Ma voisine laide et soumise

Ma voisine est laide. Je suis désolé pour elle de dire ça comme ça, mais elle le sait, elle est vraiment moche. Laide, c’est vrai, mais assez bien gaulée, malgré ses 40 ans passés. Mais sa principale qualité, c’est d’être une vraie nympho, prête à tout pour un coup de bite.

Tout a commencé un soir où je regardais un film de boules sur internet. J’ai su plus tard que j’avais mis le son trop fort, et qu’elle entendait tout. A l’heure où l’héroïne se fait péter le cul par un hardeur, on a sonné à la porte. C’était elle, ma voisine. Elle était fringuée de façon très provocante, le genre de tenues libertines qu’on trouve dans les sexshops.

Elle me dit : « excusez-moi, mais on entend tout de chez moi ». Je pique un fard, je me noie en excuses, ce genre de truc ne m’était jamais arrivé.  » Non, mais, c’est pas grave  » dit-elle,  » si vous voulez, je vous aide un peu, je n’arrive pas à dormir de toute façon « .

Laide mais avec de gros lolos !

Je la regarde de la tête aux pieds. Elle est vraiment vilaine de visage, mais elle a une sacrée paire de lolos et moi, je bande encore d’avoir été interrompu comme ça en pleine branlette. Je m’entends répondre :  » ok, alors tu me pompes, tu me fais gicler dans ta bouche et tu te casses, ça te va ? « . Je ne me reconnais pas, ce n’est pas mon genre de parler aux femmes sur ce ton.

Elle ne prend même pas la peine de répondre. Elle entre dans mon appartement, va vers l’ordinateur et se fout à poil. La vache, cette chienne est vraiment gaulée ! Elle est presque bandante ! Je me remets à l’ordi et relance le film. Une bimbo se fait enculer par un gros zob. La voisine, elle, se plante devant moi et me suce.

Je lui baise littéralement la bouche. Elle, elle fait de son mieux pour encaisser les coups que donne mon gland à sa gorge, elle continue même à pomper et à jouer de la langue. Au bout de cinq minutes, peut-être même moins, je me vide les couilles dans sa glotte.

Putain, je me sens mal d’avoir abusé de cette nympho laide. Je m’apprête à m’excuser, mais elle ramasse déjà ses frusques et prend la direction de la porte. Elle sort et traverse à poil le palier. Moi, je ne me sens pas très bien, mais, au moins, j’ai bien giclé.

Depuis, à chaque fois que j’ai envie d’une bonne baise facile, je sonne chez la voisine moche. C’est pas compliqué, elle fait absolument tout ce que je veux. Elle me pompe, je la saute, je l’encule même parfois. J’ai fait des photos d’elle en train de me sucer, juste pour l’humilier. Et elle adore ça.

Une fois, un pote de passage en a aussi profité. On l’a niquée tous les deux et elle s’est laissée faire avec, manifestement, beaucoup de plaisir. Elle a souvent des penchants et des envies SM. Elle aime que je lui fasse honte, parfois, elle demande que je lui crache au visage pendant qu’on baise.

Le pire, c’est que je commence à la trouver vraiment excitante. Elle a une drôle de tête, honnêtement, elle est laide, mais vu comme elle est foutue, elle doit faire bander pas mal de mecs. En tout cas, mon pote ne s’est pas fait prier pour lui casser l’anus ! Il m’est alors venu une idée : lui organiser un gangbang. En plus, j’ai des photos d’elle pour aguicher les volontaires. Je suis sûr qu’elle accueillera tous les gars que je lui présenterai.

La dernière fois, j’ai sonné sa porte, je lui ai demandé de mettre la tenue coquine qu’elle avait quand elle m’a proposé la première pipe. Là, je lui ai ordonné de me suivre. Direction, le sexshop du coin. Je vous dis pas l’effet sur les clients de la boutique, un vieux machin mal entretenu et surtout très mal famé. Je lui ai payé une tenue de catin et je l’ai entraînée dans une cabine pour la sauter.

On a laissé le rideau ouvert et tous les vicelards du quartier sont venus la voir se faire dérouiller la chatte et le cul. Je crois qu’elle a encore plus morflé que d’habitude, mais elle a surtout encore plus joui.

Du coup, je pense qu’elle sera partante pour mon idée de gangbang. Je vais lui demander quand même, au cas où. Ça se fait, non ?




 

Prends-moi par le cul !

Chéri fais-moi jouir ce soir ! Je t’écris du magasin et j’espère que tu liras mon mail avant de rentrer. J’ai trop envie de baiser depuis que tu m’as caressée ce matin, avant de partir au travail. Tu m’as laissée toute mouillée et j’ai dû me toucher avant de quitter la maison. J’ai joui en pensant à tes doigts, à ta langue, à ta queue et à tes grosses bourses bien pleines que j’adore vider.

Fais-moi plaisir ce soir, prends-moi par le cul ! Défonce-moi le derrière, mon gros cul bien bandant que tu aimes tellement caresser, lécher, doigter…  J’ai envie de te sentir dans moi, d’avaler ta bite avec mes fesses et de te faire jouir en serrant ta queue avec mes globes si charnus.

D’abord tu me prépareras, longtemps, très lentement. Tu caresseras mes seins, tu suceras mes bouts. Pendant ce temps je te tripoterai la verge et les couilles comme tu aimes, je glisserai mes doigts dans ta raie et tu banderas comme un dieu. Moi, je mouillerai, je coulerai comme une fontaine. Un peu de mon jus ira beurrer mon trou du cul, ce sera une bonne mise en condition.

Tu me toucheras aussi la chatte, je guiderai ta main pour que tu prennes de ma mouille et que tu m’en tartines l’œillet. Si tu fais ça bien, je te sucerai jusqu’à ce que tu jouisses dans ma bouche. Ne te méprends pas, si je le fait, c’est d’abord pour te purger, pour vider tes couilles du trop plein de ton foutre et te libérer d’une excitation trop forte qui te ferai jouir trop vite dans mon ventre une fois que tu m’auras prise comme je le veux. Une fois vidangé, tu tiendras plus longtemps dans mon cul. Ça n’en sera que meilleur.

Vidéo porno du récit Prends-moi par le cul

Il  te faudra un peu de temps pour te remettre, tu en profiteras pour me préparer avec ta langue et tes doigts. Tu m’ouvriras, tu me lubrifieras de ta salive. Mon trou sera bien dilaté pour t’accueillir, pour prendre ton membre redevenu dur et chaud.

Je m’installerai alors sur le lit, à genoux, la tête sur mon oreiller, le ventre posé sur le tien, les fesses bien remontées et les genoux écartés. Tu ne pourras pas résister et tu glisseras ton vit dans mon fourreau douillet, celui qui te fera tellement jouir.

Je jouirai aussi sous tes assauts, sous les coups de boutoir de ton dard. Ton ventre claquera contre mon gros cul, la chambre résonnera du bruit de nos ébats et des gémissements que je pousserai pour t’exciter. Tu caresseras mon gros clito, tu le trairas comme une petite bite, tu malaxeras mes nichons pendants de grosse salope.

Quand tu seras prêt, tu te videras en moi. Je serrerai mon anneau autour de ton manche en jouissant, en te gueulant des obscénités comme tu aimes que je le fasse en jouissant. Les contractions de ta bite me feront redoubler de plaisir et tu t’affaleras sur moi, vaincu par le cul délicieux de ta petite pute.

Rentre-vite et prends-moi par le cul !

Sodomisée pour la première fois

Hier soir, j’ai vécu un grand moment dans ma vie sexuelle pourtant déjà longue. J’ai été sodomisée pour la première fois, prise, par le cul, enculée si vous préférez. Et je peux dire que j’ai adoré ça, me sentir remplie par un gros chibre bien gorgé de foutre, les fesses ouvertes par ce mandrin, le ventre plein du gros gland qui me pistonnait.
C’est Aldo, un collège de boulot qui m’a fait ce cadeau. Ça faisait un moment que je le voyais lorgner sur mon cul quand je passais devant lui. Je suis secrétaire dans le grand garage où nous travaillons tous les deux, comme une quinzaine de collègues. J’ai 23 ans et je ne suis plus pucelle depuis longtemps. J’aime le sexe et de voir les yeux du mécano se poser si souvent sur mes fesses me faisait toujours beaucoup d’effet.
C’est moi qui ai fait comprendre à Aldo que je voulais être prise. Il m’a suivie dans les toilettes juste après la pause de midi. J’ai fermé derrière nous pour que nous ne soyons pas dérangés. De toute manière, les autres étaient déjà repartis au travail. Nous n’avions pas beaucoup de temps devant nous mais ça suffisait pour assouvir le besoin qui me tenaillait le bas du ventre. J’avais dans l’idée de me faire baiser tout à fait classiquement, vite fait, bien fait, mais les évènements se sont déroulés d’une façon imprévue.
Dès que nous nous sommes retrouvés dans les toilettes, je me suis jetée sur le sexe d’Aldo. J’ai ouvert sa braguette et descendu son pantalon puis son caleçon. Son engin est apparu devant moi, déjà suffisamment gros pour me pénétrer, sans que je l’aide à forcir avec ma bouche ou mes doigts. De mon côté, je mouillais déjà comme une vraie chienne en chaleur. J’ai rarement été aussi excitée. J’avais envie d’être prise par derrière et je me suis donc retournée contre le mur de faïence sur lequel j’ai plaqué mes mains.
Vidéo porno du récit Sodomisée pour la première fois
Très vite, j’ai senti le gland du sexe d’Aldo qui est venu se frotter entre mes cuisses et taper contre ma chatte. Mais ce salaud là n’est pas entré en moi. Il s’est contenté de tremper son nœud juste à l’orée de ma foune. J’ai compris ensuite que c’était pour bien l’humidifier. Puis il est venu tartiner mon œillet avec le bout de sa bite. Il a aussi pris un peu de mouille avec ses doigts, par devant, puis les a fait glisser entre les globes de mon cul, jusqu’à mon petit trou. Quand je compris où il voulait en venir, c’était presque déjà fait.
Je ne ressentis aucune douleur particulière lorsque le champignon rose se fraya un passage dans mon orifice anal. J’avais déjà lu tant d’histoires de sodomies et vu tant de films avec des rapports anaux que je savais comment réagir. Je poussai sur mon sphincter comme pour chier et cela facilita grandement l’intromission du membre noueux jusqu’au fond de mon ventre.
Aldo se mit rapidement à faire des allers et retours dans mon rectum. En même temps, il me malaxait la chatte d’une main. Moi, vicieuse jusqu’au bout, je lui ai tâté les bourses pendant tout le temps que dura ce coït anal mémorable et jusqu’à ce que ses couilles se libèrent en moi.
L’expérience fut un peu courte car Aldo jouit brutalement dans mon cul, mais cette première sodomie laissera néanmoins un souvenir impérissable dans ma mémoire. J’ai hâte de recommencer.