Je ne vous explique pas à quel point ce fut chaud, dans le tout petit appartement de la stagiaire. Ou plutôt si, bien sûr, je vais vous l’expliquer : Lydie m’a donc roulé une pelle langoureuse sur son palier, puis m’a attiré chez elle et a refermé violemment la porte derrière nous.
En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dire – et pour moi de me rendre compte de ce qui m’arrivait – elle s’est retrouvée les seins nus, collés à mon torse, nos bouches encore lovées l’une contre l’autre. Puis, la bimbo s’est reculée et j’ai pu admirer sa formidable poitrine, ferme, gigantesque, avec de très gros bouts roses et fermes, qui pointaient comme des menaces sur mon mariage, vers moi.
Après une courte hésitation, je me suis précipité vers la jeune femme et, comme un adolescent en rut, je me suis mis à téter et à suçoter les mamelons de la stagiaire, qui couinait de plaisir sous mes coups de langue.
Nous avions beau être dans son entrée, son lit était à deux pas et, après en avoir retiré quelques peluches qui trainaient là, Lydie m’y fit basculer et, les seins luisants de ma salive, elle entreprit de me déshabiller.
Sucé par la stagiaire !
Moi-même, je ne me souvenais pas d’être capable de bander aussi dur. Alors, imaginez un peu, quand ma bite toute entière disparut entre les lèvres gourmandes de Lydie ! J’ai cru que je n’allais pas pouvoir me retenir, et que j’allais inonder séance tenante la gorge de la blondinette.
J’ai finalement réussi à me calmer et, tandis qu’elle me pompait avec une science qui n’était pas de son âge, je me suis mis à peloter ses gros seins, puis son gros cul, qu’elle avait libéré prestement de sa petite jupe et de son mini-string. Je regardais autour de moi, tout en appréciant la turlutte magique que me prodiguait le stagiaire.
C’était là une chambre de post-ado : des posters sur tous les murs, des peluches sur tous les meubles et des CDs qui trainaient un peu partout sur le sol. J’eus un mouvement de recul. Intriguée, Lydie lâcha un instant ma bite enflée et comprit ce qui se jouait dans ma tête de quadragénaire coupable. Elle vint étaler tout son corps sur le mien, et se fit plus douce, plus tendre et moins salope.
Après tout, c’est elle qui m’avait sauté dessus, et si je lui faisais du bien, je n’avais pas à me poser de questions vis-à-vis d’elle. Nous avons recommencé à nous embrasser comme deux lycéens, pendant qu’elle frottait sur mon érection sa vulve épilée intégralement.
Nous avons fait l’amour comme ça pendant près d’une heure, sans pénétration, jusqu’à ce qu’elle ait raison de moi grâce à une cravate de notaire aussi savante que sa pipe. Mon gland coulissait entre ses deux formidables globes, et se trouvait titillé à chaque passage par le bout de sa langue.
J’ai joui à grands jets sur le visage de Lydie, qui ne chercha même pas à éviter mes éjaculations sur elle. Il fallait que je rentre, vite, ma femme m’attendait à la maison.