq minutes se sont écoulées que la petite chinoise était déjà en train de me grignoter le bout de la queue. Sa langue humide parcourait ma tige de mes couilles jusqu’au bout de mon casque. Elle passait doucement son doigt entre mon trou de balle et mes burnes, tout le long de la couture, putain j’adore ça.

Rencontre une asiatique bien coquine…

Mon barreau est devenu encore plus dur, et j’ai invité la petite bridée à se mettre sur la banquette arrière pour recevoir sa saucée. N’importe qui pouvait nous surprendre, mais je crois que ça m’excitait encore plus. La chinoise était un peu bourrée et a facilement écarté les gigots. J’ai découvert sa petite chatoune que je me suis empressé de bouffer longuement tout en me branlant avec frénésie. Je pouvais à peine rentrer un doigt en elle tellement son trou était serré. Ce n’est pas une légende… Après lui avoir encore sucé le clito et constatant que sa fente était bien trempée, je me suis mis sur elle en position de pompe, j’ai collé mon gros gland à l’entrée de sa chatte et j’ai poussé un grand coup. L’asiatique s’est mise à crier avec son petit accent de geisha. Je l’ai tamponné longuement, sans prendre la moindre précaution pour ne pas lui faire mal.

Une asiatique à la chatte serrée !

De toute façon, elle avait l’air d’aimer sentir mon gros rondin lui élargir les parois de sa petite chatte serrée… Je voyais ses petits yeux bridés me fixer pendant que je faisais de grosses accélérations. Je ralentissais un peu pour lui rouler des pelles avant de bourrer à nouveau sa motte avec force. Son vagin humide entourait toute ma queue. Les vagues de plaisir lui serraient la chatte encore plus, augmentant ainsi l’étreinte exercée sur ma verge tendue. Je comptais la niquer violemment dans d’autres positions, mais je voulais rejoindre mes potes. L’envie de lui lâcher mon sperme dans la chagoune était présente, mais je me suis juste assez retenu pour m’extraire de son minuscule orifice afin de décharger toute ma purée sur son ventre bronzé. J’ai pris mon pied avec cette petite asiatique, je vous conseille d’essayer vous aussi les gars!

Lilianne baise avec le grand-papa de son jules

Lilianne et son petit ami son voisin depuis plusieurs années, ils ont presque grandi ensemble, ils se sont connus très jeunes et ont fini par s’aimer. Carl est le premier et le dernier jules de Lili qui a 19 ans aujourd’hui. Comme de bons amoureux qui ne peuvent pas passer une seconde sans se voir, ces deux coquins sont fréquemment ensemble, ils vivent à fond leur relation et leur sexualité.

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Habitant dans le même bahut, il n’y a qu’une rue qui les sépare. Carl vit chez son grand-papa depuis que son père et sa mère se sont séparés, ça fait déjà une éternité.
Le papy lui, est un ancien général d’armée, il a 71 ans, mais toujours aussi vigoureux. Son passe-temps favori est le jardinage. Il y a d’ailleurs un magnifique jardin dans sa villa, il s’en occupe comme la prunelle de ses yeux.
Carl et son grand-père ont une relation assez normal. Tous les deux aiment bien draguer, même si Carl a une petite amie, cela ne l’empêche pas de faire d’autres conquetes, avec la complicité de papy bien sûr.
Un après-midi estival, après une pluie matinale, Gérad décide d’aller couper quelques fleurs dans son jardin. Alors qu’il cisaille, range et transporte les herbes depuis quelques minutes, il entend sonner au portail. En allant ouvrir, c’est Lilianne, la petite amie de Carl qui se présente. Pas surpris de la voir car, il en avait déjà l’habitude. Cependant, son mec avait fait un tour mais Lilianne compte l’attendre, en regardant papy jardiner.
Le vieux n’a pas été aux côtés d’une femme depuis quelques mois et ça, il n’en n’a pas l’habitude. Il entame donc une conversation peu décente avec Lilianne. Il lui suggère quelque chose de pas très respectueux mais, elle le laisse aller jusqu’au bout de son idée :

Gérard : Que dirais-tu de te faire un peu d’argent, quand je dis un peu, je suis dans les 500 euros.
Lilianne : Hé papy, qu’est ce que t’as à me proposer ? T’es pas dans ton assiette ou quoi ? T’as l’air bisard.
Gérard : viens voir que je te montre quelque chose dans la chambre.

Elle le suivit par curiosité, bien que le grand-père de son jules paraissait étrange, Lilianne entra quand même dans sa chambre. Le vieux la fit assoir sur son lit et sorti des liasses d’argent pour les lui pointer sur le nez. Il dit à Lilianne qu’il y a environ 600 euros, si elle lui fait une pipe, elles seront à elle.
Une minute s’écroula avant qu’elle ne prenne la décision d’accepter le deal.

Lilianne : Jurez moi que vous n’allez rien dire à Carl.
Gérard : Allez, je te le jure petite…

Lilianne suce grand-papa !

Papy se rapprocha de Lilianne puis, baissa son pantalon, sa bite molle n’était pas du goût de cette coquine mais tous ses billets empochés lui avaient fermés les yeux.
Elle commença par enfourner timidement le pénis de grand-père dans la bouche en suçant sans aucune conviction mais, le vieux revanchard voulait bien la sentir. Il l’a donc prise par les cheveux pour l’obliger à avaler son service à trois pièces. On pouvait entendre les bruits que ça émettait à des kilomètres. Lilianne n’avait jamais fait une gorge-profonde, elle se sentait comme une salope et pleurnichait en regardant papy qui se délectait de sa bouche pulpeuse.
Le pauvre ancêtre n’en pouvait plus, il était chaud comme une caille, il voulait désormais sentir la chatte de la petite. Il la souleva et la déposa sur le lit sans qu’elle ne lui résiste.

Gérard : écoute, je t’écoute encore de l’argent.

Ne laissant aucun temps de reflexion à Lili, il retira son string et écarta ses jambes grandement pour lécher le vagin tout poilu de la petite. Avec ses 95 kilos, il se coucha sur elle pour la fourrer pendant une bonne dizaine de minutes, sans changer de position. Les gémissements et les pleurnichements de Lilianne était comme un aphrodisiaque, comme de la motivation pour le ridé qui s’échauffait de plus belle.
À la fin, il fit des plates excuses à Lilianne en lui avouant qu’il avait consommés des aphrodisiaques et attendu une salope qui lui avait posé un lapin.  » Mais, tout ça restera entre nous, je l’emporterais dans ma tombe, t’inquiètes pas « , lui fit-il.

19 ans, suceuse de papis dans un bar tabac

Je suis une jeune fille de 19 ans. J’aime la vie, m’amuser, sortir dans les bars, comme toutes les jeunes filles de mon âge. Je vais souvent dans un petit bar tabac PMU du centre du village. Je ne sais pas pourquoi j’aime me rendre dans cet endroit, mais on rigole bien ? Il y a toujours deux habitués, des vieux de 60 ans, qui me regardent avec un peu trop d’insistance. Je vais au bar comme tous les jours après les cours.

Tu veux baiser une jeune salope ?

Il n’y a pas grand monde aujourd’hui, hormis les deux vieux poivrots qui sont en train de siroter un verre de rouge. Ils sont déjà bourrés, et le patron doit quitter les lieux pour chercher une livraison urgente. Il confie les clés à son pote, un des deux bonhommes. Merde, je me retrouve seule avec eux. En même temps, je l’ai bien cherché. Tout de suite, le plus vieux se lève et se dirige vers moi en sortant sa queue. Il a un zizi d’une taille honorable. Il me dit: « maintenant qu’on est seul, tu vas nous sucer et nous vider les couilles petite pute ». Oh, du calme les gars. Ils me regardent méchamment, je ne veux pas de problème, alors je me baisse et j’attrape la pine du gars.

Elle sent fort, mais je dois le sucer, je suis obligée de le faire. Je n’ai que 19 ans, et je suis en train de pomper un vieux gars pendant que son pote nous regarde en se branlant. Je suis tombée bien bas… Sa bite a vraiment un sale goût, j’ai beaucoup du mal à aspirer plus loin que la moitié, mais je fais l’effort d’aller au plus profond de ma gorge.
Je tousse et je me retiens plusieurs fois de gerber. Je décide de prendre ma bouteille de Despé et de la verser sur son gland. Mmmmmmmh, maintenant, c’est bon! Le deuxième bande maintenant et veux aussi que la jeunette lui pompe le bout, ce que je fais tout de suite. Je ne lâche pas la première, je la tiens bien en main, comme le manche d’un avion.

19 ans, et pompeuse de papis !

J’ai les deux vieilles tiges dans mes petites mains, et je les suce à tour de rôle. Les papis m’insultent et me mettent des gifles. Je les regarde avec un air de chienne obéissante. Je sors la langue à fond et je claque les glands dessus, comme dans les films de cul. Je pompe très bien, et le premier ne tient pas le choc et commence à me jouir sur le visage. Il m’en fout partout, même dans les yeux. Son sperme est dégueulasse. Ça me dégoûte d’avoir sa purée de couilles sur ma gueule et dans ma bouche, mais il faut finir le boulot avec le deuxième. Je l’aspire encore plus fort et plus vite. Je ne veux pas trop trainer, je dois faire mes devoirs. Je prends ses vieilles baloches en main et je les presse doucement tout en lui léchant le bout de la queue. Son chibre gonfle d’un coup et il se met à me jouir dessus. Comme son collègue, il me recouvre de liqueur de couilles. Les deux grands-pères sont repus et me demandent de me barrer, ce que je fais aussitôt. Je rentre chez moi et je m’essuie la tronche avant que mon père ne rentre du boulot, je veux rester sa petite princesse de 19 ans, il ne faut pas qu’il me voie comme la pute que je suis réellement…

Ma baise avec une superbe black

Salut à tous, je suis François, un mec de 35 ans. Je suis assez à l’aise avec les femmes, mais j’ai toujours eu peur de m’engager, du coup je préfère enchaîner les plans culs. Le soir, je vais souvent rôder sur un site de rencontre, et c’est là que j’ai rencontré Yamina, une superbe black un peu plus jeune que moi. Elle ressemblait vraiment à l’africaine typique, black de chez black, avec des gros nichons et un cul super rebondi.

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Le soir même, elle était devant ma porte. J’ai eu du mal à voir son visage dans la pénombre du palier, tellement elle était black, et je l’ai invité à entrer pour se mettre à l’aise. Elle était mignonne comme tout. Sa bouche pulpeuse me donnait déjà des idées cochonnes. Nous nous sommes installés sur le canapé pour boire un coup tout en discutant. Avant même que je ne finisse mon verre, la black salope était à genoux entre mes jambes. Elle me baissa le jeans et le slip sans aucun ménagement, dévoilant ainsi ma queue à moitié bandée.

Pompé par cette superbe black !

Elle me saisit la hampe fermement pour commencer à me branler lentement. Je voyais son visage juste derrière mon engin, je n’avais qu’une envie: que mon chibre disparaîsse dans sa grosse bouche d’africaine. Elle a commencé à me faire des bisous sur la tige, de plus en plus baveux. Elle ouvrit les lèvres et avala entièrement mon noeud jusqu’à la garde. Yamina était assurément une experte en pipe, car elle me pompa comme une déesse pendant près d’une heure.
Je me retenais de toutes mes forces pour ne pas gicler. C’était trop bon d’avoir cette black faire l’aspirateur sur mon sexe. Je voulais maintenant moi aussi lui donner du plaisir, mais Yamina ne voulait pas me lâcher la pine. Je lui ai donc proposé un petit 69 pour faire plus ample connaissance. Elle se positionna avec son gros fion sur mon visage. Sa chatte était black à l’extérieur et rose à l’intérieur, quel délice. Ça sentait un peu l’africaine mais je suis allé au charbon sans me poser de questions et je l’ai enculée et baisée avec ma langue.

Je voulais la niquer, je ne tenais plus. Je me suis mis sur le dos, et la superbe black en manque, super chienne à présent, est venue se ficher sur mon drapeau. Elle a commencé à dandiner du cul sur ma grosse torpille, relâchant le rythme de temps à autre pour repartir de plus belle. Elle coulissait bien sur mon chibre et commençait déjà à pousser des cris comme une hystérique en pleine crise. C’est le moment que j’ai choisi pour la foutre sur le ventre et venir lui péter la chatte par-derrière. Son gros fion me faisait bander encore plus fort, et cette levrette à plat fut un véritable plaisir. Je la tamponnais comme jamais. J’étais essoufflé, mais je continuais d’y aller encore plus fort, plus vite et plus loin. Sans pouvoir me contrôler, j’ai chopé un orgasme de dingue à m’en tordre les orteils. Je n’ai même pas eu le temps de me retirer pour lui inonder les fesses, et j’ai tout lâché à l’intérieur de sa petite chatte exotique. Je ne portais pas de capote et c’était encore meilleur de sentir sa vulve vibrer sous mes lampées de foutre. Nous avons encore baisé deux ou trois fois cette nuit-là, puis Yamina, ma première superbe black, est rentrée chez elle.

Il baise la patronne de sa maman en pleine fête

Dans sa belle villa au nord de Nice, une chef d’entreprise invite son personnel et toute leur famille pour une petite fiesta, histoire de resserrer les liens.
Piscine, petits fourres, soleils, l’été, il faut profiter pour vivre des moments pareils.
Cette femme qui a plutot réussi dans sa vie est âgée de 56 ans, elle vit seule avec son unique fille de 21 ans car, s’étant séparée de son époux depuis plusieurs années déjà.
Toujours joyeuse et coquete, elle ne laisse pas le poids de l’âge l’emporter. Véronique a lutté dans la vie pour réussir alors elle fait de même pour garder la forme. Être toujours belle, jeune et attirante est son leitmotiv. Mise à part le travail, le sport est ce qui l’occupe plus. Elle peut passer des heures entières à courrir ou dans une salle de gym.

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C’est un samedi après-midi qu’elle a convié tout ce monde qui a répondu présent. Ils sont une centaine, elle les connait tous, jusqu’aux techniciens de surface de l’entreprise mais, leurs familles respectives non. C’est donc à tour de rôle que chaque employé présentera les membres de sa familles.
Julie est son assistance personnelle, elle a un fils de 23 ans qui s’appelle Harry et qui a quand même eu le temps de se déplacer, pour faire la connaissance de la collaboratrice, de très longue date, de sa maman.
Au moment des présentations, on pouvait voir combien Véronique était ravie de voir ce jeune homme. D’ailleurs, elle leur proposa une place de choix pour cette fête qui commence sous de bons auspices.

Pour la petite histoire, cela fait plus d’une decennie que Julie vend son expertise dans l’entreprise de Véronique pour qui elle est devenue une confidente. Ne se voyant le plus souvent qu’au bureau, en salle de sport ou pour aller prendre un verre le week-end, la patronne n’a jamais pris le temps d’aller rendre visite à son assistante, elle connait son époux mais pas Harry.
Au premier regard, Véronique ne manque de féciliter Julie pour le bel homme qu’elle a mise au monde et qui est si grand qu’elle en a le tourni.
Véronique n’est pas du genre à coucher avec des hommes plus jeunes mais celui-là l’impressionne particulièrement. Elle va peut-être être tentée par une aventure cougar !

La fête bat son plein quand elle invite le jeune homme à discuter avec pour parler de sa vie estudiantine, amoureuse… enfin, tout ce qu’on peut peut se raconter pour faire connaissance.

Cette femme est imposante, grande, blonde, lèvres fines, un regard profond et une forte poitrine. Du haut de ses 1m78, elle cause d’égal à égal avec Harry qui fait pratiquement la même taille.
Regard contre regard, pendant qu’ils discutent, une tension électrique se crée entre les deux quand soudain, la fille de Véronique s’interpose pour entrer dans la conversation.

Sonia : salut, moi c’est Sonia, la fille de Véronique.
Harry : enchanté Sonia, tu sais, j’ai toujours entendu parler de ta mère et, quand je me trouve comme ça devant elle, je suis fasiciné.
Sonia : ha ok ! Mais, elle n’est pas de ton âge, tu devrais redescendre de ton nuage.
Véronique : oulala, toujours toi et tes remarques désobligeantes ! D’abord, qu’est ce que tu vas t’imaginer ?
Sonia : Allez maman ! Je vous taquine, bon, c’était juste un passage éclaire, je vais enquiquiner d’autres invités, ciao !

Il se lance pour baiser sa patronne!

Après le passage de Sonia, les deux sont restés bouchés bées un moment, comme s’il y avait un brin de vérité dans sa remarque.
Le jeune homme décide donc de passer à l’attaque, de tenter le coup, un risque qu’il prend sachant que ça pourrait détériorer les relations entre sa maman et la patronne.

Harry : tu sais Véronique, depuis que nous discutons, tu me fais une impression, ça risque d’être un peu déplacé mais, tu es une femme qui me plait.
Véronique : mon âge ne te dérange pas ?
Harry : pas le moins du monde, d’ailleurs, tu es si belle qu’on te donnerait 20 ans de moins.
Véronique : Humm, en plus d’être mignon, t’es un sacré beau parleur.

Le ton était lancé, il revenait maintenant à Harry de prendre son courage à deux mains et de passer à la vitesse supérieure. Il lui propose alors de s’éclipser un moment car, tout était brouillant.
Véronique lui demanda de le suivre discrètement et, quelques minutes plus tard, il se retrouva dans la chambre de cette dernière.
Pour ne pas perdre de temps, il ferma la porte à clé, puis, projeta la patronne sur son lit avant de l’embrasser avec force. Il retira son slip et la retourna pour la prendre en levrette, comme une bonne salope. Après cinq minutes d’intense coït, elle reçoit le sperme du jeune Harry sur sa robe. Embarrassée, elle lui demande de filer… Comment fera-t-elle pour nettoyer ses vêtements et passer inaperçue ?