Par Gérard, 48 ans.
Mon frère cadet a épousé une belle femme, ma belle-soeur donc. Le genre de nana qu’on remarque tout de suite, tant par son physique avantageux que par sa gouaille, qui est devenue légendaire dans la famille. Christine est une grande gueule, pas le genre à se laisser marcher sur les pieds, pas le genre non plus à se laisser impressionner par qui que ce soit.
N’empêche… Un jour que je devais passer apporter pour mon frère un colis qui m’avait été livré par erreur, j’ai frappé à sa porte. Personne n’a répondu. J’ai collé mon oreille, pour entendre si quelqu’un était là. Et j’ai entendu les cris d’une femme – Christine – qui gueulait de plaisir. Mon frère était au boulot, ça ne pouvait pas être lui avec elle.
J’ai décidé d’entrer dans la maison. En montant les escaliers qui conduisent à l’étage, vers la chambre de mon frère et de ma belle-sœur, je me suis tout imaginé : le facteur, un beau black, un petit gros. Tout, sauf ça.
Là, devant mes yeux, se tenait un énorme gangbang. Ils étaient bien une douzaine à sauter Christine, cette salope, qui prenait son pied comme une dingue, un plug anal planté dans le fondement. En me voyant, un des gars a du croire que j’étais un des invités. Il m’a fait signe de rentrer plus avant, en me disant : « mieux vaut un bon coup à dix qu’un mauvais coup tout seul ! ».
J’étais éberlué, d’autant que Christine n’avait toujours pas remarqué ma présence, trop occupée à pomper en fond de gorge une énorme bite tout en se faisant ramoner le vagin – et maintenant le cul – en double-pénétration. J’ai même pu m’éclipser avant qu’elle ne se rende compte de ma présence.
Mais je suis revenu le lendemain. Cette fois, Christine était seule. Sereine, elle m’a invité à rentrer. A peine assis sur le canapé, impatient de triompher de cette salope infidèle, je lui ai tout dit de ce que j’avais vu la veille. Elle eut l’air d’être choquée par mes révélations, mais pas plus que ça, en fait. Elle m’écoutait, en se penchant vers moi, découvrant ses deux appâts à mon regard.
Ni une, ni deux, je lui ai fait comprendre qu’il fallait me faire plaisir si elle ne voulait pas que je raconte tout à mon propre frère. Nous sommes montés à l’étage et là, une partie de baise intense m’attendait.
Je l’ai prise par tous les trous. D’abord la bouche : elle m’a montré ses talents pour la gorge profonde. Ensuite la chatte : elle m’a prouvé qu’elle n’était pas si large que ça, malgré les énormes membres qu’elle engloutissait parfois. Enfin le cul : elle s’est mise à quatre pattes devant moi, en me suppliant de lui faire mal et de la bourrer comme la dernière des putes.
Belle-soeur et véritable chienne de baise
Pour finir, Christine m’a pris en bouche et m’a pompé le dard jusqu’à ce que je lui éjacule au fond de la gorge. Elle a tout avalé. Une vraie traînée… Et puis, on a remis ça, chaque jour, pendant presque une semaine. Jusqu’au jour où je ne l’ai pas trouvée seule. Encore une fois, cette chienne se faisait démonter en gangbang, mais par trois mecs seulement.
Elle a voulu que je participe et j’ai accepté. Elle me faisait tellement bander. Elle a même exigé de moi et d’un de ses amants que nous la baisions en double pénétration anale, son cul étant bien ouvert par le port régulier du plug. Une première pour moi, peut-être pas pour elle.
Quand tous ses amants sont repartis, après s’être vidés les couilles dans la bouche de ma belle-sœur, elle m’a pris à part et a ouvert un petit tiroir de la table de nuit, du côté du lit manifestement dévolu à mon frère. Elle en a sorti une pile de photos de cul, du genre hyper pornographique, qui prouvaient sans l’ombre d’un doute que non seulement son mari savait tout de ses partouzes en pleine journée, mais qu’il y participait lui aussi, parfois.
« Tu vois, nous sommes libertins et ton frère me laisse baiser avec qui je veux, quand je veux… par contre, ce qu’il ne sait pas, c’est que son propre frère essaie d’abuser de sa femme… ». Je fus pris de panique. Elle a continué : « ne t’inquiètes pas comme ça, je ne vais rien lui dire, à condition que, à ton tour, tu fasses tout ce que je te demande. Je te sonne, tu viens, tu me baises quand je veux, dans la position que je veux, et où je veux ! ».
J’étais coincé. Comment avouer à mon frangin que je baisais sa femme ? Comment avouer le chantage que je lui avais fait ? Depuis, j’accepte tout de la part de Christine, les moindres délires, les moindres envies, les pires cochonneries. Voilà comment je suis devenu l’objet sexuel, l’esclave érotique de ma salope de belle-sœur.