Je n’ai pas voulu cela. A vrai dire, je ne sais pas du tout comment je me suis retrouvée là, soumise, en compagnie de cet inconnu, qui m’a fait mettre à quatre pattes, entièrement nue, le cul tendu vers lui, qui s’est assis sur son lit. J’ai rencontré cet homme dans une boîte, il est venu me draguer, je me suis laissée faire. Et voilà.
Voilà comment je suis maintenant offerte à la perversité de ce salaud. Voilà comment maintenant j’y prends du plaisir. Voilà comment il se croit autorisé à me traiter de salope et de chienne. Et il a raison, car je ne suis plus guère que ça, à ce moment précis où je me tourne vers lui pour lui offrir ma bouche.
Il a sorti son membre de sa braguette et reste là, assis sur son lit. Il ordonne. « Viens lécher petite pute ». Il ordonne et moi, j’obéis. Je tends ma langue vers son gland, je m’applique à la passer tout le long de sa verge longue et fine, je titille généreusement le frein.
J’y mets tout mon cœur et tout mon dévouement. Et ça ne suffit pas. Clac ! Un premier coup sur mes fesses vient de m’arracher un gémissement. Je dois prendre gare à ne pas blesser sa queue. Il guide son membre dans ma bouche. Clac ! C’est l’autre fesse qui prend, maintenant.
Ce type est un pervers, comment ais-je pu me laisser entraîner dans cette aventure ? Pour l’instant, je le suce, je fais de mon mieux, mais ce n’est pas assez. A mesure que je lui pompe la bite, il fait rougir mes fesses d’une fessée à la fois rude et délicate. Il alterne savamment entre coups portés et caresses maîtrisées.
A aucun moment ne m’est venue l’idée de refuser ses jeux sadiques. Juste au début, quand il est venu me draguer. Je l’ai pris pour un petit macho, qui roulait des mécaniques. Je me suis dit : « mon coco, tu vas bientôt savoir qui décide ».
Me voilà bien. C’est lui qui décide, sans l’ombre d’un doute. Il a fiché sa longue tige veinée et raide au fond de ma gorge et, du bout du doigt, joue avec mon anus qui s’ouvre involontairement du fait de ma position : à quatre pattes.
Qu’est-ce que vous croyez ? Bien sûr que je ne vais pas lui dire que je n’accepte habituellement pas ce genre de caresses, que je n’aime pas la sodomie, que je ne la pratique jamais et que mon cul, c’est chasse-gardée ! Non. Je creuse les joues pour lui donner un maximum de plaisir, tandis que son majeur s’insinue dans mon petit trou.
Ce que je préfère, ce sont les mots crus qu’il me sert comme d’autres disent des mots d’amour : « putain, chienne, cochonne, vide-couilles ». Et moi je pompe, tandis qu’un deuxième doigt s’enfonce dans mon intimité. Il sait y faire ce salaud. Il est venu patiemment, pas à pas, à cette situation.
Il a commencé par présenter ça comme un jeu. Puis les ordres se sont faits plus précis. Il a maintenant à sa disposition un objet sexuel totalement consacré à son plaisir et à la réalisation de ses fantasmes les plus incongrus. Cet objet, c’est moi.
Il faut bien dire qu’il sait parfaitement ce qu’il fait. A mesure qu’il prend possession de mon cul, son torse bascule vers moi et sa queue, du même coup, s’enfonce davantage dans ma gorge. Il a désormais trois doigts dans mon anus et deux dans mon sexe.
C’est comme cela qu’il me tient. Comme s’il avait trouvé deux poignées pour manipuler un jouet. Et il me travaille les deux orifices, toujours en m’insultant copieusement, agissant sur mon corps pour imprimer à ma fellation le rythme qui lui conviendra.