Epouse modèle pour mari infidèle

Ma meilleur amie m’a avoué que mon mari n’arrêtait pas, en soirée, de lui faire du plat, moi, son épouse modèle… Pire ! Elle m’a dit aussi, les yeux dans les yeux, qu’elle lui avait fixé un rendez-vous chez elle, pour le vendredi suivant, à 18h, à l’heure où je vais à ma séance de yoga. Mon sang n’a fait qu’un tour. Mais elle m’a vite rassurée : c’était pour tendre un piège au coquin, qui, décidément, a bien du mal à garder son pénis dans sa braguette !

Le jour dit, j’ai donc annulé le prof de yoga, et je suis allée, vers 17h, chez elle, pour préparer le guet-apens en sa compagnie. Il faut dire, à ce stade, que Danièle est une bombe sexuelle. Belle brune, grande, élancée, mais avec des formes généreuses, alors que je suis plutôt jolie, blonde, fine, mais pas très « sexe ». Comment cela allait-il se dérouler ? Danièle avait un plan : « je le reçois, je le laisse me draguer, je l’entraine jusque dans ma chambre, où tu attendras tranquillement sur le lit ».

Je tenais ma revanche, même si j’espérais, en mon for intérieur, qu’il ne vienne pas. Mais à 18h pétantes, la sonnette de l’appartement de mon amie a retenti. Je me suis dissimulée dans la chambre. C’était bien lui. J’entendais sa voix, mais je ne parvenais pas à savoir ce qu’ils se disaient. Quand ils ont fait irruption dans la pièce, ils se roulaient des pelles à pleine bouche, tant et si bien qu’il a mis bien du temps à s’apercevoir de ma présence sur le lit.

Danièle était déjà seins nus. J’étais fascinée par l’opulence de sa poitrine, lourde, brune, appétissante. J’en oubliais presque la raison de ma présence. Au détour d’un baiser dans le cou de ma meilleure amie, mon homme m’a vue. Il s’est figé instantanément. Danièle est partie dans un fou-rire : « tu verrais ta tête, petit cochon ! Tu ne croyais quand même pas que j’allais faire cocu ma meilleure amie avec toi ? ».

Là, j’ai eu presque pitié de lui. Il était livide, ses genoux tremblaient. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je me suis levée du lit, j’ai adressé un tendre sourire à mon mari et je me suis blottie dans les bras de Danièle. Au début, elle a du croire que j’étais morte de tristesse, qu’il fallait me consoler. Mais je me suis mise à caresser son dos nu, puis à embrasser ses épaules.

Moi l’épouse modèle, je deviens complètemement sexe…

Mon mari a regardé la scène, incrédule. Danièle, elle aussi, a eu bien du mal à comprendre de quoi il retournait, jusqu’à ce que je l’embrasse à mon tour à pleine bouche. Je me suis retournée vers lui : « la prochaine fois que tu as envie d’une femme, préviens-moi… et on partage ! ». Mon mari est resté coit, comme s’il n’était pas certain d’avoir bien entendu. Danièle, elle, est devenue comme folle. Elle m’a embrassée à nouveau, sensuellement, fougueusement, et avant d’avoir eu le temps de réagir, je me suis retrouvée à mon tour seins nus.

Nous étions là, poitrine contre poitrine, à nous gouiner devant lui. Il ne bougeait pas. Quand il a voulu nous rejoindre, Danièle l’a arrêté d’un simple geste de la main, plein d’autorité : « non, aujourd’hui, tu ne fais que regarder. Ça t’apprendra à vouloir être infidèle. La prochaine fois, tu joueras avec nous, si tu es très sage ».

Danièle a retiré ma jupe, puis ma culotte, et m’a fait m’allonger sur lit. Elle a embrassé l’intérieur de mes cuisses, puis m’a léché carrément le sexe. J’ai joui en moins d’une minute. J’ai alors tété ses beaux gros seins, puis je lui ai rendu la pareille. Sans expérience, j’ai été longue à obtenir son orgasme, mais, quand il est venu, quel festival ça a été !

Mon mari est resté là, sagement, à nous regarder. Je le devinais ivre de désir pour chacune d’entre nous. J’étais ravie. La vengeance ne pouvait être plus douce. Depuis, nous nous sommes revus tous les trois. Parfois, un amant de passage de Danièle nous rejoint pour une partie à quatre, et ma meilleure amie adore me voir me faire pénétrer par un autre homme devant mon mari infidèle. Il serait bien mal placé pour protester.

Ce jour-là, nos relations ont changé du tout au tout. Avec ma meilleure amie, bien sûr, qui est devenue mon amante, mais surtout avec mon mari. Il me fait partager tous ses plans cul. Quant à lui, il préfère ignorer mes amants, puisque maintenant, je m’autorise quelques extras. Mais tout de même, ne suis-je pas une épouse exemplaire mais d’un nouveau modèle ?







Exploité sexuellement par ma femme

Il faut que je vous raconte une histoire qui m’est arrivée avec ma femme il y a quelques temps de cela. Que j’explique (et que je m’explique à moi-même) comment nous en sommes arrivés là. Jacqueline et moi sommes mariés depuis près de vingt-cinq ans, nous avons eu trois enfants mais, depuis quelques années, notre vie sexuelle n’est plus ce qu’elle était.

Enfin, depuis ce fameux soir de décembre où tout a changé entre nous. Toujours aussi amoureux d’elle, et toujours autant en demande sur le plan sexuel, je passais mon temps à essayer de la convaincre de faire quelques câlins crapuleux avec moi. Mais je sentais bien que ça ne la branchait plus du tout.

Un soir de décembre, donc, où je tentais à nouveau ma chance, elle finit par me répondre : « j’en ai marre du sexe avec toi ! tu ne t’occupes que de ton plaisir ! il faut que je te suce, que j’écarte les cuisses et toi, tu fais quoi pour moi ? ». Je restais con, ne sachant absolument pas quoi lui répondre.

Elle devait avoir raison, j’étais devenu égoïste au lit. « Demande-moi ce que tu veux, je ferai ce que tu veux, je t’aime ». Je n’avais trouvé que cette réponse, qui valait ce qu’elle valait. Les yeux de Jacqueline s’illuminèrent : elle avait décidé de me prendre au mot. Elle lança, sur un ton sévère que je ne lui connaissais pas : « tout ce que je veux, hein ? tu es prêt à devenir mon objet sexuel ? ».

Bien sûr que j’étais prêt, je ne demandais même que ça. Ma femme me fit me mettre nu devant elle. Elle inspecta mon corps, mes poignées d’amour, mon petit bide, ma bite pas aussi raide qu’elle l’aurait été vingt ans plus tôt dans une telle situation : « bien, esclave, voyons si on peut faire tout de même quelque chose de toi ».

Jacqueline retira sa culotte, sous sa jupe et s’assit sur le canapé, en face de la télé, qu’elle alluma. Elle mit une série américaine quelconque et ordonna : « à genoux, esclave, tu vas me lécher pendant que je regarde la télé ». Mon couple, ma vie sexuelle étaient en jeu. Je m’exécutais.

Nu, exploité, à la merci de ma femme…

Nu comme un ver, soumis, je me mis à genoux en face d’elle, n’ayant plus qu’à plonger jusqu’à son entrecuisse. Sa chatte était déjà humide. Je me mis à la laper avec toute l’application d’un esclave. Et pendant que je suçais son clitoris gonflé, Jacqueline changeait de chaînes, avec la télécommande, comme si de rien n’était.

Elle finit par tomber sur un film, avec je-ne-sais quelle vedette masculine du grand écran : « ah, ce petit jeune, il m’excite carrément » soupira-t-elle en plaquant un peu plus mon visage entre ses cuisses.

Au bout d’une bonne heure de cunnilingus appuyé et appliqué, elle finit par jouir, tenant ma tête contre son con trempé de mouille. Quand son orgasme fut terminé, elle me fit me lever, inspecta mon érection, qui n’était pas redescendue durant toute la séance : « bien, désormais tu es mon esclave, tu me lécheras et tu me baiseras quand je t’en donnerai l’ordre, tu es à ma disposition n’importe quand et n’importe où ».

Depuis ce soir là, notre vie sexuelle est repartie comme aux plus beaux jours. Et je reste l’objet sexuel de ma femme, exploité par ma femme…






Baise particulière un soir de féria…

C’était un peu comme dans la chanson. Il était mince, il était beau… Encore aujourd’hui, dix ans après, le souvenir de notre étreinte, de cette baise particulière me réveille parfois la nuit. C’était en plein été, à Béziers, la feria battait son plein. J’étais en instance de divorce et ma meilleure amie m’avait proposé de descendre dans le sud pour me changer les idées.

Sangria après sangria, bodega après bodega, nous déambulions toutes les deux dans les rues biterroises, draguées ici ou là par des hommes de nos âges, la quarantaine, ou même la cinquantaine.

Et puis, je l’ai remarqué : très grand, très fin, de longs cheveux bruns, partout où nous allions, il n’était pas bien loin. Je n’ai jamais eu l’âme d’une couguar, mais là, c’était moi, la proie. Ou peut-être mon amie.

Car, pas de doute, le jeune homme nous suivait. A y regarder de plus près, c’était même sans doute moi, sa cible. Il me dévorait littéralement des yeux. Peu habituée à ce genre de comportements de la part d’un si jeune homme – il devait avoir 20 ans – je finissais même par être gênée par son attitude, et je cachais mon décolleté.

Séduite et… branlée ! C’est de la baise ?

Vers 3 heures du matin, il m’a abordée. Sans me demander mon avis, il s’est mis à danser avec moi, m’entraînant sur la piste de la bodega comme si nous nous connaissions depuis toujours. Quand il a pris ma main, j’ai remarqué immédiatement la douceur de sa peau.

Nous avons dansé tant et si bien que j’ai fini par perdre mon amie de vue. Le jeune homme m’a entraînée dans une ruelle, sous un porche. Là, il m’a embrassée fougueusement. En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dire, je me suis retrouvée avec un sein dehors. Ou plus exactement, dans sa bouche.

Il a glissé sa main sous ma jupe. Il a du sentir la moiteur de mes cuisses, faite de transpiration et d’excitation. Contournant le tissu de ma culotte, il s’est littéralement emparé de mon clitoris et s’est mis à le branler.

Je n’avais rien demandé, rien sollicité. Je me laissais tout simplement faire, une baise manuelle terriblement excitante, et j’aimais ça. Quand l’orgasme s’est emparé de mon bassin, il a de nouveau posé ses lèvres sur les miennes. J’ai joui en mêlant ma langue à la sienne et seul notre baiser m’a empêché d’ameuter la foule qui dansait et chantait à seulement quelques mètres de nous.

Puis, j’ai repris mes esprits. Enfin, pas vraiment. Sans y réfléchir, je me suis baissée. J’ai ouvert le zip du jeune homme, pour en faire jaillir un membre fin et long, très doux, que j’ai pris en bouche.

Je l’ai sucé, passant ma langue sur son frein, sur sa hampe, jusqu’à ce qu’il se répande au fond de ma gorge. Ses jambes flageolaient, j’ai du le retenir pour qu’il ne tombe pas. Nous avons échangé un dernier baiser et je me suis enfuie dans les rues de Béziers à la recherche de mon amie.

C’est la première fois que je raconte cette aventure et, rien qu’à y repenser, je sens un fourmillement entre mes cuisses. La baise à Béziers, un soir de féria, on dirait une blague…






La stagiaire, ma femme et moi, 3ème partie

Le lendemain matin – on était un samedi – je me suis senti morveux. Bien entendu, ma femme a gobé sans mot dire mon histoire de travail de dernière minute, pour expliquer mon arrivée tardive, la veille. Pas une seconde elle n’aurait pu s’imaginer que j’avais couché avec la jeune stagiaire gironde de 20 ans et demi qui hantait mon lieu de travail.

Ce samedi là, j’ai trouvé mon épouse encore plus belle qu’avant. La grande brune, fine, mature, contrastait tant avec la volupté de Lydie. Elle était élégance là où la bimbo respirait le vice.

Pour la soirée, Patricia m’avait promis un dîner en amoureux, qu’elle allait confectionner elle-même. J’étais ravi. Elle avait même ajouté, en me demandant d’aller acheter un magnum de champagne, qu’elle me réservait une surprise, ce soir même. Ma curiosité était piquée au vif.


Le soir venu, donc, elle me demanda de nous servir une coupe à chacun, quand la sonnette de l’entrée retentit. Mince, un gêneur, ce n’était pas le moment de venir nous importuner. Patricia avait revêtu sa longue robe noire, fendue jusqu’en haut de la cuisse et je m’étais déjà promis un dessert coquin à la hauteur de la beauté de mon épouse.

Quand elle fit rentrer notre visiteuse impromptue, je crus que mon cœur allait me lâcher. C’était Lydie, en tenue élégante et sexy, un large sourire aux lèvres. « Je crois que vous vous connaissez » me lança ma femme dans un petit rire. J’étais éberlué, interdit. « Voilà la surprise, mon chéri ».

Les souvenirs me sont revenus, en flash. Le pot de départ d’un collègue, la longue conversation entre ma femme et la stagiaire, qui semblaient s’être entendues comme larronne en foire, ce jour-là. J’ignorais tout du piège dans lequel j’étais tombé, manifestement, à pieds joints.

Patricia sortit du vaisselier une troisième coupe, la remplit de champagne et la tendit à la jeune stagiaire. Elle me donna la mienne et leva la dernière au ciel en criant : « à l’amour ! ». Je n’avais pas prononcé un mot depuis l’arrivée de Lydie dans notre maison, alors, Patricia m’expliqua de quoi il retournait.

Mon épouse s’était inquiétée de me voir aussi fidèle, même en pensées et avait mijoté ce scénario pervers avec la bimbo blonde. Elle était heureuse de savoir que j’avais cédé à ses avances, elle trouvait qu’une nouvelle page de notre histoire d’amour venait de s’ouvrir.

Joignant le geste à la parole, Patricia s’approcha de Lydie et déposa un baiser doux sur ses lèvres. Les deux femmes s’enlacèrent, et mon épouse tendit la main vers moi, me faisant signe de les rejoindre. Après de longues caresses à trois, elle posa une règle : la pénétration lui était réservée.

Quand j’en aurai le temps, je vous raconterai peut-être cette première nuit de sexe à trois, entre un couple de quadragénaires amoureux et une jeune bimbo de vingt ans, douée pour l’amour comme d’autres sont douées pour les mathématiques ou la littérature.

Je vous raconterai cette nuit là, et peut-être même aussi les nombreuses nuits qui ont suivi, avec Lydie, bien sûr, mais aussi avec des tas de jeunes femmes de moins de trente ans que ma chérie prend tant de plaisir à débaucher avec moi.

La stagiaire, ma femme et moi, 2ème partie

Je ne vous explique pas à quel point ce fut chaud, dans le tout petit appartement de la stagiaire. Ou plutôt si, bien sûr, je vais vous l’expliquer : Lydie m’a donc roulé une pelle langoureuse sur son palier, puis m’a attiré chez elle et a refermé violemment la porte derrière nous.

En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dire – et pour moi de me rendre compte de ce qui m’arrivait – elle s’est retrouvée les seins nus, collés à mon torse, nos bouches encore lovées l’une contre l’autre. Puis, la bimbo s’est reculée et j’ai pu admirer sa formidable poitrine, ferme, gigantesque, avec de très gros bouts roses et fermes, qui pointaient comme des menaces sur mon mariage, vers moi.

Après une courte hésitation, je me suis précipité vers la jeune femme et, comme un adolescent en rut, je me suis mis à téter et à suçoter les mamelons de la stagiaire, qui couinait de plaisir sous mes coups de langue.

Nous avions beau être dans son entrée, son lit était à deux pas et, après en avoir retiré quelques peluches qui trainaient là, Lydie m’y fit basculer et, les seins luisants de ma salive, elle entreprit de me déshabiller.

Sucé par la stagiaire !

Moi-même, je ne me souvenais pas d’être capable de bander aussi dur. Alors, imaginez un peu, quand ma bite toute entière disparut entre les lèvres gourmandes de Lydie ! J’ai cru que je n’allais pas pouvoir me retenir, et que j’allais inonder séance tenante la gorge de la blondinette.

J’ai finalement réussi à me calmer et, tandis qu’elle me pompait avec une science qui n’était pas de son âge, je me suis mis à peloter ses gros seins, puis son gros cul, qu’elle avait libéré prestement de sa petite jupe et de son mini-string. Je regardais autour de moi, tout en appréciant la turlutte magique que me prodiguait le stagiaire.

C’était là une chambre de post-ado : des posters sur tous les murs, des peluches sur tous les meubles et des CDs qui trainaient un peu partout sur le sol. J’eus un mouvement de recul. Intriguée, Lydie lâcha un instant ma bite enflée et comprit ce qui se jouait dans ma tête de quadragénaire coupable. Elle vint étaler tout son corps sur le mien, et se fit plus douce, plus tendre et moins salope.

Après tout, c’est elle qui m’avait sauté dessus, et si je lui faisais du bien, je n’avais pas à me poser de questions vis-à-vis d’elle. Nous avons recommencé à nous embrasser comme deux lycéens, pendant qu’elle frottait sur mon érection sa vulve épilée intégralement.

Nous avons fait l’amour comme ça pendant près d’une heure, sans pénétration, jusqu’à ce qu’elle ait raison de moi grâce à une cravate de notaire aussi savante que sa pipe. Mon gland coulissait entre ses deux formidables globes, et se trouvait titillé à chaque passage par le bout de sa langue.

J’ai joui à grands jets sur le visage de Lydie, qui ne chercha même pas à éviter mes éjaculations sur elle. Il fallait que je rentre, vite, ma femme m’attendait à la maison.

[Cliquez ici pour lire la suite !]

La stagiaire, ma femme et moi, 1ère partie

Lydie la stagiaire promenait ses grosses fesses rondes et sa lourde poitrine dans tout le bureau depuis déjà un mois, et tous mes collègues continuaient à se retourner sur son passage comme si elle venait d’arriver. Moi, en mec marié, amoureux et fidèle, je m’efforçais de ne pas (trop) remarquer la jupe courte et le décolleté plongeant de notre stagiaire.

Je n’avais absolument pas à rougir devant ma femme. Je me tenais à l’écart de toutes les conversations scabreuses et souvent salaces de mes collègues à propos de la bimbo de service qui, de toute façon, avait sans doute 25 ans de moins que moi, normal pour une stagiaire… Dire qu’elle me laissait de marbre aurait été exagéré, c’est certain, mais je résistais dignement et fermement à la tentation.

Ce que je ne pouvais pas savoir, c’est que Lydie allait me harceler sexuellement. Pourquoi moi ? Je l’ignore. Toujours est-il qu’un soir, dans le parking de la boite, ma vie sexuelle allait basculer du tout au tout.

J’étais en train de rentrer, quand une petite voix m’interpella : « Serge, attends-moi s’il te plait ». C’était Lydie. Je ne pus m’empêcher de remarquer, sous la boucle blonde qui descendait jusqu’à sa poitrine que ses tétons pointaient. « Les bus sont en grève, tu pourrais me ramener chez moi, s’il te plait ? ».

 

Comment refuser ce petit service à une collègue, à une jeune femme en détresse et de surcroît, à une telle charmeuse ? Je lui fis signe de s’installer à droite et je pris la direction de la sortie. Après m’avoir indiqué le chemin à emprunter, la jeune blonde s’ouvrit à moi des commentaires qu’elle avait surpris à son sujet, alors qu’elle était aux toilettes.

Elle semblait vraiment peinée par le fait que tous nos collègues rêvaient de la baiser. Je lui dis la vérité : que si elle ne voulait pas faire bander tout le monde, il lui fallait adopter une tenue, si ce n’est plus stricte, en tout cas plus classique. Là, la conversation prit un tour nouveau : « mais toi, je ne vois bien que tu ne me regardes pas comme un morceau de viande, tu n’es pas gay pourtant ? ».

La stagiaire me brancherait-elle ?!?

Non, je n’étais pas gay. Et sa main gauche, qui venait de se poser sur ma cuisse, tout prêt de ma queue, pouvait s’en apercevoir. Je venais d’avoir une érection automatique, le genre de bandaison incontrôlable qui survient sans crier gare. J’ai retiré sa main, gentiment mais fermement.

Lydie n’osa plus rien dire pendant le reste du trajet. Mais, une fois arrivés en bas de chez elle, elle tenta quand même de me proposer de monter boire un verre. Fou que j’étais. J’ai accepté. J’ai garé ma voiture devant chez elle et j’ai emboîté le pas de ma stagiaire dans les longs escaliers qui conduisaient à sa chambrette du septième étage.

Comme hypnotisé par son cul rebondi, mais pas trop large, qui balançait devant moi à chaque marche d’escalier, j’ai suivi la stagiaire jusque devant sa porte. Je ne m’obéissais plus à moi-même. Pourtant, dans un dernier sursaut, juste sur son palier, je lui dis : « non, c’est pas une bonne idée, je vais rentrer ».

La bimbo-stagiaire m’a alors retenu par la main et m’attiré tout contre son corps et a posé ses lèvres sur les miennes…

[Cliquez ici pour lire la suite !]

Expérience lesbienne à la salle de sport

En un éclair, c’est comme si toute ma vie basculait et que je vive ma première expérience lesbienne. Miranda tend sa main humide vers ma joue, et en balaie une mèche de cheveux qui s’y était collée. Et moi, je reste là, tremblante, l’eau qui continue de ruisseler sur ma peau, comme paralysée.

Elle a bien sûr senti mon trouble, alors elle en profite la garce. Ses doigts descendent de ma joue à mon épaule, frôlent mon sein. Elle sourit encore. Elle a un air doux que je ne lui imaginais pas.

Miranda laisse couler une flaque de gel douche sur sa main et me l’applique sur les épaules. La voilà qui se met à me masser et moi, je reste là, comme la dernière des gourdasses, ne sachant ni que dire, ni que faire, novice en matière de relation lesbienne…

De toute façon, il est trop tard pour reculer, car la belle athlète me savonne maintenant la poitrine. Je vois ses yeux s’embuer. Elle est belle, finalement. Je la scrute longuement, tandis qu’elle fait d’amples mouvements circulaires sur mes seins : au niveau de son mont de Vénus, j’aperçois un joli ticket de métro brun, et je me dis que, à bien y penser, Miranda est toute aussi féminine que moi.

Volupté de l’expérience lesbienne…

Toute à mes pensées, je la laisse se plaquer contre moi. Elle savonne maintenant mes fesses, et nos deux poitrines sont collées l’une contre l’autre. Elle a la peau douce. Et les lèvres aussi. Oui, Miranda m’embrasse. Mon premier baiser lesbien.

Elle continue à me malaxer les fesses. Je décide de faire de même. Son cul est ferme, presque dur, mais sa peau n’est pas du tout rêche, comme je l’aurais penser. Au contraire, elle est veloutée et soyeuse.

Miranda m’embrasse bientôt dans le cou. Je frémis. Je ne m’étais même pas aperçue que les douches s’étaient arrêtées. « Tu as envie ? » me demande-t-elle. Tout à coup, ce n’est plus la femme forte et puissante que j’ai devant moi, mais un corps tremblant de désir, dans l’expectative de ma réponse.

cd_lesbo_500_250_1

Oui, j’ai envie. Je veux aller plus loin. Mais pas ici. Je la prends par la main et nous nous dirigeons ensemble vers les vestiaires. Je me rhabille. Elle aussi. Et nous partons chez moi. Là, un tourbillon nous prend. A peine franchie la porte d’entrée que nous nous retrouvons l’une contre l’autre. Nos vêtements volent en tout sens.

Miranda n’a pas ce côté autoritaire que je lui soupçonnais. Tout au contraire : elle est tendre là où je suis lubrique, attentive là où je suis perverse. Mon premier cunnilingus. Je veux dire : le premier que je donne à une autre femme, mon premier de cette expérience lesbienne… Je dévore le bel abricot de ma brunette, tandis qu’elle caresse doucement mes cheveux blonds.

Je ne vais pas vous raconter cette longue nuit d’amour lesbienne dans les détails. Trop de choses nouvelles, trop de sensations inimaginables avant. Ce que je peux dire, c’est que c’est grâce à Miranda que je me suis découverte bisexuelle.

Et même si je n’ai jamais couché de nouveau avec la magnifique culturiste, je lui dois d’avoir éveiller mes sens aux belles femmes androgynes.

Une gouine à la salle de sport

Il y a celles qui font un petit tour de tapis roulant, et qui s’effondrent de fatigue comme si elles avaient fait le marathon. Il y a celles qui sont là pour se montrer, dernière tenue de sport à la mode, maquillage et tout le toutim. Il y a aussi celles qui ne sont là que pour draguer le prof de sport (une « gouine »), qui, il faut bien le dire, est à croquer.

Et puis, il y a celles, comme moi, qui sont vraiment là pour faire du sport. Premières arrivées, dernières parties, nous sommes là pour nous dépenser, et pour progresser. Parmi ces dernières, il y a aussi Miranda, que les langues de vipères des vestiaires appellent tout simplement « la gouine ».

Il faut la voir, Miranda. Une musculature d’athlète, des biceps saillants et puissants, des cuisses fortes mais épilées de près. La grande brune en remontre à tout le monde, y compris au prof. A tel point que c’est parfois lui qui lui demande des conseils.

Moi, je rêve depuis longtemps de boucler un triathlon, un vrai. Je veux être une « Iron Woman », comme on dit. Alors, pas le temps de mégoter ou de laisser trainer mon regard sur les autres ou mes oreilles sur le dernier cancan de la salle de gym.

Expérience lesbienne

J’arrive après le boulot, vers 18 heures, je repars à 21 heures, à la fermeture. A cette heure là, les pétasses sont parties depuis belle lurette, les fainéantes aussi. Du coup, je me retrouve souvent seule dans le vestiaire avec Miranda.

La « gouine » sous la douche

Pas le genre pudique, la Miranda ! Elle se dessape l’air de rien, et file sous la douche sans se soucier de passer nue devant moi. A l’ordinaire, je prends ma douche tranquillement chez moi, car je ne suis qu’à cinq minutes à pied.

Mais ce soir, je sais que mon chauffe-eau est en rade. Alors je me déshabille aussi, car il n’y a plus que Miranda, qui, manifestement en a vu d’autres. Elle est déjà sous l’eau, à se frictionner les muscles.

J’arrive au niveau des douches – collectives – et je reste interdite. La vache ! Je n’avais jamais remarqué que « la gouine » était aussi bien foutue. Elle a beau avoir des bras comme mes cuisses et des pectoraux à faire pâlir un athlète mâle confirmé, elle a tout de même une sacrée paire de lolos.

cd_lesbo_500_250_1

Quand elle m’aperçoit, là, langue pendante à l’entrée des douches, la grande brune m’adresse un large sourire : viens, entre, t’inquiètes, je ne vais pas te manger ».

Je file sous une pomme située juste à côté de Miranda, la « gouine » comme on l’appelle… Je ne veux pas qu’elle me prenne pour une homophobe. Elle me tend son gel douche, je luis fais signe que j’ai le mien. Elle se retourne, je matte ses fesses. Elles sont belles, sculpturales, sans le moindre pète de graisse.

Je me surprends à me dire que j’aimerais être gaulée comme Miranda. Oups ! Elle s’est retournée, et je n’ai même pas fait attention, trop occupée à la reluquer. Cette fois, c’est sûr, elle s’est aperçue de quelque chose.  D’ailleurs, elle, la « gouine » me sourit…

Cliquez ici pour lire la suite !

Exhibée comme une pute

Cliquez ici pour lire la première partie de la confession !

J’étais au cœur des fantasmes de mon homme, comme si j’avais pénétré sa tête, j’avais accès à ses rêves cochons les plus enfouis. Il m’imaginait en femme soumise, exhibée comme une pute, offerte qu’un homme offre à qui la veut.

Après un déjeuner rapide dans une brasserie où tous les poivrots me reluquaient, c’est dans un sex-shop qu’Anthony m’a amenée, toujours docile, toujours habillée comme une véritable putain. Devant les jaquettes de films X, il m’a faite me pencher pour que les hommes derrière moi puissent contempler à loisir mes fesses moulées impudiquement dans le textile, et que ceux devant moi puissent voir ma poitrine débordant du petit haut indécent.

Sentant venir le bon coup, les clients du sex-shop se sont approchés, et leurs mains se sont vite mises à courir sur mon corps tout entier. A un moment, l’un d’eux a même sorti son sexe pour se masturber tout en caressant mes seins et en pinçant légèrement mes tétons durcis d’excitation.

Mon homme m’a alors pris la main et l’a posée sur la demi-molle du pervers, que j’ai caressé jusqu’à le faire jouir entre me doigts. Excités comme des dingues, les hommes se sont faits de plus en plus pressants, et de plus en plus grossiers. Anthony a donc choisi de m’exfiltrer de la boutique, et m’a emmenée avec lui jusqu’à la bouche de métro la plus proche.

Là, le petit manège a recommencé : les passagers mâles ont tout de suite remarqué la façon dont j’étais habillée et se sont collés à moi. J’avais toujours l’interdiction de les repousser. Puis, nous sommes arrivés à une station que je connaissais pas ou peu.

Nous sommes sortis du métro. Il y avait là une foule bigarrée et cosmopolite d’africains, d’antillais, d’indiens et d’arabes. Anthony semblait savoir exactement où il me conduisait. Nous sommes entrés dans une petite épicerie, tenue par un vieux monsieur algérien très sympathique et très souriant. L’homme nous a invités à le suivre dans l’arrière-boutique.

Là, mon homme m’a ordonné de me déshabiller entièrement. Le regard jovial du commerçant arabe s’est fait plus lubrique. Je me suis vite retrouvée entièrement nue devant lui et mon homme, exhibée comme un objet. Le vieux a pris un appareil photo qui restait dans un tiroir. Il m’a mitraillée, me demandant toute sorte de poses toutes plus salaces les unes que les autres.

Video porno bisexuel gratuite du récit Ma premiere pipe en bisexuel

Puis je me suis rhabillée et nous sommes finalement rentrés chez nous. J’étais en feu. Mon mari m’avait exhibée, traitée comme une salope soumise durant toute la journée et je n’avais plus qu’une idée en tête : je voulais qu’il me baise ou même qu’il m’offre à un type pour le remplacer, je n’en avais que faire. Je voulais du sexe.

Mais il n’avait rien prévu d’autre que de me faire l’amour, dans notre nid douillet, profitant de mon intense état d’excitation. Il a pu me demander absolument toutes les positions, toutes les pratiques que d’ordinaire je lui refusais. J’avais envie d’aller très loin.

Une semaine plus tard, ça a été son tour de se soumettre à mes fantasmes. Et je vous prie de croire qu’il n’a pas été déçu. Moi aussi je sais être perverse quand l’envie me prend.

Nos jeux érotiques, domination ludique…

C’est un jeu que nous avons entre nous, une domination ludique mise en place dans notre couple. Un petit jeu sexuel, qui n’a l’air de rien, mais qui peut parfois nous mener très loin dans nos propres fantasmes, mon mari et moi. Le principe en est simple : un jour, c’est lui qui fait de moi son esclave, l’autre jour, c’est moi qui le domine.

Il y a un mois, j’ai donc été sa chose sexuelle pendant une journée entière, du matin au coucher, ou plus exactement depuis le matin jusqu’à ce que nous nous endormions. Car, après nos aventures coquines, il a mis un point d’honneur à me faire l’amour jusqu’à l’aube.

Tout a commencé très tôt donc, vers 6 heures du matin. Quand je suis sortie de la douche, il m’avait préparé une tenue très provocante, que je devais mettre pour lui : jupe en faux-cuir rose très courte, haut à l’avenant, avec décolleté plongeant, le genre de tenue qui vous fait passer au mieux pour une libertine, au pire pour une pute.

Direction le métro, ainsi accoutrée. Les ordres d’Anthony étaient clairs. Me laisser faire si un mec me collait d’un peu trop près. Et à l’heure de pointe, vêtue (façon de parler !) comme je l’étais, il n’a pas fallu trois stations pour qu’un vieux cochon me mette la main aux fesses. Sauf que, cette fois, je devais le laisser me peloter, voire même l’encourager.

Mon mari à portée de main, j’étais en sécurité. Alors quand un autre type est venu se coller contre ma poitrine largement dénudée, qu’il a posé ses doigts sur le top en faux-cuir, puis carrément dessous, je n’ai rien fait pour tenter de me dégager. De son côté, le vieux avait collé sa braguette contre mes fesses, et utilisait les soubresauts de la rame de métro pour frotter sa verge, que je sentais contre moi, sur mon postérieur.

Je ne sais combien de mecs ont tenté ainsi de profiter de moi et de mon allure de salope de bas-étage jusqu’à ce qu’on arrive à destination. Station Châtelet, puis une petite marche dans les rues, sous les regards crus des passants. J’avais un peu honte, mais j’étais toute émoustillée de cette situation scabreuse.

Video porno bisexuel gratuite du récit Ma premiere pipe en bisexuel

Puis mon mari s’est arrêté, rue Saint-Denis, devant un cinéma porno. Il m’a prise par la main, et m’a tirée avec lui dans la boutique. Il a payé nos entrées, puis nous sommes descendus dans l’antre glauque. A cette heure matinale, il y avait déjà quatre ou cinq mecs qui se masturbaient, plus ou moins ostensiblement, devant un film pornographique sans grand intérêt.

Anthony s’est assis au premier rang, m’a invitée à m’asseoir à côté de lui, et a sorti son membre. Il m’a fait signe de le sucer pendant qu’il regardait le film, et j’ai obtempéré. Pendant que je lui offrais cette fellation, j’ai senti que les hommes approchaient. Mon mari a fait jaillir mes seins de mon top en faux-cuir et les a laissé me regarder le sucer, en repoussant tant bien que mal leurs mains baladeuses.

Il n’était pas encore midi, ma journée de soumission ludique commençait fort…

Cliquez ici pour lire la suite !