J’ai pour habitude en été de descendre de mon studio pour me rendre dans un square tout prêt de chez moi. Il y a là un petit parc vraiment sympathique. Je l’aime bien. Il est un peu isolé du grand boulevard, il y a beaucoup d’arbres, et tout ceci me permet de pouvoir faire un peu de bronzette topless. J’ai des formes, je suis une bonne vivante, et j’ai du mal à sortir mes gros nichons bien lourds à la plage ou dans une piscine publique. Ce n’est pas que je suis complexée, loin de là, mais j’ai l’impression que tout le monde me regarde moi et ma forte poitrine. Bref, j’arrive au parc, et je me rends dans mon petit coin secret pour faire du topless.
Des salopes aux gros seins en manque de queue, ça existe !!
J’étale une serviette je sors mon téléphone et je mets de la musique. J’enlève le haut de mon soutif et je m’installe tranquillement. Mes tétons se durcissent immédiatement sous la chaleur du soleil. Je suis bien, mais je sens déjà que je transpire un peu dans la raie de mes seins. Ils sont si gros qu’ils se pressent l’un contre l’autre. Alors que je fais le vide dans ma tête et que j’essaie de profiter de cet instant de détente dans cette ville de fou, j’entends un petit bruit dans les buissons sur ma gauche.
J’ai mes lunettes de soleil mais je peux très bien voir qu’un mec est en train de se branler en me regardant. Le salaud! Il doit être sacrément en manque. Il n’a pas l’air dégueulasse en plus, et surtout, cette queue paraît si grosse! Je l’invite à venir. « Allez, sors de là, viens! ». Il s’exécute tout de suite et se présente devant moi, la queue en main et la demi-molle. Je commence tout de suite à lui embrasser la queue sans me soucier si une personne pouvait nous surprendre. C’est vrai que c’est risqué, mais bon, il faut vivre! Et puis ça fait un moment que je ne me suis pas pris un bon machin dans la chatte! Je le suce un peu, mais j’ai trop envie de me faire pénétrer.
Je me mets sur le dos et lui demande un missionnaire voluptueux. Il vient sur moi et me fourre sa queue au fond. Ça glisse bien, je mouille à fond. Il a les couilles épilées, et je les sens s’aplatir sur mes lèvres à chaque fois qu’il me pénètre. J’écarte les cuisses au maximum et je lui prends les fesses dans mes mains. J’aime sentir le cul musclé d’un homme monter et descendre pour me limer. Pendant qu’il me baise, je vois au loin des gens passer sur le chemin.
Ils regardent dans notre direction et je me rends bien compte qu’ils savent ce que nous faisons. Mais ça ne me dérange pas plus que ça, bien au contraire, je mouille encore plus! Il y va si fort qu’on peut entendre le claquement humide de ses couilles. J’aime cette baise à l’horizontale. Cet inconnu me nique vraiment bien, je prends mon pied et je sens des contractions de plaisir m’envahir le corps.
Topless, enculée dans un parc, je rêve !
Je lui demande alors de venir dans mon cul pour se finir. Il me sodomise immédiatement dans la même position. Mon cul serré est meurtri par cet engin si conséquent, mais le plaisir est plus fort que la douleur. Il me dit qu’il va gicler, je l’encourage alors à tout me foutre dans les fesses, comme la chienne que je suis. Je sens alors mon trou de balle se remplir à ras bord de son jus épais et tiède. Il pousse un râle qui a dû alerter tout le voisinage. Moi aussi je crie, nous jouissons en même temps. C’est vraiment bon le sexe en plein air, je le conseille à tout le monde. Et si vous voyez dans un parc une belle nana topless qui prend le soleil, venez lui dire un petit bonjour, on ne sait jamais…