Trio sexe en club – 2ème partie

Le temps était comme suspendu à notre trio de sexe… Comme si Alain attendait un geste de ma part. Allais-je refuser ses caresses ou les lui rendre ? J’ai choisi finalement la solution intermédiaire, en me précipitant sur les seins de sa femme, que j’ai embrassés longuement. Très vite, la libertine s’est retrouvée torse nue, avec son mec qui s’occupait de son sein gauche et moi de son sein droit.

Alain s’est alors déshabillé entièrement. Il était très beau, très sculptural et je ne pus m’empêcher de remarquer la longueur de sa tige bandée. Je l’imitais, tout comme Olivia d’ailleurs, et nous nous sommes très vite retrouvés tous les trois totalement nus, allongés les uns contre les autres sur le petit lit de l’alcôve, qu’Alain avait fermée à clé.

Je me mis alors mis en tête de lécher la jolie chatte épilée de près de la brunette, alors qu’elle-même léchait et suçait le vit de son homme. Rapidement, elle fut prise de mouvements incontrôlés du bassin, preuve que je ne m’y prenais pas si mal, pour un quasi-puceau.

Mais alors qu’elle était sur le point de jouir, Alain repartit à l’assaut. Je sentis ses lèvres se poser sur ma bite dure comme de la pierre. Je ne me sentais pas bisexuel mais à qui voulais-je mentir ? J’avais envie d’Alain autant que d’Olivia et, après tout, personne n’en saurait jamais rien, à part nous trois.

Sexe trio

Olivia eu un premier orgasme sous l’effet de ma langue sur son clitoris. L’occasion pour tous les trois de reprendre un court instant nos esprits. Puis, je fus celui qui reprit l’initiative. J’ai pris la longue verge d’Alain entre mes doigts et me suis mis à le caresser lentement. Il était tout sourire et se pencha vers moi pour m’embrasser à mon tour.

Je n’eus ni la force, ni l’envie de refuser ce premier baiser entre hommes, d’autant moins qu’Olivia en profitait pour me prendre en bouche. Ce fut alors un festival de sexe oral : moi qui léchait Olivia, la brunette qui suçait son mari, Alain qui me suçait et, pour finir ce cercle infernal, moi qui suçais le libertin.

Oui, j’ai pris la bite de ce mec dans ma bouche. Pas juste pour lui rendre la pareille mais parce que j’en avais envie, là, sur l’instant et je ne regrette absolument pas de l’avoir fait. Pendant de longues heures, nous nous sommes caressés dans cette alcôve de club libertin, tous les trois et nous nous sommes donnés du plaisir. Pendant de longues heures, j’ai été au bord de la jouissance.

Cette expérience bisexuelle a été non seulement l’une des plus érotiques de toute ma vie, mais elle a aussi changé mon rapport au sexe. Aujourd’hui, je me définis toujours comme hétéro, mais je ne me refuse rien. Si jamais un mec venait à me plaire comme Alain ce soir-là, je ne vois aucune raison de m’interdire de prendre du plaisir avec lui.

Et je me souviens toujours avec émotion de ce moment où, branlé par Alain et sucé par Olivia, j’ai joui à en perdre connaissance, sous les caresses de ce couple trioliste qui m’avait découvrir tant de belles choses lors de ce trio sexe…

Trio en club échangiste – 1ère partie

Je suis allé pour la première fois dans un club échangiste quelques jours après l’anniversaire de mes vingt ans. Ce soit-là, c’était soirée « pluralité » comme ils disent et les hommes seuls y étaient acceptés. Bien sûr, le tarif de 90 euros aurait eu habituellement de quoi m’étrangler, mais les chèques que ma famille m’avait faits pour ce grand passage à l’âge adulte me permettait de m’offrir ce petit extra.

Il faut dire qu’à l’époque, bien que plutôt mignon, je n’avais connu qu’une fille, la nana avec qui j’étais sorti depuis le lycée, et qui m’avait plaqué six mois auparavant. Très timide, je n’osais pas abordé mes camarades de classe féminines et, sans être puceau, je me sentais très en retard quant à ma sexualité.

L’idée d’aller dans un lieu où tout le monde était libéré par rapport au sexe m’excitait terriblement. Après avoir franchi, angoissé, le pas de la porte et le vestiaire du club, je me suis assis dans un coin, observant ce qui allait se passer.

Une multitude de couples fit son entrée ce soir là, de tous les âges, de toutes les conditions. Certains cherchaient d’autres couples, d’autres partaient à l’étage suivis d’une ribambelle de mecs seuls, d’autres encore semblaient indécis.

Ce sont eux qui m’ont abordé. Heureusement, car jamais je n’aurais eu le courage d’en faire autant. Elle, Olivia, devait avoir 35 ans, c’était une jolie brune aux yeux noirs, très gracieuse, fine, malgré de jolies formes rondes. Lui, Alain, semblait avoir atteint la quarantaine. Tempes grisonnantes, port de tête altier, physique de déménageur qui aurait fait de longues études.

C’est elle qui m’a adressé la parole :
– tu as l’air tout timide, c’est la première fois que tu viens ici ?
– oui, c’est la première fois
– que dirais-tu qu’on s’isole un peu tous les trois pour discuter un peu plus ?

Evidemment, j’ai suivi le couple à l’étage. Là, ça partouzait sévère. Une vieille libertine se faisait culbuter par un trentenaire tout en suçant la bite raide de son mari. Mais le couple m’a emmené plus loin, jusqu’à une alcôve minuscule, où trônait une espèce de petit lit. Nous nous sommes assis, Olivia placée entre nous deux.

Expérience trioliste en club échangiste…

Pour la première fois, Alain a pris la parole :
– ce que nous recherchons, c’est un mec doux pour nous amuser, ensemble, à trois. Tu vois ce que je veux dire ?
En fait, je ne voyais pas bien mais je hochais la tête. Alain caressait les cuisses nues de sa femme tout en me parlant. J’étais comme invité à faire de même, alors j’ai posé ma main sur la peau douce de la jeune femme.

Là, tout s’est précipité. Le couple a échangé un long baiser, puis Olivia a tourné la tête vers moi et m’a roulé une pelle sensuelle et excitante. Ma main est remontée de sa cuisse à sa poitrine et le pan de tissu qui cachait jusqu’alors ses seins est tombé, me dévoilant une jolie paire de pigeons blancs, très fermes et très doux.

Très vite, j’ai senti une main se poser au niveau de mon sexe. Quand j’ai baissé la tête pour voir, je me suis aperçu que c’était la main d’Alain.

Je suis obsédée par les vieux

Je fantasme sur les vieux. Je suis même obsédée par les vieux. Les mecs de 60 ans, parfois plus, me font mouiller ma culotte. Je suis pourtant mariée, et fidèle depuis plus de dix ans. Mais, depuis quelques temps, je joue à un jeu que je trouve très érotique, et dont mon mari ignore bien entendu tout.

La journée, quand il est au travail (je suis salariée à mi-temps), je drague sur internet des messieurs de plus de 60 ans, et je les invite à me rejoindre chez moi. Mais attention, ils n’ont pas le droit de me prendre. Ce que j’aime, c’est les recevoir, nue, chez moi, et ils me surprennent en pleine masturbation avec un gros gode que je me suis acheté en cachette de mon homme.

Je suis nue sur le canapé, offerte, mon sextoy planté entre mes cuisses quand ils entrent chez moi. Je tripote mes gros seins, et j’aime quand ils se débraguettent et qu’ils se branlent à leur tout devant moi. Ils me regardent, je les regarde.

Parfois, quand l’un d’entre eux m’excite plus que les autres – je les aime poilus, un peu bedonnants, avec un regard vicieux, voire malsain – je le branle moi-même. Il m’est même arrivé d’en sucer un ou deux.

Je me fais jouir comme ça, les yeux rivés sur leur sexe, le plus souvent petit, et un peu mou. Eux ne me lâchent pas du regard, et quand ils sont sur le point d’éjaculer, je leur fais comprendre que j’aimerais recevoir leur sperme sur mes gros seins.

La sensation du sperme chaud de ces vieux salauds sur ma peau me procure une joie, un sentiment de plénitude que je n’avais jamais connu avant, même quand je fais l’amour avec mon mari qui, je dois le dire, un très bon coup au lit, comme on dit.

Une fois, j’ai reçu un monsieur qui devait avoir au moins 70 ans. Il avait un sexe énorme, très raide, très dur ! La vue de cet énorme membre m’a donné des envies encore plus perverses que d’habitude. Je me suis face à lui, et je l’ai branlé entre mes seins.

Ça a duré comme ça un long moment, moi plantée sur mon gode, lui se faisant plaisir en coulissant sa verge entre mes deux mamelles. Il grognait, me traitait de tous les noms, et ça m’a fait jouir. Puis il s’est répandu sur ma poitrine, et la giclée de son sperme a atteint mon menton.

J’ai récolté sa semence avec le bout de on doigt, et je l’ai portée à ma bouche. J’avais l’impression d’être une pute et ça m’excitait terriblement. Et voilà que, il y a une semaine, j’ai de nouveau croisé sa route dans la rue. Je l’ai reconnu, je suis certaine que lui aussi. J’ai cru jouir rien que de l’apercevoir, surtout que j’étais accompagnée de mon mari.

Bien sûr, j’ai eu peur qu’il ne vienne me parler de notre aventure, là, devant mon homme, mais cette peur a été plus excitante qu’autre chose. Bien entendu, il a passé son chemin, sans mot dire. De toute façon, je sais quel site il fréquente, je sais comment le retrouver.

Je crois que, très bientôt, je vais l’inviter à nouveau chez moi. Mais cette fois, il aura le droit de faire tout ce qu’il voudra de moi et de mon corps. Je rêve de sa longue bite presque toutes les nuits, je n’y tiens plus !

Comme d’habitude, je l’accueillerai chez moi, je serai totalement à poil. Mais, cette fois, je voudrais qu’il me baise, qu’il me fasse sentir sa longue verge au fond de mon vagin, au fond de ma gorge et – pourquoi pas ? – au fond de mon anus. Ce monsieur m’obsède, je veux être à lui, je veux qu’il me traite comme une salope en chaleur.

Mais, j’y pense, à me comporter ainsi, à m’exhiber devant tous ses vieux cochons, ne serais-je pas déjà devenue une salope en chaleur ? Oui, c’est vrai, j’ai honte de mon comportement. Mais dès que des envies salaces envahissent mon ventre, picotent mon entrejambe, remontent le long de mes cuisses, je ne suis plus tout à fait la même, je ne me contrôle plus.

Je ne sais pas si je dois voir un psy. Ou simplement tenter d’arrêter tout ça par mes propres moyens. Parfois, je me dis que, tout simplement, c’est ma nature de faire des choses semblables, et que je ne peux pas lutter contre mes instincts les plus bas.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Par Andréa, 39 ans

Je fantasme sur mon demi-frère

Vincent est, pour ainsi dire, mon demi-frère. Nous avons grandi ensemble. Il avait 11 ans, moi 10 ans, quand nos parents, veufs tous les deux, ont commencé à se fréquenter, puis ont aménagé ensemble. Si bien que je le considérais, il y a encore peu de temps, comme mon véritable frère, son père comme le mien, ma mère comme la sienne.

Mais la vie réserve parfois quelques surprises. Chez moi, tout s’est déclenché quand Vincent a commencé à sortir de façon régulière – et, dirais-je, sérieuse – avec une fille qui me ressemblait trait pour trait. Tout le monde, dans l’entourage de mon demi-frère remarquait cette ressemblance entre sa copine et moi. Certains me disaient que j’étais juste un peu plus jolie ce que – en toute humilité – je pensais au fond de moi.

Ainsi, Vincent s’était-il peut-être forgé un idéal féminin à partir de moi, comme modèle ? C’est là que j’ai commencé à fantasmer. De manière plus érotique que sentimentale, je dois bien l’avouer, et peut-être même de façon plus pornographique qu’érotique.

Mon demi-frère n’est pourtant pas très beau. Je veux dire que ce n’est pas un canon, même s’il a un certain charme et un assez joli palmarès en tant que séducteur. Et puis j’ai commencé à être jalouse de sa nouvelle copine qui, décidément, ne m’arrivait pas à la cheville, aux dires de beaucoup de nos amis.

Je les ai imaginé en train de faire l’amour dans tous les coins où je passais : dans le métro, dans une cabine d’essayage au grand magasin, au bureau, dans des toilettes publiques, au cinéma, bref, absolument partout. Où que j’aille, je les imaginais baisant comme des lapins.

Et puis, l’image de mes fantasmes est devenue plus floue, puis plus précise, au contraire : ce n’était plus elle, sa copine, qui le suçait sous la douche, c’était moi. Ce n’était plus elle qu’il tringlait en levrette dans les vestiaires sordides et puants de son club de foot, mais moi. Ce n’était plus elle qui le branlait lors d’un voyage en train, mais ma main qui finissait couverte du foutre chaud de Vincent.

Je me suis alors souvenue de nos jeux d’enfants, du docteur, de « action et vérité » et mes délires obsessionnels sont allés de plus en plus loin. Je n’arrivais plus à m’ôter de la tête l’image de sa grosse bite (je l’ai vu plusieurs fois tout nu, quand nous étions plus jeunes), l’envie de la lui sucer, de la prendre en moi. J’étais morte de honte à cause de ces fantasmes, mais je n’arrivais plus à lutter.

Alors, un jour où nous nous étions réservés une soirée rien que pour nous deux, alors que nous étions avachis sur le lit de sa chambre d’étudiant, je lui ai tout raconté. Je lui ai raconté comment il me faisait fantasmer, comment la vue de la bosse au niveau de sa braguette me faisait mouiller ma petite culotte.

Mais il n’a pas compris. Il a cru que je lui parlais du passé. Et s’est mis à son tour à se confier à moi. Il m’a avoué que, plus jeune, il avait percé un trou entre sa chambre et notre salle de bains pour pouvoir me voir, il m’a dit comment il se branlait régulièrement en pensant à mon corps. Oui, mais avant, quand nous étions jeunes et stupides.

A cette évocation, mes yeux se retrouvèrent embués de tristesse. Ma petite culotte aussi, pour d’autres raisons. Nous étions adultes, plus question de jouer au docteur ensemble. Quand je suis rentrée chez moi, ce soir-là, je me suis masturbée presque toute la nuit en m’imaginant dans ses bras.

Il fallait que je réagisse. Que je me sorte ces fantasmes honteux de la tête ou que je passe à l’acte ! Mais comment ? Il ne comprenait pas que c’était là, maintenant, que j’avais envie qu’il me baise, qu’il m’encule, qu’il me fasse tout ce qui lui passait par la tête !

Un plan machiavélique m’est venu. J’ai dérobé le portable de sa copine. J’ai appelé Vincent en me faisant passer pour elle. Je lui ai dit que j’avais une surprise coquine pour lui, ce soir. Qu’il devait m’attendre dans l’obscurité, que j’arriverais à 22h. Il a tout gobé. Je tenais ma revanche sur la vie. Jamais il ne se rendrait compte que c’était moi, et pas elle, dans la chambre ! Enfin, j’allais pouvoir sucer Vincent, le prendre en moi et le faire jouir !

Le rendez-vous est fixé à 22h. A l’heure où j’écris ces lignes, il est 21h, et je ne sais pas encore bien que faire, je ne sais pas si je vais rejoindre mon demi-frère et mettre mon plan à exécution.

L’exhibitionnisme, c’est risqué !

Mon copain et moi sommes exhibitionnistes. Nous pratiquons notre vice -l’exhibitionnisme, donc- dans une forêt, pas très loin de chez nous, où se retrouvent les couples comme nous et les voyeurs, en général des paysans du coin, de 20 ans à 60 ans passés. C’est dans la clairière de cette forêt que tout se joue. Certains couples se livrent à la partouze entre eux, d’autres laissent les voyeurs participer.

Pas nous. Nous sommes juste exhibes, et nous nous contentons de baiser devant ces messieurs, qui, en général, se branlent en nous regardant nous envoyer en l’air. Pour l’occasion, je mets souvent une tenue sexy, genre libertine, achetée sur le net.

Ce jour-là, la clairière était déserte. Pas un couple, pas un voyeur, pour troubler la tranquillité sereine de cette forêt où personne, mis à part les coquins de tout poil, ne passe jamais. Pas grave ! Nous avons trop envie de baiser. Très vite, je me retrouve topless, et mon chéri me suce les tétons, une caresse que j’adore.

Puis, c’est le bas qui tombe. Il s’agenouille dans les feuilles mortes et commence à me lécher le clito. J’adore ça ! Je suis déjà très chaude. Mon mec se redresse : à mon tour de lui faire du bien. Son pantalon et son caleçon tombent sur ses chevilles, il est déjà bien dur. Je prends sa belle queue entre mes lèvres, je creuse les joues, je mouille son gland de ma salive tout en jouant de la langue sur son frein.

De fil en aiguille, nous voici entièrement nus : il me nique en levrette. J’aime sentir sa queue bien au fond de moi. Il a beau me claquer les fesses pour faire un peu de bruit, pas un voyeur à l’horizon. Dommage… mais surtout tant pis pour eux : nous sommes particulièrement en forme aujourd’hui, le spectacle vaut le coup d’œil !

Maintenant, il s’allonge dans les feuilles mortes et je viens m’empaler sur lui. Il caresse mes seins pendant que je tortille du cul et des hanches pour lui procurer un maximum de plaisir, ainsi qu’à moi. Je m’entends couiner un peu. Si un gars passe dans les parages, il va m’entendre, c’est sûr.

Nouveau changement de position : je m’appuie contre un arbre, debout, et il me ramone en levrette. Ah, j’entends du bruit dans le chemin qui conduit jusqu’ici. J’encourage les voyeurs à nous rendre visite : « oui, baise-moi chéri, c’est trop bon ! » que je gueule comme une possédée.

Les pas se rapprochent et, d’un coup, me cœur se soulève en attendant une voix, avec un fort accent, s’adresser à nous : «  madame, monsieur, l’article 222 alinéa 32 du Code Pénal réprime l’exhibition sexuelle. Je me vois dans l’obligation de vous arrêter ». Un court instant, je crois à une blague. Je me retourne : un gendarme nous fait fasse.

Je me dégage de l’étreinte de mon copain et me précipite sur mes fringues. J’arrive à prendre mon haut et à en recouvrir mes seins et ma chatte, tant bien que mal. « Monsieur l’Agent, je vais vous expliquer, ce n’est pas dans nos habitudes, c’est juste que… ». Il ne me laisse pas finir ma phrase : « allons, mademoiselle, je sais bien ce que c’est que la jeunesse, j’ai une fille de votre âge. Vous serez quittes pour une bonne frayeur et une amende ».

Je suis morte de honte. Le pire, c’est que nous n’avons pas un rond pour payer une amende. Et si ça se savait, en plus ? Je lève tomber mon haut au sol, dévoilant à la vue du militaire mes petits seins et ma chatte rasée et encore humide. Je m’approche de lui. Mon mec ne dit rien, n’esquisse pas un geste pour me retenir.

C’est le gendarme qui me coupe dans mon élan. « N’aggravez pas votre cas, mademoiselle, la corruption de fonctionnaire, alliée à l’exhibitionnisme, ça coûte cher ». J’hésite encore un peu. Le flic a le regard perdu. Je m’approche encore un peu, me colle contre lui. Il essaie de bredouiller quelque chose. Peine perdue. J’ai défait son ceinturon, il a la bite à l’air. Il est raide comme la justice. Je commence à le branler, en défaisant, de l’autre main, sa chemise. Je colle mes petits seins pointus à sa peau.

Ça n’est pas suffisant, il semble prêt à se rebeller. Alors je me penche et je prends son gourdin dans ma bouche. Une bite très grosse. Pas très longue, mais épaisse. Mon copain ne dit toujours rien, il reste là, à poil, passif.

Je m’applique à bien sucer le gendarme. S’il gicle, c’est gagné, il repartira la queue entre les jambes, si j’ose dire. Je fais montre de tout mon art de la turlutte. Le vieux grogne son plaisir. Dans moins de trois minutes, il va éjaculer au fond de ma gorge, c’est certain.

Il faudra juste que je change de mec, et m’en trouver un plus courageux que celui-ci qui regarde, béat, sa meuf en train de pomper la bite d’un vieux gendarme.

Le vieux cochon du métro

Je ne sais pas ce qui m’a pris, ni pourquoi j’ai eu envie d’aller au bout du jeu, ce jour-là avec ce vieux cochon dans le métro… Je vous explique : je m’appelle Nathalie, j’ai 21 ans et je suis étudiante à Paris, même si je suis originaire d’une petite ville de province que je ne citerai pas. Comme toutes les filles, il m’arrive de me faire bousculer dans le métro, aux heures de pointes.

Quand je dis  » bousculer « , c’est pour ne pas dire plus. En fait, de nombreux mecs profitent de la situation, des corps serrés dans la rame, pour vous peloter un peu, ou pire ! Il faut dire que j’ai une poitrine assez énorme, qui me complexe beaucoup, mais qui a plutôt tendance à attirer les pervers. Comme ce monsieur noir, d’une soixantaine d’années, qui, un matin, s’est retrouvé collé à moi sur la ligne 7.

Au début, j’ai cru que ça n’était pas volontaire. Mais, très vite, je me suis fait une raison : il plaquait sa poitrine contre la mienne à la moindre occasion et louchait sur mes seins, alors que, pourtant, je n’étais vraiment pas en décolleté. J’ai fait comme à mon habitude : je l’ai fixé dans les yeux. En général, ça suffit. Le pervers baisse les yeux et se met à regarder ses chaussettes, tout en s’éloignant de moi.

Mais là, pas du tout ! Le vieux black a même du prendre ça pour une invitation, puisqu’il s’est mis à soutenir mon regard avec un large sourire aux lèvres. Le comble, c’est qu’il y a eu un mouvement de foule juste à ce moment, qui m’a amenée à me coller encore plus à lui. Il n’en fallait pas plus pour l’encourager à me mettre la main au cul.

Contrairement à d’autres vicieux du métro, il ne me pelotait pas vraiment, il me caressait plutôt les fesses, avec une certaine douceur. Pas la main au panier brutale et vulgaire, non, une espèce de caresse tendre et respectueuse, si je puis dire. J’ai de nouveau regardé mon agresseur : il m’avait l’air sympathique, tout à coup.

Nouveau mouvement de foule. Il relève sa main. Cette fois, il me touche clairement les seins. Et moi, je ne sais pourquoi, je me laisse faire. En d’autres circonstances, il se serait pris une paire de gifles et on n’en parlait plus ! Mais il avait une façon de faire ça, presque innocente. Messieurs, je vous prie de croire que je ne vous raconte pas cette histoire pour vous encourager à agir de la sorte : les peloteurs du métro devraient être envoyés quelques jours en taule, ce serait mérité !

Pour dire que je ne savais pas ce qui m’arrivait. J’avais envie de le laisser en profiter. Et même, je commençais à mouiller. De toute façon, j’approchais de la station de ma fac, j’allais bientôt descendre alors pourquoi ne pas le laisser se faire ce petit plaisir ?

Sauf qu’à la station Censier-Daubenton, il est descendu également. Et m’a suivi dans l’escalator. J’ai allongé le pas pour me réfugier dans l’université, mais je sentais qu’il était toujours là, derrière moi, à distance. Je suis entrée dans la fac par l’escalier de la bibliothèque universitaire et je suis partie directement pour les toilettes des filles.

Là, je me suis enfermée dans une cabine et j’ai attendu. Il me fallait reprendre mes esprits et mon souffle. Quand on a frappé à la porte, j’ai ouvert sans réfléchir. C’était lui. Il souriait à belles dents. Je l’ai dévisagé, j’aurais presque eu le temps de compter les rides sur son visage. Il a porté sa main à son entrejambe et m’a demandé, avec un fort accent africain :  » bonjour mademoiselle, tu as envie ? « .

Et oui, j’avais envie. Je me suis écartée pour le laisser entrer dans la cabine. Je me suis baissée et j’ai ouvert la braguette du vieux cochon. J’ai eu du mal à en sortir l’engin qui y dormait. Il était énorme. Une gigantesque bite noire, très longue, très épaisse, tendue comme un arc.

Il a caressé mes seins sous le t-shirt, et je l’ai branlé. Ça a duré comme ça de longues minutes, jusqu’à ce qu’il se débarrasse de mon haut et de mon soutif pour téter mes mamelons à pleine bouche. Je branlais son énorme queue et je me masturbais en même temps. Je voyais ses rides, son cou de vieux et ça m’excitait. J’ai eu du mal à contenir un cri lorsque l’orgasme est arrivé. Lui, il a joui de longs jets de foutre blanc qui se sont répandus sur mon jean. Il m’a déposé un baiser sur les lèvres, s’est réajusté et est parti.

Ma voisine laide et soumise

Ma voisine est laide. Je suis désolé pour elle de dire ça comme ça, mais elle le sait, elle est vraiment moche. Laide, c’est vrai, mais assez bien gaulée, malgré ses 40 ans passés. Mais sa principale qualité, c’est d’être une vraie nympho, prête à tout pour un coup de bite.

Tout a commencé un soir où je regardais un film de boules sur internet. J’ai su plus tard que j’avais mis le son trop fort, et qu’elle entendait tout. A l’heure où l’héroïne se fait péter le cul par un hardeur, on a sonné à la porte. C’était elle, ma voisine. Elle était fringuée de façon très provocante, le genre de tenues libertines qu’on trouve dans les sexshops.

Elle me dit : « excusez-moi, mais on entend tout de chez moi ». Je pique un fard, je me noie en excuses, ce genre de truc ne m’était jamais arrivé.  » Non, mais, c’est pas grave  » dit-elle,  » si vous voulez, je vous aide un peu, je n’arrive pas à dormir de toute façon « .

Laide mais avec de gros lolos !

Je la regarde de la tête aux pieds. Elle est vraiment vilaine de visage, mais elle a une sacrée paire de lolos et moi, je bande encore d’avoir été interrompu comme ça en pleine branlette. Je m’entends répondre :  » ok, alors tu me pompes, tu me fais gicler dans ta bouche et tu te casses, ça te va ? « . Je ne me reconnais pas, ce n’est pas mon genre de parler aux femmes sur ce ton.

Elle ne prend même pas la peine de répondre. Elle entre dans mon appartement, va vers l’ordinateur et se fout à poil. La vache, cette chienne est vraiment gaulée ! Elle est presque bandante ! Je me remets à l’ordi et relance le film. Une bimbo se fait enculer par un gros zob. La voisine, elle, se plante devant moi et me suce.

Je lui baise littéralement la bouche. Elle, elle fait de son mieux pour encaisser les coups que donne mon gland à sa gorge, elle continue même à pomper et à jouer de la langue. Au bout de cinq minutes, peut-être même moins, je me vide les couilles dans sa glotte.

Putain, je me sens mal d’avoir abusé de cette nympho laide. Je m’apprête à m’excuser, mais elle ramasse déjà ses frusques et prend la direction de la porte. Elle sort et traverse à poil le palier. Moi, je ne me sens pas très bien, mais, au moins, j’ai bien giclé.

Depuis, à chaque fois que j’ai envie d’une bonne baise facile, je sonne chez la voisine moche. C’est pas compliqué, elle fait absolument tout ce que je veux. Elle me pompe, je la saute, je l’encule même parfois. J’ai fait des photos d’elle en train de me sucer, juste pour l’humilier. Et elle adore ça.

Une fois, un pote de passage en a aussi profité. On l’a niquée tous les deux et elle s’est laissée faire avec, manifestement, beaucoup de plaisir. Elle a souvent des penchants et des envies SM. Elle aime que je lui fasse honte, parfois, elle demande que je lui crache au visage pendant qu’on baise.

Le pire, c’est que je commence à la trouver vraiment excitante. Elle a une drôle de tête, honnêtement, elle est laide, mais vu comme elle est foutue, elle doit faire bander pas mal de mecs. En tout cas, mon pote ne s’est pas fait prier pour lui casser l’anus ! Il m’est alors venu une idée : lui organiser un gangbang. En plus, j’ai des photos d’elle pour aguicher les volontaires. Je suis sûr qu’elle accueillera tous les gars que je lui présenterai.

La dernière fois, j’ai sonné sa porte, je lui ai demandé de mettre la tenue coquine qu’elle avait quand elle m’a proposé la première pipe. Là, je lui ai ordonné de me suivre. Direction, le sexshop du coin. Je vous dis pas l’effet sur les clients de la boutique, un vieux machin mal entretenu et surtout très mal famé. Je lui ai payé une tenue de catin et je l’ai entraînée dans une cabine pour la sauter.

On a laissé le rideau ouvert et tous les vicelards du quartier sont venus la voir se faire dérouiller la chatte et le cul. Je crois qu’elle a encore plus morflé que d’habitude, mais elle a surtout encore plus joui.

Du coup, je pense qu’elle sera partante pour mon idée de gangbang. Je vais lui demander quand même, au cas où. Ça se fait, non ?




 

Candaulisme hardcore avec ma femme

Ça faisait un moment que je tannais ma femme pour essayer avec elle le candaulisme. Elle a beau être plutôt coquine, elle ne se voyait pas baiser avec un mec devant moi. Des années que nous regardons des films pornographiques ensemble, que nous reluquons les mecs et les filles dans la rue en partageant nos impressions, que nous cherchons des endroits originaux pour faire l’amour (forêt, stade de foot et même une fois dans un sexshop), bref, que nous partageons vraiment nos délires érotiques. Mais elle ne voulait pas franchir le pas du libertinage.


Moi, mon trip, c’était surtout de jouer les cocus, de la regarder baiser avec un autre gars. Mais elle ne voulait pas en entendre parler. Jusqu’à ce jour. C’était mon anniversaire. Un colis était arrivé quelques jours plus tôt par voie postale, j’avais interdiction de l’ouvrir. Je savais bien que c’était mon cadeau.

Petit dîner aux chandelles, elle a revêtu une tenue sexy en diable, je sens que ça va être la fête ce soir. Arrive le dessert, un truc à base de gingembre qui promet vraiment. Estelle me tend mon cadeau. Vu tout le mystère qui a entouré l’arrivée du colis, c’est fiévreusement que j’ouvre mon paquet. Là, je tombe sur une boîte et je ne comprends pas bien.

Il est écrit dessus :  » Male Chastity Device « . Je regarde ma femme, elle me sourit, avec un air interrogateur dans les yeux :  » Maintenant, déshabille-toi entièrement « . J’aurais préféré plus de préliminaires, mais son air décidé m’excite. Je bande déjà. Je me retrouve donc nu comme un ver, la gaule tendue vers Estelle.

Elle ouvre la boite, et en sort un objet étrange, transparent. Je viens de comprendre. C’est une cage de chasteté. Elle l’ajuste tant bien que mal sur ma pine raide. Elle me fait me mettre à genoux devant elle. Elle remonte sa jupe et je m’aperçois qu’elle n’a pas de culotte :  » lèche-moi, maintenant ! « .

Très bien, elle veut jouer à la dominatrice, ça me plaît bien. Je passe ma langue entre ses lèvres du bas, je joue avec son clitoris qui est déjà tout gonflé. Elle me tient la tête pour presque m’étouffer entre ses cuisses. Là, les choses deviennent plus étranges.

Elle prend son portable, cherche dans son répertoire et appelle quelqu’un. Elle dit à son interlocuteur :  » tu peux venir maintenant « . Je cherche à comprendre, à lui poser une question, mais elle pousse mon visage contre son sexe dégoulinant de mouille. Alors je lèche. Puis j’entends la porte de la maison s’ouvrir et se refermer.

Candaulisme complice…

Estelle relâche son étreinte. Pour que je puisse voir qui arrive dans notre salon. Je ne connais pas cet homme. C’est un grand noir, plutôt baraqué, sans doute d’origine antillaise.  » Je te présente Sammy, mon prof de gym. Voilà des mois qu’il me drague, alors, si tu es toujours d’accord pour le candaulisme, Sammy va pouvoir jouer avec moi, là, ce soir. « .

Je fais oui de la tête. Le gaillard, un peu intimidé, se déshabille à son tour. Il dévoile un torse puissant, des tablettes de chocolat d’un noir ébène et une bite, je ne vous dis pas ! Un énorme mandrin déjà gonflé, qui doit faire le double de la taille du mien. Je ne suis pourtant pas si mal monté ! Ma femme aussi a l’air d’être surprise par le gabarit exceptionnel de la bite de son prof de gym.

Il s’approche d’elle. Il a presque sa pine a hauteur de mes yeux. Il la fout à poil devant moi. Elle est superbe, ses tétons tendus vers la poitrine musculeuse du gars. Ils se roulent des pelles, puis elle se met à genoux pour le pomper. Elle m’attire vers elle, pour que je vois bien comme elle le suce.

Je bande toujours, je caresse son dos. Elle repousse ma main. Elle me fait m’allonger sur le sol, toujours contraint par la cage de chasteté, puis elle s’assied mon visage ? Je lèche tant et plus, mais je peux toujours voir au dessus de moi, le visage de ma femme, qui reprend en bouche l’énorme sexe noir qui lui est tendu. Ma langue tourne autour de son clito, s’insinue dans son sexe et je vois ses joues se creuser sur la hampe de l’Antillais.

Il grogne de plaisir. Il va jouir. Ma femme recrache la bite et la branle de la main. Pour peu, l’éjaculation du black a failli me couler sur le visage. Mais c’est au tour de ma femme de jouir. Elle tortille du cul comme une dingue. Son orgasme est violent. Le type se rhabille et part. Ma femme se redresse, me fait me relever :  » bon anniversaire, mon chéri ! « .




 

La toubib lesbienne aux petits nichons

Par Claire, 32 ans.

A chacun – et chacune – son fétichisme. Moi je fantasme sur les docteurs. Tous les docteurs. Le seul cabinet médical où mon imagination ne me joue jamais des tours, c’est chez le gynéco. Là, la situation est trop glauque pour émoustiller ma libido. Mais sinon, n’importe quel toubib qui me drague a ses chances.

Ce que j’ignorais, c’est que je mouillais aussi pour les doctoresses. Je suis pourtant libertine depuis une dizaine d’années et, en dehors de quelques papouilles entre nanas, je n’ai jamais rien fait avec une autre femme. Jusqu’à ce jour étrange où j’avais rendez-vous avec mon médecin généraliste. Rien de grave, juste une visite de routine et quelques petits bobos.

J’y vais donc, le cœur plein d’entrain et la foufoune en délire. Attention, je n’ai jamais rien fait avec lui, ni avec aucun médecin dans l’exercice de ses fonctions, mais rien que l’idée, le fantasme, suffisent à me mettre en joie. Sauf que là, patatra ! La secrétaire médicale m’annonce que le docteur est en congés et qu’il sera remplacé par son ancienne interne,  » une jeune femme très bien  » m’assure-t-elle.

Contre mauvaise fortune bon cœur, je m’installe dans la salle d’attente, pleine à craquer. J’essaie de tromper l’ennui avec une pile de magazine, mais rien n’y fait. D’autant que je suis très déçue de ne pas voir mon médecin préféré.

Au bout de plus d’une heure, c’est à mon tour. La secrétaire me conduit jusqu’au cabinet où m’attend une grande meuf brune, très élancée, plutôt timide, mais assez belle tout de même. Elle n’a pas trente ans. Elle m’invite à m’asseoir.

Après quelques minutes d’entretien, elle me dit :  » déshabillez-vous, s’il vous plaît « . Habituellement, cette simple phrase me fait mouiller. Là, attendez voir… Oui, ça fonctionne toujours ! Je me mets en petite tenue et elle m’ausculte. Elle a les mains très douces, elle est très délicate. Mais c’est qu’elle m’exciterait, la coquine ! Surtout quand elle se penche vers moi : sa blouse baille et me laisse voir ses petits nichons, car elle n’a pas de soutien-gorge.

Je suis en feu. Je suis encore plus excitée qu’avec lui. Moi qui n’aime pas vraiment les femmes, ça me fait bizarre. Et pourtant, j’ai envie d’elle. Je décide de jouer mon va-tout. Je me plains de douleurs aux seins, ce qui est vrai. Elle prend un air sérieux, presque grave.

 » Vous pourriez retirer votre soutien-gorge, si ça ne vous dérange pas ? « . Tu parles, que ça ne me dérange pas ! C’est parti, elle me palpe les nichons, à la recherche d’une quelconque anomalie. Au bout de cinq minutes, qui m’ont fait pointer les tétons, elle semble rassurée.  » Non, je ne constate rien d’anormal. Je peux vous prescrire une mammographie, mais je n’en vois pas l’utilité, sincèrement… « .

Elle me demande si j’ai ses douleurs depuis longtemps. Depuis toujours, en fait, par périodes.  » Ça arrive souvent chez les femmes qui ont une belle poitrine comme la vôtre ! « . Je la remercie du compliment. Elle ajoute, en baissant la tête vers sa blouse :  » moi, je n’ai pas ce genre de problèmes, malheureusement… « . Elle rigole.

La bonne blague ! Si elle savait à quel point, à cet instant précis, j’ai envie de lui téter, ses petits bonbons. Et elle, il me semble qu’elle reluque mes tétons tout pointus. Puis elle me fait signe de me rhabiller. Elle me prescrit deux-trois broutilles homéopathiques, une pommade pour mes seins et on se quitte bonnes amies, si je puis dire.

Toute la semaine suivante, je n’ai cessé de penser à cette visite médicale, aux petits seins de la doctoresse, à sa blagounette sexy en diable. J’en ai même parlé à une amie libertine, qui m’a posé tout un tas de questions sur la fameuse toubib. Comment elle était physiquement, son âge, la couleur de ses yeux… Au bout de l’interrogatoire, elle s’exclame :  » ah ! Mais oui ! C’est Anna ! « . Je regarde ma copine avec des yeux de merlan frit.

Elle m’explique qu’elle la connaît bien, que c’est une gouine, une de ces filles un peu déjantées qui traînent les clubs échangistes à la recherche de couple dont le mari est candauliste et qui veut voir sa chérie baiser avec une autre femme.

Je n’en crois pas mes oreilles. Alors, ces allusions, sa blague, sa douceur à caresser mes seins ? D’urgence, il faut que je reprenne rendez-vous, non pas avec mon médecin habituel, mais avec elle ! Je vais appeler le cabinet, expliquer que mes énormes nibards me font horriblement souffrir, que je veux voir une femme-docteur, que c’est intime et tout ça.

Et là, c’est certain, on va s’envoyer en l’air entre femmes sur la table d’auscultation !







Une étudiante perverse dans les toilettes d’un train

Moi qui suis un homme marié – et habituellement fidèle – j’ai très envie de coucher sur le papier cette aventure qui m’est arrivée avec une étudiante perverse dans les toilettes du train, un jour où je me rendais à Paris pour mon travail.

Nous étions lundi matin. Un lundi comme les autres et rien ne me préparait à vivre une telle aventure érotique. Il faut vous dire que j’ai passé depuis un moment le cap de la quarantaine, et que ma vie sexuelle me va très bien comme elle est.

Elle n’avait pas vingt ans. Elle devait être étudiante, sans doute en classe prépa, à voir l’application qu’elle mettait à prendre des notes quant à l’épais bouquin qu’elle compulsait studieusement. Sa tenue n’avait rien de particulier, en ce début d’automne, mais je l’ai remarquée tout de suite, à ses gros nichons que moulait parfaitement un petit pull trop serré pour sa formidable poitrine. On a beau être fidèle, on a tout le même le droit de voir les belles choses de la vie, non ?

Quoi qu’il en fut, je suis retourné à mon ordinateur portable, et à la préparation de ma réunion de l’après-midi, sans faire plus attention que ça à la jeune femme. Au bout d’un moment, j’ai laissé mon travail, pour m’assoupir un instant.

Quand je me suis réveillé, l’étudiante avait toujours le nez plongé dans un bouquin, mais d’un tout autre genre celui là. Elle lisait du Sade. « Certainement pour la fac », pensais-je alors. Mais à voir la précipitation avec laquelle elle a dissimulé l’ouvrage pour reprendre son vieux manuel d’économie, je me suis dit que j’avais à faire à une étudiante perverse, une vraie coquine, comme on l’est d’ailleurs souvent à cet âge là.

L’étudiante studieuse devient perverse…

La demoiselle piquait un fard. Elle était rouge pivoine, gênée d’avoir été ainsi surprise dans ses lectures lubriques. Je l’ai regardée longuement, m’amusant de sa gêne, faisant mine d’être choqué, quoiqu’un peu bienveillant, de ses lectures perverses.

Après une minute d’hésitations, la jeunette décida de rentrer dans mon jeu, et planta son regard noir au fond de mes yeux. Elle me défiait littéralement, et je n’eus pas la force de soutenir son regard. Je fus vite debout, en partance pour les toilettes du train.

Quand je fus arrivé au bout du couloir, je m’aperçus que mon étudiante perverse m’avait emboîté le pas. Elle voulait sans doute pousser le jeu jusqu’au bout. Alors, plutôt que de refermer la porte immédiatement, je l’ai laissée entrebâillée quelques secondes, laissant à l’étudiante perverse l’occasion de me rejoindre dans cet espace clos.

Elle n’hésita pas une seconde et pénétra dans les toilettes du train, claquant la porte derrière elle. J’étais vaincu, elle triomphait. Mais elle ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin. Elle se colla à moi, appuyant sa lourde poitrine contre mon torse, et me vola un baiser langoureux. Sans avoir eu le temps de réaliser ce qui m’arrivait, j’eus la bite sortie de sa cachette.

Mon étudiante perverse s’était mise à genoux, me pompant comme une affamée. Je pouvais glisser une main sous son pull, tandis qu’elle me turlutait, saisissant l’un de ses gros nibards et la pelotant, porté par l’excitation du moment. Elle faisait de petits bruits de déglutition tout en creusant les joues, mêlés de quelques soupirs de plaisir qui m’excitaient encore davantage.

Je ne fus pas long à jouir à grands traits au fond de la gorge de mon étudiante perverse. La gourgandine se releva alors, recracha mon sperme dans la cuvette des toilettes du train. Le reste du voyage se passa tranquillement, l’étudiante perverse s’appliquant à finir consciencieusement ses devoirs, comme si de rien n’était.