Par Chloé, 22 ans
Je vous écris par ce que je ne suis pas sûre que ce que je fais en ce moment sois » normal « . A vrai dire, je me suis renseignée, ça n’a rien d’illégal, mais, si ce n’était pas si bon, je trouverais notre liaison complètement glauque. En fait, depuis quelques temps, je couche avec mon cousin. De fait, il n’y a pas de liens de sang, puisqu’il a été adopté par mon oncle et ma tante, mais tout de même, il reste mon cousin.
Je dis » depuis quelques temps » s’agissant de notre liaison, mais il faut bien avouer qu’elle a démarré après presque vingt ans de préliminaires, pour ainsi dire. Vous savez comment sont les enfants ? On joue au docteur, on apprend à se connaître et à connaître son corps. Sauf que, pour nous, ces petits jeux ne se sont jamais arrêtés.
Nous avons le même âge. Enfin, il n’a qu’un an et demi de plus que moi. Après les tripatouillages de gamins, nous avons poursuivi pendant l’adolescence : dès que nos parents avaient le dos tourné, on se pelotait, on se faisait des petits bisous, plus ou moins innocents. Mais là, à vingt ans passés, ça devrait s’arrêter, non ?
Il faut dire que je cherche les ennuis. Je suis étudiante à Lyon, lui à Paris. Et je ne trouve rien de mieux à faire que d’aller passer un week-end toute seule dans la capitale. Et de lui demander s’il peut m’héberger pendant mon séjour !
Ça n’a pas fait long feu. Après une demi-heure de tête à tête, nous sommes tombés dans les bras l’un de l’autre, nos habits ont volé aux quatre coins de la pièce et je me suis retrouvée en train de me faire faire un cunnilingus par mon propre cousin ! Le truc de dingue, comme il m’a bien bouffé la chatte. Il faut dire qu’il la connaît bien, des années qu’il la tripote par ci par là.
En plus, notre complicité très ancienne fait qu’il ose tout. Ce jour-là, il m’a fourré ses doigts dans le minou jusqu’à la garde pour aller caresser mon col de l’utérus. Je ne savais même pas que ça se faisait et j’ai pris un pied monstrueux.
Alors, quand il a déballé sa queue, un engin long, épais, bien droit et bien raide, j’ai cru que j’allais m’évanouir. Mais, au lieu de ça, je me suis placée à quatre pattes devant lui en levrette. Il m’a niquée comme personne, jamais, ne m’avait niquée. Il enfonçait son pieu bien au fond, ne bougeait plus pendant un instant, puis me balançait des coups de rein violents et secs à m’en faire péter les cordes vocales !
C’est bien simple, je n’ai rien vu de Paris, ce week-end là. Nous n’avons fait que baiser et baiser encore, sans pouvoir nous arrêter. J’ai du monter un bateau à mes parents qui voulaient savoir quels musées j’avais visités.
Baisée à fond par mon cousin
Demain, je repars pour Paris, pour un stage en entreprise, cette fois. Et devinez qui m’héberge ? Je suis déjà là, à moitié en train de me masturber en pensant à sa peau, à sa bouche et surtout à sa bite phénoménale. Comment vais-je faire pour lui résister, il me rend carrément folle de cul ?
Avec lui, pour lui, je serais prête à faire n’importe quelle cochonnerie. Et, en plus, il ne manque pas d’idées à ce sujet, ce vicieux. Il m’a promis de m’emmener dans un sexshop de Pigalle et de me troncher dans une des cabines.
Il faut dire que je me suis montrée comme une vraie chienne, pendant qu’il me défonçait en levrette. A chaque coup de queue, j’en demandais encore. Et il m’a dit que si je voulais qu’il me nique, il fallait que j’accepte une claque sur les fesses. Bilan : j’ai fini le week-end avec le cul tout rouge, et j’y ai pris plaisir !
Oui, je sais, il m’exploite, et c’est ça que j’aime. J’ai l’impression qu’il connaît mieux mes fantasmes que moi. En tout cas, mes penchants de soumise. Je vais arriver demain, il va m’embrasser, et il m’aura à son entière disposition. S’il veut m’enculer, je lui donnerai mon cul, s’il veut m’offrir à ses potes, il fera ce qu’il voudra, pourvu qu’il me baise comme la dernière fois.
Aidez-moi, s’il vous plaît, à trouver les moyens de me libérer de son emprise. Car le pire, dans tout ça, c’est que je crois que je suis en train de tomber amoureuse de mon cousin.