Oui, je l’avoue, je fais partie de ces femmes totalement accroc à leurs godes, à leurs sextoys. Mais qu’on se rassure : j’ai, par ailleurs, une vie sexuelle tout à fait équilibrée, avec un petit copain régulier et quelques amants de passage. A vrai dire, j’avais toujours trouvé cette passion de certaines filles pour les jouets coquins parfaitement ridicule.
Non mais franchement : quel genre de femmes mouille pour un canard ou pour un petit vibro tout rose et tout mimi ? Pas moi, en tout cas. Et puis, un soir de beuveries entre copines, nous nous sommes décidées à rentrer dans un sexshop. Pas un lieu mal famé, un truc un peu hype, où on trouve des femmes seules, des couples… mais nous avions la sensation de nous encanailler comme des dingues.
Là, je suis tombé nez-à-nez avec lui, au rayons godes. Je vais l’appeler Johnny, rapport à un acteur américain que vous reconnaîtrez et qui m’a toujours fait fantasmer. Lui, et son gland énorme, lui et ses belles veines bien dessinées… Lui, le pénis parfait. Je ne savais même pas que ça existait. Une vendeuse, voyant mon désarroi m’a tout expliqué, très simplement et très gentiment : « c’est ce qu’on appelle un gode réaliste, il y en a de toutes les tailles et de toutes les couleurs, si vous voyez ce que je veux dire… ».
Je voyais bien, oui, mais je pris mon air le plus sceptique, tout en reluquant du coin de l’œil la bite parfaite en PVC. C’est là que je l’ai remarquée : au pied de Johnny, si j’ose dire, le fabricant avait ajouté une ventouse, qui me donna tout à coup un maximum d’idées toutes plus salaces les unes que les autres. Mes copines m’ont extirpée du sexshop, pour aller boire un coup, et j’ai laissé mon Johnny tout seul, avec sa trique.
Mais dès le lendemain, je suis allée sur un sexstore en ligne. Et j’ai acheté Johnny. Je lui devais bien ça : j’avais rêvé de sa fantastique bite toute la nuit, et j’avais déjà pris un pied monstrueux à l’imaginer en moi.
48 heures. J’ai du attendre 48 heures avant qu’on ne vienne me livrer Johnny. Une longue absence que j’ai ressentie au creux de mes cuisses et que j’ai compensé avec un premier amant le premier soir, avec mon petit ami la seconde nuit. Sans grands résultats. Mon amant est donc arrivé un soir, par livreur. Trempée jusqu’aux cuisses, j’ai ouvert compulsivement le paquet.
Il était là, mon gode… Gros, épais, long et bien veiné, il n’y avait plus qu’à. Je me suis retrouvée nue au milieu de mon appartement en moins d’une minute. Mince ! J’avais oublié de commander le lubrifiant ! J’ai passé une main sur ma chatte… pas besoin de lubrifiant.
Je me suis allongée sur mon canapé et j’ai commencé à jouer avec mon clitoris, tout en admirant la forme parfaite de mon nouveau gode. Rien que cette caresse et cette vue ont suffit à me faire jouir une première fois. C’était déjà une de plus que mes deux nuits précédentes.
Un gros gode très réaliste !
Et là, j’ai saisi Johnny et je l’ai invité à me baiser. J’ai introduit chaque centimètre de mon gode en moi, pour bien sentir ses belles veines qui me caressaient les grandes lèvres, les petites, et l’intérieur du vagin. Le monstre s’est finalement logé contre mon col, et je l’ai retiré.
Pour mieux pouvoir me l’enfoncer d’un coup, presque jusqu’à la garde. Je me baisais moi-même et pourtant, je gueulais comme si un mec en rut était en train de me laminer la moule ! Quelle incroyable sensation ! C’était vraiment autre chose que les petits canards vibrants et autres joyeusetés du genre.
J’ai passé la nuit à me défoncer avec mon beau Johnny. Et même aujourd’hui, alors que je dispose d’une collection assez extravagante de godes réalistes, des moyens, des gros et des énormes, des noirs, des blancs et des asiatiques, Johnny reste le préféré de mes godes.
Le plus souvent, je le colle par sa ventouse à la grande vitre de mon armoire et il me baise en levrette, là, à même le sol. Maintenant, j’arrive à prendre ses 22 centimètres jusqu’au fond, c’est ça me défonce toujours autant.
Côté mec, je recherche désespérément un gars avec une aussi belle bite que Johnny. Il pourra être moche, obèse, vieux, je m’en fous. Je veux une vraie bite qui soit à la hauteur de celle de Johnny : belle, bien dessinée, épaisse et longue et surtout toujours disposée à me niquer, quand j’en ai envie, c’est-à-dire souvent.
S’il se trouve quelqu’un qui lit ces lignes et qui se reconnaît dans le portrait de cette bite magique, sachez que j’ai 31 ans, que je suis plutôt jolie, assez bien gaulée et que je suis devenue en quelques années une vraie bête de sexe, grâce à Johnny !