Je suis une femme active, mais toujours en retard. C’est la vie citadine qui veut ça. La routine du quotidien d’une petite comptable d’entreprise. Les transports en commun, j’y passe des heures, et ce mardi matin ne fait pas exception. Je me vois encore courir sur le quai pour ne pas louper mon train.
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Je saute dans le wagon, un des tous derniers si ma mémoire est bonne, et je m’installe. Je suis d’ailleurs étonnée de pouvoir trouver une place assise, car d’habitude c’est bondé. Bref, pour une fois le voyage va être agréable.
J’ai environ 20 minutes de train avant d’arriver au bureau. Mais je ne suis pas seule dans le wagon. Il y a un homme assis quelques rangées à l’opposé de moi. Il me fixe, et moi aussi. Il a l’air méchant, une petite racaille de cité. Il me regarde agressivement. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens qu’il veut quelque chose.
Ce jour-là, je porte une robe assez courte. On est début juin et il fait chaud, même de bon matin. Je ne sais pas trop pourquoi, mais machinalement, j’écarte un peu les cuisses. Il commence alors à diriger ses yeux sur mon entre-jambes, ce qui commence à me troubler terriblement. Je me rends compte que je suis en train de le chauffer, de le provoquer, alors que ce mec me rebute par son apparence de petite frappe. Je me souviens qu’en plus je n’ai pas mis de culotte ce matin-là, et qu’il avait probablement pu voir ma petite chatte rasée. Je deviens toute rouge, je baisse les yeux, me lève et marche d’un pas rapide vers les toilettes.
Je sens qu’il me suit. Je claque la porte mais oublie de la verrouiller dans la panique. Je m’assois et commence à uriner. La porte s’ouvre, il est là, devant moi. D’un air assuré, il sort sa queue déjà dure. Machinalement, j’ouvre la bouche et accueille en moi cette pine mal lavée.
Je suce la queue de cette racaille
Elle sent fort mais je m’en fiche, je me sens salope et je veux aller jusqu’au bout. Je le pompe avec vigueur, tout en le fixant avec un regard de chienne. Je glisse ma main sur ma chatoune et je commence à me frotter le clitoris tout en continuant à lui aspirer la tige. Je suis chaude, je mouille comme jamais et j’ai envie de cette queue épaisse en moi, là, tout de suite, au risque de me faire surprendre par quelqu’un. Je recrache sa bite, je me lève, me retourne et lui présente ma croupe.
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Il me saisit les fesses, écarte mon cul et s’enfonce en moi délicatement. Je lui dis d’y aller fort. Il s’exécute. Je sens son engin me cogner le fond de la chatte dans ces chiottes crades d’un train de banlieue. Je ne suis pas fière de moi, mais c’est si bon. Je suis prête à exploser de plaisir, je me retiens de crier pour ne pas alerter un contrôleur, mais je vais jouir. Je lui demande de me défoncer, d’y aller le plus au fond possible. Il rentre presque ses couilles en moi tellement il va loin. Je jouis alors en serrant les dents. Des vagues de plaisir me tordent les boyaux. Je lui prie de ne pas gicler en moi, de tout me foutre sur le cul pour me souiller jusqu’à la dernière goutte. Je ne l’ai plus jamais croisée cette racaille… Si jamais tu me lis, laisse un commentaire avec ton numéro 🙂