Il faut que je vous raconte une histoire qui m’est arrivée avec ma femme il y a quelques temps de cela. Que j’explique (et que je m’explique à moi-même) comment nous en sommes arrivés là. Jacqueline et moi sommes mariés depuis près de vingt-cinq ans, nous avons eu trois enfants mais, depuis quelques années, notre vie sexuelle n’est plus ce qu’elle était.
Enfin, depuis ce fameux soir de décembre où tout a changé entre nous. Toujours aussi amoureux d’elle, et toujours autant en demande sur le plan sexuel, je passais mon temps à essayer de la convaincre de faire quelques câlins crapuleux avec moi. Mais je sentais bien que ça ne la branchait plus du tout.
Un soir de décembre, donc, où je tentais à nouveau ma chance, elle finit par me répondre : « j’en ai marre du sexe avec toi ! tu ne t’occupes que de ton plaisir ! il faut que je te suce, que j’écarte les cuisses et toi, tu fais quoi pour moi ? ». Je restais con, ne sachant absolument pas quoi lui répondre.
Elle devait avoir raison, j’étais devenu égoïste au lit. « Demande-moi ce que tu veux, je ferai ce que tu veux, je t’aime ». Je n’avais trouvé que cette réponse, qui valait ce qu’elle valait. Les yeux de Jacqueline s’illuminèrent : elle avait décidé de me prendre au mot. Elle lança, sur un ton sévère que je ne lui connaissais pas : « tout ce que je veux, hein ? tu es prêt à devenir mon objet sexuel ? ».
Bien sûr que j’étais prêt, je ne demandais même que ça. Ma femme me fit me mettre nu devant elle. Elle inspecta mon corps, mes poignées d’amour, mon petit bide, ma bite pas aussi raide qu’elle l’aurait été vingt ans plus tôt dans une telle situation : « bien, esclave, voyons si on peut faire tout de même quelque chose de toi ».
Jacqueline retira sa culotte, sous sa jupe et s’assit sur le canapé, en face de la télé, qu’elle alluma. Elle mit une série américaine quelconque et ordonna : « à genoux, esclave, tu vas me lécher pendant que je regarde la télé ». Mon couple, ma vie sexuelle étaient en jeu. Je m’exécutais.
Nu, exploité, à la merci de ma femme…
Nu comme un ver, soumis, je me mis à genoux en face d’elle, n’ayant plus qu’à plonger jusqu’à son entrecuisse. Sa chatte était déjà humide. Je me mis à la laper avec toute l’application d’un esclave. Et pendant que je suçais son clitoris gonflé, Jacqueline changeait de chaînes, avec la télécommande, comme si de rien n’était.
Elle finit par tomber sur un film, avec je-ne-sais quelle vedette masculine du grand écran : « ah, ce petit jeune, il m’excite carrément » soupira-t-elle en plaquant un peu plus mon visage entre ses cuisses.
Au bout d’une bonne heure de cunnilingus appuyé et appliqué, elle finit par jouir, tenant ma tête contre son con trempé de mouille. Quand son orgasme fut terminé, elle me fit me lever, inspecta mon érection, qui n’était pas redescendue durant toute la séance : « bien, désormais tu es mon esclave, tu me lécheras et tu me baiseras quand je t’en donnerai l’ordre, tu es à ma disposition n’importe quand et n’importe où ».
Depuis ce soir là, notre vie sexuelle est repartie comme aux plus beaux jours. Et je reste l’objet sexuel de ma femme, exploité par ma femme…