Marleine est une bourgeoise qui a investi dans l’immobilier. Au centre de Paris, elle est propriétaire de plusieurs immeubles de standards différents. Ayant confié la gestion à une agence, elle passe souvent faire des visites pour voir l’état des lieux de ses investissements. À 59 ans, elle est veuve et sa vie sexuelle est un trou noir. Après avoir visité plusieurs plateformes de rencontre, elle n’a jamais trouvé quelqu’un qui correspond à son profil, il faut dire que son rang social ne lui permet pas de voir n’importe qui. Dans un de ses appartements, vit un jeune couple africain. Le mari ayant perdu son job tout récemment, la femme n’a pas un revenu assez conséquent pour supporter la charge locative.
Cela fait donc trois mois qu’ils n’ont pas payé le loyer et, l’agence a décidé de porter plainte. Mais avant, l’avis de la proprio s’impose.
Elle et le couple ce sont donc donnés rendez-vous un samedi matin pour en discuter, sans la présence des agents immobiliers. Un règlement à l’amiable est toujours envisageable car, notre bourgeoise déteste les tribunaux, surtout pour de telles affaires qu’elle considère comme du menu fretin.
Il est 10 heures, toujours aussi ponctuelle, Marleine arrive et sonne au bas de l’immeuble quand elle entend la voix de Fatou l’épouse, qui lui demande de monter.
Quelques minutes plus tard, elle est accueillie par Fatou qui lui offre un café d’entrée de jeu.
Assis tous les deux sur le grand canapé, ce jeune couple africain écoute religieusement la proprio, qui leur fait la génèse de sa fortune. Elle dit avoir travaillé dur avec son époux, qui malheureusement est décédé, pour construire et acheter tous ces biens immobiliers. Le couple africain écoute attentivement…
Marleine : Je suis une femme d’affaire et je ne pourrais accepter un tel comportement de la part de mes locataires. Il faut impérativement que nous trouvions un terrain d’entente car, les tribunaux, j’en ai une sainte horreur !
Le mec, Jean, est un malgache, type métis, 30 ans, bel homme, grand et séducteur et, sa femme est une black d’origine sénégalaise, bien foutue, une belle poitrine et des lèvres pulpeuses. Fatou est agée de 28 ans, elle a acquis la nationalité française et travaille comme assistante de direction dans une petite société de fruits et légumes.
Le couple africain va se taper la mature !
Après plusieurs explications et supplications, la proprio est restée bouche bée pendant quelques minutes.
Avec une voix polissonne, elle rompt le silence :
Marleine : Et si on je vous proposais quelque chose de très inhabituelle ?
Elle fixe Jean qui lui retourne un regard coquin en lui disant :
Jean : Tout ce que vous voudrez madame, nous sommes prêts à tout pour ne pas aller être expulsés.
Marleine : Je vous laisserai encore trois mois à condition que vous me fassiez une petite gâterie.
Alors qu’elle s’apprêtait à opposer un refus, Fatou fit stopper subtilement par son époux qui lui souffla ensuite quelques mots à l’oreille.
Jean : J’ai compris et nous sommes d’accord.
Marleine : Alors, qu’attendez-vous pour commencer ?
Jean : Humm, elle est coquine la proprio ! Ne vous en faites pas, nous sommes sur la même longueur d’onde !
Toute honteuse, Fatou ne comprenait pas ce qui arrivait, elle était obligée de suivre son époux dans tous ses faits et gestes. Un vrai joueur, il a l’air d’avoir l’habitude de ce genre de situation.
Première queue black pour la proprio
Il se mit donc à embrasser sa femme en fixant Marleine des yeux. Le pervers galoche pour rendre la chose un peu plus cochonne. Il glisse ses mains sous la mini-jupe de Fatou puis, la doigte pendant qu’il déboutonne sa chemise. Elle a une grosse poitrine qui fait baver la dame.
Jean tire sa muse par la main afin que tous les deux rejoignent la proprio pour la faire participer.
À son tour, Fatou la franco-sénégalaise se montre libertine, elle galoche avec Marleine pendant que Jean introduit sa tête entre ses cuisses.
Toute mouillée, ça faisait longtemps que cette bourgeoise n’avait joui de la sorte, quel pied !
Jean sort son pénis et le montre à Marleine qui sera tout de suite impressionnée par sa taille et sa grosseur. » je peux la sucer ? « , demande-t-elle avec excitation. » elle est à toi « , lui répond Jean.
Avec son accent à la fois africain et français, Fatou dit à Marleine : « Elle est à toi, mais laisse moi prendre les testicules ».
Une double turlutte qui amènera le veinard à baiser sa proprio et sa femme pendant une trentaine de minutes.
Grâce à cette journée, ils ont eu droit à 5 mois gratuit avec une visite mensuelle de Marleine la gourmande. Fatou est devenue moins coincée et… tout le monde est content !