En recherchant une page web que j’avais consultée la veille sur mon moteur de recherche, j’ai découvert, via l’historique de navigation, une longue liste de vidéos porno à caractère masochiste. La plus récente avait été regardée une heure plutôt. J’entrepris alors de remonter plus loin dans l’historique. Quel ne fut pas ma surprise de voir ces vidéos porno, précisément masochiste, se succéder par centaines.
Le secret intime de ma femme…
La personne qui les avait regardées avait visiblement un penchant pour le sexe SM. Je n’avais aucun doute sur son identité. Ma femme était toute désignée car nous n’étions que deux à partager cet ordinateur, qui en plus était verrouillé par un mot de passe dont nous étions les seuls à connaître.
Cette découverte me permit de mieux comprendre les petits changements de ma femme quand nous faisions l’amour. D’abord, elle aimait qu’on fasse l’amour plus souvent d’une manière pour le moins vigoureuse. Ensuite, elle avait pris l’habitude de me demander de lui donner des fessées, de la tenir fermement par le cou, jusqu’à frôler l’étranglement, et de la niquer avec frénésie.
Rencontre des femmes soumises à dominer…
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Après avoir découvert le penchant maso d’Eliane, c’est ainsi que s’appelle mon épouse, je n’allais pas rester sans rien faire. J’allais lui offrir l’opportunité de vivre cette expérience. Je me suis renseigné sur internet pour trouver une sorte de guide masochiste pour débutant. J’avais à présent une idée précise de ce qu’il fallait faire pour réussir cette première expérience fétichiste. En gros, il me fallait quelques accessoires, que j’achetais via internet à savoir : une paire de menottes en cuir, un fouet, une corde de bondage et un bâillon.
Ma femme ? Une salope masochiste !
Je reçus les articles que j’avais commandés sur internet deux jours plus tard. Je pouvais maintenant mettre mon plan pervers à exécution. Il était prévu pour le soir même. Mais, il restait encore un détail à peaufiner : le scénario. Je décidais de m’inspirer du scénario d’une des vidéos maso que j’avais regardée. En gros le scénario consistait à créer un faux problème, piquer une crise de colère et la châtier ensuite à l’aide de mon artillerie fraîchement acquis. Ce soir, Eliane rentra une heure plus tard qu’à son habitude, c’était là un bon motif pour causer mon faux problème.
– D’où sors-tu à pareille heure ?
– J’étais chez Carine (son amie).
– Pourquoi ne m’as-tu pas informé que tu irais chez elle.
– Quoi ça te pose un problème ?
– Oui ! Je n’aime pas que tu te pavanes. D’ailleurs qu’est ce qui me prouve que tu étais vraiment avec Carine. Tu pourrais très bien revenir de chez ton amant.
– Pardon !? Es-tu en train d’insinuer que je te trompe ? ça fait 20 ans que nous sommes mariés et tu doutes encore de ma fidélité pour toi.
– J’ai des raisons de douter de toi, depuis un moment tu as des allures de putes au lit.
Parle-moi sur un autre ton !
– Je te parle comme je veux salope !
– Je m’en vais, je ne peux pas accepter que tu me traites comme une moins que rien. Tu n’es qu’un sale con !
– Tu n’iras nul part, lui dis-je en empoignant fermement sa bouche à l’aide de ma main droite tout en lui jetant un regard colérique.
Elle se débattait en vain et hurlait que je la laisse tranquille. Pas question, tu mérites une punition pétasse ! Et là, je déchirais de mes mains la robe qu’elle portait. Je la traînais ensuite par les cheveux jusqu’à notre chambre. Elle pleurait à chaudes larmes, et je m’empressais de la bâillonner pour ne plus avoir à entendre ces cris. Puis, je pris une paire de ciseaux pour déchiqueter sa petite culotte et le soutient-gorge qui lui collait les nibards. Lasse de se défendre, elle se laissa faire. C’est à ce moment que je la menottai avant de l’attacher par les pieds, tout juste à la hauteur des tibias.
Je la transforme en chose sexuelle
Une fois immobilisée, je l’orientai sur le rebord du lit, sur le ventre, pour avoir libre accès à ses fesses qui devaient subir une bonne série de fessées et de coups de fouets.
J’enlevais ensuite son bâillon et le remplaça par ma bite. Ne pouvant se servir de ses mains, c’était à moi de contrôler la pénétration, j’avais choisis de lui en faire baver un max. Je poussais sans retenu ma queue au fond de sa gorge, la salive dégoulinait en grande quantité, elle coulait des larmes et transpirait à grosses gouttes.
Après la bouche, je me rabattais sur sa chatte que je défonçais tout en claquant ses fesses déjà bien rougies par la fessée qu’elle avait précédemment reçue. Ma manière de la pénétrer lui faisait visiblement très mal puisqu’elle criait et pleurait. C’était le but recherché ! J’allais m’empresser de vider mon foutre sur son visage et dans ses cheveux, chose que je n’avais jamais fait !
C’était une belle expérience, ma femme l’a bien prise après que je lui aie expliqué mes motivations. Depuis on pratique le bondage régulièrement.