Le soleil cognait fort en ce début d’après-midi, et j’ai décidé d’aller faire bronzette sur mon balcon avant de retourner au bureau. Je vis dans une maison assez reculée, mais j’ai des voisins juste à côté. Nous n’avons pas encore construit de séparation entre les deux propriétés, mais la nôtre surplombe légèrement le quartier, et je peux voir le jardin des voisins sans être forcément vu moi-même.
> Une femmefontaine à baiser ? Clique ici !<
J’ai donc jeté un petit coup d’oeil en bas car j’entendais quelqu’un parler au téléphone. En effet, c’était ma voisine, une belle quadragénaire aux cheveux courts, dans le même style que Christina Cordulla sur m6. Le plus hallucinant, c’est qu’elle était toute nue et se baladait totalement à poil dans son jardin. Je pouvais voir ses formes exquises. Je ne l’aurais jamais cru, mais sa moule était toute velue. Ses nichons tenaient bien en place, ils étaient petits et sans aucun ride. Tout ça a suffi pour me filer une trique monumentale. J’étais seul chez-moi, et j’ai donc décidé de jouer les voyeurs et de me masturber la chique. Elle continuait de circuler sur son terrain, le fessier et les miches à l’air. Elle était sublime, la peau légèrement teintée et sans imperfection, une voix douce, des tétons fermement dressés vers l’avant.
Et que dire de son troufion, une raie parfaite, je n’avais qu’une envie, y mettre ma tête et lui dévorer le cul. Je me suis encore un peu approché, et j’ai trouvé une bonne planque derrière un buisson, à une dizaine de mètres de la belle voisine nudiste. Je la voyais bien de cet endroit et je me branlais lourdement le noeud en la matant. Je pouvais presque sentir son odeur ce qui me faisait triquer encore plus violemment. Un moment, je l’ai vu se mettre à quatre pattes. Je pouvais bien distinguer son cul, je voyais même son petit trou et sa moule un peu gonflée. Ça me rendait complètement dingue d’avoir un fion si exquis tout proche de moi et ne pouvoir rien faire d’autre que de me branler.
Mais c’était déjà pas mal et j’en profitais bien en me tirant de plus en plus fort sur la nouille. Elle parlait toujours au téléphone, mais elle est allé se poser sur une chaise longue face à moi. Elle me fixa alors des yeux tout en passant une main sur sa touffe.
Ma voisine ? Une femme fontaine !!
Que faisait-elle? ELLE M’AVAIT VU! C’est MOI qu’elle regardait. Putain de merde, j’étais grillé. Mais ça n’avait pas l’air de la déranger, bien au contraire, elle commençait même à se caresser la chatte. Je pensais bander juste avant, mais en fait non, car ma pine a triplé de volume en l’espace de deux minutes. Trop excité par cette situation. La brune quadra se mettait maintenant des doigts dans l’oignon… J’avais tellement envie de venir la baiser avec ma langue, de lui cracher ma salive dans le trou de balle avant de venir la sodomiser. Mais nous étions mariés tous les deux, et je ne pouvais pas faire ça à Magalie. En tout cas, la voisine savait très bien que j’étais derrière le buisson, et ça ne l’empêchait pas de s’enfoncer toute la main dans la chagoune. Elle se fistait comme une folle et moi j’hallucinais de voir ça. Elle avait tout le poing dans le trou, putain qu’elle salope! Elle s’est ensuite acharnée sur son clito que j’avais du mal à voir dans cette toison fournie, puis elle s’est mise à gicler de grands jets de mouille par le vagin. En plus d’adorer le fist et d’être une pute classieuse, c’était une femme fontaine. Il n’en fallait pas plus pour sentir la jouissance monter dans mon tronc. Ma sève sorti par grandes lampées et se répandit sur le gazon fraîchement tondu. Superbe après-midi, j’ai hâte de recommencer!