La meilleure amie de ma mère m’a toujours fait bander. D’aussi loin que je me souvienne, ses gros nichons, son beau cul bien rond et ses lèvres pulpeuses ont fait fantasmé l’adolescent que j’étais. Maintenant que j’ai dix-huit ans, que je suis étudiant, j’ai l’impression qu’elle me prend toujours pour un gamin qu’il faudrait pouponner. Il faut dire que je suis toujours puceau. Ah, si elle savait comme elle me fout la gaule !
Nous avions prévu, en cet été, des soirées cinéphiles tous les vendredis soirs, entre ma mère, la meilleure amie de ma mère, donc, Inès, et moi. Je suis étudiant en cinéma, et je devais les guider dans les choix des films. Mais, ce soir, ma mère a du s’absenter pour des raisons professionnelles. Elle nous a donc laissé tous les deux sur le canapé, à visionner un vieux classique.
Inès porte une jolie robe bain de soleil. il faut dire qu’il fait encore horriblement chaud en ce début de soirée. Oh, rien de trop impudique, mais cette petite tenue me laisse loucher sur sa grosse poitrine un peu tombante et je me régale vraiment du spectacle.
Elle est absorbée par le film, elle le suit avec passion. Mais moi, je l’ai déjà vu dix fois, et ses grosses doudounes me tiennent bien plus en éveil que le scénario. Avec Inès, les choses sont simples, elle se comporte avec moi comme elle se comporterait avec son propre fils.
Elle a étendu ses longues jambes encore fines sur la table basse, et sa robe remonte un peu le long de ses cuisses. J’adore les grains de beauté qui parsèment sa peau, comme autant d’invitations à venir les embrasser. Le film est triste mais moi, je bande.
Inès est venue se lover contre moi, en toute innocence. Il faut que je me dégage, sinon elle va comprendre dans quel état d’excitation elle me met, d’autant que je ne porte qu’un petit short plutôt moulant qui va trahir mon érection. Trop tard.
Elle a jeté un coup d’œil à mon entrejambe, elle a du s’apercevoir de quelque chose. Déjà, elle se redresse sur le canapé, avec un air gêné. Elle a tout compris. La meilleure amie de ma mère sait qu’elle m’excite terriblement. Quelle honte !
Et puis, après tout, au point où j’en suis, si j’essayais de profiter un peu de la situation ? Démasqué pour démasqué. Subrepticement, ma main file sur la toile du canapé, direction, les cuisses de la belle quadragénaire. Son attention semble être retournée au film, elle ne remarque rien.
Le bout de mes doigts effleurent déjà sa peau. Je suis en transe, j’ai l’impression que mon short va exploser. Inès ne dit rien, n’ébauche même un geste pour échapper à mes doigts. Ça y est, cette fois, main est sur sa cuisse, l’air de rien, comme un fait du hasard.
Inès me parle. Mais pas de mes attouchements, non, juste de la scène que nous sommes en train de voir, sa préférée. La voilà qui bouge, elle veut m’échapper. Non, elle se penche juste vers la table basse pour y saisir son verre, me laissant reluquer son splendide décolleté. Est-il possible qu’elle n’ait rien remarqué.
Elle se love de nouveau contre moi, sa cuisse est sous ma main. Je suis en sueur. Je sens son odeur de femme : elle aussi, elle transpire. J’ai les yeux rivés sur les siens, qui se posent maintenant sur moi. Un coup d’œil à sa cuisse, que je pelote maintenant ostensiblement.
Elle sourit, puis se penche. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle a sorti ma gaule de mon short pour la prendre immédiatement dans sa bouche. Surexcité, je jouis, très vite, au fond de sa gorge. « Pas un mot à ta mère, bien sûr » me lance-t-elle dans un sourire, en se redressant, après avoir avalé tout mon foutre.