Je ne sais pas ce qui m’a pris, ni pourquoi j’ai eu envie d’aller au bout du jeu, ce jour-là avec ce vieux cochon dans le métro… Je vous explique : je m’appelle Nathalie, j’ai 21 ans et je suis étudiante à Paris, même si je suis originaire d’une petite ville de province que je ne citerai pas. Comme toutes les filles, il m’arrive de me faire bousculer dans le métro, aux heures de pointes.
Quand je dis » bousculer « , c’est pour ne pas dire plus. En fait, de nombreux mecs profitent de la situation, des corps serrés dans la rame, pour vous peloter un peu, ou pire ! Il faut dire que j’ai une poitrine assez énorme, qui me complexe beaucoup, mais qui a plutôt tendance à attirer les pervers. Comme ce monsieur noir, d’une soixantaine d’années, qui, un matin, s’est retrouvé collé à moi sur la ligne 7.
Au début, j’ai cru que ça n’était pas volontaire. Mais, très vite, je me suis fait une raison : il plaquait sa poitrine contre la mienne à la moindre occasion et louchait sur mes seins, alors que, pourtant, je n’étais vraiment pas en décolleté. J’ai fait comme à mon habitude : je l’ai fixé dans les yeux. En général, ça suffit. Le pervers baisse les yeux et se met à regarder ses chaussettes, tout en s’éloignant de moi.
Mais là, pas du tout ! Le vieux black a même du prendre ça pour une invitation, puisqu’il s’est mis à soutenir mon regard avec un large sourire aux lèvres. Le comble, c’est qu’il y a eu un mouvement de foule juste à ce moment, qui m’a amenée à me coller encore plus à lui. Il n’en fallait pas plus pour l’encourager à me mettre la main au cul.
Contrairement à d’autres vicieux du métro, il ne me pelotait pas vraiment, il me caressait plutôt les fesses, avec une certaine douceur. Pas la main au panier brutale et vulgaire, non, une espèce de caresse tendre et respectueuse, si je puis dire. J’ai de nouveau regardé mon agresseur : il m’avait l’air sympathique, tout à coup.
Nouveau mouvement de foule. Il relève sa main. Cette fois, il me touche clairement les seins. Et moi, je ne sais pourquoi, je me laisse faire. En d’autres circonstances, il se serait pris une paire de gifles et on n’en parlait plus ! Mais il avait une façon de faire ça, presque innocente. Messieurs, je vous prie de croire que je ne vous raconte pas cette histoire pour vous encourager à agir de la sorte : les peloteurs du métro devraient être envoyés quelques jours en taule, ce serait mérité !
Pour dire que je ne savais pas ce qui m’arrivait. J’avais envie de le laisser en profiter. Et même, je commençais à mouiller. De toute façon, j’approchais de la station de ma fac, j’allais bientôt descendre alors pourquoi ne pas le laisser se faire ce petit plaisir ?
Sauf qu’à la station Censier-Daubenton, il est descendu également. Et m’a suivi dans l’escalator. J’ai allongé le pas pour me réfugier dans l’université, mais je sentais qu’il était toujours là, derrière moi, à distance. Je suis entrée dans la fac par l’escalier de la bibliothèque universitaire et je suis partie directement pour les toilettes des filles.
Là, je me suis enfermée dans une cabine et j’ai attendu. Il me fallait reprendre mes esprits et mon souffle. Quand on a frappé à la porte, j’ai ouvert sans réfléchir. C’était lui. Il souriait à belles dents. Je l’ai dévisagé, j’aurais presque eu le temps de compter les rides sur son visage. Il a porté sa main à son entrejambe et m’a demandé, avec un fort accent africain : » bonjour mademoiselle, tu as envie ? « .
Et oui, j’avais envie. Je me suis écartée pour le laisser entrer dans la cabine. Je me suis baissée et j’ai ouvert la braguette du vieux cochon. J’ai eu du mal à en sortir l’engin qui y dormait. Il était énorme. Une gigantesque bite noire, très longue, très épaisse, tendue comme un arc.
Il a caressé mes seins sous le t-shirt, et je l’ai branlé. Ça a duré comme ça de longues minutes, jusqu’à ce qu’il se débarrasse de mon haut et de mon soutif pour téter mes mamelons à pleine bouche. Je branlais son énorme queue et je me masturbais en même temps. Je voyais ses rides, son cou de vieux et ça m’excitait. J’ai eu du mal à contenir un cri lorsque l’orgasme est arrivé. Lui, il a joui de longs jets de foutre blanc qui se sont répandus sur mon jean. Il m’a déposé un baiser sur les lèvres, s’est réajusté et est parti.