J’encule une bourgeoise

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Bonjour à toutes et tous ! Je m’appelle Momo, je suis maghrébin et je vis en banlieue proche de Paris, où je viens de passer mon bac. Depuis, je suis inscrit en fac de sociologie, à l’autre bout de la ville et je passe énormément de temps dans les transports en commun. Je ne vais pas jouer au jeune de banlieue qui se galère, je dis juste que ce serait plus pratique pour moi d’habiter dans le cinquième arrondissement !

N’empêche que cette situation m’a valu de vivre une drôle d’aventure, avec une femme bien plus âgée que moi. Elle devait avoir au moins 45 ans, peut-être même 50 ans. En sortant de la fac, je suis allé boire un verre avec quelques copains. Une chose en entraînant une autre, j’ai finalement pris le dernier métro pour rentrer chez mes parents.

La rame était vide, jusqu’à cette station, où une belle dame bourgeoise est entrée dans le métro et est venue s’asseoir en face de moi. Une belle femme, vêtue de façon chic et sexy. Et plutôt que de détourner le regard comme le font tous les gens à Paris, elle m’a salué d’un « bonsoir » en me souriant. Puis nous avons discuté, notamment de ma situation par rapport aux transports.

Allumeuse, Christine m’a lancé « et pourquoi tu ne viendrais pas dormir chez moi, au moins cette nuit ? ». J’étais sur le cul. Mais vous savez ce que c’est : un mec de mon âge ne refuse jamais un plan cul, même avec une vieille ! J’ai donc suivi la couguar, qui en a profité pour tortiller du boule dans l’escalier qui menait à son appartement.

A peine arrivé chez elle, je me suis retrouvé avec la bite dans sa bouche. La diablesse essayait de me prendre en fond de gorge, jusqu’à s’étouffer elle-même. Quand j’ai été bien chaud – et elle aussi – elle m’a fait un petit strip-tease, assez hardcore, en se masturbant en même temps qu’elle se déshabillait.

A mon grand étonnement, elle était très bien gaulée. Mis à part le fait qu’elle marchait bizarrement, elle avait tout d’une pro : la technique, le style, deux beaux gros seins qui semblaient encore assez fermes, le cul haut et la chatte entièrement épilée.

La chatte étroite de la bourgeoise

J’avais encore la teub raide, sortie de la braguette. Christine est partie, à poil, fouiller dans son sac à main et en a sorti une pleine boite de capotes. Elle m’en a passé une sur le membre et est venue s’enfiler sur moi, toujours assis sur le canapé.

A voir l’âge de la libertine, et en supposant que j’étais loin d’être le premier à rentrer ainsi dans sa chatte, je n’aurais pas pensé une seconde qu’elle allait être aussi serrée. Elle était pourtant trempée de mouille, mais j’ai même eu du mal à rentrer entièrement.

Une fois dedans, par contre, quel pied ! Sa chatte me massait la queue, même à travers la capote, tandis que Christine semblait sur le point de s’évanouir, à force de plaisir. Elle était en transe, et ne fut pas longue à jouir une première fois.

Après ça, elle s’est relevée. Elle m’a tendu la main pour que je la suive jusque dans sa chambre. Elle tordait toujours autant du cul et je ne comprenais pas pour moi. Une fois dans son intimité, elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et a commencé à écarter ses fesses devant moi. Sous mes yeux incrédules, elle a retiré de son anus un plug qui devait y être depuis le début de la journée.

bourgeoise veut que je l’encule !

Elle a fourré sa tête dans l’oreiller et m’a quasiment supplié : « encule-moi, maintenant ». Je dois bien avouer que je n’avais jamais sodomisé une femme avant cela. J’ai réajusté une nouvelle capote sur mon zob, toujours tendu comme un arc, et je me suis approché du boule en question.

Le sextoy avait fait son office. L’anus de Christine était béant, en forme de O. J’ai posé mon gland sur l’orifice et j’ai poussé. C’était comme si ma bite avait été aspirée. Je suis rentrer d’un coup, faisant gueuler ma couguar comme une bête. Un temps, j’ai cru lui avoir fait mal, mais en la voyant dandiner du fion comme elle le faisait, j’ai vite été rassuré.

J’ai enculé Christine – que dis-je ? Je l’ai chevauchée – comme un salaud. Son trou du cul était plus ample que sa chatte quand elle était comprimée par le plug anal. Et moi, je m’étais planté jusqu’aux couilles dedans, j’encule une bourgeoise, putain !!

Au bout d’un moment, en me demandant de la traiter de salope, de pute et de vide-couilles, Christine a commencé à se masturber, allant même jusqu’à planter quatre doigts dans sa moule dégoulinante de cyprine. Du coup, son anus s’est resserré autour de ma pine, et j’ai joui une première fois, sans sortir de son cul.

Voyeur mis sur le fait accompli

Un dimanche d’été, un camion de déménagement stationnait devant la maison voisine à la nôtre, inhabitée depuis plusieurs semaines. Sa nouvelle occupante était une mère célibataire de la quarantaine, s’appelant Monique. Je me proposais de mobiliser ma force de jeune homme de 26 ans pour lui donner un coup de main et en profiter pour faire sa connaissance. Plus tard elle me confia qu’elle sortait fraîchement d’un divorce.
Environ deux à trois semaines plus tard, je me rendais chez Monique pour je ne sais plus quelle raison, lorsque je l’aperçu à travers une fenêtre mal couverte par un rideau se promener complètement nue dans le salon. Elle était bien moulée pour une quarantenaire, je me rinçais les yeux ainsi pendant une vingtaine de minutes. En rentrant chez moi, j’avais encore l’image de son corps nue à l’esprit, j’en étais si excité que je dû me branler.
Le jour suivant, à la même heure approximativement, je fis encore le voyeur et par chance, elle était à poil. C’était visiblement une habitude pour elle. Mais cette fois, je voulais voir les choses de plus près, alors je décidais de m’introduire en douce par une fenêtre entrouverte. De l’intérieur, je la matais et c’était dément.

Voyeur ? C’était quasiment devenue un passe temps favori, jusqu’au jour où elle me convoqua chez elle sur un ton impératif. Ça n’augurait rien de bon ! Je sentais bien qu’il y avait un truc qui clochait. Elle m’installa sur un canapé situé en face de celui sur lequel elle était assise, une tablette nous séparait et dessus était posé un ordinateur.
– Mathieu, ça fait combien de temps que tu m’espionne ?
A l’écoute de cette question, je tremblais de peur. En me demandant comment elle a pu le savoir, moi qui prenais toujours soin de n’être vu par personne quand j’accomplissais ma basse besogne.
– Moi, vous espionner, jamais ! Je ne vois pas de quoi vous parlez.
– T’en es sûr ?!
– Oui
– Si tu me dis la vérité, je ne dirais rien à tes parents.
Malgré cela, je décidais de nier tout en bloc. C’est alors qu’elle prit son ordinateur, et me montra plusieurs vidéos de moi en œuvre, filmé par ces caméras de surveillance. Le con, je m’étais fait avoir comme un rat ! Et dire que je n’avais même pas remarqué la présence des caméras. Ces preuves étaient irréfutables, il ne me restait plus qu’à tout avouer et à la supplier de ne le dire à personne.
– Je vous demande pardon de vous avoir reluqué, je ferai tout ce que vous voudrez mais je vous en supplie, ne le dites à personne.
– Tu as bien dit tout ce que je veux ?
– Oui, tout.
– D’abord, j’exige que tu te mettes à poil.

Voyeur pris au piège…

Je m’exécutais sans dire mot, et puis j’estimais que c’était légitime, j’étais le voyeur pris au piège.

– Hum bel engin ! Maintenant, je veux que tu foutes ce sextoy dans le cul.
– Quoi, je trouve que c’est exagéré pour un simple voyeurisme.
– Ok dans ce cas, il ne me reste plus qu’allez montrer les vidéos à tes parents et à quelques voisins.
– D’accord, je vais le faire.

Oh putain, ce gode était énorme et me faisait flipper. Je ne savais pas par où commencer. Mon cul était si petit qu’il n’arrivait pas à se prendre ne fut-ce que le gland. Pendant ce temps, la bonne dame rigolait à pleine dent avant de me dire qu’elle me faisait marcher. Quel soulagement, par contre, elle ôta la robe qu’elle porte, enleva sa petite culotte et m’invita à lui lécher la chatte.
Je me précipitais de lui brouter son minou truffé de poil ; elle en jouissait et hurlait de plaisir. Ces gémissements étaient si audibles que je craignais qu’une personne vienne s’en plaindre. Après cette mise en bouche, je la dézinguais exactement comme je me l’étais imaginé quand je fantasmais sur elle, en la renversant dans tous les sens. Ma queue explorait tous ces orifices sauf son cul, et c’est sur ces mamelles que mon jus de couille finissait sa course.
Depuis cette expérience coquine, Monique et moi sommes ensemble officieusement. C’est ma cougar !

Mon mari bande à nouveau

La giclée de sperme a atteint d’abord mon visage, puis est retombée sur mon seins. Cela faisait tellement longtemps que je ne m’étais pas trouvée sous le feu d’une telle éjaculation. La sensation chaude du foutre de mon mari sur la peau m’a laissée pantoise… et heureuse.

Lui, il était là, encore fièrement dressé devant moi, un air satisfait au visage. Longtemps qu’il ne m’avait pas baisée aussi bien, aussi fort, aussi intensément. Longtemps, à vrai dire, que je n’avais pas joui sous ses coups de bite, qu’il avait demi-molle depuis des années.

C’était le réveillon. Nous avions mangé des huîtres pendant toutes les fêtes, ce qui expliquait peut-être – sans doute même – la puissance de son éjaculation. Mais pour le reste… Nous avions un peu bu, ce qui, vous en conviendrez, mesdames, ne facilite pas les performances sexuelles de ces messieurs, habituellement.

Non, tout tenait dans le pouvoir de ce petit bout de caoutchouc – ou de je ne sais quoi – qui tenait la bite et les couilles de mon mari comme enserrées. D’ailleurs, malgré son orgasme, il bandait encore bien. Un cockring, comme me l’avait dit la vendeuse du sexshop où j’avais trouvé l’accessoire. Au début, quand elle me l’a tendu, m’expliquant ses vertus, j’ai souri.

Et puis, devant l’instance et la force de conviction de la jeune femme, je l’ai acheté. Nous avions décidé, mon mari et moi, de nous offrir des étrennes coquines, histoire de relancer notre vie sexuelle un peu endormie, pour ne pas dire moribonde.

En cette Saint-Sylvestre, il ouvert mon cadeau et n’a pas tout de suite compris. Il venait de m’offrir un jeu de dés coquins, rien de bien folichon. Je lui ai expliqué comment placer le cockring. Il est parti aux toilettes pour essayer.

Et quand la soirée s’est terminée, nous sommes rentrés chez nous. Dans la chambre, ça a été un vrai festival de sexe. D’abord, mon mari bandait dur et droit. Et moi, la vision de son membre à la vigueur retrouvée, ça m’a fait mouiller illico.

Une pipe, un cunnilingus et un 69 plus tard, je me retrouvais à quatre pattes sur le lit, attendant que mon homme fasse son office. Quand il m’a pénétrée, j’ai cru retrouver les sensations de ma jeunesse. Bien remplie, jusqu’au fond, par un membre viril en parfait état de marche. Il a commencé de longs et amples mouvements de va-et-vient, j’ai senti son gland taper sur le fond de mon vagin et j’ai cru défaillir.

Cela faisait tellement longtemps qu’il ne m’avait pas baisée ainsi. Mais sans s’affoler, sans crainte apparemment de perdre de sa superbe, il m’a fait changer de position. Il m’a niquée de toutes les manières possibles et imaginables, lentement ou plus rapidement, amplement ou plus vigoureusement.

On s’est pris, pendant toute la nuit, pour des stars du X. Oui, toute la nuit. Car en plus de rendre à ma sa bite la vigueur de ses vingt ans, le cockring eut pour effet de la rendre aussi plus endurante et, dira t-il plus tard, plus sensible. Bref, il bande et c’est le pied total, en d’autres termes. Et pour lui, et pour moi !

Etrangement, quand j’ai joui pour la cinquième fois de la nuit, alors que l’aube approchait, j’ai pensé à la petite vendeuse de sextoys qui m’avait conseillé ce jouet. J’ai eu envie de l’embrasser, de la remercier, pour tout le bien qu’elle avait fait à ma vie sexuelle et à mon couple.

Baisée par mon homme qui re-bande !

D’ailleurs, le surlendemain, je suis retournée dans le love-shop. Avec mon mari, cette fois. Et, avec une impudeur que je ne me connaissais pas, j’ai tout raconté à la belle des exploits érotiques de mon chéri, qui écoutait gêné. Elle n’a pas eu l’air plus surprise que ça. Tout au plus jetait-elle des coups d’œil au pli du pantalon de mon homme, qui en fut manifestement très flatté.

Heureuse d’avoir pu nous aider, la gentille vendeuse nous a alors conseillé toute une gamme de cockrings, mais aussi d’autres jouets dont je ne soupçonnais pas l’existence, pour lui, comme pour moi. Alors qu’elle devait avoir vingt ans de moi que moi, elle a joué avec nous le Pygmalion du désir. Et nous, on écoutait avec envie.

Depuis, nous revenons souvent au sexshop pour que notre coquine nous conseille sur les nouveautés, nous raconte ses propres expériences avec les accessoires qu’elle nous vend régulièrement. Il n’y a qu’un tout petit problème : depuis que nous la connaissons, elle et sa boutique, nous ne pensons plus qu’à faire l’amour, mon mari et moi.

Nous qui nous étions encroûtés au dernier degré, nous sommes devenus comme de véritables bêtes de sexe, toujours en chaleur et en rut. Il bande comme je mouille matin et soir. Nous pensons même à l’échangisme, c’est vous dire ! Peut-être aura t-elle des conseils à nous donner sur le club à choisir. Et peut-être voudra t-elle nous y accompagner ?

Je trompe mon mari via un sextoy

Par Lison, 40 ans.

Oui, je suis une femme fidèle. Et pourtant, depuis quelques temps maintenant, j’entretiens une relation extra-conjugale avec un collègue de bureau. Mais cet homme ne m’a jamais touchée, en tout cas pas depuis que nous sommes amants adultérins. Vous ne comprenez pas ? Je vais vous expliquer.

Voici maintenant dix ans que je suis mariée. Je file le parfait amour avec mon époux. Il me comble de bonheur, m’a fait deux enfants magnifiques. Bref, je n’ai jamais eu envie  » d’aller voir ailleurs « , comme on dit vulgairement.

Sauf que, il y a trois mois, un nouveau venu a fait son apparition dans ma vie, et singulièrement dans ma vie professionnelle. Il se prénomme Jacques, il a le même âge que moi et nous avons fréquenté la même université. C’est mon amour de jeunesse. Nous avons été amants, et même bien plus que ça, pendant deux longues années, à l’âge où une relation d’un mois ressemble déjà à un engagement.

Quand il a été engagé par mon supérieur hiérarchique direct pour m’épauler dans mes tâches quotidiennes, j’ai été littéralement bouleversée. Et la suite m’a montré que lui aussi. Nous ne pouvions pas nous croiser sans éprouver une profonde gêne, mêlée d’attirance et de culpabilité. Plusieurs fois, nos mains se sont frôlées. Semant le trouble dans nos têtes.

Au fur et à mesure des semaines qui s’écoulaient, il est apparu évident que nous ne pourrions pas tenir plus longtemps, sans que nos corps n’aient trop envie l’un de l’autre. Jacques est marié, tout comme moi, et je sais qu’il tient à rester droit, tout comme moi. C’est là qu’il a eu une idée merveilleuse, quoi que, à bien y réfléchir, plus que dangereuse.


Un jour, j’ai trouvé dans le tiroir de mon bureau un petit coffret. Je l’ai ouvert, aussi discrètement qu’il m’était possible, comme si je sentais qu’il y avait là matière à s’alarmer. J’y ai trouvé un petit objet rose parme, en forme d’œuf. J’ai cherché du regard Jacques dans la pièce, qui m’a souri légèrement, avec un air entendu.

Une fois rentrée à la maison, j’ai pu inspecter la chose. Ça m’avait tout l’air d’être un de ces sextoys auxquels je ne connaissais rien. J’ai poursuivi mon inspection, pour m’apercevoir qu’il devait s’agir d’un œuf vibrant. Après une recherche sur internet, je me suis même aperçue qu’il s’agissait d’un œuf vibrant, télécommandable à distance.

Le lendemain, une fois mon mari parti au travail, je suis parvenue à m’introduire le dit sextoy dans mon intimité. Je suis partie au bureau ainsi, me demandant ce qui allait advenir de moi. La matinée s’est passée, sans que rien ne se produise. Puis l’heure du déjeuner est arrivée. Certains collègues se sont dirigés vers la cafétéria de l’entreprise.

Le sextoy télécommandé me fait jouir

Jacques a prétexté un travail à finir d’urgence, j’ai prétendu ne pas avoir faim, être un peu indisposée. Malheureusement, un stagiaire de l’open space avait lui aussi du pain sur la planche. Ça n’a pas empêché Jacques d’oser. D’un coup, d’un seul, l’œuf s’est mis à vibrer entre mes cuisses. Entre le mouvement de l’engin en moi et le fait de savoir qui le commandait, je me suis sentie toute chose.

Une sensation de bien-être s’est emparée de mon bas-ventre. J’ai tenté de dissimuler mon émoi, car j’étais précisément en face du poste de travail du jeune étudiant. Rien n’y a fait, l’orgasme est monté progressivement de mon vagin à mon ventre, s’est emparé de mes seins, de mon cerveau lui-même et j’ai joui, aussi silencieusement qu’il était possible.

Pendant tout ce temps, Jacques m’a observée. Et il semble y avoir trouvé son bonheur puisque, régulièrement, à n’importe quel moment de la journée, je suis prise de tremblements dans mon ventre. Je m’isole alors comme je peux, et je jouis de la main même de mon amant, qui ne me touche pas.

Ce petit objet, ce « sextoy », a instauré une gigantesque complicité entre nous et même si nous ne consommons pas notre relation, je sais que nous sommes amants. Mais je n’en ressens plus aucune culpabilité. Ou plutôt si, une : j’ai envie d’aller plus loin avec Jacques, voici de quoi je parlais s’agissant de la dangerosité de ce jeu.

Désormais, je ne suis plus certaine de rien et certainement pas de résister à l’appel des sens qui se manifeste au plus profond de moi (le sextoy ;)) depuis que mon amour de jeunesse est réapparu dans ma vie. Bien entendu, mon mari ignore tout de mes agissements, et c’est peut-être bien cet état de fait qui me procure le plus de plaisir.

Je me masturbe devant un inconnu

Par Agnès, 29 ans.

Je venais tout juste de recevoir un nouveau vibromasseur, commandé en ligne, avec lequel je comptais bien m’amuser : plusieurs vitesses, de petits picots sur la verge pour plus de sensations et un second appendice pour jouer avec mon clito pendant la pénétration. Un grand moment en perspective !

J’adore l’instant où je me fais livrer, le plus souvent par un grand black plutôt mignon, que j’imagine très bien membré. Il me tend le paquet – un nouveau par mois, à peu près – avec un grand sourire et me demande de signer sur sa tablette de livraison. S’il savait ce qu’il y a dans le colis…. j’en mouille de joie !

Et, comme très souvent quand je me fais livrer un nouveau sextoy, je le déballe précipitamment et je m’installe devant mon ordi. Et oui, j’aime m’exhiber, et le test d’un nouveau godemichet est, le plus souvent, ponctué par une petite séance de cam to cam avec un inconnu. Je vais sur mon tchat préféré, je cherche un mec qui m’excite et je branche ma webcam pur faire une petite démo de mon nouveau jouet.

L’heureux vainqueur du jour s’appelle François, il a 25 ans, et est étudiant dans ma ville. C’est une grande ville, peu de risques que ça me pose des problèmes par la suite. C’est un beau mec, plutôt du genre minet et il se paluche déjà pour moi. Il a une belle bite, bien droite et j’imagine que c’est lui qui me pénètre quand j’introduis finalement le vibromasseur en moi.

Je suis en nuisette, sans culotte, les cuisses bien écartées en face de mon écran d’ordinateur. Les vibrations de l’engin me procurent des sensations incroyables, d’autant que j’ai une belle vue sur un joli gars, plus jeune que moi, qui se branle en rythme avec moi. Je caresse mes seins, qui dépassent maintenant du haut de la nuisette, ce qui a pour effet de le rendre fou.

Il me dit des mots d’amour, m’encourage à enfoncer plus avant le vibro, et se paluche de plus belle. Il est aussi excité que moi, et moi, ça me fait mouiller. J’augmente la vitesse des vibrations et je sens que je vais bientôt partir. Une, deux, trois, ça monte. Quatre, cinq, six, je fais tout pour me retenir, que l’orgasme soit le plus fort possible. Sept, huit, neuf, c’est parti.

J’espère qu’il n’a pas mis le son de son PC trop fort, parce que je hurle littéralement sous l’effet de la jouissance. Lui, il n’en rate pas une miette. Je ferme les yeux, profitant au maximum de cet orgasme salvateur. Quand j’ouvre à nouveau les paupières, il est toujours là, le sourire aux lèvres et la gaule à la main.

Je ne sais pas ce qui me prend. J’ai envie de lui faire plaisir, j’ai envie de faire, en fait, exactement ce qu’il veut. « Vas-y François, traite-moi comme une salope, s’il te plaît ». Il ne se le fait pas dire deux fois. Le voilà qui me soumet à tous ses délires, à toutes ses envies, et moi j’obéis, trop chaude pour lui refuser quoi que ce soit.

Ma collection de jouets érotiques y passe presque toute entière, jusqu’à ce que je me retrouve, moi qui n’aime pas le sexe anal, avec un énorme godemichet noir planté entre les fesses, face à lui. Cette fois, il jouit, il me dit qu’il crache son foutre dans mon petit trou, et ça me fait partir moi aussi.

Je suis un peu honteuse quand je me retourne. François a effectivement giclé, il en a un peu partout sur lui. Il me dit bonsoir et raccroche la communication. Je me sens un peu gênée, mais, après tout, je ne risque pas grand chose. Un gars que je ne verrai sans doute jamais me prend pour une salope. Ou plutôt, il sait quelle chienne je peux être quand je ne me contrôle plus.

Je pars prendre une douche, puis je remballe mes petites affaires. Une bonne nuit de sommeil par là-dessus, et demain, boulot… Mais attendez, sa tête ne m’est pas totalement inconnue. C’est vrai que beaucoup de gars lui ressemblent plus ou moins. Mais quand même…

Je retourne sur le site, je retrouve sa fiche. Il faut que je vois sa photo, pour en avoir le cœur net. Pas de doute, je le connais, je le croise dans la rue… ou ailleurs. Oh putain ! C’est mon voisin de palier ! Comment ais-je fait pour ne pas le reconnaître ? Quelle conne ! La honte !

Le lendemain, je me reconnecte au site, pour lui parler. Lui dire de se taire, de ne surtout pas raconter ce qu’on a fait ensemble à tout le monde. Il est là, toujours la bite à la main. Il me dit « déshabille-toi, maintenant, tu veux être ma petite salope, tu vas l’être ».

Et moi, je m’exécute. Je sais qu’il n’est qu’à quelques mètres de moi, de l’autre côté du mur. Et j’ai réellement envie de faire tout ce qu’il voudra.

Un sextoy m’a rendu infidèle…

Par Céline, 33 ans

Je crois que je suis devenue une vraie salope infidèle, de ces filles que je n’ai jamais comprises, auparavant. Je vous écris ce texte pour avoir votre avis sur la question. Mais une chose est sûre : je suis devenue totalement infidèle à mon compagnon. C’est de sa faute aussi ! Un jour, il m’a offert un drôle de jouet pour la Saint-Valentin. Il a du croire que ça allait réveiller ma libido, quelque peu endormie, depuis la naissance de notre petite fille.

Un mini-vibro Bonnie, ils appellent ça. Tu parles que ça a réveillé ma libido ! Je n’arrête pas avec ça. La partie large me remplit bien le vagin pendant que la plus fine me travaille le clito divinement. Je suis devenue totalement dingue avec ça ! Au point que, un jour, je me suis connectée sur un site de rencontres coquines. J’y ai trouvé un homme, de passage dans ma ville pour le boulot. Mon chéri était au taf, j’ai invité l’inconnu à venir me rejoindre.

Il m’a trouvée allongée sur lit, les cuisses écartées, mon sextoy fiché dans mon sexe. Il m’a rejointe et nous avons baisé comme des beaux diables pendant plus d’une heure. Quand il est parti, je suis allée prendre une douche. J’avais bien joui, mais j’avais le ventre tordu par le sentiment de culpabilité. Plus jamais je ne ferais ça, c’était certain !

Le jeudi après-midi suivant (alors que je suis en RTT et que mon compagnon est au travail), j’ai recommencé à me masturber avec mon Bonnie. Prise d’une pulsion incontrôlable, je suis retournée sur le site de rencontre. Je me suis faite draguée par un jeune marocain de 20 ans. Ça m’a flattée. Il est venu chez moi, et il m’a sautée.

Le truc, c’est que je suis dans un état tellement étrange quand je me branle avec mon sextoy, que je ne me rends plus compte de rien. A vrai dire, je n’ai même pas le sentiment de tromper mon homme, en tout cas pas plus que si je fantasmais sur un autre en pleine masturbation.

J’ai essayé ensuite de contourner le problème. De n’utiliser mon vibromasseur que quand mon compagnon était là. Nous avons eu des moments de sexe incroyables grâce à ça. Mais non, tous les jeudis, un nouvel amant venait me visiter, comme si une force surhumaine prenait le contrôle de mon corps et de ma volonté.

Je suis certaine qu’il ne se doute de rien. Il est même plutôt ravi de voir que mon désir sexuel est redevenu normal. Que j’éprouve, à nouveau, des besoins érotiques. Mais le pire, c’est que c’est un plaisir à accoutumance. J’en veux toujours plus.

Un après-midi, un des mecs contactés m’a posé un lapin. Je suis donc restée seule, avec mon Bonnie, frustrée de n’avoir pas une bite pour finir le travail engagé par la masturbation. Alors, le jeudi suivant, j’ai pris mes précautions : j’ai invité deux hommes à venir me baiser.

Le problème, c’est qu’ils sont venus tous les deux. Plus grave, je les ai laissés me prendre chacun leur tour, puis ensemble, en double-pénétration vaginale. Ça a été le début d’une escalade. Et d’un rituel : je commence à me faire du bien avec mon sextoy, puis, bien chaude, je m’installe à l’ordinateur pour trouver des amants. J’accepte tout ceux qui se proposent et qui sont disponibles dans l’heure.

Ma chambre à coucher est devenu le théâtre de partouzes incroyables où je baise avec parfois une demi-douzaine d’inconnus. Je ne vous raconte pas le temps que je passe, ensuite, à effacer toutes les preuves de mon forfait ! Non seulement je suis infidèle, mais je suis devenue une véritable partouzeuse, un bon plan cul que certains hommes du réseau où je suis inscrite se refilent.

Suis-je devenue une salope infidèle ?

Mais il n’y a rien à faire : quand je baise avec ces hommes, je ne me contrôle plus. Une fois, l’un d’entre eux a même pris des photos de moi dans des positions salaces, et je l’ai laissé faire. Pour moi, c’est comme si tout cela appartenait à un autre monde. Rien à voir avec mon couple, rien à voir avec mon amour pour lui.

Ce sextoy a pris possession de mon âme, je suis comme ensorcelée. J’ai bien pensé m’en débarrasser, mais c’est un cadeau de mon compagnon, comment lui expliquer ? Mais est-ce vraiment le sextoy qui est en cause, où suis-je, moi, une salope infidèle par nature ?

Je suis obsédée par les vieux

Je fantasme sur les vieux. Je suis même obsédée par les vieux. Les mecs de 60 ans, parfois plus, me font mouiller ma culotte. Je suis pourtant mariée, et fidèle depuis plus de dix ans. Mais, depuis quelques temps, je joue à un jeu que je trouve très érotique, et dont mon mari ignore bien entendu tout.

La journée, quand il est au travail (je suis salariée à mi-temps), je drague sur internet des messieurs de plus de 60 ans, et je les invite à me rejoindre chez moi. Mais attention, ils n’ont pas le droit de me prendre. Ce que j’aime, c’est les recevoir, nue, chez moi, et ils me surprennent en pleine masturbation avec un gros gode que je me suis acheté en cachette de mon homme.

Je suis nue sur le canapé, offerte, mon sextoy planté entre mes cuisses quand ils entrent chez moi. Je tripote mes gros seins, et j’aime quand ils se débraguettent et qu’ils se branlent à leur tout devant moi. Ils me regardent, je les regarde.

Parfois, quand l’un d’entre eux m’excite plus que les autres – je les aime poilus, un peu bedonnants, avec un regard vicieux, voire malsain – je le branle moi-même. Il m’est même arrivé d’en sucer un ou deux.

Je me fais jouir comme ça, les yeux rivés sur leur sexe, le plus souvent petit, et un peu mou. Eux ne me lâchent pas du regard, et quand ils sont sur le point d’éjaculer, je leur fais comprendre que j’aimerais recevoir leur sperme sur mes gros seins.

La sensation du sperme chaud de ces vieux salauds sur ma peau me procure une joie, un sentiment de plénitude que je n’avais jamais connu avant, même quand je fais l’amour avec mon mari qui, je dois le dire, un très bon coup au lit, comme on dit.

Une fois, j’ai reçu un monsieur qui devait avoir au moins 70 ans. Il avait un sexe énorme, très raide, très dur ! La vue de cet énorme membre m’a donné des envies encore plus perverses que d’habitude. Je me suis face à lui, et je l’ai branlé entre mes seins.

Ça a duré comme ça un long moment, moi plantée sur mon gode, lui se faisant plaisir en coulissant sa verge entre mes deux mamelles. Il grognait, me traitait de tous les noms, et ça m’a fait jouir. Puis il s’est répandu sur ma poitrine, et la giclée de son sperme a atteint mon menton.

J’ai récolté sa semence avec le bout de on doigt, et je l’ai portée à ma bouche. J’avais l’impression d’être une pute et ça m’excitait terriblement. Et voilà que, il y a une semaine, j’ai de nouveau croisé sa route dans la rue. Je l’ai reconnu, je suis certaine que lui aussi. J’ai cru jouir rien que de l’apercevoir, surtout que j’étais accompagnée de mon mari.

Bien sûr, j’ai eu peur qu’il ne vienne me parler de notre aventure, là, devant mon homme, mais cette peur a été plus excitante qu’autre chose. Bien entendu, il a passé son chemin, sans mot dire. De toute façon, je sais quel site il fréquente, je sais comment le retrouver.

Je crois que, très bientôt, je vais l’inviter à nouveau chez moi. Mais cette fois, il aura le droit de faire tout ce qu’il voudra de moi et de mon corps. Je rêve de sa longue bite presque toutes les nuits, je n’y tiens plus !

Comme d’habitude, je l’accueillerai chez moi, je serai totalement à poil. Mais, cette fois, je voudrais qu’il me baise, qu’il me fasse sentir sa longue verge au fond de mon vagin, au fond de ma gorge et – pourquoi pas ? – au fond de mon anus. Ce monsieur m’obsède, je veux être à lui, je veux qu’il me traite comme une salope en chaleur.

Mais, j’y pense, à me comporter ainsi, à m’exhiber devant tous ses vieux cochons, ne serais-je pas déjà devenue une salope en chaleur ? Oui, c’est vrai, j’ai honte de mon comportement. Mais dès que des envies salaces envahissent mon ventre, picotent mon entrejambe, remontent le long de mes cuisses, je ne suis plus tout à fait la même, je ne me contrôle plus.

Je ne sais pas si je dois voir un psy. Ou simplement tenter d’arrêter tout ça par mes propres moyens. Parfois, je me dis que, tout simplement, c’est ma nature de faire des choses semblables, et que je ne peux pas lutter contre mes instincts les plus bas.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Par Andréa, 39 ans