Je me masturbe devant un inconnu

Par Agnès, 29 ans.

Je venais tout juste de recevoir un nouveau vibromasseur, commandé en ligne, avec lequel je comptais bien m’amuser : plusieurs vitesses, de petits picots sur la verge pour plus de sensations et un second appendice pour jouer avec mon clito pendant la pénétration. Un grand moment en perspective !

J’adore l’instant où je me fais livrer, le plus souvent par un grand black plutôt mignon, que j’imagine très bien membré. Il me tend le paquet – un nouveau par mois, à peu près – avec un grand sourire et me demande de signer sur sa tablette de livraison. S’il savait ce qu’il y a dans le colis…. j’en mouille de joie !

Et, comme très souvent quand je me fais livrer un nouveau sextoy, je le déballe précipitamment et je m’installe devant mon ordi. Et oui, j’aime m’exhiber, et le test d’un nouveau godemichet est, le plus souvent, ponctué par une petite séance de cam to cam avec un inconnu. Je vais sur mon tchat préféré, je cherche un mec qui m’excite et je branche ma webcam pur faire une petite démo de mon nouveau jouet.

L’heureux vainqueur du jour s’appelle François, il a 25 ans, et est étudiant dans ma ville. C’est une grande ville, peu de risques que ça me pose des problèmes par la suite. C’est un beau mec, plutôt du genre minet et il se paluche déjà pour moi. Il a une belle bite, bien droite et j’imagine que c’est lui qui me pénètre quand j’introduis finalement le vibromasseur en moi.

Je suis en nuisette, sans culotte, les cuisses bien écartées en face de mon écran d’ordinateur. Les vibrations de l’engin me procurent des sensations incroyables, d’autant que j’ai une belle vue sur un joli gars, plus jeune que moi, qui se branle en rythme avec moi. Je caresse mes seins, qui dépassent maintenant du haut de la nuisette, ce qui a pour effet de le rendre fou.

Il me dit des mots d’amour, m’encourage à enfoncer plus avant le vibro, et se paluche de plus belle. Il est aussi excité que moi, et moi, ça me fait mouiller. J’augmente la vitesse des vibrations et je sens que je vais bientôt partir. Une, deux, trois, ça monte. Quatre, cinq, six, je fais tout pour me retenir, que l’orgasme soit le plus fort possible. Sept, huit, neuf, c’est parti.

J’espère qu’il n’a pas mis le son de son PC trop fort, parce que je hurle littéralement sous l’effet de la jouissance. Lui, il n’en rate pas une miette. Je ferme les yeux, profitant au maximum de cet orgasme salvateur. Quand j’ouvre à nouveau les paupières, il est toujours là, le sourire aux lèvres et la gaule à la main.

Je ne sais pas ce qui me prend. J’ai envie de lui faire plaisir, j’ai envie de faire, en fait, exactement ce qu’il veut. « Vas-y François, traite-moi comme une salope, s’il te plaît ». Il ne se le fait pas dire deux fois. Le voilà qui me soumet à tous ses délires, à toutes ses envies, et moi j’obéis, trop chaude pour lui refuser quoi que ce soit.

Ma collection de jouets érotiques y passe presque toute entière, jusqu’à ce que je me retrouve, moi qui n’aime pas le sexe anal, avec un énorme godemichet noir planté entre les fesses, face à lui. Cette fois, il jouit, il me dit qu’il crache son foutre dans mon petit trou, et ça me fait partir moi aussi.

Je suis un peu honteuse quand je me retourne. François a effectivement giclé, il en a un peu partout sur lui. Il me dit bonsoir et raccroche la communication. Je me sens un peu gênée, mais, après tout, je ne risque pas grand chose. Un gars que je ne verrai sans doute jamais me prend pour une salope. Ou plutôt, il sait quelle chienne je peux être quand je ne me contrôle plus.

Je pars prendre une douche, puis je remballe mes petites affaires. Une bonne nuit de sommeil par là-dessus, et demain, boulot… Mais attendez, sa tête ne m’est pas totalement inconnue. C’est vrai que beaucoup de gars lui ressemblent plus ou moins. Mais quand même…

Je retourne sur le site, je retrouve sa fiche. Il faut que je vois sa photo, pour en avoir le cœur net. Pas de doute, je le connais, je le croise dans la rue… ou ailleurs. Oh putain ! C’est mon voisin de palier ! Comment ais-je fait pour ne pas le reconnaître ? Quelle conne ! La honte !

Le lendemain, je me reconnecte au site, pour lui parler. Lui dire de se taire, de ne surtout pas raconter ce qu’on a fait ensemble à tout le monde. Il est là, toujours la bite à la main. Il me dit « déshabille-toi, maintenant, tu veux être ma petite salope, tu vas l’être ».

Et moi, je m’exécute. Je sais qu’il n’est qu’à quelques mètres de moi, de l’autre côté du mur. Et j’ai réellement envie de faire tout ce qu’il voudra.

Dans le lit de mon cousin…

Par Chloé, 22 ans

Je vous écris par ce que je ne suis pas sûre que ce que je fais en ce moment sois  » normal « . A vrai dire, je me suis renseignée, ça n’a rien d’illégal, mais, si ce n’était pas si bon, je trouverais notre liaison complètement glauque. En fait, depuis quelques temps, je couche avec mon cousin. De fait, il n’y a pas de liens de sang, puisqu’il a été adopté par mon oncle et ma tante, mais tout de même, il reste mon cousin.

Je dis  » depuis quelques temps  » s’agissant de notre liaison, mais il faut bien avouer qu’elle a démarré après presque vingt ans de préliminaires, pour ainsi dire. Vous savez comment sont les enfants ? On joue au docteur, on apprend à se connaître et à connaître son corps. Sauf que, pour nous, ces petits jeux ne se sont jamais arrêtés.

Nous avons le même âge. Enfin, il n’a qu’un an et demi de plus que moi. Après les tripatouillages de gamins, nous avons poursuivi pendant l’adolescence : dès que nos parents avaient le dos tourné, on se pelotait, on se faisait des petits bisous, plus ou moins innocents. Mais là, à vingt ans passés, ça devrait s’arrêter, non ?

Il faut dire que je cherche les ennuis. Je suis étudiante à Lyon, lui à Paris. Et je ne trouve rien de mieux à faire que d’aller passer un week-end toute seule dans la capitale. Et de lui demander s’il peut m’héberger pendant mon séjour !

Ça n’a pas fait long feu. Après une demi-heure de tête à tête, nous sommes tombés dans les bras l’un de l’autre, nos habits ont volé aux quatre coins de la pièce et je me suis retrouvée en train de me faire faire un cunnilingus par mon propre cousin ! Le truc de dingue, comme il m’a bien bouffé la chatte. Il faut dire qu’il la connaît bien, des années qu’il la tripote par ci par là.

En plus, notre complicité très ancienne fait qu’il ose tout. Ce jour-là, il m’a fourré ses doigts dans le minou jusqu’à la garde pour aller caresser mon col de l’utérus. Je ne savais même pas que ça se faisait et j’ai pris un pied monstrueux.

Alors, quand il a déballé sa queue, un engin long, épais, bien droit et bien raide, j’ai cru que j’allais m’évanouir. Mais, au lieu de ça, je me suis placée à quatre pattes devant lui en levrette. Il m’a niquée comme personne, jamais, ne m’avait niquée. Il enfonçait son pieu bien au fond, ne bougeait plus pendant un instant, puis me balançait des coups de rein violents et secs à m’en faire péter les cordes vocales !

C’est bien simple, je n’ai rien vu de Paris, ce week-end là. Nous n’avons fait que baiser et baiser encore, sans pouvoir nous arrêter. J’ai du monter un bateau à mes parents qui voulaient savoir quels musées j’avais visités.

Baisée à fond par mon cousin

Demain, je repars pour Paris, pour un stage en entreprise, cette fois. Et devinez qui m’héberge ? Je suis déjà là, à moitié en train de me masturber en pensant à sa peau, à sa bouche et surtout à sa bite phénoménale. Comment vais-je faire pour lui résister, il me rend carrément folle de cul ?

Avec lui, pour lui, je serais prête à faire n’importe quelle cochonnerie. Et, en plus, il ne manque pas d’idées à ce sujet, ce vicieux. Il m’a promis de m’emmener dans un sexshop de Pigalle et de me troncher dans une des cabines.

Il faut dire que je me suis montrée comme une vraie chienne, pendant qu’il me défonçait en levrette. A chaque coup de queue, j’en demandais encore. Et il m’a dit que si je voulais qu’il me nique, il fallait que j’accepte une claque sur les fesses. Bilan : j’ai fini le week-end avec le cul tout rouge, et j’y ai pris plaisir !

Oui, je sais, il m’exploite, et c’est ça que j’aime. J’ai l’impression qu’il connaît mieux mes fantasmes que moi. En tout cas, mes penchants de soumise. Je vais arriver demain, il va m’embrasser, et il m’aura à son entière disposition. S’il veut m’enculer, je lui donnerai mon cul, s’il veut m’offrir à ses potes, il fera ce qu’il voudra, pourvu qu’il me baise comme la dernière fois.

Aidez-moi, s’il vous plaît, à trouver les moyens de me libérer de son emprise. Car le pire, dans tout ça, c’est que je crois que je suis en train de tomber amoureuse de mon cousin.

Le meilleur ami de mon fils

Par Yvette, 54 ans.

Je sens sa bite vigoureuse taper au fond de moi. Jamais je n’aurais du attendre aussi longtemps, jamais je n’aurai du laisser passer ma vie sexuelle. C’est trop bon. La peau douce de Benoît glisse contre la mienne. Il est en sueur, moi aussi. Je sens sa poitrine contre mes deux gros seins lourds, mais je sens surtout son membre viril au plus profond de mon vagin.

Je m’appelle Yvette, j’ai 54 ans, et j’ai passé toute ma vie à m’occuper de mes enfants, dont mon fils, André, et de mon mari Claude. Il y a peu de temps, je me suis aperçue que Claude avait des aventures assez régulièrement. Oh, rien de sérieux, rien de bien grave, m’a t-il affirmé, mais tout de même, j’ai eu bien du mal à m’en remettre.

Et puis, mon fils a invité un de ses amis à venir passer le week-end dans notre maison de compagne. C’est là que j’ai surpris Benoît, le copain en question, fouillant dans la table de nuit de mon mari où celui-ci conservait d’anciennes photos de moi dans le plus simple appareil. Vous savez, ces vieilles photos instantanées que faisaient les couples désireux de s’encanailler, avant l’arrivée massive du numérique.

Quand il s’est retourné et qu’il m’a vue, toute habillée et avec 20 ans de plus, le jeune homme s’est mis à rougir. Je n’ai pas voulu en faire un drame et j’ai préféré plaisanter sur le temps qui passe, et qui rend les femmes moins désirables. Il m’a dit que, au contraire, il me trouvait plus belle que jamais. Un tourbillon s’est emparé de nous, il s’est jeté sur moi, me couvrant de baiser.

En quelques minutes, nous nous sommes retrouvés tous les deux nus sur le lit et c’est là qu’il a commencé à me prendre. J’étais folle de désir pour ce jeune corps, pour cette jolie bite, pas très grosse, mais indécemment tendue et raide, celle du meilleur ami de mon fils… Il me l’a enfoncée entre les cuisses, et j’ai manqué de peu un premier orgasme. La maison était déserte, mais pour peu de temps.

Mes enfants et mon mari allaient rentrer dans les minutes à venir. Il fallait faire vite. Benoît m’a baisée en missionnaire, jusqu’à ce que je jouisse une première fois. Il m’a ensuite demandé de me mettre en position de levrette et, malgré ma gêne de lui exposer ainsi mes grosses fesses de quinquagénaire vieillissante, j’ai accepté.

Maintenant, il me baise comme une chienne et, malgré son petit sexe, il arrive à vraiment me défoncer le vagin. Je jouis encore. Mais j’ai peur. Peur d’être surprise par mon mari ou pire, par l’un d mes enfants. Imaginez André me surprenant en si fâcheuse posture en compagnie de son meilleur ami !

La queue du meilleur ami de mon fils

Je me dégage de l’emprise de Benoît. Mais je ne veux pas le laisser comme ça. Je lui fais ce qu’adore mon mari : je prends son vit entre mes deux seins et je le branle vigoureusement. A chaque fois que son gland ressort de mes deux obus, je lui passe un coup de langue sur le frein.

Il va jouir à son tour. J’avais oublié comment les hommes giclaient, à vingt ans ! Il m’en met partout ! Sur les seins, bien sûr, mais jusqu’à mon visage, et même une goutte atteint mes cheveux. Je suis tremblante, souillée de sperme, le corps couvert de sa transpiration et de la mienne.

Il file dans la chambre des garçons, pour prendre une douche. Moi, je ne sais plus par quoi commencer. Oui, la salle de bains. Je m’y précipite, après avoir ramassé mes vêtements, jetés négligemment au sol, sur la moquette de la chambre.

Je ferme la salle de bains à clé. Je me regarde dans le miroir : j’ai le visage plein de sperme. Une douche, vite ! Avant que tout le monde ne rentre ! L’eau coule sur mon corps, et me lave, dans tous les sens du terme. Mais les images de notre étreinte me reviennent une à une en mémoire.

Là, sous le jet puissant de la douche, je me masturbe, jusqu’à atteindre mon troisième orgasme de la journée. Quand je reprends mes esprits, j’entends que ma famille est rentrée. Je me sèche, me rhabille prestement et je sors de la chambre.

Je retrouve mon mari et mes enfants qui rangent les courses, tandis que Benoît, le meilleur ami de mon fils les y aide. Il est beau comme un cœur. J’ai encore envie de lui. Je ne me souvenais plus de la fougue et de la douceur de la peau des garçons de son âge.

Après tout, si mon mari couche avec des petites jeunes, j’ai bien le droit, moi aussi ! Il faudra que je recommence… avec Benoît, s’il en a toujours envie. Ou avec d’autres : mon fils a beaucoup d’amis !

Les petits nichons de la jeunette

Par Vincent, 37 ans

Ma compagne et moi, nous avons débuté dans le libertinage très tôt, à l’âge de 25 ans, à une époque – il y a de ça une douzaine d’années – où les jeunes couples, dans les clubs échangistes, n’étaient vraiment pas nombreux. A cette période, un couple de 40 ou même 45 ans passait facilement pour débutant.

Nous avons donc très souvent partouzé avec des gens plus âgés, n’ayant aucun tabou à ce niveau là. Peu importait l’âge de nos partenaires d’un soir, pour peu qu’ils nous plaisaient… Mais les années ont passé, et nous avons vieilli. D’autant plus que, dans le même temps, des couples de plus en plus jeunes ont fait leur apparition dans les clubs libertins et les saunas mixtes.

Laissez-moi vous présenter ma compagne, Anne, une superbe femme aux formes généreuses et au sourire coquin. Elle et moi étions en train de chatter sur un site échangiste quand un couple nous y a abordé. Il s’agissait d’Eva et Mickaël, qui affichaient sur leur profil les âges canoniques de, respectivement, 19 et 21 ans. Je ne vous explique pas le coup de vieux.

Nous leur avons répondu cordialement, mais nous n’avions pas vraiment l’intention de passer à l’acte avec eux : ils étaient définitivement trop jeunes pour nous. De fil en aiguille, la conversation s’emballant et devenant de plus en plus intéressante, ils nous ont proposé de se retrouver, le samedi soir suivant, dans un sauna échangiste que nous fréquentions tous les quatre (mais où nous ne nous étions jamais croisés).

Nous avons tout de même accepté. Après tout, nous ne forcions personne, c’était même eux, les jeunes, qui nous avaient abordés, puis invités. Anne et moi nous sommes retrouvés donc entièrement nus dans le jacuzzi de l’établissement libertin, attendant l’arrivée d’Eva et de Mickaël. Ces deux-là se sont fait attendre une bonne demi-heure, par rapport à l’horaire prévu.

Quand ils ont finalement débarqué, ils nous ont repéré tout de suite. Et ont enlevé leurs serviettes avant de nos rejoindre dans l’eau. Là, j’ai littéralement halluciné. Eva était très mignonne, certes, mais toute petite, toute menue, avec un tout petit cul et deux gougouttes à la place des seins.

Petits nichons pour une vraie chaudasse

Des allures de fillette, certes, mais, pardon, niveau tempérament, c’était autre chose. Après m’avoir laissé serrer la main à son homme, la coquine m’a salué d’un baiser sur la bouche, et s’est assise sur mes genoux, là, dans l’eau du jacuzzi. Le contact de sa peau, de ses petits nichons tout durs, j’ai eu immédiatement la gaule. Et elle l’a senti. Elle a posé sa main sur mon membre raide et a commencé une chaude caresse, dont la sensualité était relevée par le contact des bulles.

J’ai posé une main sur sa poitrine toute menue, une autre entre ses cuisses, qu’elle avait grandes ouvertes. De leur côté, Anne et Mickaël se roulaient déjà des pelles libidineuses. J’étais chaud comme la braise, mais pas autant que ma libertine de 19 ans : elle a eu un premier orgasme sous mes caresses, là, dans le jacuzzi !

« Toute relation sexuelle est interdite dans les bassins » nous rappelait un écriteau. Nous sommes donc sorti de l’eau, qui pourtant me permettait de dissimuler une érection déjà très prononcée. Nous avons filé tous les quatre dans le hammam. Là, de nombreux couples s’observaient tant bien que mal dans la demi-pénombre, n’osant rien faire.

C’est Eva qui nous a fait une petite place pour tous les quatre sur un des bancs. Tous les trois devrais-je dire, car elle s’est agenouillée devant moi et a commencé à me sucer. A ma droite, ma chérie et son chéri se chauffaient allègrement. A ma gauche, une dame de la quarantaine, assez ronde, avec d’énormes seins, attendait avec son mari.

D’un coup, Eva a abandonné ma bite pour aller se réfugier entre les épaisses cuisses de la libertine plus mûre et, sans demander son avis, lui a léché la chatte. La dame, qui s’est laissée faire avec délice, a pris le relais sur ma bite, pendant que je pelotais ses énormes nibards.

Eva avait lancé les choses. De proche en proche, l’atmosphère de partouze s’était répandue dans tout le hammam. Elle était ravie. Elle est revenue vers moi, m’a déroulé une capote sur la hampe puis s’est mise par terre, me tendant son petit cul prodigieux. Dans une chaleur écrasante, je l’ai baisée en levrette pendant de longues minutes.

Après cette première baise, nous avons rejoint les coins-câlins où, fidèle à ses habitudes, Eva est parvenue à entraîner de nombreux autres dans une orgie sexuelle insensée. Mais je devais lui plaire, car c’est moi qui ai pu, le plus, joué avec ses tétons aussi petits que sensibles.

Nous les avons revus plusieurs fois. A chaque fois, je culpabilise un peu sur son âge, d’autant qu’elle fait plus jeune que ses 19 ans. Mais, à chaque fois, je succombe aux charmes de cette gamine libérée et libertine à souhait et… à ses petits nichons bien fermes !!

Une maman très protectrice

Par Ahmed, 30 ans

A l’époque de l’histoire que je vais vous raconter ici, j’avais tout juste 19 ans. Ma petite copine du moment en avait 18, et elle était vierge. Il faut dire qu’elle était issue d’une famille assez catholique, mais qui ne voyait pas d’un trop mauvais œil que la petite dernière de la famille sorte avec un rebeu. Ses parents avaient respectivement 49 ans, pour monsieur, et 42 ans, pour madame.

Vous savez comment sont les jeunes 18-20 ans ?On ne pense qu’à ça. Et moi, j’avais envie d’un peu plus que des roulages de pelles, des pelotages en tout genre et des séances de frotti-frotta. Normal. Mais cette situation ne lassait pas d’inquiéter la maman, Irène, de ma petite copine, France.

Il faut bien avouer que je me montrais assez insistant envers France, que je sentais toute proche de céder à mes avances, autant à cause de son désir de sexe que de celui de faire plaisir à son petit copain. En plus, France, tout comme sa mère d’ailleurs, avait une poitrine qui faisait se retourner tous les hommes sur son passage. Deux magnifiques obus dont l’indécence tranchait avec l’ambiance très puritaine de cette famille.

Tout a commencé un après-midi, alors que je devais rendre visite à ma chérie, comme nous y autorisait ses parents, dans sa chambre, porte grande ouverte. Dans ses conditions, peu de chances pour moi d’arriver à mes fins.

C’est Irène qui ouvre, elle est en peignoir de bain. Femme au foyer, elle ne sort de chez elle que pour prendre le thé avec ses amies, des dames du même cercle social qu’elle. « Tiens, Ahmed ! France n’est pas là, elle ne t’a pas prévenu qu’elle restait à la bibliothèque toute la journée ? ». Non, elle ne m’avait pas prévenu. Je tourne les talons, mais la maman me retient par la manche.

« Viens, j’ai quelques mots à te dire… ». Aïe ! Voilà qui n’annonce rien de bon pour moi. Irène me parle de mes envies, de sa volonté de voir sa fille rester vierge jusqu’au mariage, puis elle conclut : « Mais je comprends bien qu’un jeune de ton âge éprouve de légitimes envies ». Sur ce, elle se lève. Sa robe de chambre est entrouverte. Je peux apercevoir ses deux grosses mamelles ballotter un peu.

Je vois aussi sa toison. Un beau pubis très noir et très fourni. Elle s’approche de moi, ainsi dévêtue. Elle pose sa main sur ma braguette et me sourit. Puis elle s’accroupit, là, juste face à moi. Sa robe de chambre est presque totalement ouverte. Elle sort ma bite de sa cachette et commence à me branler.

Branlé par cette maman aux gros nibards

Ma queue est raide. Et la maman vicieuse la frotte contre sa belle paire de nibards. Je n’ose rien dire, ni rien faire. Elle me branle de plus en plus vite, et me caresse les couilles avec l’autre main. Je suis en rut. Je reluque ses deux gros seins et sa branlette experte.

Ça y est, je décharge sur la grosse poitrine d’Irène qui, une fois passé mon orgasme, se relève. Elle me dit : « si ça devient trop pressant, si tu as envie de te vider les couilles, viens me voir, je préfère… ».

Je suis estomaqué d’entendre de tels mots dans la bouche d’Irène, mais comme elle est pleine de mon sperme, ça ne tranche pas vraiment avec l’ambiance générale. Je me rhabille et prend congé de la mère de ma petite amie.

Mais mon histoire ne s’arrête pas là. Car, en plus d’être bigote, Irène avait un seul autre défaut : elle était très bavarde. Et malgré sa bigoterie, elle avait tout raconter à ses fameuses copines cathos, qui, je l’apprendrai plus tard, n’étaient pas si catholiques qu’elles le prétendaient.

C’est donc, un après-midi où France avait du s’absenter suite à l’appel d’une copine que je suis tombée sur une réunion de ces dames, qui regardaient mon entrejambe plus que mes yeux. Elles m’ont posé tout un tas de questions sur moi, m’ont invité à partager une tasse de thé avec elles, puis m’ont proposé de me soulager de mes « tensions ».

Très vite, je me suis retrouvé entièrement nu, avec une demi-douzaine de femmes quadragénaires, parfois même quinquagénaires, toutes dévouées à préserver la virginité de France. Certaines d’entre elles, se sont même amusées avec des godes-ceintures, en attendant leur tour sur ma bite. J’ai joui tant et tant durant ces après-midis « thé » que je n’ai plus jamais insisté pour prendre le pucelage de ma petite amie de l’époque.

Un jour, France m’a quitté, apparemment triste du peu d’ardeur que je mettais à la convaincre de sauter le pas. Moi, je garde le souvenir de ces partouzes masturbatoires avec mes vieilles bigotes, vicieuses, en manque et bisexuelles, bref, pas si coincées que cela.

La femme de mon collègue

Jacques, mon collègue de bureau, ne pouvait pas ignorer que je bandais pour Sonia, sa femme, une superbe brune à la peau mate et pour ses incroyables nibards, qu’elle exhibait toujours fièrement grâce à des pulls moulants ou de plongeants décolletés. De dix ans mon aîné, il m’avait pris sous son aile à mon entrée dans la boîte, à a fin de mes études et, depuis, nous étions devenus très amis.

Une passion pour la jeunesse, chez lui, sans doute, car Sonia, quant à elle, n’avait pas trente ans quand cette aventure m’est arrivée. J’étais invité à dîner chez eux. Célibataire depuis un an, je partageais avec Jacques mes aventures d’un soir, et lui se régalait de mes exploits horizontaux. Il faut dire qu’il avait l’air d’être un chaud lapin, même s’il ne m’avait jamais avoué quelque infidélité que ce soit vis-à-vis de sa jeune épouse.

Quelle ne fut pas ma surprise quand je me suis aperçu que nos conversations paillardes étaient arrivés aux oreilles de Sonia, qui en a rigolé avec nous durant tout le repas. Elle était splendide, le sourire aux lèvres, les dents blanches, la bouche pulpeuse, les seins comprimés et saillants dans un petit haut dont je ne saurais dire la matière.

Une fois au dessert, un peu gêné de voir étaler ma vie privée devant la jeune femme, j’ai essayé de renverser un peu la situation, en leur demandant à leur tour, de me raconter les détails de leur vie érotique. « Oh, non, on ne peut pas, tu serais choqué ! » me répondit de but en blanc Sonia, avec un air vicieux dans le regard. Jacques eut l’air un peu gêné, et il parvint à reprendre le contrôle de la conversation.

J’étais tout de même un peu troublé par l’assertion de la belle brune. Jacques m’aurait-il caché des choses ? Je les imaginais déjà baisant dans les bois, dans des toilettes d’un restaurant ou où sais-je encore ? Avec ces idées me vinrent quelques images fantasmées de la poitrine de Sonia, nue dans une cabine d’essayage, en train de pomper la bite de son homme.

Je suis donc revenu à la charge. Et, très vite, le vin aidant, les langues se sont déliées. J’ai été estomaqué d’apprendre que Sonia et Jacques fréquentaient le milieu échangiste de la région. Ils connaissaient tous les clubs, et pouvaient dire quelle vendeuse, quelle boulangère et même quelle fliquette « en était ».

Jacques ne m’avait pas raconté tout ça . Mon esprit s’est mis à vagabonder, je me voyais en train de prendre sauvagement le beau cul de Sonia sur la piste de danse. Les yeux troublés par l’alcool, Jacques semblait lui aussi à ses rêveries. D’un ton provocateur, il me lança : « et encore, collègue, tu ne sais pas tout ! ».

Il avait su retenir mon attention. De quoi parlait-il ? Je devais en apprendre d’avantage. « Je suis bi, et il n’y a pas que Sonia qui suce des bites ! ». Ça y était, j’avais compris, ils me faisaient tous les deux une blague, depuis le début ! Je suis alors parti dans un éclat de rire.

Un peu vexé, Jacques insista, mais je ne voulais pas le croire. Il s’est alors levé, s’est approché de moi, m’a caressé la joue, puis l’épaule, puis le torse… Oh ! Où est-ce qu’il croit aller comme ça ? Je ne savais pas comment me comporter, surtout que Sonia se levait à son tour. Et alors que la main de Jacques approchait dangereusement mes parties intimes, je me suis retrouvé avec la poitrine de sa femme juste à hauteur de mon nez.

Elle a retiré son haut, dévoilant ses seins nus. Elle me les a carrément collés dans la bouche. Plus bas, Jacques s’évertuait à sortir ma bite de ma braguette, mais je bandais déjà tellement dur qu’il eut tout le mal du monde à extraire l’objet de sa convoitise de sa cachette. Une minute passa et je me suis retrouvé la tête entre les gros seins ronds de Sonia et la bite dans la bouche de Jacques !

Baise avec mon collègue et sa femme !

Le pire, c’est qu’il suçait vachement bien ! A croire que ce n’était pas la première queue qu’il fourrait dans sa bouche ! Ils ne m’avaient donc pas menti, ces deux cochons là ! En deux temps, trois mouvements, nous nous sommes retrouvés tous les trois au lit, en train de nous lécher et de nous sucer les uns les autres. J’ai même pris le membre de Jacques -mon collègue !- en bouche !

Ils m’ont expliqué qu’ils ne pratiquaient pas la pénétration, anale ou vaginale, pendant leurs jeux libertins. Ils gardaient ça pour leurs jeux amoureux plus classiques. Mais ils m’ont proposé de sortir un de ces soirs, tous les trois ensemble, en club échangiste. Depuis, nous y allons souvent, en trio.

Soirée BDSM en club libertin

Par Katia, 29 ans.

Nous avions été engagés par un site de rencontres échangistes pour réaliser des reportages incognitos dans des clubs libertins à travers la France. Nous devions repéré des soirées hors-du-commun et les raconter à nos lecteurs. Seulement, le récit de cette soirée spécifique a été censuré par la direction du site, parce que trop hard : une soirée BDSM en club libertin…

La scène se passe dans un club-sauna du département du Jura, dans une petite ville de Franche-Comté. Là, se tient une fois par mois une soirée à thème BDSM. L’un comme l’autre, nous avions déjà assisté à ce genre de soirées : pas de quoi fouetter un chat, sans mauvais jeux de mots.

Nous sommes venus en respectant le dress-code : tenue vinyle provocante pour moi, vêtements noirs pour lui. Nous avons l’habitude, pour ce genre de missions, d’arriver très tôt, histoire de voir les convives s’installer les uns après les autres. Nous papotons un instant avec la barmaid, une belle plante brune aux formes généreuses, aussi joviale que sexy.

Et le défilé a commencé : là, un homme vêtu d’un superbe T-shirt au milieu duquel étaient floquées les initiales SM, là, une femme qui tenait son mari en laisse, quelques hommes seuls, puis à nouveau des couples, comme on en voit dans tous les clubs échangistes.

Il a fallu attendre un moment avant que les « hostilités » ne démarrent vraiment. Mais quel choc ça a été ! Avant même que nous ayons eu le temps de réaliser, la jolie barmaid avait été remplacée à son poste et était en train de torturer un homme attaché à la croix de Saint-André, tandis qu’un autre des célibataires, entièrement nu, lui servait, selon ses humeurs, de tabouret ou carrément de marche-pied (attention aux talons aiguilles!).

Au bar, justement, un homme avait mis sa compagne cul nu. Il lui avait retiré le rosebud qu’elle portait, planté dans son anus, et il offrait sa soumise à tout ceux qui voulaient la sodomiser. Dans une petite pièce isolée, une maîtresse domina, avait fait s’allonger une femme sur le dos, et deux hommes sur le ventre, sur un lit habituellement utilisé par les couples échangistes pour partouzer.

La dame, une maîtresse-femme de la cinquantaine, jouait comme une diablesse de la cravache sur le dos et les fesses des messieurs ainsi que sur les seins de la soumise, le tout sous le regard incrédule des curieux dont nous faisions parti.

C’est alors qu’un couple nous a approchés. Une belle petite meuf, 1m60 maximum, blonde comme les blés, nous offrait les services « linguistiques » de son soumis. Autrement dit, elle me proposait de me mettre à l’aise pour qu’il me lèche à volonté. Amusée, j’ai accepté. Et l’esclave sexuel savait y faire, je vous prie de me croire. Il m’a fait jouir très vite, sous les insultes et les menaces de sa dominatrice. Puis il est allé s’occuper d’une autre libertine.

J’étais chaude, mon chéri aussi. Quand nous avons remarqué un couple que nous avons déjà croisé dans un autre club coquin, lors d’une soirée plus traditionnelle. Ce soir là, elle était sa chose. Il nous l’a offerte.

Il l’a d’abord attachée à une autre croix de St-André, nue, offerte. Nous avons joué longuement avec ses gros seins. Mon mec était plus timide que moi, puisque je me suis surprise à pincer fortement ses tétons, scrutant son regard pour y déceler les traces de sa douleur. Je n’étais plus moi-même.

Envoutée par le démon du BDSM

La barmaid, voyant la scène, m’a proposé un gode-ceinture, dont elle a ensuite harnaché ma taille nue. Elle y a placé un préservatif et on a fait se mettre à quatre pattes la soumise. C’était la première fois que je baisais une autre femme. Je l’ai tringlée en levrette, tandis que mon homme lui plantait sa tige en fond de gorge.

Prise de je ne sais quelle pulsion sadique, je me suis mise, tout en la baisant, à lui envoyer une volée de claques sur les fesses. Elle hurlait, je ne sais si c’était de douleur, de honte, ou de plaisir tout simplement. Des dizaines de voyeurs, hommes et femmes, regardaient sa déchéance, alors que son homme lui cinglait le dos de coups de martinet aussi précis que cruels.

Rarement, dans ma vie de libertine, je n’ai autant pris mon pied que ce soir-là. Un drôle de sentiment, une étrange sensation. C’était comme si quelque chose remontait en moi, quelque chose d’assez malsain, mais de terriblement jouissif. Je possédais cette femme et je la faisais jouir de ma cruauté. Un démon BDSM s’était emparé de moi.

Ma cousine est une cochonne

Par Steve, 24 ans

Ah, les obligations familiales, quelle plaie ! Invité au mariage de ma cousine (pas la cochonne, une autre ;)), j’ai du quitter mes potes et mes vacances pour aller à l’autre bout de la France faire la bise à toutes les vieilles et tous les vieux de ma famille… Mais, vous savez quoi ? Je n’ai pas eu à le regretter.

Parmi les interminables présentations, les « si, souviens-toi, c’est la cousine du frère de la sœur de machin-chose », j’ai tout de même eu une bonne surprise. Parmi mes cousines se trouvait Erika, une splendide brune dont je ne me souvenais pas bien, à vrai dire.

Il faut dire qu’Erika a 9 ans de plus que moi, et que c’est une cousine issue de germain. Une grande gigue, pas loin du mètre 80, de beaux yeux noirs, une peau magnifique, de longs cheveux qui la rendent super sexy. Sans compter qu’elle porte, pour l’occasion, une superbe robe avec un décolleté plongeant qui met en valeur une poitrine opulente et rebondie.

Seule ombre au tableau : Erika est venue avec son mari. Ben oui, il y a toujours un mari dans ces cas-là. Un type sympa, ouvert, mais bon, j’aurais quand même préféré qu’il n’existe pas. On passe à la mairie, à l’église, tout le tralala, puis à table. Et là, coup de bol, je me retrouve assis à côté de ma jolie cousine.

Une fois l’apéro avalé, je m’aperçois qu’Erika se dandine bizarrement sur sa chaise. Je jette un coup d’œil rapide. Ce salaud de Thierry – c’est le prénom du mari – est en train de la peloter sous la table. De la peloter, voir même carrément de la masturber ! La vache, je bande comme un taureau en imaginant à quel point elle doit être en train de mouiller.

Merde ! Je suis repéré. Ils ont vu que je les ai vus. Et ils ne s’arrêtent pas de se tripoter, là, juste à côté de moi. L’entrée arrive : des huîtres. Putain ! Il faut la voir déguster ses coquillages, on dirait qu’elle bouffe une chatte ! J’en peux plus, j’ai la bite en feu. En plus, j’ai une vue plongeante sur ses deux grosses mamelles, à la cousine !

Je me lève. Il faut que j’aille aux toilettes, histoire de me calmer un peu. Cette salope d’Erika m’a mis dans tous mes états ! Je me demande si je ne vais pas carrément me branler, histoire de me retrouver plus serein. Je pousse la porte d’une cabine, j’entre, je ferme derrière moi. Ah ben non, quelqu’un pousse la porte à son tour, m’empêchant de fermer.

Quelqu’un, ou plutôt quelqu’une. Erika, évidemment ! Elle a un sourire pervers, des yeux brillants de cochonne en chaleur. Elle s’enferme avec moi et me met directement la main au paquet la cochonne… En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouve le nez dans ses nibards, elle a sorti ma bite tendue et me branle délicieusement.

Je veux lui rendre la pareille, je passe sous sa robe. Elle n’a pas de culotte. Attends, y a un fil qui dépasse de ta chatte, ma coquine ! Ah oui, ok, cette vicieuse a des boules de geïsha plantées dans la moule, c’est ça qui doit la transformer en chaudasse en manque !

Je fais de mon mieux pour lui faire du bien. Et ça marche, apparemment : elle se mord les lèvres pour retenir ses couinements de plaisir que, du coup, je suis le seul à pouvoir entendre. Et plus elle est proche de l’extase, plus elle me branle !

Je vais décharger, c’est sûr ! Pourvu que je ne salisse pas sa jolie robe. Non, la coquine a de l’expérience. Au moment où elle sent que je vais jouir, elle se fout à genoux, prend ma teub en bouche et avale tout, avec une gourmandise non dissimulée.

Erika se relève et quitte la cabine. Je tente de reprendre mes esprits. Je me lave un coup au lavabo puis je repars vers ma place à table. Merde ! Thierry a forcément du se rendre compte de quelque chose. Je vais me faire péter la gueule, c’est sûr.

Non, il est là, peinard, en train de boire du vin. Bien sûr, qu’il a tout compris. Pire ! C’est lui qui a manigancé tout ça, je le sens à l’air ravi qu’il prend quand il m’adresse la parole. Sur ce, la mère de la mariée vient nous voir. Elle est désolée, il y a eu un problème dans les réservations de chambres, à l’hôtel.

On va devoir, Erika, Thierry et moi, partager la même chambre pour la nuit. « Mais ça ne devrait pas poser de problèmes, entre cousins » lui répond du tac au tac Erika, avec son petit air habituel de Sainte-Nitouche, le joli masque de ma cousine cochonne préférée !

Un sextoy m’a rendu infidèle…

Par Céline, 33 ans

Je crois que je suis devenue une vraie salope infidèle, de ces filles que je n’ai jamais comprises, auparavant. Je vous écris ce texte pour avoir votre avis sur la question. Mais une chose est sûre : je suis devenue totalement infidèle à mon compagnon. C’est de sa faute aussi ! Un jour, il m’a offert un drôle de jouet pour la Saint-Valentin. Il a du croire que ça allait réveiller ma libido, quelque peu endormie, depuis la naissance de notre petite fille.

Un mini-vibro Bonnie, ils appellent ça. Tu parles que ça a réveillé ma libido ! Je n’arrête pas avec ça. La partie large me remplit bien le vagin pendant que la plus fine me travaille le clito divinement. Je suis devenue totalement dingue avec ça ! Au point que, un jour, je me suis connectée sur un site de rencontres coquines. J’y ai trouvé un homme, de passage dans ma ville pour le boulot. Mon chéri était au taf, j’ai invité l’inconnu à venir me rejoindre.

Il m’a trouvée allongée sur lit, les cuisses écartées, mon sextoy fiché dans mon sexe. Il m’a rejointe et nous avons baisé comme des beaux diables pendant plus d’une heure. Quand il est parti, je suis allée prendre une douche. J’avais bien joui, mais j’avais le ventre tordu par le sentiment de culpabilité. Plus jamais je ne ferais ça, c’était certain !

Le jeudi après-midi suivant (alors que je suis en RTT et que mon compagnon est au travail), j’ai recommencé à me masturber avec mon Bonnie. Prise d’une pulsion incontrôlable, je suis retournée sur le site de rencontre. Je me suis faite draguée par un jeune marocain de 20 ans. Ça m’a flattée. Il est venu chez moi, et il m’a sautée.

Le truc, c’est que je suis dans un état tellement étrange quand je me branle avec mon sextoy, que je ne me rends plus compte de rien. A vrai dire, je n’ai même pas le sentiment de tromper mon homme, en tout cas pas plus que si je fantasmais sur un autre en pleine masturbation.

J’ai essayé ensuite de contourner le problème. De n’utiliser mon vibromasseur que quand mon compagnon était là. Nous avons eu des moments de sexe incroyables grâce à ça. Mais non, tous les jeudis, un nouvel amant venait me visiter, comme si une force surhumaine prenait le contrôle de mon corps et de ma volonté.

Je suis certaine qu’il ne se doute de rien. Il est même plutôt ravi de voir que mon désir sexuel est redevenu normal. Que j’éprouve, à nouveau, des besoins érotiques. Mais le pire, c’est que c’est un plaisir à accoutumance. J’en veux toujours plus.

Un après-midi, un des mecs contactés m’a posé un lapin. Je suis donc restée seule, avec mon Bonnie, frustrée de n’avoir pas une bite pour finir le travail engagé par la masturbation. Alors, le jeudi suivant, j’ai pris mes précautions : j’ai invité deux hommes à venir me baiser.

Le problème, c’est qu’ils sont venus tous les deux. Plus grave, je les ai laissés me prendre chacun leur tour, puis ensemble, en double-pénétration vaginale. Ça a été le début d’une escalade. Et d’un rituel : je commence à me faire du bien avec mon sextoy, puis, bien chaude, je m’installe à l’ordinateur pour trouver des amants. J’accepte tout ceux qui se proposent et qui sont disponibles dans l’heure.

Ma chambre à coucher est devenu le théâtre de partouzes incroyables où je baise avec parfois une demi-douzaine d’inconnus. Je ne vous raconte pas le temps que je passe, ensuite, à effacer toutes les preuves de mon forfait ! Non seulement je suis infidèle, mais je suis devenue une véritable partouzeuse, un bon plan cul que certains hommes du réseau où je suis inscrite se refilent.

Suis-je devenue une salope infidèle ?

Mais il n’y a rien à faire : quand je baise avec ces hommes, je ne me contrôle plus. Une fois, l’un d’entre eux a même pris des photos de moi dans des positions salaces, et je l’ai laissé faire. Pour moi, c’est comme si tout cela appartenait à un autre monde. Rien à voir avec mon couple, rien à voir avec mon amour pour lui.

Ce sextoy a pris possession de mon âme, je suis comme ensorcelée. J’ai bien pensé m’en débarrasser, mais c’est un cadeau de mon compagnon, comment lui expliquer ? Mais est-ce vraiment le sextoy qui est en cause, où suis-je, moi, une salope infidèle par nature ?

Mon mari m’offre une expérience lesbienne

Cela faisait trois semaines maintenant qu’il me promettait une surprise pour mon anniversaire. j’avais tout imaginé, sauf cela : un voyage à Venise, un beau bijou, ou encore une très belle robe. Mais là, vraiment, j’étais sur le cul. Pour mon anniversaire, mon mari m’offre une expérience lesbienne.

Elle est exactement comme je l’ai toujours fantasmée : petite, plutôt gironde, une jolie blonde aux yeux clairs dont les seins sont moulés dans un petit haut trop serré pour elle, deux belles grosse ogives appétissantes à souhait. Gilles me connaît bien. Il sait que j’ai eu quelques expériences lesbiennes au lycée, puis à la fac, et que j’ai toujours eu un faible pour ce genre de nana, moi la grande gigue brune, plate, sans formes.

Elle se tient devant moi, un sourire légèrement gêné aux lèvres. Elle me dit :  » il paraît que je suis ton cadeau d’anniversaire ». Elle n’est pas très sûre d’elle. Elle se demande encore si tout cela n’est pas qu’une mauvaise plaisanterie. Un mari qui offre une expérience lesbienne à sa femme, ça ressemble tout de même beaucoup à un plan drague à deux ronds.

Gilles nous touche l’épaule, à chacune d’entre nous, et me dépose un baiser tendre sur les lèvres : « je vous laisse ». Il prend son manteau, et quitte l’appartement. Me voilà seule avec ma jolie blonde lesbienne, qui doit avoir cinq ou six ans de moins que moi. Et pourtant, c’est elle qui prend l’initiative. Il faut dire que je suis comme plantée, là, debout devant elle.

Elle s’approche, passe la main dans mes cheveux, puis sur ma joue. Elle tend les lèvres vers moi. Je lui rends son baiser. J’adore embrasser une autre femme. C’est tellement doux, tellement sensuel. Nos langues de filles se caressent. Un parfum d’interdit flotte dans la pièce. Un parfum qui m’enivre. Je prends maintenant la bouche de la jeune gouine à pleine bouche, et elle me le rend bien.

Elle me prend finalement par la main, et m’attire vers notre chambre à coucher. Elle me fait assoir sur le lit conjugal et, devant moi, entame un strip-tease dont je peux vous garantir que je me souviendrai longtemps. Elle dévoile ses seins insolents qui pointent vers moi, puis son cul ferme, haut et rebondi. Elle vient se coller à moi. Je reste comme interdite.

Alors c’est elle qui me déshabille, elle qui agace doucement mes tétons de sa langue inquisitrice, elle qui retire ma jupe, puis mon string. Nous sommes maintenant toutes les deux, allongées l’une contre l’autre, elle me grimpe dessus. Quel plaisir de sentir ses gros seins glisser contre ma poitrine plus androgyne, de prendre à pleines mains les deux beaux globes de ses fesses tandis qu’elle me roule des pelles.

La voici qui descend le long de mon corps de femme, qui embrasse mon cou, mes épaules, à nouveau mes petits nichons puis mon ventre. Je sais qu’elle va vouloir me lécher. J’ai un peu peur, mais j’en ai très envie. Ça y est, ses lèvres se posent sur mon mont de Vénus, qu’elle embrasse tendrement.

Ma première expérience lesbienne…

Sa langue vient s’insinuer en haut de ma chatte, pour y trouver mon clito. Elle sait y faire, c’est une vraie lesbienne, qui a l’habitude de faire plaisir à une autre femme. Sa langue vicieuse va de mon bouton à ma chatte puis revient à nouveau. Je vais défaillir, vite. Un orgasme puissant me monte du ventre jusqu’à toutes les terminaisons nerveuses de mon corps. Je me cambre, puis je n’arrive plus à me contrôler.

A peine remise, je veux lui rendre la pareille. Mais d’abord goûter à ses beaux seins fermes et ronds. J’ai envie de les téter pendant des heures. Je pose la tête entre ses deux belles doudounes. Il ne me reste plus qu’à me laisser aller, et à profiter de mon cadeau.