Par Ahmed, 30 ans
A l’époque de l’histoire que je vais vous raconter ici, j’avais tout juste 19 ans. Ma petite copine du moment en avait 18, et elle était vierge. Il faut dire qu’elle était issue d’une famille assez catholique, mais qui ne voyait pas d’un trop mauvais œil que la petite dernière de la famille sorte avec un rebeu. Ses parents avaient respectivement 49 ans, pour monsieur, et 42 ans, pour madame.
Vous savez comment sont les jeunes 18-20 ans ?On ne pense qu’à ça. Et moi, j’avais envie d’un peu plus que des roulages de pelles, des pelotages en tout genre et des séances de frotti-frotta. Normal. Mais cette situation ne lassait pas d’inquiéter la maman, Irène, de ma petite copine, France.
Il faut bien avouer que je me montrais assez insistant envers France, que je sentais toute proche de céder à mes avances, autant à cause de son désir de sexe que de celui de faire plaisir à son petit copain. En plus, France, tout comme sa mère d’ailleurs, avait une poitrine qui faisait se retourner tous les hommes sur son passage. Deux magnifiques obus dont l’indécence tranchait avec l’ambiance très puritaine de cette famille.
Tout a commencé un après-midi, alors que je devais rendre visite à ma chérie, comme nous y autorisait ses parents, dans sa chambre, porte grande ouverte. Dans ses conditions, peu de chances pour moi d’arriver à mes fins.
C’est Irène qui ouvre, elle est en peignoir de bain. Femme au foyer, elle ne sort de chez elle que pour prendre le thé avec ses amies, des dames du même cercle social qu’elle. « Tiens, Ahmed ! France n’est pas là, elle ne t’a pas prévenu qu’elle restait à la bibliothèque toute la journée ? ». Non, elle ne m’avait pas prévenu. Je tourne les talons, mais la maman me retient par la manche.
« Viens, j’ai quelques mots à te dire… ». Aïe ! Voilà qui n’annonce rien de bon pour moi. Irène me parle de mes envies, de sa volonté de voir sa fille rester vierge jusqu’au mariage, puis elle conclut : « Mais je comprends bien qu’un jeune de ton âge éprouve de légitimes envies ». Sur ce, elle se lève. Sa robe de chambre est entrouverte. Je peux apercevoir ses deux grosses mamelles ballotter un peu.
Je vois aussi sa toison. Un beau pubis très noir et très fourni. Elle s’approche de moi, ainsi dévêtue. Elle pose sa main sur ma braguette et me sourit. Puis elle s’accroupit, là, juste face à moi. Sa robe de chambre est presque totalement ouverte. Elle sort ma bite de sa cachette et commence à me branler.
Branlé par cette maman aux gros nibards
Ma queue est raide. Et la maman vicieuse la frotte contre sa belle paire de nibards. Je n’ose rien dire, ni rien faire. Elle me branle de plus en plus vite, et me caresse les couilles avec l’autre main. Je suis en rut. Je reluque ses deux gros seins et sa branlette experte.
Ça y est, je décharge sur la grosse poitrine d’Irène qui, une fois passé mon orgasme, se relève. Elle me dit : « si ça devient trop pressant, si tu as envie de te vider les couilles, viens me voir, je préfère… ».
Je suis estomaqué d’entendre de tels mots dans la bouche d’Irène, mais comme elle est pleine de mon sperme, ça ne tranche pas vraiment avec l’ambiance générale. Je me rhabille et prend congé de la mère de ma petite amie.
Mais mon histoire ne s’arrête pas là. Car, en plus d’être bigote, Irène avait un seul autre défaut : elle était très bavarde. Et malgré sa bigoterie, elle avait tout raconter à ses fameuses copines cathos, qui, je l’apprendrai plus tard, n’étaient pas si catholiques qu’elles le prétendaient.
C’est donc, un après-midi où France avait du s’absenter suite à l’appel d’une copine que je suis tombée sur une réunion de ces dames, qui regardaient mon entrejambe plus que mes yeux. Elles m’ont posé tout un tas de questions sur moi, m’ont invité à partager une tasse de thé avec elles, puis m’ont proposé de me soulager de mes « tensions ».
Très vite, je me suis retrouvé entièrement nu, avec une demi-douzaine de femmes quadragénaires, parfois même quinquagénaires, toutes dévouées à préserver la virginité de France. Certaines d’entre elles, se sont même amusées avec des godes-ceintures, en attendant leur tour sur ma bite. J’ai joui tant et tant durant ces après-midis « thé » que je n’ai plus jamais insisté pour prendre le pucelage de ma petite amie de l’époque.
Un jour, France m’a quitté, apparemment triste du peu d’ardeur que je mettais à la convaincre de sauter le pas. Moi, je garde le souvenir de ces partouzes masturbatoires avec mes vieilles bigotes, vicieuses, en manque et bisexuelles, bref, pas si coincées que cela.