Mon mari et moi sommes libertins. Et ça dure depuis plus de dix ans. En fait, nous avons commencé autour de nos vingt-cinq ans, dans l’espoir d’un plan à trois avec une nana, car je suis un peu bisexuelle. Et nous y avons pris goût.
Je sais bien que ça ne parle pas aux personnes fidèles en couple, mais nous sommes plutôt de la catégorie des libertins softs. Nous faisons des plans à trois et à quatre, c’est vrai, mais nous n’allons pas plus loin : pas d’orgies incroyables, pas de trucs complètement délirants.
Un jour, un couple d’amis – ils le sont devenus par la suite, en fait, c’était notre premier rencart – nous a donné rendez-vous dans un coin à voyeurs de la région. Sur place, nous avons coquiné dans leur grande voiture alors que, derrière la vitre, se bousculaient les paysans (libertins ?) du coin qui voulaient être aux premières loges pour assister à notre partouze.
J’ai adoré ! Le fait de me sentir observée pendant que le mec d’une autre me suçait les seins, pendant que je partouzais joyeusement avec mon mari et un autre couple, ça m’a littéralement transportée. Malgré l’inconfort du sexe à quatre dans une voiture, je mouillais comme une petite folle !
Alors, naturellement, j’ai voulu réessayé. Mon mari, lui aussi, était partant ! Malheureusement, ce vendredi après-midi là, l’autre couple n’était pas disponible, et nos autres connaissances libertines ne voulaient pas essayer le trip exhibitionniste.
N’écoutant que notre courage – ou plutôt notre libido – nous sommes donc partis tous les deux dans le coin à voyeurs. Une fois sur place, Alexandre a coupé le moteur. Il y avait là quatre ou cinq autres véhicules. Très vite, je me suis retrouvée seins nus, avec la bouche de mon mari qui me faisait pointer les tétons. L’atmosphère était à la limite du glauque, mais j’étais très excitée.
Les voyeurs ont commencé à se mettre en place. Hélas, notre voiture n’était pas aussi spacieuse que celle de nos amis de sexe et nous ne pouvions pas nous ébattre comme nous l’aurions voulu. Mon mari a sorti sa pine, et je l’ai sucé, là, devant tous ces mecs inconnus. L’un d’eux a tapé à la vitre. Il semblait vouloir nous dire quelque chose.
Libertins en goguette
Nous nous sommes lancés et avons décidé d’ouvrir les portières, trop heureux d’avoir un peu plus d’espace. J’ai continué à pomper mon homme, tandis que des mains, de l’autre côté, se baladaient sur mes fesses. Le type qui avait frappé à la vitre me pelotait les seins. Tout ce beau monde se branlait sans pudeur devant nous. Toutes ces bites m’excitaient.
Puis, la main du voyeur est descendue de ma poitrine aux couilles de mon mari. Ce dernier a eu un mouvement de recul. Il n’est pas homophobe, non, mais cela l’a surpris. Le voyeur m’a complimenté sur mes seins, et a fait de même sur la bite de mon chéri.
Il est allé jusqu’à demander : « je peux le goûter ? ». Je n’en croyais pas mes oreilles. D’autant moins qu’il a joint le geste à la parole, et m’a remplacé sur la queue raide de mon homme. Lui ne disait rien, il se laissait faire. J’ai regardé le sexe de cet homme inconnu. Il était plus petit que celui de mon chéri, mais très large, très raide. J’ai tendu la main, et je l’ai branlé pendant qu’il suçait Alexandre.
Mon mari suce un mec en extérieur
Puis je me suis penchée vers l’oreille de ma moitié et lui ai demandé : « ça te plairait de le sucer ? J’adorerais te voir faire une pipe à un homme… ». Alexandre est toujours partant quand il s’agit de me faire plaisir, sexuellement parlant. Mais là, il a eu plus qu’une hésitation. Et puis il a regardé le vit de l’inconnu, qui coulissait entre mes doigts. Elle était belle, sa pine, bien plus que son propriétaire.
Dans un lent mouvement, Alexandre s’est tendu vers l’engin et, après un temps de suspens, l’a finalement pris en bouche. Le gars, trop heureux d’être ainsi turluté, est reparti vers mes seins et je suis parvenue à force de contorsions à reprendre le sexe de mon mari en bouche.
Le tableau que nous formions devait être assez incroyable ! Moi, j’étais dans un état d’excitation ultime. Le mec qui s’ingéniait à me caresser le clitoris, par derrière, a du s’en rendre compte très vite. J’avais toujours rêvé de voir deux hommes se sucer l’un l’autre et là, c’était mon mari qui creusait les joues sur une bite.
Et oui, messieurs, vous qui vous précipitez sur les films de lesbiennes, sachez que certaines femmes, elles aussi, aiment voir deux hommes se faire quelques mamours libertins !