Je me prénomme Géraldine, je suis étudiante en Droit à Paris. Je suis célibataire, ma plus longue histoire d’amour n’a duré que quelques mois et je suis le genre de filles à vouloir profiter de la vie, et de ma jeunesse. Je ne cours pas plus que ça après les hommes, mais j’ai tout de même un joli tableau de chasse à mon palmarès.
Le garçon que je vais évoquer ici est connu, mais je ne vais pas vous révéler son nom, parce que j’ai appris, depuis notre aventure, qu’il était marié. Marié, et soi disant fidèle, malgré sa profession : Luc, appelons le ainsi, est acteur porno, un « hardeur » comme on dit. Je n’en savais rien quand il m’a abordé, un soir, en discothèque. Ce sont mes copines, avec qui j’étais sortie ce soir-là qui me l’ont dit.
Il faut vous dire à ce stade qu’il s’est montré envers moi aussi timide qu’entreprenant. Timide, dans le bon sens du terme, pas le genre de mec relou qui se la joue, si vous voyez ce que je veux dire. Entreprenant, dans le sens où il m’a clairement fait comprendre qu’il voulait passer du temps avec moi. Moi, et aucune autre fille, en tout cas ce soir-là.
Nous avons dansé, pas mal bu, et un peu discuté. Il m’a dit être comédien, je lui ai parlé de mes études, sans lui laisser penser que mes amies m’avaient, en réalité, tenue au courant de sa réelle activité. Et c’est sans penser à mal – enfin, un petit peu quand même, je l’avoue – que je l’ai laissé me raccompagner chez moi, puis que je l’ai invité à boire un dernier verre.
Je dis « sans penser à mal », parce que je ne regarde pas de porno et que je me suis pas mise à fantasmer au moment où j’ai appris qu’il était hardeur. Pour moi, c’était un coup d’un soir comme les autres. Si vous connaissez un peu le porno gonzo, vous devez vous rendre compte, à ce stade, qu’une grosse, mais alors très grosse surprise, m’attendait.
Nous avons flirté sur mon canapé, nous nous sommes bécotés, il a commencé à caresser mes seins. Une chose en entraînant une autre, je me suis retrouvée en petite culotte et lui en slip. Oui, j’ai bien vu la bosse qui s’était formé sous le tissu, mais je n’en ai rien déduit de spécial. Les caresses se sont faites de plus en plus précises, jusqu’à ce qu’il retire ma culotte.
Je me suis retrouvée assise sur le canapé, lui à genoux devant moi, à me faire un cunnilingus. Rien à voir avec les clichés du porno : il était doux, assez talentueux de sa langue, à l’écoute de mes désirs. J’ai eu un premier orgasme, petit, mais sympathique. Alors, il s’est redressé. Et j’ai retiré son slip.
Hardeur à grosse queue !
Mazette, mes amies, quel engin. Je n’ai pas vraiment le compas dans l’œil, mais je peux vous certifier que sa verge faisait, au bas mot, dans les 25 cm ! Et large, en plus de ça ! J’ai cru tourner de l’œil devant l’engin qu’il me présentait. Luc eut l’air gêné. Je l’ai attiré à moi pour l’embrasser à pleine bouche, pour le rassurer.
Je sentais son membre contre ma peau. Je ne me trompais pas, il était raide comme la justice ! J’avais déjà connu des garçons bien membrés mais, en général, ceux-ci n’avaient pas de si formidables érections. J’ai demandé à Luc de s’installer à son tour sur le canapé et j’ai commencé à le sucer.
Quand il s’est trouvé vraiment bien chaud, j’ai tendu la main jusqu’à mon sac pour en tirer une capote. Il m’a souri, a retenu ma main. Puis il s’est penché vers son pantalon et en a tiré un étui de de préservatif XXL. Oui, évidemment, j’aurais du m’en douter, un hardeur est équipé hors normes.
Tant bien que mal, je me suis acharnée à poser le condom sur sa verge énorme. J’avais un peu peur, c’est vrai, mais j’étais aussi très excitée à l’idée d’essayer un tel membre et de le sentir en moi. Quand il fut équipé, je me suis mise à califourchon sur lui. Et je me suis empalée. J’ai senti chacun des 25 centimètres pénétrer dans mon vagin. Une sensation fabuleuse, d’autant qu’il me laissait faire à ma guise. Habitué qu’il était à son propre corps, il avait peur de me faire mal.
Emportée par mon élan, je me suis mise à faire des mouvements de va-et-vient sur sa verge. Je ne m’en étais pas rendue compte, mais il n’était pas encore entière en moi. D’un coup, son membre s’est fiché jusqu’aux testicules dans mon sexe et là, je dois bien dire que j’ai eu mal.
Mais ça n’a duré qu’un temps. Très vite, le plaisir a repris le dessus et je ne suis pas prête d’oublier ce sentiment de plénitude d’être baisée par une grosse bite. Depuis, il m’arrive de regarder des films de cul, mais uniquement les films de mon hardeur préféré !