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Un mercredi aprèm, je traînais dans un centre commercial Parisien à courir les boutiques de sac à main dames dans l’espoir de dégoter le sac parfait à offrir à ma sœurette pour son anniversaire qui avait lieu le jour même. Après avoir fait deux boutiques, j’entrais dans la troisième où je fus chaleureusement accueilli par une ravissante vendeuse, métisse, d’environ 23 ans, arborant un sourire magnifique. Il m’était très difficile d’être indifférent au charme de cette demoiselle.
Je lui exprimais mon besoin, et elle me présentait ces plus beaux produits. A chaque fois qu’elle se retournait, je ne pouvais pas me retenir de reluquer son buste en sablier parachevé d’un gros cul qui m’excitait à mort. Mon pénis était en feu et en plus nous étions seuls, ça ne pouvait que me donner des idées perverses.
Elle me recommanda fortement un sac de marque valant 1700 euros que je choisis sans rechigner. Vu comment j’étais emballé par elle, j’aurais même pu lui acheter un éléphant si elle me l’avait proposé. Pendant qu’elle m’encaissait, j’étais encore troublée par l’envie persistante de la fourrer sur le coup, je réfléchissais alors à un moyen de la séduire. Et sans que je ne comprenne réellement ce qui se passe, je lui fis la proposition de lui payer 2000 euros cache si elle acceptait un plan cul sur le champ. C’était vraiment déplacée de ma part, je sais, mais cette nana méritait bien que je prenne bien ce risque. De toute façon, je n’avais pas l’intention de lui lâcher la grappe si elle n’acceptait aucune de mes propositions.
– Pour qui me prenez-vous franchement, une pute ? Avec cette somme vous avez largement de quoi vous louer les services d’une escort girl monsieur.
– Loin de moi l’idée de vous prendre pour une pute, je m’en excuse. En fait, vous êtes le genre de femme sur qui je fantasme et 2000 euros ce n’est pas rien, pour quelques minutes de plaisir… et je suis certain que c’est plus que ce vous touchez en un mois de salaire.
Je branche « cash » la vendeuse
Je sentais bien à son attitude qu’elle était sur le point d’accepter mais sa morale faisait bloc, alors je me mis à la rassurer de ma bonne foi et de mon silence de tombe. Ça en valait la peine, plus qu’elle allait accepter ce petit plan de folie.
La vendeuse coquine ferma boutique pour quelques minutes, et nous allions nous engouffrer dans la réserve de stock. Lorsqu’elle se mit à poil, oh putain, elle était meilleure que ce que je m’imaginais. Sa peau était si délicate et douce, ses seins si fiers et si consistants et son cul était un joyeux. Cette cochonne enflamma ma bite rien qu’à la vue de son corps splendide. J’allais donc m’empresser de lui foutre mon phallus dans la bouche histoire qu’elle éteigne l’incendie qu’elle avait causée. Elle me pipait avec une ardeur digne d’une salope en chaleur, je crois bien que j’avais tiré le gros lot. Je profitais de sa fougue pour lui défoncer la gueule avec des coups de bites profonds, j’étais tellement brutale qu’elle m’interrompit, et quand je retirais ma queue de sa bouche elle toussa à tout va !
J’inonde la bouche de la vendeuse
Ensuite, elle posa ses coudes sur une table se trouvant dans la pièce où nous étions, écarta les jambes et je me glissais dans sa foufoune truffée de cyprine avant de lui asséner, aussitôt, de violent va-et-vient qui lui arrachait immédiatement des cris, je suppose de douleur. Mais je n’en avais rien à faire qu’elle ait mal, tout ce qui m’importais c’est prendre mon pied. J’éprouvais un plaisir fou à mater ses fesses galbées s’agiter dans tous les sens à mesure que j’intensifiais le rythme de pénétration.
Au moment de jouir, je lui demandais de me tailler une pipe à nouveau, et sans la prévenir je me vidais les couilles dans sa bouche en tenant bien sa tête pour l’empêcher de se retirer. Elle n’apprécia pas du tout mon geste, car elle avait avalé tout mon sperme et aurait souhaité que je jouisse dans un mouchoir. Il fallait bien que j’amortisse mon gain ! C’est sur cette note désappointée qu’on se séparait.