La vie sexuelle de notre couple ronronnait doucement. Cela fait 15 ans que nous sommes mariés, Yves et moi. Nous étions encore tout jeunes quand nous nous sommes unis, jeunes et plein de fougue. Avec les années, la fougue s’est transformée en habitude et la passion qui rendait nos nuits chaudes et intenses a peu à peu laissé place à des étreintes répétitives et de moins en moins troublantes. Il m’arrivait fréquemment de m’ennuyer en faisant l’amour et, même si nous n’en parlions jamais ouvertement, je sentais bien que c’était la même chose pour mon époux. Un jour, j’ai pris mon courage à deux mains et nous avons abordé le sujet de nos fantasmes respectifs puis pris la décision de nous montrer enfin plus inventifs en amour. A ce moment là, je ne pensais pas me retrouver si vite en train d’enculer mon mari.
Nous avons fait chacun de notre côté des emplettes dans le catalogue d’un sex-shop en ligne. Je suis restée très raisonnable, achetant principalement de la lingerie (pour exciter mon homme) et un ou deux sex-toys bien innocents (plutôt pour moi, je l’avoue). Nous avons expérimenté assez rapidement les quelques fantaisies nouvelles offertes par mes achats, puis ce fut au tour d’Yves de révéler sa surprise. Celle-ci était de taille. Je ne compris pas tout de suite où mon mari voulait en venir quand il sorti de sous le lit un gode-ceinture de belle facture. Je m’attendais presque à voir entrer dans notre chambre une autre femme et je trouvais que c’était pousser le bouchon un peu loin que de vouloir m’imposer une relation bisexuelle trioliste.
Mais ce n’était pas ce qu’attendait mon mari, il m’expliqua que d’avoir parlé ensemble de nos difficultés lui avait permis de franchir enfin les limites qui l’empêchaient de me demander ce qu’il attendait de moi depuis des années. Pour finir, il me dit simplement « Chérie, je voudrais que tu me prennes comme si j’étais ta petite femme. Encule-moi s’il te plaît ! ».
A cet instant, tout aurait pu arriver. L’espace d’une seconde, j’ai hésité, j’étais sur le point de tout foutre en l’air et de me fâcher pour de bon. Mais devant le regard implorant qu’il me lançait, je compris qu’il avait eu bien du mal à exprimer ses pulsions les plus intimes. Je le trouvais aussi un peu pitoyable et c’est ce qui me décida à m’emparer de l’engin pour me harnacher. De me voir dans le miroir du placard qui faisait face à notre lit, montée comme un homme, mon mari attendant en haletant que je le fourre, à quatre pattes sur le pieu, me donna l’élan nécessaire.
Quelques instants plus tard, je me retrouvai en train de limer les fesses de mon époux. Celui-ci haletait et gémissait effectivement comme une petite pute. Je me sentais forte, dominatrice et perverse. Yves avait pensé à moi et il avait choisi un modèle muni d’une double bite. L’une était fichée dans son cul et le ramonait allègrement, l’autre remplissait ma chatte et me donnait beaucoup de plaisir à chaque fois que mon ventre venait buter contre le cul de mon mari.
Nous avons joui ensemble comme des fous. Je bénis encore aujourd’hui le jour où nous avons décidé de prendre en main le destin sexuel de notre couple. Cela nous a complètement libérés et nous sommes aujourd’hui redevenus les jeunes amants insouciants que nous étions à nos débuts.