Par Yvette, 54 ans.
Je sens sa bite vigoureuse taper au fond de moi. Jamais je n’aurais du attendre aussi longtemps, jamais je n’aurai du laisser passer ma vie sexuelle. C’est trop bon. La peau douce de Benoît glisse contre la mienne. Il est en sueur, moi aussi. Je sens sa poitrine contre mes deux gros seins lourds, mais je sens surtout son membre viril au plus profond de mon vagin.
Je m’appelle Yvette, j’ai 54 ans, et j’ai passé toute ma vie à m’occuper de mes enfants, dont mon fils, André, et de mon mari Claude. Il y a peu de temps, je me suis aperçue que Claude avait des aventures assez régulièrement. Oh, rien de sérieux, rien de bien grave, m’a t-il affirmé, mais tout de même, j’ai eu bien du mal à m’en remettre.
Et puis, mon fils a invité un de ses amis à venir passer le week-end dans notre maison de compagne. C’est là que j’ai surpris Benoît, le copain en question, fouillant dans la table de nuit de mon mari où celui-ci conservait d’anciennes photos de moi dans le plus simple appareil. Vous savez, ces vieilles photos instantanées que faisaient les couples désireux de s’encanailler, avant l’arrivée massive du numérique.
Quand il s’est retourné et qu’il m’a vue, toute habillée et avec 20 ans de plus, le jeune homme s’est mis à rougir. Je n’ai pas voulu en faire un drame et j’ai préféré plaisanter sur le temps qui passe, et qui rend les femmes moins désirables. Il m’a dit que, au contraire, il me trouvait plus belle que jamais. Un tourbillon s’est emparé de nous, il s’est jeté sur moi, me couvrant de baiser.
En quelques minutes, nous nous sommes retrouvés tous les deux nus sur le lit et c’est là qu’il a commencé à me prendre. J’étais folle de désir pour ce jeune corps, pour cette jolie bite, pas très grosse, mais indécemment tendue et raide, celle du meilleur ami de mon fils… Il me l’a enfoncée entre les cuisses, et j’ai manqué de peu un premier orgasme. La maison était déserte, mais pour peu de temps.
Mes enfants et mon mari allaient rentrer dans les minutes à venir. Il fallait faire vite. Benoît m’a baisée en missionnaire, jusqu’à ce que je jouisse une première fois. Il m’a ensuite demandé de me mettre en position de levrette et, malgré ma gêne de lui exposer ainsi mes grosses fesses de quinquagénaire vieillissante, j’ai accepté.
Maintenant, il me baise comme une chienne et, malgré son petit sexe, il arrive à vraiment me défoncer le vagin. Je jouis encore. Mais j’ai peur. Peur d’être surprise par mon mari ou pire, par l’un d mes enfants. Imaginez André me surprenant en si fâcheuse posture en compagnie de son meilleur ami !
La queue du meilleur ami de mon fils
Je me dégage de l’emprise de Benoît. Mais je ne veux pas le laisser comme ça. Je lui fais ce qu’adore mon mari : je prends son vit entre mes deux seins et je le branle vigoureusement. A chaque fois que son gland ressort de mes deux obus, je lui passe un coup de langue sur le frein.
Il va jouir à son tour. J’avais oublié comment les hommes giclaient, à vingt ans ! Il m’en met partout ! Sur les seins, bien sûr, mais jusqu’à mon visage, et même une goutte atteint mes cheveux. Je suis tremblante, souillée de sperme, le corps couvert de sa transpiration et de la mienne.
Il file dans la chambre des garçons, pour prendre une douche. Moi, je ne sais plus par quoi commencer. Oui, la salle de bains. Je m’y précipite, après avoir ramassé mes vêtements, jetés négligemment au sol, sur la moquette de la chambre.
Je ferme la salle de bains à clé. Je me regarde dans le miroir : j’ai le visage plein de sperme. Une douche, vite ! Avant que tout le monde ne rentre ! L’eau coule sur mon corps, et me lave, dans tous les sens du terme. Mais les images de notre étreinte me reviennent une à une en mémoire.
Là, sous le jet puissant de la douche, je me masturbe, jusqu’à atteindre mon troisième orgasme de la journée. Quand je reprends mes esprits, j’entends que ma famille est rentrée. Je me sèche, me rhabille prestement et je sors de la chambre.
Je retrouve mon mari et mes enfants qui rangent les courses, tandis que Benoît, le meilleur ami de mon fils les y aide. Il est beau comme un cœur. J’ai encore envie de lui. Je ne me souvenais plus de la fougue et de la douceur de la peau des garçons de son âge.
Après tout, si mon mari couche avec des petites jeunes, j’ai bien le droit, moi aussi ! Il faudra que je recommence… avec Benoît, s’il en a toujours envie. Ou avec d’autres : mon fils a beaucoup d’amis !