Tu vveux baiser une jeune salope ?
Avocat de renom, Andy est un beau mec de 41 ans. Il est marié, fidèle à sa femme, une bourgeoise parisienne qui lui a tout donné, qui a fait son succès en lui ouvrant plusieurs portes.
Sa secrétaire étant en congé, le maître a décidé d’accorder, comme d’habitude, un stage à un étudiant pour remplacer Julie, une femme de 52 ans avec qui il a travaillé pendant de longues années. À chaque fois que sa particulière prend des vacances, elle est toujours remplacée par un jeune homme, pour éviter que son patron, homme marié et sensible au charme féminin, ne soit perturbé. Mais cette fois, les données vont changer, ce sera une jeune demoiselle de 25 ans, en cinquième année de droit, qui sera acceptée grâce à son excellent CV.
Les premiers jours, il a fallu lui montrer quoi faire, comment classer les dossiers et, comment rédiger quelques textes administratifs.
Intelligente et perspicace, elle a très vite impressionnée Andy qui ne pouvait plus se passer d’elle.
Lilianne est de type brune, mince, des yeux marron-clairs et une poitrine de taille 90B. On ne saurait laisser un Don Juan enfermé toute la journée avec une demoiselle aussi attirante.
Au début, le patron semblait ne pas s’intéresser à l’étudiante. Au fil du temps, les compliments naissaient et s’accumulaient. La stagiaire se rendait au travail désormais avec des tenues provocantes, elle était sexy et super sympa, on aurait dit qu’elle tentait de séduire Andy.
Un matin au bureau, Julie apparut désarçonnée, presqu’avec des larmes aux yeux. Interpellé, l’avocat s’est approché pour en savoir plus.
Andy : Que se passe-il Julie ? Pourquoi t’es en larmes, allez, dis moi tout !
Julie : Tout va bien monsieur, je, je, je…
Andy : Oui, vas-y, je t’écoute, n’aies crainte.
Enlaçant Julie dans ses bras, caressant ses cheveux pour la calmer, une forte envie de l’embrasser envahit l’avocat qui ne résista pas. Commençant par des bisous à la joue, il remontait ensuite vers les lèvres de la stagiaire qui se laissait faire. Tous les deux se roulaient des patins avec passion, s’enlançaient fortement et, les mains baladeuses d’Andy se glissaient sous la jupe en soi de Julie qui ferma subitement ses jambes et repoussa l’avocat.
D’un air gênée, elle resta silencieuse avant de reprendre la conversation.
Julie : Désolée, je ne peux pas !
Andy : Je comprends, mais dis moi au moins ce tu as…
Julie : Je me suis disputée avec mon mec, on s’est séparé hier après plusieurs années ensemble.
Andy : Qu’est ce qu’il t’a fait ce morveux ?
Julie : Il m’a juste dit que je parlais trop de toi et ça l’a rendu furieux.
Andy : C’est vrai que tu parles souvent de moi ? mais, je ne comprends pas…
Julie : Je suis tombée amoureuse de toi dès le premier jour, tu l’as pas remarqué ?
Andy : Moi aussi tu m’as plu dès que je t’ai vu Julie, maintenant, qu’est ce qu’on fait ?
Julie : Mais, t’es un homme marié et, ça me gêne de…
La stagiaire est une chaudasse
Ne lui laissant pas terminer la phrase, Andy l’embrassa de nouveau et cette fois, c’est elle qui a pris les choses en mains. Après quelques secondes de flirt, elle a introduit ses mains dans le pantalon de l’avocat pour lui tailler une pipe torride. Ses belles lèvres se frottaient au pénis du maître, qui durcissait. Continuant de sucer Andy, Julie le fixait du regard, comme une vraie lionne affamée, elle bouffait les couilles, puis le déshabillait pour lécher son anus.
Le quadragénaire était aux anges, il demandait à sa belle étudiante de continuer. Comme elle sait y faire !
Impuissant devant ce spectacle que lui offre cette cochonne, il se laisse faire. Une fois sa trique bien dure, Julie se lève pour s’asseoir sur son phallus qu’elle introduit dans sa chatte, il la sentait super humide et chaude.
Elle se déhanchait, l’embrassait, lui léchait les nichons, c’était excellent !
Elle n’avait pas encore fini de montrer ce dont elle est capable que le téléphone sonna. Voyant le numéro de sa femme qui s’affiche, Andy, refusa de décrocher mais, Julie ne l’entendait pas de cette oreille. C’est une coquine qui a des idées hallucinantes.
Elle décroche et met le combinet à l’oreille de l’avocat qui entama la conversation. Pendant ce temps, Julie ne s’arrêta pas de chevaucher son pénis. Déconcerté, Andy la repoussa violemment et, Julie se retrouva allongée sur les carreaux.
La conversation téléphonique se termina après deux minutes et, lorsque l’avocat revint à Julie, elle s’était déjà rhabillée et, avait pris son sac pour s’en aller.
Andy : Mais qu’est ce que tu fais ?
Julie : Je m’en vais, j’ai trop honte, je ne pourrais plus travailler ici, ni te regarderais après ce qui vient de se passer.
Andy : Mais, mais, Ju, Ju…
Pendant qu’il essayait de la convaincre, elle claqua la porte et disparu à tout jamais.