Lydia est une hôtesse de l’air de 29 ans. Elle est blonde, svelte, yeux bleus et une silhouette très féminine. Cette bordelaise est toujours entre deux avions, sa vie sexuelle n’est pas stable car, ils sont rares les hommes qui supporteraient son rythme.
Toi aussi tu veux baiser des hôtesses de l’air bien salopes ?
Travaillant dans une grande compagnie qui desserte dans le monde entier, elle a fait tous les continents. De l’Europe à l’Amérique, en passant par l’Asie, Lydia est toujours dans les airs, quelle vie !
À la veille de noel, elle est de service dans un vol au départ de Paris pour New-York, environ 8 heures dans le ciel, un jour de fête, elle est encore sûre qu’elle va s’emmerder avec tous ses clients ringards.
Affectée en première classe, Lydia et ses collègues font un débrief comme d’habitude, avant de monter dans l’avion. À les regarder causer de loin, on aurait dit des mannequins prêts à faire un défilé de mode. Les stewards sont super beaux et les hôtesses encore plus. L’heure du vol a sonné, chacun regagne son palier et, ayant acquis plus d’expérience du fait de sa longévité au sein de la compagnie, Lydia porte la casquette de chef ce soir.
Quelques minutes après qu’elle se soit mise au poste, les voyageurs ont commencé à apparaître.
Ils montrent leur billet et Lydia leur affecte une place, tel est le protocole exigé par la compagnie. Ce soir, il va y avoir du monde, même en première classe, l’avion fera carton plein car, c’est la fête.
Parmi les passagers, entre un jeune homme beau, grand et basané, qui présente son billet à la charmante hôtesse en lui faisant un compliment qui va tout de suite lui arracher le sourire. C’est un indien de 40 ans qui se débrouille pas mal en français. Il travaille en France mais a toujours vécu aux U.S.A avec sa petite famille qui s’y trouve d’ailleurs acutellement. Lorsque Lydia l’accompagne à sa place, le bel homme en profite pour souffler quelques mots, un véritable Don Juan d’une élégance très rare.
Ce qui est sûr, il vient de gagner l’affection de l’hôtesse qui ne cesse de tourner son regard vers le deuxième pallier gauche, où il est assis.
Une heure plus tard, Lydia s’éclipse pour s’asseoir avec le personnel car, l’avion allait enfin décoller.
L’hôtesse s’envoie en l’air !
Une fois le bolide dans les airs, elle revient, avec sa section, pour jeter un oeil si tout va bien. En la voyant apparaître, notre gentleman est tout de suite passé à l’attaque. Levant la main pour l’interpeller, il lui demande son prénom et lui, n’a pas manqué de se présenter : » Moi je suis Anish « , avec un accent anglosaxon.
Présentations faites, les deux coquins ont tenue une petite conversation sympa. « Enfin un mec beau qui n’est pas ringard ! « , se dit-elle dans ses pensées.
Lydia continua le service mais, son regard était toujours rivé vers Anish qui lui faisait des clins d’oeil et quelques sourires, toujours aussi charmants.
Il était claire qu’il y avait de l’électricité dans l’air et, le voyage ne pouvait se terminer sans concrétiser cette attirance mutuelle qui s’était déclarée en entrée de jeu entre l’hôtesse de l’air et l’ingénieur indien.
C’est l’heure de l’apéro et, Lydia choisit de finir par Anish. Elle fait le tour, ignorant ironiquement son bel indien avant de diriger son chariot à la place où il est assis.
Lydia : Voilà Anish, du bon Whisky comme tu as demandé.
Anish : Humm, merci, mais j’en profite aussi pour te dire que je te trouve très belle, je ne cesse de te regarder.
Lydia : Tu penses que je ne l’ai pas remarqué ?
Elle s’en alla avec un sourir qui donnait l’air l’impression qu’elle soufflait : » suis moi ! « .
Anish pris donc son courage et se leva pour suivre discrètement Lydia qui était dans les toilettes. Il esseya de baisser la poignée et constata que la porte était ouverte. Bingo! ! Le veinard entra sans se faire remarquer.
Le box était très petit, deux personnes pouvaient à peine tenir dans ces toilettes où l’indien s’empressa de rouler une pelle à la jolie bordelaise. Elle repondit si hardement qu’il eut une très forte érection.
Il souleva sa jupe puis, baissa la paire de collants et le string de l’hôtesse pour enfiler son pénis dans sa chatte qui était toute mouillée.
Ça lui a juste pris deux minutes pour faire grimper cette coquine au septième ciel. Après avoir éjaculé dans la foufoune, l’indien remit sa queue dans le pantalon avant de lui faire un dernier bisou.
Un voyage qu’elle n’oubliera jamais.